Dictionnaire de théologie catholique/MACAIRE CHRYSOKÉPHALOS
4 MACAIRE CHRYSOKÉPHALOS, ser“monnalre ct exégète grec. — Sur l'époque où Il a &u let critiques ont été longtemps partagés. Caves
script. eccl., p.12, hésite à l’identitier avre Macaire
Philadelphie, dont parle Cantacuzène, Histor., die xxx vii, comme d’un des trois candidats en j’au trône patrinrcal de Constantinople. Jean Mill, S les prolégomènes à son édition du Nouveau Tesfeat, Oxford, 1707, en fnit un écrivain de 995, en se nant d’un des mss. d’Oxford, qui contient une artie des œuvres de Macnire. Mais Ussérius, dans sa ace aux Lettres de S. Ignace, c. Xvm, a prouvé, À ide de ce même ms. d' Oxford, que là où Mill a lu Milfautlire 1315. Oudin, Script. ecel., t. mt, p. GO6place Macnire aux environs de l’an 12, et AI : De Symeonum seriptis, lui assigne comme dates es les années 1200 ct 1320. Le Quien, Oriens ffanus, t. 1, p. 872, 873, se refuse, tout comme à identifier Mncnire l'écrivain avec le prélat Hom qui occupa le siège de Philadelphie au Miele sit dédouble à ce point les deux personnages Va jusqu'à distinguer deux Macaires, tous deux epolitains de Philadelphie : le premier, d’après erait l’auteur de l’homélie sur la croix, publiée > Gretser, tandis qu’au second appartiendrait, fes/autres discours conservés sous le nom de fre le nom de Chrysoképhalos, et ce Chrysoké65, toujours d’après Le Quien, serait un conteminde Manuel Il Paléologue, puisque l’on a de une épigramme sur l’oraison funèbre composée par érial écrivain à l’occasion de la mort de son Théodore en 1407. Le Quien appuie son hypoSur le témoignage d’Allatius qui mentionne e épigramme dans ses Erercilationes in Roberti Yyghtoni apparatum ad historiam concilii Florentini, Rome, 1665, p. 684. Mais Allatius attribue l'épifamme en question, non à Macaire, maïs à Matthieu képhalos, et l’on n’est pas peu surpris de voir ien commettre de pareilles distractions. Fabri“élus parle à deux reprises de notre auteur dans sa “Hibliotheca græca, t. vii, p. 767-774.ctt. x. p. 497, 498 « its, t. viii, p. 675-683, t. x, p. 759, L. x, D. 595“597. La première fois, il se demande s’il s’agit d’un teur du xive siècle ; mais, la seconde fois, il devient plus affirmatif, et. il n’hésite pas à identifier le Macaire écrivain avec le prélat de ce nom dont il est question “dans les actes du synode palamiste de 1351 et dans histoire de Cantacuzène. Villoison, Anecdola græca, Venise, 1781, L. ii, p. 7-9, partage le sentiment de ‘Fabricius. Tel est aussi l’avis de A. Ehrhard et de MKrümbacher, Gesch. der byrant. Lil, Munich, 1597, p. 212 et 6US. Seulement Krumbacher a Lort “de faire de Chrysoképhalos un sobriquet qui aurait été donné à Macaire pour avoir recueilli dans ses “Chatnes les Xpuaï 7epDaux des Pères. Fabricius, qui “avait d’abord émis la même idée, se rétracte plus loin Noit avec raison dans le nom de Chrysoképhalos le jatronymique de Macaire. Estil possible d’arriver à plus de précision sur “l'époque où vécut notre auteur ? On reste réveur, uand on songe que la solution de ce petit problème de chronologie se trouve écrite en toutes lettres dans fe ms. d’Oxford dont tant de critiques se sont réclaIlest vrai que la lecture de ces lignes exige quelpe attention. Le Baroccianus 156 contient à la marge ipérieure du ꝟ. 3 une note dont une partie a été emiportée par une déchirure et que Coxe, Catalogi codiCum manuseriptorum bibliothecæ Bodleianæ, pars l, Exorn b nd 4. YOM0
azoe unrooro)lr
Rondeme. Éroc.… évov renoxpñnara Es.
