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Correspondance de Voltaire/1770/Lettre 8150

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Correspondance : année 1770GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 47 (p. 306).
8150. — À M. CHRISTIN[1].
28 décembre.

Je vous remercie, mon philosophe, des Taxes en cour de Rome autant que des gelinottes. Vous me ferez grand plaisir de me prêter ce livre de M. Le Pelletier[2] ; je vous le renverrai après en avoir fait mon profit.

J’écris à M. Philippon ; je présenterai ma requête pour votre curé, au nom de son père ; mais il me paraît essentiel de savoir préalablement de quoi on accuse ce pauvre prêtre.

Bonsoir, mon cher philosophe.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.
  2. Voyez, tome XVIII, dans le Dictionnaire philosophique, l’article Droit canonique, Section vii.