Correspondance de Voltaire/1752/Lettre 2439
Apparence
Correspondance de Voltaire/1752
Correspondance : année 1752, Texte établi par Condorcet, Garnier, , Œuvres complètes de Voltaire, tome 37 (p. 493-494).
2439. — À M. FORMEY.
Le triste état de ma santé, monsieur, ne m’a pas permis de lire encore le livre[1] que vous m’avez envoyé, et dont je vous remercie.
Je souhaite que le principe mathématique dont il est question serve beaucoup à prouver l’existence d’un Dieu ; mais j’ai peur que ce procès ne ressemble à celui du Lapin et de la Belette[2] qui plaidèrent pour un trou fort obscur.
Mes compliments, s’il vous plaît, à M. de Jariges. Tuussum. V.