Correspondance de Voltaire/1745/Lettre 1690

Correspondance de Voltaire/1745

Correspondance : année 1745, Garnier, Œuvres complètes de Voltaire, tome 36 (p. 334).

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1690. — À M. THIERIOT^[1].

Je vous renvoie la prose de M. le maréchal de Schmettau ; mais je n’ose encore y ajouter mes vers. Je deviens plus difficile de jour en jour sur mes faibles ouvrages, et le divertissement du mariage de monsieur le dauphin^[2] me prend toute ma pauvre âme, dont l’étui est plus malade que jamais au moment que je vous écris. Ah ! mon ancien ami, une bonne digestion vaut mieux que de bons vers.

↑ Les éditeurs de cette lettre, MM. de Cayrol et François, l’ont datée du mois de mai ; mais elle doit être du commencement de 1745.
↑ La Princesse de Navarre.

[1] Les éditeurs de cette lettre, MM. de Cayrol et François, l’ont datée du mois de mai ; mais elle doit être du commencement de 1745.

[2] La Princesse de Navarre.

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