Cette transcription nous ayant paru sujette à cau
“Lion, nous avons demandé la photographie de la page
MACAIRE CHRYSOR
1446
PHALOS
contenant la note en question, et Voici ce que, sans FU doute possible, nous y avons lu : + Exourh0n à avoreroeumrpomoirre DuaxBengeruc Maxipioc… Yotorou, dppepzreboa xpévons T : a0x4%0v &. En d’autres termes, Mæalre de Philadelphie est mort au mois d’août, après un épiscopal « le quarante Six ans. Au mois d’août de quelle année ? En consultant les Aca partriarchatus Constantinopolitani publiés par Miklosich et Müller, L. 11, p. 45, on constate qu’en novembre 1382 eut lieu ln nomination d’un nouveau titulaire au siège vacant de Philadelphie. On ne donne pas, il est vrai, le nom du prélal défunt ; mais si l’on songe au long épiscopat de Macaire, l'élection de novembre 1392 ne peut concerner que son successeur immédiat, et sa mort à lui doit avoir eu lieu au mois d’août de Ia même année, car on n’avait Pas Y’habitude à Byzance de laisser longtemps sans titulaire les sièges de quelque importance. Une chose certaine, c’est que Macaire, au témoignage d’un de ses diocésains, vivait encore à la fin d’octobre 1372. Voir la note tu fol, 2Il ve du cod. 9des Conventi soppressi de Florence, dans Studi italiani di filologia classic, t. 1, p- 152 Théolepte occupait encore en 1321 le siège de Philadelphie, au dire de Cantæuzène, His. t. I, €. xiv et xIX. Il a dû mourir peu de temps avant l'élection au siège d'Éphèse de Matthieu qui écrivit son éloge funèbre, car cette pièce occupe dans le ms. autographe de Matthieu une place toute proche des morceaux relatifs au début de son épiscopat, et ce début, selon toute vraisemblance, doit être placé en 1329. Entre Théolepte et Macaire, le siège de Phila= delphie sera resté vacant ou aura été ceupé par un prélat dont nous ignorons le nom. Quoi qu’il en soit £'est en 1336 que Macaire aura été élevé, suivant Ia note du ms. d’Oxford, sur le siège de Philadelphie. Ceci posé, nous sommes pleinement autorisés à identifier avec notre auteur le Michel Chrysoképhalos qui écrivit en 1327 le ms. dont le Marcianus 83 est une copie. Voir Zanelti, Græca D. Marci bibliotheca codicum mss., Venise, 1740, p. 60, et Morelli, Bibliotheca manuseripta græca et latina, Bassano, 1802, p. 74 : On sait, en effet, que les Grecs ont l’habitude, en entrant dans les ordres sacrés ou en faisant profession religieuse, de changer de nom, mais en gardant Ia première lettre de leur ancienne appellation. Il es one naturel de penser que le Michel Chrysoképhalos de 1327 sera devenu d’abord le hiéramoine Macaire, puis le métropolite Macaire de Philadelphie : Nous pouvons done placer aux environs de l’an 1300 la naissance de notre auteur. Élu au siège de Philadelphie en 1336, il figure comme Lel au synode Lenu en juillet et août 1341 contre Barlaam, au synode de Septembre 1346 et à celui de février 1347 contre le patriarche Calécas, au synode d’août 1317 contre Matthieu d'Éphèse, au synode de 1351 contre les Partisans de Barlaam, au synode de 1351 pour l'élection patriareale, et il meurt au mois d’août 1382. À une date que nous ignorons, probablement entre 1347 et 1350, il avait été nommé par l’empereur à la haute fonction de xx007uxdç xp : Ths de l’empire. tant encore que hiéromoine, il compila la “PoSovia où Roseraie. C’est un recueil de proverbes, de maximes, d’extraits tirés de Synésius, Dion Chrysostome, Plutarque, Aristide, Hérodien, Lucien, Libanius, Photius, Choricius, SLobée, Joseph, Élien, Eusèbe, Nicéphore Chournos, du patri de Grégoire de Chypre, de Constant Georges Pachymère, pour ne point nommer les grands auteurs classiques. Conservé dans le Marcianus 452, cet intéressant recueil a élé longuement et parfaitement analysé par Villoison, Anecdola græca, Venise, 1781, tn, p. 4-79. Une série de proverbes, disposés par ordre alphabétique, est incorporée à l’ouvrage ; ectle
