Correspondance de Voltaire/1763/Lettre 5367

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Correspondance : année 1763GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 42 (p. 538-539).
5367. — À M.  DAMILAVILLE.
10 auguste.

Mon cher frère, si vous avez du loisir, jetez un coup d’œil sur tout ce que je vous envoie, et daignez le faire dépêcher à son adresse. Je trouve cette façon plus sûre.

Je vois, Dieu soit loué ! que le paquet où était la lettre de change n’a point été perdu. On a eu plus de pitié de nous que je ne croyais.

Si vous pouvez m’envoyer cette lettre de Jean-Jacques[1] qui fait tant de bruit, je vous aurai une extrême obligation.

Je compte que vous recevrez incessamment des mémoires concernant nos vingtièmes.

Buvez à ma santé avec frère Platon, et écr. l’inf…

  1. Voyez la note 2, page 536.