Correspondance de Voltaire/1739/Lettre 1203
Correspondance de Voltaire/1739
1203. — À M.***[1].
Paris, 20 septembre 1739.
Malgré votre prodigieuse indifférence, Mme la duchesse de Richelieu vous prie à souper aujourd’hui samedi. Seriez-vous assez malheureux pour n’être point à Paris ? Pour moi, je le suis fort de n’avoir pu vous faire ma cour. C’était bien la peine de quitter Bruxelles ! V.
- ↑ Éditeurs, Bavoux et François