Dictionnaire général de la langue française de François Raymond/Synonymes

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DICTIONNAIRE DES SYNONYMES
DE LA LANGUE FRANÇAISE
D’APRÈS LES OUVRAGES LES PLUS ESTIMÉS.


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Nota. La synonymie de la langue française fêtant une partie très-étendue, nous ne donnons ici que les acceptions les plus générales pour ne point dépasser les bornes que nous nous sommes imposées dans ce Dictionnaire ; nous renvoyons à l’excellent ouvrage de M. Guizot, intitulé Nouveau Dictionnaire universel des synonymes de la langue française, gros volume in-8o de plus de mille pages.

ABAISSEMENT, BASSESSE. L’abaissement volontaire où l’âme se tient est un acte de vertu, l’abaissement où on la retient est une humiliation passagère qu’on oppose à sa fierté, afin de la réprimer ; mais la bassesse est une disposition ou une action incompatible avec l’honneur, et qui entraîne le mépris : l’abaissement de la fortune, de la condition des hommes, est l’effet d’un événement qui a dégradé du premier état ; la bassesse est le degré le plus bas et le plus éloigné de toute considération : ainsi les mendiants sont au-dessous des esclaves ; car les esclaves ne sont que dans l’abaissement, et les mendiants sont dans la bassesse. L’abaissement du ton le rend moins élevé, moins vif, plus soumis ; la bassesse du style le rend populaire, trivial, ignoble.

ABAISSER, RABAISSER, RAVALER, AVILIR, HuMILIER. Abaisser signifie au propre et au figuré, pousser en bas, mettre plus bas, au-dessous ; diminuer le prix, la valeur, la considération, etc. : son action est modérée. Rabaisser est abaisser davantage ; il s’emploie aussi pour abaisser ce qu’on élève trop : se dit du ton, de l’arrogance, de l’orgueil. Ravaler se dit d’un abaissement profond, de l’action de jeter dans la bassesse un objet qui était dans une certaine élévation. Avilir est abaisser jusqu’à l’état le plus abject, rendre vil, méprisable. Humilier dit proprement abaisser jusqu’à terre ; par extension, rendre honteux, confus. Le grand homme peut être humilié, ravalé, mais non pas avili : sa gloire le suit dans l’humiliation, sa grandeur le relève quand on le ravale, sa vertu le défend de l’avilissement. On est abaissé par la détraction, rabaissé par le mépris, ravalé par la dégradation, avili par l’opprobre. L’homme modeste s’abaisse, le simple se rabaisse, le faible se ravale, le lâche s’avilit, le pénitent s’humilie.

ABANDONNEMENT, ABDICATION, RENONCIATION, DÉMISSION, DÉSISTEMENT. L’abandonnement, l’abdication et la renonciation se font ; le désistement se fait et se donne ; la démission se donne. On abandonne ses biens, on fait abdication de sa dignité, de son pouvoir ; on renonce à ses droits et à ses prétentions ; on se démet de ses charges ; on se désiste de ses poursuites.

ABANDONNER, DÉLAISSER. Nous abandonnons les personnes et les choses dont nous n’avons pas besoin ; nous délaissons les malheureux à qui nous ne donnons aucun secours.

ABANDONNER, QUITTER. On quitte un ouvrage pour se reposer et dans le dessein de le reprendre ; on l’abandonne pour s’en débarrasser, et ordinairement pour n’y plus revenir.

ABATTEMENT, DÉCOURAGEMENT, ACCABLEMENT.

L’abattement, causé par la maladie, le chagrin, etc., a une action momentanée et qui cesse avec la cause du mal ; l’accablement est plus profond, c’est une sorte d’anéantissement qui conduit au découragement, état de langueur et d’inaction absolue où l’on semble renoncer à tout.

ABATTRE, DÉMOLIR, RENVERSER, RUINER, DITRUIRE. Abattre, c’est jeter en bas ; démolir, c’est rompre par morceaux la liaison d’une masse construite ; renverser, c’est coucher par terre ce qui était sur pied ; ruiner, c’est faire tomber par pièces ; détruire, c’est dissiper entièrement l’apparence et l’ordre des choses. On abat une maison, on démolit des palais, on renverse des murailles ; les édifices, les États, la santé se ruinent ; on détruit des villes, des empires.

