Auteur:François Béroalde de Verville
Apparence
François Béroalde de Verville
poète et écrivain français
(–)
Œuvres
- Theatre des Instrumens Mathematiques et Mechaniques de Jacques Besson, Avec l'interpretation des Figures d 'iceluy par François Beroald, Lyon, Vincent, 1578 — collaboration au Blason des Armoiries de H. (de) Bara (Lyon, 1579) (pièces liminaires de Béroalde) (version en latin)
- Les apprehensions spirituelles, poemes et autres œuvres philosophiques : avec Les Recherches de la pierre philosophale, P., Jouan, 1583
- Les apprehensions spirituelles, en prose, avec pagination séparée
- Les cognoissances nesessaires, poeme contenant plusieurs belles resolutions philosophiques
- Stances de la mort et de la vie
- De l'âme et de ses facultés
- Dialogue de l'honneste amour, en prose
- Dialogue de la bonne grace, en prose, Du bien de la mort commune, en prose
- Recherches de la pierre philosophale, en prose
- La Muse celeste, ou l'Amour divin, poèmes
- Les souspirs amoureux
- Les souspirs amoureux, P., Jouan, 1583 (voir, Beroalde de Verville présenté par V.L. Saulnier, Anthologie poétique, P., 1945) :
Les Souspirs amoureux de François Beroalde de Verville, 1606
Les Souspirs amoureux de François Beroalde de Verville 1589
- Dialogue de la vertu, P., Jouan, 1584
- L’idee de la republique, P., Jouan, 1584. Deux trad. publiées sans nom d'auteur ont été attribuées à Béroalde : Juste Lipse, Les deux livres de la constance, Tours, Mettayer, 1592 ; et Montemayor, La Diane, Tours, Claude de Monteceil et J. Richer, 1592 (Béroalde aurait traduit les vers des II' et III' parties de Perez et Gil Polo)
- De l'ame et de ses excellences, Tours, Mettayer, 1593 (avec une réimpr. de La Muse celeste)
- De la sagesse, livre premier auquel il est traicté du Moyen de parvenir au parfaict estat de bien vivre, Tours, Mettayer, 1593
- Amours de Minerve en faveur de la belle Doristée, recueil de sonnets publié avec Les Avantures de Floride, histoire françoise, Tours, Mettayer et Drobet, 1593
- Seconde partie des Avantures de Floride, Tours, Drobet, et Rouen, Mallard et R. Du Petit Val, 1594
- Troisieme partie des Avantures de Floride, Tours, Mettayer, et Rouen, R. Du Petit Val, 1594
- Quatriesme partie des Avantures de Floride qui est L'infante determinée', Tours, Molin et Guillemot, 1596
- Le Cabinet de Minerve, Tours, Molin et Guillemot), 1596 (rééd. Rouen, Reinsart, 1601, comme cinquième partie du précédent)
- Le Restablissement de Troye, Tours, Molin, 1597 (édité en même temp-Sous le titre Les Amours d '2Esionne, P., M. Guillemot, 1597)
- Les Tenebres qui sont les Lamentations de Jeremie, P., Guillemot, 1599
- La Pucelle d'Orleans, restituee par l'industrie de Beroalde, sieur de Verville, Tours, Molin, 1599 et, même impression avec frontispice différent, P., Guillemot
- L'histoire des vers qui filent la soie. En cette serodokimasie ou recherches de ces vers est disours de leur naturel..., Tours, Sifleau, 1600
- L'histoire d'Herodias tiree des monumens de l'antiquité, Tours, Molin, 1600 ; trad. de F. Colonna, Tableau des riches inventions couvertes du voile des feintes amoureuses qui sont representees dans le songe de Poliphile, P., Guillemot, 1600 (contient aussi le Recueil steganographique...)
L’Histoire veritable ou le Voyage des Princes Fortunez P. Chevalier, 1610
- Le Moyen de parvenir :
tome 1,
tome 2, œuvre contenant la raison de tout ce qui a esté, est et sera, s.l.n.d. (vers 1617) ; publ. sans nom d'auteur jusqu'à l'éd. de La Monnoye, 1757 ; éd. Jacob [P. Lacroix], P., 1841 ; éd. Royer, P., 1896, 2 vol. ; P., 1911 ; un ms nouveau du Moyen de parvenir a été signalé (RHLF, 1924, p. 141) ; deux éd. récentes : Le Moyen de parvenir en deux vol. : 1) fac-similé de l'exemplaire de Marseille BM rés. 80 665, considéré comme la plus ancienne des éd. connues à ce jour ; 2) transcription avec présentation, notes et index par. H. Moreau et A. Toumon, Aix-en Provence, 1984, et Le Moyen de parvenir, éd. établie, présentée et annotée par I. Zinguer, Nice, 1985. Gallica : tome 1, tome 2.
Traductions
- Le tableau des riches inventions : couvertes du voile des feintes amoureuses, qui sont représentées dans le Songe de Poliphile : desvoilées des ombres du songe et subtilement exposées, traduction du Songe de Poliphile par Béroalde de Verville (Gallica ou Les Bibliothèques virtuelles humanistes), 1600
Poèmes
Le Mai
« Quand vous considérez en cette claire glace »
« Un jour reconnaissant que je suis incapable »
Voir aussi
Revue des Romans par Eusèbe G*****, analyse raisonnée des principaux romans. (1839)