Correspondance de Voltaire/1739/Lettre 1059

Correspondance de Voltaire/1739

Correspondance : année 1739, Garnier, 1880, Œuvres complètes de Voltaire, tome 35 (p. 158).

collectionCorrespondance de Voltaire/1739VoltaireGarnier1880ParisVŒuvres complètes de Voltaire, tome 35Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome35.djvuVoltaire - Œuvres complètes Garnier tome35.djvu/9158

1059. — À M. D’**^[1].

En marge d’une copie de l’Épitre sur la Nature du Plaisir :

Février 1739.

Ne croyez pas, monsieur, que tout ceci m’empêche de travailler, et, puisque vous aimez mes vers, voici une nouvelle épître, mais qui n’est que pour vous et pour vos amis intimes. Une seule copie en serait dangereuse. Cette épître est un sermon du Père Voltaire pour un petit troupeau choisi, à la tête duquel vous êtes.

↑ Cette pièce nous a été communiquée par M. Le Serurier, conseiller à la Cour de cassation. Nous n’aurions pas publié ce fragment, s’il ne prouvait une fois de plus la prudence discrète avec laquelle Voltaire répandait ses écrits philosophiques. (H. B.)

[1] Cette pièce nous a été communiquée par M. Le Serurier, conseiller à la Cour de cassation. Nous n’aurions pas publié ce fragment, s’il ne prouvait une fois de plus la prudence discrète avec laquelle Voltaire répandait ses écrits philosophiques. (H. B.)

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