ABDIQUER, SE DÉMETTRE. Abdiquer ne se dit que des postes considérables, et suppose de plus un abandon volontaire ; se démettre peut s’appliquer aux petites places comme aux grandes, et suppose parfois la contrainte.

ABHORRER, DÉTESTER. On abhorre ce qu’on ne peut souffrir ; on déteste ce qu’on désapprouve et ce que l’on condamne. Le malade abhorre les remèdes ; le malheureux déteste le jour de sa naissance.

ABJECTION, BASSESSE. La bassesse se trouve dans le défaut de vertu, de naissance, de mérite, de fortune ; l’abjection est le fruit de l’inconduite, du libertinage et de l’abrutissement.

ABOLIR, ABROGER. Abolir se dit des coutumes, et abroger, des lois. Le non-usage suffit pour l’abolition ; il faut un acte pour l’abrogation.

ABOMINABLE, DÉTESTABLE, EXÉCRABLE. Ce qui est abominable excite l’aversion, la terreur ; ce qui est détestable, la haine, le soulèvement ; ce qui est exécrable, l’indignation, l’horreur. L’hypocrisie est un vice abominable ; l’avarice est un vice détestable ; le fanatisme barbare est un vice exécrable.


ABRÉGÉ, SOMMAIRE, ~ÉTITOME. L’abrégé est la réduction d’un ouvrage ; le sommaire indique les principales choses contenues dans l’ouvrage ; on le place ordinairement à la tête des chapitres ou divisions ; l’Épitome est plus succinct que l’abrégé.

À L’ABRI, A COUVERT. On se met à couvert du soleil, pour éviter l’éclat de ses rayons ; des regards de l’intrigue, de tout ce qui peut nuire sans toucher ; à l’abri de la pluie, des coups, de tout ce qui peut atteindre.

ABSOLU, IMPÉRIEUX. L’homme impérieux commande avec hauteur, et souffre à peine qu’on lui résiste ; l’homme absolu ordonne avec calme, mais on ne peut lui résister.

ABSOLUTION, PARDON, RÉMISSION. Le juge absout un accusé., le prêtre un pénitent ; on pardonne une offense ; le prince accorde la rémission d’un crime.

ABSORBER, ENGLOUTIR. Le premier a rapport à la consommation, à la destruction progressive ; le second exprime quelque chose qui enveloppe et fait disparaître. Le feu absorbe, l’eau 'engloutit.

ABSTENTION, RENONCIATION. La renonciation suppose un droit auquel on renonce : l’abstention, une faveur dont on ne veut pas profiter, ainsi, la renonciation se fait par l’héritier naturel ; l’abstention, par celui à qui l’hérédité est déférée par le testateur.

ABSTRAIT, DISTRUT. Les idées intérieures absorbent notre attention et la détachent des objets extérieurs, nous sommes abstraits ; mais, occupés d’objets extérieurs, un autre vient nous en détourner, nous sommes distraits.

ACADÉMICIEN, ACADÉMISTE. Les sciences, le bel-esprit, et les beaux-arts sont le partage de l’académicien ; les exercices du corps occupent l' académiste.

ACCABLER, OPPRIMER, OPPRESSER. On est accablé de maux, de bienfaits, lorsqu’on ne peut supporter les premiers, et reconnaître suffisamment les seconds : opprimer indique la violence : un tyran nous opprime ; oppresser ne se dit que des effets physiques : un poids sur le corps, uue douleur qu’on ne peut supporter, nous oppressent. Un peuple accablé d’impôts est opprimé par son souverain ; on ne dit pas que l’oppresseur est celui qui, oppresse, c’est celui qui opprime.

ACCÈS (AVOIR), ABORDER, APPROCHER. On a accès où l’on entre ; on aborde les personnes à qui l’on veut parler ; on approche celles avec qui l’on est souvent.

ACCIDENTELLEMENT, FORTUITEMENT. On trouve fortuitement un protecteur que la bonne fortune nous donne ; on perd accidentellement un ami. Ce qui est accidentel arrive contre votre attente ; ce ce qui est fortuit est imprévu.

ACCOMPAGNER, ESCORTER. On accompagne par égard ou par amitié ; on escorte par précaution. Escorte s’entend toujours d’un nombre de personnes ; un homme seul accompagne, et n’escorte pas. On dit, avoir avec soi une nombreuse compagnie, et une forte escorte.

