Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 7/1579
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1579. À MADAME MAURICE SAND.
[Paris], samedi matin, 3 juin [1876].
Chère Madame,
Votre billet de ce matin me rassure un peu. Mais celui d’hier m’avait bouleversé. Je vous prie de me donner des nouvelles très fréquentes de votre chère belle-mère. Embrassez-la pour moi, et croyez bien que je suis
Votre tout dévoué.
À partir du milieu de la semaine prochaine, vers mercredi ou jeudi, je serai à Croisset.