partie a été publiée par Schncidewin et Leutsch, Corpus parœmiographicorum Grœcorum, t.n, p. 135-227. — Comme orateur sacré, Macaire nous a laissé un recueil de quatorze discours ; ils ont été publiés dans un recueil d’une extrême rareté et presque inconnu en Occident. Aussi croyons-nous utile d’en donner, avec le titre, une description sommaire : Aôyo'. 7tav7)Y u pixol tS' toû 7raviepwTtxTou ùpyiemesx.6nov OiXaSeXepetaç xal 710t(Ji.evàp/ou rcâaYjç AoSlaç, xaG’jXixoû xpiTOÛ tcôv 'Pwfxaîwv, xupoû Maxaplou toû XpuaoxecpàXou, vûv TtpôiTov Turcoit ; IxSoGÉVTeç, àvaXa>u.aat. toû GeocpiXecTOtTOU xai èXXoYi ».toTâTou l7T'.ax67rou 'HXiou716Xecoç xal QuaTelpwv xal eÙTcaTptSou tîjç [zeYaXo7r6Xea)ç ©eaaaXovîxïjç xuptou AeovtIou eîç (xvY)u.6auvov tôïv êauTOÛ YevvT, T6pciV. 'Ev Koap-OTCÔXei. In-4° de 1 pi., 4 f., 469 p. et 1 f. La ville de Cosmopolis désigne ici la capitale de l’Autriche où le volume a été imprimé en 1793 ou 1794 par les soins d’Atlianase de Paros. Le volume contient : p. 1-33, discours sur l’Exaltation de la sainte Croix ; p. 34-58, sur les neufs chœurs des anges et sur l’arcliange Michel ; p. 59-89, sur les archanges Michel et Gabriel ; p. 90-107, sur l’Hypapante ; p. 108-134, sur la fête de l’Orthodoxie, avec une lacune considérable après l’exorde ; p. 135-163, sur l’Adoration de la croix au IIIe dimanche de Carême ; p. 164-184, sur la fête des Rameaux ; p. 185-211, sur la Résurrection du Christ ; p. 212-246, sur les saintes femmes Myrophores et Joseph d’Arimathie ; p. 247-275, sur l’Ascension ; p. 276-297, sur S. Jean l'Évangéliste ; p. 298-315, sur la Nativité de S. Jean-Baptiste ; p. 316-345, sur la Transfiguration ; p. 346-379, sur la Décollation de S. Jean-Baptiste. Le reste du volume ne contient plus rien de Macaire. L'édition a été faite à l’aide d’un ms. de Patmos aujourd’hui perdu, l'éditeur, à qui on l’avait prêté pour son travail, ne l’ayant pas restitué. De tous ces discours, un seul se trouve dans Migne, P. G., t. cl, col. 1173-1232, celui sur l’Exaltation de la Croix d’après l'édition de Gretser, De Cruce Christi, Ingolstadt, 1600, t. ii, p. 210-264, et Opéra omnia, Ratisbonne, 1734, t. ii, p. 149-183. Le texte de Gretser, publié à l’aide de l’actuel Monacensis 271, ꝟ. 71 v°-86, est tronqué de la fin, et ce détail nous permet d’affirmer que le ms. de Munich a été copié sur l’actuel Ambrosianus 1033 (H 23 inf.), qui présente la même particularité. Dans tous les autres mss. du recueil, le sermon sur la Croix occupe la dernière place. Ainsi en est-il dans Y Alhous 1563, Y Ottobonianus 132, le Vaticanus 1597 et le Coislinianus 106. Allatius a donné les titres et les incipit d’après le Vaticanus 1597, qui appartenait autrefois au Collège grec de Rome, dans ses Exercitationes in Robert i Creyghtoni apparatum ad historiam concilii Florenlini, Rome, 1665, p. 681, 682, et dans sa dissertation de Symeonum scriplis reproduite en grande partie dans P. G., t. exiv, col. 77128.
