Correspondance de Voltaire/1740/Lettre 1356

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Correspondance de Voltaire/1740
Correspondance : année 1740GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 35 (p. 522).

1356. — À M. THIERIOT[1].
À la Haye, ce 9 octobre 1740.

Voici de la graine des Périclès et des Lélius : c’est un jeune républicain d’une famille distinguée dans sa patrie, et qui lui fera honneur par lui-même. Il désire de voir à Paris des hommes et des livres : vous pouvez lui procurer ce qu’il y a de mieux dans ces deux espèces.

Scribe lui gregis hunc, et fortem crede bonumque.

( Hor., lib. I, ep. ix.)

Je vous embrasse.

Voltaire.

  1. Editeurs, Bavoux et François.