Correspondance de Voltaire/1722/Lettre 64
Apparence
64. — À M. THIERIOT[1],
chez m. hérault, au bout du quai des orfèvres, vis-à-vis le cheval de bronze.
À Marimont[2], ce 27…
Chemin faisant, mon cher ami, je vous remercie de vos soins, de vos réflexions, et surtout de votre tendre amitié. Je serai samedi à Paris. Je me flatte de souper avec vous. Souvenez-vous, je vous en prie, que je vous ai prié de vous informer si on était à Saint-Firmin. Si Gaudin m’achète un cheval, j’ai une selle. J’ai peur d’arriver avec une selle sans trouver de cheval. Je ferai comme Chapelle, qui prenait des bottes pour aller par le coche.