Correspondance de Voltaire/1759/Lettre 3774
Correspondance de Voltaire/1759
3774. — À M. LE DOCTEUR TRONCHIN[1].
10 février.
ordonnance.[2]
M. Tronchin, mon malade, ira chez lui dans un carrosse bien fermé ; il fera bassiner son lit en arrivant, et prendra des vulnéraires infusés dans de l’eau bouillante, une tasse ou deux ; excitera une transpiration douce et égale, prendra un bouillon de veau et de poulet quand il sentira un peu de faim, et pourra prendre un peu de quinquina avant son premier repas.
Voltaire, son ancien.