Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0889
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889. À SAINTE-BEUVE.
Croisset, dimanche [début janvier 1867].
Mon cher Maître,
La Princesse m’écrit que vous êtes souffrant depuis longtemps déjà. Qu’avez-vous donc ? Ne faites pas la bêtise de devenir gravement malade. Soignez-vous. Reposez-vous ! et ayez l’obligeance de me donner de vos nouvelles.
Si vous ne pouvez m’écrire, je me recommande à M. Troubat.
En vous la souhaitant « bonne et heureuse » je vous embrasse, cher maître.