ACCOMPLI, PARFAIT. Ce qui est parfait a toutes les qualités nécessaires ; ce qui est accompli a, de plus, toutes les qualités accessoires. Une femme belle et instruite, qui est bonne épouse, bonne mère, bonne ménagère, est une femme parfaite ; l’esprit, les talents, les grâces, etc., joints à ces qualités, en font une femme accomplie.

ACCORDER, CONCILIER. Accorder suppose la contestation ; concilier ne suppose que diversité de vues, d’intérêts. On accorde les différends, on concilie les esprits.

ACCORDER, RACCOMMODER, RÉCONCILIER. On accorde les personnes qui sont en contestation ; on raccommode celles que des différends ont séparées ; on réconcilie les ennemis.

ACCUSATEUR, DÉNONCIATEUR, DÉLATEUR. L’accusateur révèle, poursuit un crime par intérêt personnel : il se nomme hardiment ; le dénonciateur, par amour de sa patrie, par humanité, il ne se cache pas ; le délateur, par vengeance ou méchanceté, il se cache avec soin.

ACHEVER, FINIR, TERMINER. L’idée caractéristique d’achever est la conduite de la chose jusqu’à son dernier période ; celle de finir, l’arrivée de ce période ; celle de terminer, la cessation de la chose.

ACQUIESCER, CÉDER, SE RENDRE. On acquiesce par amour de la paix ; on cède par déférence ou par nécessité ; on se rend par faiblesse ou par conviction.

ACQUITTÉ, QUITTE. On s’acquitte du premier paiement ; on est quitte quand on les a tous faits.

ACRE, ÂPRE. Le premier exprime une impression piquante ; le second dit quelque chose de rude qui provient d’un défaut de maturité.

ACRIMONIE, ÂCRETÉ. Acrimonie exprime une qualité active et mordicante des humeurs ; âcreté convient à plusieurs sortes de choses : c’est une sorte de saveur qui produit une impression trop piquante.

ACTE, ACTION. Acte dans une pièce de théâtre, et même dans une acception plus étendue, n’est qu’une partie de l’action : la prise d’une ville est un acte de Y action de conquérir.

ACTEUR, COMÉDIEN. Au propre, acteur s’applique à la tragédie et à la comédie, mais plus particulièrement à la première ; l’acteur tragique n’est appelé comédien que par mépris ; l’acteur comique ne peut s’offenser de l’épithète, mais le nom d’acteur lui donne un grand relief. Au figuré, l’acteur agit ; le comédien imite, contrefait.

ACTION, ACTE. L’acte est le produit de l’action. Action se dit indifféremment de tout ce qu’on fait ; l’acte se dit seulement de ce qui est remarquable.

ACTIONS (BONNES), BONNES ŒUVRES. Les bonnes actions sont faites par un principe de vertu ; les bonnes œuvres ont pour principe la charité envers le prochain. Toute bonne œuvre est une bonne action ; mais toute bonne action n’est pas une bonne œuvre.

ACTUELLEMENT, À PRÉSENT, PRÉSENTEMENT, MAINTENANT. À présent indique un temps présent, par opposition à un autre plus indéfini ; présentement signifie dans le moment, ou sans délai ; actuellement exprime l’instant où l’on parle, où l’action se fait ; maintenant désigne la continuation d’une chose, la liaison d’une partie à une autre.

ADAGE, PROVERBE. Le proverbe est une sentence populaire, ou un mot familier et plein de sens ; l’adage est un proverbe piquant et plein de sel.

ADHÉRENT, ATTACHÉ, ANNEXÉ. Les branches sont adhérentes au tronc ; les voiles sont attachées au mat ; il y a des emplois que l’on a annexés à d’autres, pour les rendre plus considérables.

ADJECTIF, ÉPITHÈTE. L’adjectif est nécessaire pour compléter le sens de la proposition ; l’épithète n est souvent qu’utile ; elle sert à l’agrément, à l’'énergie du discours. L’adjectif appartient à la grammaire et à la logique ; l’épithète appartient à la poésie et à l’éloquence.


ADMETTRE, RECEVOIR. On admet quelqu’un dans une société particulière ; on reçoit à une charge. On admet dans sa familiarité et sa confidence ; on reçoit dans les maisons et-dans les sociétés. Les ministres étrangers sont admis à l’audience du prince, et reçus à sa cour.

ADMINISTRATION, GOUVERNEMENT, RÉGIME. Le gouvernement dirige la chose publique ; le régime est la règle établie par le gouvernement ; l’administration est la manière d’exécuter ce qui est ordonné par Je gouvernement, et réglé par le régime.