Si brillants que soient les discours de Macaire, c’est surtout comme exégète qu’il s’est fait un nom dans la littérature sacrée. Il composa trois Chaînes considérables, l’une sur la Genèse, l’autre sur saint Matthieu, et la troisième sur saint Luc. On n’a point retrouvé jusqu’ici de ms. contenant la Chaîne sur la Genèse, mais on sait par l’auteur lui-même qu’elle comprenait deux parties, intitulées respectivement Cosmogonies et Patriarches. La Chaîne sur saint Matthieu comprenait trois tomes ou livres, divisés chacun en vingt parties ou X6yoi, soit soixante X6yoi en tout. De cette énorme compilation, la préface seule a été publiée par J. Chr.Wolf, De catenis græcorum Patrum, p. 24, et reproduite par Fabricius, Bibliotheca grseca, t. viii, p. 677, et par P. G., t. cl, col. 240. Mais on possède en ms. deux tomes ou livres : le premier est contenu dans le Baroccianus 156, d’où nous avons tiré la note ci dessus reproduite sur la mort de Macaire. C’est évidemment l’original, ayant été écrit, non en 1345, comme le répètent après le rédacteur du Catalogue tous les critiques jusqu'à A. Bhrhard, op. cit., p. 216, mais en 1344. Le second livre est contenu dans le Patmiacus 381 de l’an 1349 : c’est encore l’original exactement semblable au précédent pour le format, la beauté de l'écriture et la disposition. Voir Sakkélion, IlaTpttax’J] Bt6XiofWjx7), Athènes, 1890, p. 175, et Robinson, The classiral Reoiew, 1887, p. 281. Les Ottoboniani 100, 133, 134 et le Paris. Suppl. gr..?*, M-36, ne contiennent que des fragments de cette Chaîne, dont il reste à retrouver le troisième livre. Dans sa Chaîne sur saint Luc, Macaire s’est contenté de traiter les sujets propres à cet évangéliste qui ne se retrouvent pas dans saint Matthieu. Aussi est-elle, comparée aux autres, relativement courte Elle comprend vingtquatre traités, et comme la première lettre de chacun d’eux suit l’ordre de l’alphabet, Macaire a appelé cette Chaînele Grand Alphabet, MeyÔLkr, 'AXçâêr/roç, d’autant plus, ajoute-t-il, que le Christ, dont il y est sans cesse question, est Yalpha et Yoméga. Cette compilation s’est conservée à peu près complète dans les mss. suivants : Vaticanus 1437, Baroccianus 211, Taurinensis 101, Sinaiticus 314. Allatius, dans ses Exercitationes contre Creighton, p. 682-684, en a publié la préface en grande partie, et c’est son édition qui est reproduite par Fabricius et par Migne, loc. cil. On trouve cette même préface au complet dans Pasini, Catalogus codicum manuscriptorum Alhenœi Taurinensis, t. i, p. 188. Avec les premiers écrivains ecclésiastiques et les grands docteurs des ive et ve siècles, Macaire y cite quelques auteurs des âges postérieurs jusqu'à Théophylacte. C’est le système qu’il avait suivi dans son œuvre de jeunesse, la 'PoScoviâ. Il faudrait, pour l’apprécier à sa juste valeur, publier intégralement le recueil, ou tout au moins l’analyser, comme Villoison l’a fait pour la Rhodonia. Goar, dans son EùxoX6yiov sive Rituale Grœcorum, Paris, 1647, p. 817-819, a publié une prière de notre auteur contre les incursions des barbares, que Migne a reproduite, t. cit., col. 237-240. Le sujet était certes de circonstance, car si, du vivant de Macaire, Philadelphie fut épargnée et demeura comme un îlot hellénique au milieu de pays entièrement occupés par les Turcs Seldjoucides, son tour allait venir, et en 1391 le sultan Bajazet éleva sa mosquée d’Andrinople avec les marbres apportés de Philadelphie. Mais plus heureuse que Sardes, son ancienne métropole, elle devint sous le nom de Alaschéir la capitale d’une nouvelle province turque.
