Correspondance de Voltaire/1726/Lettre 161
Correspondance de Voltaire/1726
161. — À M. THIERIOT.
Ce mardi, 1726.
On doit me conduire demain, ou après-demain, de la Bastille à Calais. Je vous attends, mon cher Thieriot, avec impatience. Venez au plus tôt. C’est peut-être la dernière fois de ma vie que nous nous verrons.