ADORER, HONORER, RÉVÉRER. On adore Dieu, on honore les saints, on révère les reliques. On adore Une niaitresse, on honore les honnêtes gens, on révère les personnes d’un mérite distingué.

ADOUCIR, MITIGER, MODÉRER, TEMPÉRER. On adoucit, en introduisant quelque chose de doux ; on mitige, en rendant moins sévère ; on modère, en retenant dans les limites ; on tempère, en diminuant l’excès.

ADRESSE, DEXTÉRITÉ, HABILETÉ. La dextérité a plus de rapport à la manière d’exécuter les choses ; l’adresse en a davantage aux moyens d’exécution ; l’habileté regarde plus le discernement des choses mêmes.

ADRESSE, SOUPLESSE, FINESSE, RUSE, ARTIFICE. L’adresse emploie les moyens ; la souplesse évite les obstacles ; la finesse insinue d’une façon insensible ; la ruse trompe ; l’artifice surprend.

ADROIT, HABILE, ENTENDU. On est adroit de la main, dans l’action ; habile dans un art ; entendu dans les affaires. La nature nous fait adroits ; l’étude, l’expérience, habiles ; l’une et l’autre, entendus, lorsque l’intelligence les seconde.

ADROIT, INDUSTRIEUX, INGÉNIEUX. Celui-ci imagine, le second trouve les moyens d’exécution, et le premier les emploie et réussit, guidé, secondé par les autres.

ADULATEUR, FLATTEUR, FLAGORNEUR, LOUANGEUR. Le louangeur loue pour louer ; le flatteur, pour plaire ; l’adulateur met dans la flatterie de la fausseté ; le flagorneur loue à chaque instant et avec maladresse.’

AFFABILITÉ, CIVILITÉ, TOLITESSE. L’affabilité est dans l’air, le geste ; un muet, un aveugle, peuvent être affables ; la civilité y ajoute les discours, et la politesse réunit quelquefois le tout ; plus souvent elle est froide et supprime l’affabilité. Un bourreau peut être très-civil, très poli sans affectation ; il ne peut être affable sans une atroce ironie.

AFFECTATION, AFFÉTERIE. L’affectation a pour objet les pensées, les sentiments ; Y afféterie ne regarde que les petites manières. L’affectation est souvent contraire à la sensibilité ; l’afféterie est toujours contraire au simple et au naïf.

AFFECTER UNE CHOSE, SE PIQUER D’UNE CHOSE. On se pique en soi ; on affecte au dehors. Celui qui se pique d’être brave, croit être tel, a telle opinion de lui-même ; celui qui l’affecte vent le paraître. On peut se piquer et affecter tout ensemble ; on se pique aussi sans affecter, et l’on affecte sans se piquer.

AFFECTION, DÉVOUEMENT. Le dévouement est un effet de l’affection, et n’a jamais lieu sans elle : l’affection vient du cœur, elle est involontaire ; le dévouement vient de l’esprit, de la volonté déterminée par le sentiment.

AFFERMER, LOUER. Affermer se dit des biens ruraux ; louer se dit des logements, ustensiles et animaux de labour.

AFFERMIR, ASSURER. On affermit par de solides fondements ; on assure par la position.

AFFLICTION, CHAGRIN, PEINE. La mort d’un père nous afflige ; la perte d’un procès nous donne du chagrin ; le malheur d’une personne de connaissance nous cause de la peine. L’affliction abat,


le chagrin rend sombre, mélancolique ; la pein attriste, fait souffrir dans le moment.

AFFLIGÉ, FÂCHÉ, ATTRISTÉ, CONTRISTÉ, MORTIFIÉ. On est affligé de la perte de ce qu’on aime d’une maladie ; on est fâché d’une perte au jeu d’un contre-temps ; on est attristé des accident, qui arrivent sous nos yeux ; on est contristé d’une calamité générale ; on est mortifié par on déplaisir des mépris, des ironies.

AFFLUENCE, CONCOURS, FOULE, MULTITUDE. Lorsque le peuple afflue dans une place publique d’une ville par diverses rues, il en résulte un concours d’hommes qui bientôt se pressente en foule, et leur réunion forme la multitude. Foule et multitude n’amènent ni l’idée de mouvement, ni celle de repos ; affluence et concours emportent l’idée de mouvement.

