Correspondance de Voltaire/1770/Lettre 8150
8150. — À M. CHRISTIN[1].
28 décembre.
Je vous remercie, mon philosophe, des Taxes en cour de Rome autant que des gelinottes. Vous me ferez grand plaisir de me prêter ce livre de M. Le Pelletier[2] ; je vous le renverrai après en avoir fait mon profit.
J’écris à M. Philippon ; je présenterai ma requête pour votre curé, au nom de son père ; mais il me paraît essentiel de savoir préalablement de quoi on accuse ce pauvre prêtre.
Bonsoir, mon cher philosophe.