Correspondance de Voltaire/1739/Lettre 1056

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Correspondance de Voltaire/1739
Correspondance : année 1739GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 35 (p. 156).

1056. — À M. THIERIOT[1].
À Cirey, le 5…

Je puis vous envoyer faire… aussi, car je vous aime plus que vous ne m’aimez, et j’ai la fièvre aussi serré que vous.

Une autre fois je vous parlerai d’affaires. En attendant, je vous prie de ne pas perdre un moment pour envoyer à l’abbé d’Olivet, rue de la Sourdière, et le gros paquet, et mon mémoire : cela m’est d’une très-grande conséquence.

Prenez du quinquina pour vous et de la fermeté pour ce qui me regarde, et tout ira bien.

  1. Éditeurs, Bavoux et François. — Ce billet, qu’ils ont daté du 5… 1738, appartient à l’année 1739, et peut-être faut-il lire 3 au lieu de 5. (G. A.)