AFFRANCHIR, DÉLIVRER. Un maître affranchie son esclave ; un tiers le délivre. On délivre un captif ; on affranchit un peuple de la tyrannie.

AFFRES, TRANSES, ANGOISSES. Les affres sont produites par l’aspect d’un objet affreux, par le sentiment profond du danger de la mort ; les transes sont causées par l’extrême appréhension d’un fin prochaine, sans idée de secours ; les angoisses sont causées par une inquiétude excessive.

AFFREUX, HORRIBLE, EFFROYABLE, ÉPOUVANTABLE. Ce qui est affreux inspire le dégoût ; un chose horrible excite l’aversion ; l’effroyable fa peur ; l’épouvantable cause l’étonnement, la terreur.

AFFRONT, INSULTE, OUTRAGE, AVANIE. L’affront est un trait de reproche ou de mépris lancé en présence de témoins j l’insulte est une attaque faite avec insolence ; l’outrage ajoute à l’insulte un excès de violence ; l’avanie est un traitement humiliant qui expose au mépris public.

AGITATION, TOURMENT. L’homme du monde est agité par le tourbillon des plaisirs ; le pauvre est tourmenté par la misère.

AGITÉ, ÉMU, TROUBLÉ. Le cœur est ému par un sentiment, agité par plusieurs, troublé par le désordre. La compassion émeut ; l’indignation d’un crime, la pitié pour le coupable agitent ; l’amour et la jalousie troublent le cœur et la raison.

AGRANDIR, AUGMENTER. Agrandir, rendre plus grand en étendue ; augmenter, rendre plus considérable en nombre, en élévation en puissance

AGRÉABLE, DÉLECTABLE, DÉLICIEUX. Agréable convient pour ce qui satisfait la volonté, pour ce qui plaît à l’esprit ; délicieux, pour ce qui produit un grand plaisir, une jouissance entière, paisible voluptueuse ; délectable exprime le milieu entre l’agréable et le délicieux ; il ne se dit que de ce qui concerne la sensation du goût, ou de ce qui flatte la mollesse.

AGRÉABLE, GRACIEUX. L’air et les manières l’en dent gracieux ; l’esprit et l’humeur rendent agréable. Gracieux exprime ce qui flatte les sens où l’amour-propre ; agréable, ce qui convient au goût et à l’esprit.

AGRÉGER, ASSOCIER. On associe quelqu’un à ur corps, à une entreprise, pour qu’il en partage les travaux, les avantages ; on agrège quelqu’un 1 un corps, pour qu’il jouisse des mêmes honneuri et privilèges.

AGRICULTEUR, CULTIVATEUR, COLON. L’agriculteur professe l’art de l’agriculture, c’est son goût, son talent ; le cultivateur l’exerce en entrepreneur, c’est son travail et son état ; le culon le pratique en homme de la glèbe, c’est sa vie..

AIDER, ASSISTER, SECOURIR. On secourt dans le danger ; on aide dans la peine ; on. assiste dans le besoin.

AIGUILLONNER, ENCOURAGER, EXCITER, INCITER, ANIMER, POUSSER A, PORTER A. On excite celui qui ne songe pas à un travail, à un objet, qui agit languissamment, s’arrête, se dégoûte ; on incite celui qui n’est pas disposé à ce travail, qui ne l’a point à cœur ; ou pousse celui qui ne veut pas, ou ne veut que faiblement ; on anime celui qui est froid ou indifférent ; on encourage celui qui est trop faible pour se déterminer par sa propre réflexion.

AIMER, CHÉRIR. Nous aimons ce qui nous plaît ; nous chérissons ce qui fait en quelque sorte partie de nous.

AIMER MIEUX, AIMER PLUS. Aimer mieux ne marque qu’une préférence d’option ; aimer plus marque une préférence de choix et de goût.

AIR, MANIÈRES. L’air semble être né avec nous ; les manières viennent de l’éducation, l’air prévient, les manières engagent.

AIR, MINE, PHYSIONOMIE. L’air dépend du visage, de la taille, du maintien et de l’action ; la mine dépend quelquefois du visage, d’autres fois aussi de la taille ; la physionomie se considère dans le seul visage.

AIS, PLANCHE. Ais ne se dit que du bois ; planche se dit du cuivre, d’une partie de jardin, etc. On fait des ais de toutes sortes de bois ; la planche suppose plus de longueur que l’ais.

