Correspondance de Voltaire/1766/Lettre 6237
Apparence
6237. — À M. HENNIN[1].
Samedi au soir.
Vous n’aurez point M. d’Argental ; il ne veut point venir, monsieur, et je suis au désespoir ; vous auriez eu en lui un ami et un collègue. Quand vous pourrez venir coucher à Ferney, vous me consolerez ; en vérité, j’ai besoin de consolation. V.
- ↑ Correspondance inédite de Voltaire avec P. -M. Hennin. 1825.