Correspondance de Voltaire/1753/Lettre 2588
Apparence
Correspondance de Voltaire/1753
2588. — À MADAME LA MARGRAVE DE BAIREUTH[1].
À Francfort, 29 (lisez 21) juin.
Je prends la liberté de supplier instamment Son Altesse royale de daigner seulement faire parvenir à sa Majesté cette requête[2]. Nous n’avons d’espérance que dans sa protection. L’état cruel où je suis est mon excuse si je ne peux écrire que ce peu de lignes trempées de mes larmes.
Je me mets à vos pieds.
Voltaire.
- ↑ Revue française. 1er mars 1866 ; tome XIII, page 348.
- ↑ Probablement la lettre 2589.