AISES, COMMODITÉS. Les aises disent quelque chose de voluptueux, qui tient de la mollesse ; les commodités expriment quelque chose qui facilite les opérations ou la satisfaction des besoins. Le voluptueux, l’efféminé, l’indolent, cherchent leurs aises ; l’homme sensé qui veut jouir sagement de la vie, parvenir à son but, s’assure de ses commodités.

AISE, CONTENT, RAVI. Nous sommes bien aises des succès qui ne nous regardent qu’indirectement ; l’accomplissement de nos désirs nous rend contents ; la forte impression du plaisir fait que nous sommes ravis.

AISÉ, FACILE. Facile exclut la peine qui naît des obstacles et des oppositions ; aisé exclut la peine qui naît de l’état de la chose. L’entrée est facile lorsque rien n’arrête au passage ; elle est aisée lorsqu’elle est large et commode à passer.

AJOUTER, AUGMENTER. On ajoute une chose à une autre ; on augmente la chose même.

AJUSTEMENT, PARURE. Ce qui appartient à l’habillement est rajustement ; ce qu’on y ajoute est parure. Il faut être propre et régulier dans son ajustement, sans y paraître trop attentif ; l’amour et la parure font l’occupation du commun des femmes.

ALARME, APPRÉHENSION, CRAINTE, ORATEUR, PEUR, EFFROI, TERREUR, ÉPOUVANTE. L’alarme naît de ce qu’on apprend ; l’effroi, de ce qu’on voit ; la terreur, de ce qu’on imagine ; la frayeur, de ce-qui surprend ; l’épouvante, de ce qu’on présume ; la crainte, de ce qu’on sait ; la peur, de l’opinion qu’on a ; l’appréhension, de ce qu’on attend ;

ALARMÉ, EFFRAYÉ, ÉPOUVANTÉ. Épouvanté dit plus qu’effrayé, et celui-ci plus qu’alarmé. On est alarmé d’un danger qu’on craint, effrayé d’un danger passé, épouvanté d’un danger pressant.

ALIMENT, NOURRITURE, SUBSISTANCE. L’aliment a la propriété de nourrir ; la nourriture est son effet ; la subsistance est le moyen de subsister.

ALLÉ (ÊTRE), AVOIR ÉTÉ. Être allé exprime l’action de s’être transporté dans un lieu où l’on est encore ; avoir été est en être revenu ; elles sont allées à vêpres ; nous avons été à la messe.

ALLÉGIR, AMENUISER, AIGUISER. On allégit, en diminuant sur toutes les faces, un corps considérable ; on amenuise un petit morceau de bois, en le diminuant davantage sur une seule face ; on aiguise par les extrémités, les bords.

ALLÉGUER, CITER. On cite les auteurs ; on allègue les faits et les raisons : on cite pour s’autoriser ; on allègue pour défendre.

ALLIANCE, LIGUE, CONFÉDÉRATION, COALITION. L’alliance est une union d’amitié et de convenance ; la ligue est une union de desseins et de forces ; la confédération est une union d’intérêt et d’appui ; la coalition est une confédération même momentanée entre des partis, contre quelque dessein nuisible à tous.

ALLONGER, PROLONGER, PROROGER. Allonger, c’est ajouter à l’un des bouts ou étendre la matière. ; prolonger, c’est reculer le terme de la-chose ; proroger, c’est maintenir l’autorité, l’exercice ou la valeur au-delà de la durée prescrite.

ALLURES, DÉMARCHES. On a des allures par habitude ; on fait des démarches par intérêt.

AMANT R GALANT, AMI. Le galant courtise dans l’espoir d’obtenir des faveurs d’une femme et sans aimer : l’amant chérit quelquefois sans espoir ; l’ami s’intéresse, conseille : il peut avoir été ou devenir l’amant ; il ne sera jamais le galant.

AMANT, AMOUREUX. Il suffit d’aimer pour être amoureux ; il faut le dire pour être amant. La passion rend amoureux ; la raison ou l’intérêt peut rendre amant.

AMASSER, ENTASSER, ACCUMULER, AMONCELER.

On amasse ce dont on a dessein de se servir ; on entasse ce que l’on veut garder ; on accumule ce que l’on veut avoir en grande quantité ; on amoncèle ce qu’on ne veut pas laisser épars.

