Correspondance de Voltaire/1722/Lettre 73
Correspondance de Voltaire/1722
73. — À M. THIERIOT[1].
Si vous avez été hier chez M. de Pouilly[2], je crains que vous n’ayez pu le voir ; il sort toujours après diner, et se fait celer le matin. Je vous supplie d’y aller aujourd’hui, et de vous informer de notre pauvre Gaudin ; il faut absolument que vous entriez chez lui, quand on vous dirait qu’il n’y est pas. Vous devriez bien venir ici auparavant consoler un peu votre malade.