Correspondance de Voltaire/1732/Lettre 299
Apparence
Correspondance de Voltaire/1732
299. — Á M. DE MONCRIF[1].
M. Rouillé a dû vous envoyer, mon cher ami, une certaine Zaïre. Je vous supplie d’en dire au plus vite votre sentiment. Ayez la bonté de bien assurer Son Altesse sérénissime que, si je ne souffrais pas comme un damné, presque tous les matins je serais à son lever. Adieu, venez donc souper chez nous, aimable Moncrif.
- ↑ Éditeurs, de Cayrol et François.