AMBASSADEUR, ENVOYÉ, DÉPUTÉ. Les ambassadeurs et les envoyés parlent et agissent au nom de leurs souverains : les premiers ont une qualité représentative ; les députés ne parlent qu’au nom de quelque société ou corps, particulier.

AMBIGUÏTÉ, DOUBLE SENS, ÉQUIVOQUE. Une réponse ambiguë peut s’interpréter de diverses manières ; celle à double sens n’en offre que deux, non plus que l’équivoque qui suppose de la malice, de la perfidie ou de la mauvaise foi dans celui qui l’emploie. L’esprit faux crée des ambiguïtés, le sage se sert quelquefois du double sens ; l’équivoque est l’arme de la mauvaise foi.

ÂME FAIBLE, CŒUR FAIBLE, ESPRIT FAIBLE.

Une âme faible est sans ressort et sans action ; elle se laisse aller à ceux qui la gouvernent : un cœur faible change facilement d’inclinations ; un esprit faible s’effraie sans cause, et tombe naturellement dans la superstition.

AMENDEMENT, CORRECTION, RÉFORME. En se corrigeant de ses défauts, on opère en soi nn amendement qui produit enfin la réforme des mœurs. En travaillant à la correction des abus, on obtient un amendement dans la position des peuples, et on peut arriver à la réforme de l’Etat.

AMITIÉ, AMOUR, TENDRESSE, AFFECTION, INCLINATION. Les deux premiers l’emportent sur les autres par la force du sentiment ; l’amour agit avec plus de vivacité ; l’amitié avec plus de fermeté et de constance ; l’amitié procure un commerce sûr, une confiance bien placée : la tendresse est une situation du cœur ; la sensibilité en fait le caractère : l’affection est moins forte et moins active que l’amitié, plus tranquille que l’amour ; elle est la suite de la parenté et de l’habitude : l’inclination n’est qu’une disposition à aimer.

AMOUR, AMOURETTE. La différence du sérieux au badin fait celle de l’amour et de l’amourette ; celle-ci amuse, celui-là occupe et domine.

AMOUR, GALANTERIE. L’amour a pour objet la personne, la galanterie a pour objet le sexe. L’amour est dans le cœur, la galanterie dans les sens.

AMPOULÉ, EMPHATIQUE, BOURSOUFFLÉ. Dans le style emphatique, les choses médiocres prennent une importance ridicule par le concours de pensées exagérées, déplacées, d’exclamations forcées ; des images ridiculement pompeuses sont de la boursoufflure ; de grands mots amoncelés rendent le style ampoulé.

AMUSEMENT, DIVERTISSEMENT, RÉCRÉATION, RÉJOUISSANCE. Récréation désigne un terme court de délassement ; amusement est une occupation légère et qui plaît ; divertissement est accompagné de plaisirs plus vifs et plus étendus ; réjouissance se marque par des actions extérieures.

AMUSER, DIVERTIR. Amuser, c’est occuper légèrement l’esprit ; divertir, c’est l’occuper agréablement et plus fortement. Le temps passe quand on s’amuse ; on en jouit quand on se divertit.

AN, ANNÉE. L’an paraît être un élément déterminé du temps ; on envisage l’an sans attention à sa durée ; mais l’année est une durée déterminée, et divisible en parties.

ANCÊTRES, AÏEUX, PÈRES. Le siècle de nos pères a touché au nôtre ; nos aïeux les ont devancés ; nos ancêtres sont plus reculés de nous.

ANCÊTRES, PRÉDÉCESSEURS ; Nous succédons à nos ancêtres par voie de génération, leur sang coule dans nos veines ; nous succédons à nos prédécesseurs par voie de fait et de substitution. Les ancêtres d’un roi sont les hommes de qui il descend par le sang ; ses prédécesseurs sont les rois qui ont occupé le même trône que lui.

ANCIENNEMENT, JADIS, AUTREFOIS. Anciennement désigne le temps passé comme reculé ; jadis, comme simplement détaché ; autrefois, comme détaché du présent, et différent.

ÂNE, IGNORANT. On est âne par disposition d’esprit, et ignorant par défaut d’instruction.

ANÉANTIR, DÉTRUIRE. Ce qu’on détruit cesse de subsister, mais il en peut rester des vestiges ; ce qu’on anéantit disparaît tout-à-fait.

ÂNESSE, BOURRIQUE. L’ânesse présente l’animal dans l’ordre de sa nature ; bourrique le présente dans l’ordre des animaux domestiques, comme bête de charge.