Allatius, dans ses Exercitationes contre Creyghton, déjà citées, p. 680, assure avoir lii, quand il était à Chio, une Expositio in canones apostolorum et conciliorum composée par notre auteur. Les affirmations d’Allatius, dont la mémoire était admirable, méritent assurément créance. Nous n’avons pas toutefois retrouvé cet ouvrage dans les mss., à moins qu’il ne faille identifier avec notre métropolitain de Philadelphie le hiéromoine Macaire dont on possède, en effet, un abrégé du Syntagma de Blastarès, dont nous dirons un mot ailleurs. Voir Macaire hiéromoine, col. 1455. Mais si l’on se souvient que Blastarès écrivit son manuel vers 1335, on aura de la peine à croire que Macaire ait pris la peine d’en faire aussitôt un résumé. Le cardinal Pitra, dans son catalogue d’ouvrages canoniques à publier, cite à son tour, Juris ecclesiastici Grœcorum historia et monumenta, Rome, 1864, t. i, p. xviii, YExpositio cananum de Macaire Chrysoképhalos ; mais les infidélités de cet éditeur sont trop nombreuses pour que l’on puisse le croire sur parole. Peut-être aura-t-il simplement emprunté ce titre à 1%9 MACAIRE CHRY
AAllatius. Celui-ci, qui cite un chapitre du manuel du hiéromoine Macuire, De Symeonum scriptis, p.35, P. G., &. cxiv. col. 30, ne l’identifle nullement avec Chryso—… képhalos. 1 avait donc lu autre chose.
Allatius, op. cit. p. 684, mentionne encore un petit traité d’un Chrysoképhalos qu’il n’attribue pas, du moins formellement à notre auteur. En voiei l’intitulé :
Hepl roù pou 775 hs Los : Éorw pos, À main dar. Ine. OÙ vérovres Ent Éxéozw dMpuro à pére Gptorat. Cel opuscule se trouve sans nom Ai duns le Phulippieus 1565, {° 179, et dans le
15, ꝟ. 10. Dans ce dernier ms., celui sans Vu Alatius, on lit en marge
côté
- woù Novaoxepzhov, c’est-à-dire fraité de
mhalos. Les éditeurs du récent c : Évdices Vaticant yræci, Rome, 1 a foutent que ce Chrysoképhalos est notre) renvolent à Fr. Boll, Griechische Kalender. I]. Der Ratender d. Quintitier, p. 3. Nous n’avons pas de motif lérévoquer en doute cette attribution, mais nous vouns connaitre les arguments présentés en sa faveur. Sigrialons une derniére œuvre dont aucun critique Ha fuit mention, mais que l’on ne saurait récuser itrelle témoignage formel des manuscrits. Il s’agit la Wie de Mélèce le Galésiote, dit le Confesseur, un is plus irréductibles adversaires de l’union avec
héo-grecque dans son Néov’Ex6ytov. in-fol., Venise,
(NUS pe 314-324, 2e édit. Constantinople, 1863, p. 2809. Le texte original se trouve géné ë
des œuvres de Mélétios contre les
+L. Petit.