Correspondance de Voltaire/1770/Lettre 7834
7834. — À M. SAURIN[1].
21 mars.
Mon cher confrère, vous voyez par ma réponse combien je mérite peu que Mme Saurin veuille bien baiser ma barbe[2]. Si on pend Grizel, je vous prie d’obtenir qu’on me nomme pour son confesseur. Vous verrez avec quelle sainteté je m’acquitterai de cette douce commission. Votre invariable partisan et ami.
Frère François V.