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Correspondance de Voltaire/1771/Lettre 8361

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Correspondance : année 1771GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 47 (p. 504).
8361. — À M. TABAREAU[1].
9 septembre.

Vous avez donc chez vous des suicides et des parricides, tandis que vous m’envoyez d’excellents melons : c’est l’image du monde ; des plaisirs à droite, des horreurs à gauche.

Les parlements vont donc défiler paisiblement[2].

Voici une petite boîte de ma colonie, qui se met sous votre protection.

J’embrasse tendrement M. Tabareau et M. Vasselier.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.
  2. On supprimait les parlements de province ligués avec celui de Paris.