Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 2/0297

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Louis Conard (Volume 2p. 333).

297. À LOUISE COLET.
Midi.

Reçois toutes les félicitations pour l’héritage. J’en suis bien content. Surtout, quand tu auras reçu l’argent, ne t’avise pas de payer tes dettes et ne dis la chose à personne.

Ci-joint la Revue et un mot de Bouilhet que je garde depuis cinq ou six jours ! Il était inclus dans une lettre adressée à moi et j’oubliais toujours de le prendre.

Je n’irai pas dîner à 6 heures parce que je dîne chez le charmant beau-frère. J’ai accepté hier au soir. Il faut en passer par là. Ce n’est pas pour mon plaisir. Mais à 8 heures je serai chez toi.

Adieu, je t’embrasse.