Correspondance de Voltaire/1771/Lettre 8361
8361. — À M. TABAREAU[1].
9 septembre.
Vous avez donc chez vous des suicides et des parricides, tandis que vous m’envoyez d’excellents melons : c’est l’image du monde ; des plaisirs à droite, des horreurs à gauche.
Les parlements vont donc défiler paisiblement[2].
Voici une petite boîte de ma colonie, qui se met sous votre protection.
J’embrasse tendrement M. Tabareau et M. Vasselier.