Correspondance de Voltaire/1740/Lettre 1382
Apparence
Correspondance de Voltaire/1740
1382. — À M. DE MAUPERTUIS.
Potsdam, décembre.
Mon cher hibou de philosophe errant, venez donc dîner aujourd’hui chez M. de Valori, et, s’il dîne chez M. de Beauvau, nous mangerons chez M. de Beauvau. Il faut que j’embrasse mon philosophe avant que de prendre congé de la respectable, singulière et aimable p…[1] qui arrive.
- ↑ Le roi de Prusse, que Voltaire appelle plus poliment coquette, dans des stances datées du 2 décembre 1740, tome VIII.