Correspondance de Voltaire/1758/Lettre 3655
Apparence
Correspondance de Voltaire/1758
3655. — À M. HENNIN[1].
Septembre.
Je supplie instamment M. Hennin de vouloir bien excuser un malade s’il n’a pas l’honneur d’aller le voir, et je le supplie de ne pas oublier l’homme du monde qui a été le plus tôt et le plus sensible à son mérite. Je me flatte qu’avant d’aller sur la tombe du pauvre Patu il n’oubliera pas le squelette des Délices. V.
- ↑ Pierre-Michel Hennin, né à Magny (Seine-et-Oise) le 30 août 1728, mort à Paris le 5 juillet 1807.