Correspondance de Voltaire/1739/Lettre 1203

La bibliothèque libre.
Correspondance de Voltaire/1739
Correspondance : année 1739GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 35 (p. 334).

1203. — À M.***[1].
Paris, 20 septembre 1739.

Malgré votre prodigieuse indifférence, Mme  la duchesse de Richelieu vous prie à souper aujourd’hui samedi. Seriez-vous assez malheureux pour n’être point à Paris ? Pour moi, je le suis fort de n’avoir pu vous faire ma cour. C’était bien la peine de quitter Bruxelles ! V.

  1. Éditeurs, Bavoux et François