Correspondance de Voltaire/1768/Lettre 7238
Apparence
7238. — À M. LE CURÉ DE FERNEY[1].
Je prie monsieur le curé d’avertir les paroissiens qu’on s’est plaint au parlement de Dijon des indécences et des excès qui se commettent quelquefois dans les cabarets à Ferney.
Les remontrances de monsieur le curé mettront fin à ces plaintes ; il inspirera le respect pour la religion et pour les mœurs.
Voltaire.
- ↑ Il s’appelait Gros.