Correspondance 1812-1876, 6/1871/DCCLXXXVII
Apparence
DCCLXXXVII
À GUSTAVE FLAUBERT, À CROISSET
Nohant, 4 février 1871.
Tu ne reçois donc pas mes lettres ? Écris-moi, je t’en prie, un seul mot : Je me porte bien. Nous sommes si inquiets !
À Paris, ils vont tous bien.
Nous t’embrassons.