ANIMAL, BÊTE, BRUTE. Le mot animal comprend tous les êtres organisés vivants ; le mot bête caractérise une classe d’animaux par opposition à l’homme ; le mot brute indique les sortes de bêtes livrées à l’instinct le plus grossier. On appelle un homme animal, pour lui reprocher sa grossièreté, sa brutalité ; on l’appelle bête, lorsqu’on l’accuse de déraison, d’incapacité, d’ineptie, de maladresse, de sottise ; on l’appelle brute pour exprimer la déraison complète, l’extrême bêtise, la stupidité la plus parfaite, et surtout l’aveugle brutalité, la licence effrénée des appétits et des penchants, etc.

ANIMAL, BÊTE. En langage dogmatique, animal indique le genre ; bête indique l’espèce.

ANNULER, INFIRMER, CASSER, RÉVOQUER. On annulle toutes sortes d’actes, soit législatifs, soit de convention ; on infirme des actes législatifs, ou des jugements prononcés par des juges subalternes ; casser renferme une idée accessoire d’ignominie, lorsqu’il regarde les actes ; révoquer, c’est ôter simplement aux personnes la place qu’elles occupaient, sans aucun accessoire d’ignominie.

ANTÉCÉDENT, ANTÉRIEUR, PRÉCÉDENT. Antécédent est placé avant ; antérieur a existé auparavant ; précédent a une priorité de temps ou d’ordre immédiate.

ANTIPHRASE, CONTRE-VÉRITÉ. Antiphrase exprime un sens contraire au sens littéral de la phrase ; et contre-vérité, une intention, une opinion ou une pensée contraire à celle qu’énonce naturellement la proposition. L’antiphrase est un tour grammatical : la contre-vérité est un tour d’esprit.

ANTRE, CAVERNE, GROTTE. L’antre est un enfoncement profond, obscur, qui inspire l’horreur et l’effroi ; la caverne est une grande cavité couverte d’une sorte de voûte, et cachée ; la grotte est une petite caverne naturellement parée, ou susceptible de l’être.

APAISER, CALMER. Le vent s’apaise ; la mer se calme. On apaise le courroux, la fureur ; on calme l’émotion. Une soumission nous apaise ; une lueur d’espérance nous calme.

APOCRYPHE, SUPPOSÉ. Ce qui est apocryphe n’est ni prouvé, ni authentique ; ce qui est supposé est faux et controuvé.

APOTHÉOSE, DÉIFICATION. L’apothéose était nne cérémonie qui plaçait des hommes au rang des dieux ; la déification est l’acte d’une imagination superstitieuse qui suppose la divinité où il n’y a que la créature, et qui, en conséquence, lui rend un culte de religion.

APPAREILS, APPRETS, PRÉPARATIFS. Un cuisinier commence dès la veille les préparatifs d’un festin ; il en fait les apprêts le matin, et n’en dresse l’appareil qu’au moment du service.

APPAS, ATTRAITS, CHARMES. Les attraits inspirent le penchant ; les appas excitent le désir ; les charmes produisent la passion. Les appas, au figuré, tiennent plus de l’art ; on doit les attraits, les charmes à la nature. La vertu a des attraits, la richesse a des appas ; le plaisir a des charmes. Appas se dit des beautés matérielles et palpables ; cachez vos appas.

APPÂT, LEURRE, PIÉGE, EMBÛCHE. L’appât et le leurre agissent pour tromper ; le piège et l’embûche attendent que nous y donnions : on est pris dans le piège, et surpris par l’embûche.

APPELER, ÉVOQUER, INVOQUER. Nous appelons, les hommes, les animaux qui vivent autour de nous ; nous évoquons les esprits ; nous invoquons la divinité.

APPLAUDISSEMENTS, LOUANGES. Le premier semble plus propre aux choses, le second aux personnes. On applaudit en public et au moment où l’action se passe ; on loue dans toutes sortes de circonstances. Les applaudissements partent de la sensibilité ; les louanges ont leur source dans le discernement de l’esprit.

APPLICATION, MÉDITATION, CONTENTION. L’application est une attention suivie et sérieuse ; la méditation est une attention détaillée et réfléchie ; la contention est une attention forte et pénible.

APPOSER, APPLIQUER. Appliquer, c’est imposer une chose sur une autre ; apposer n’est que du style de pratique. On appose le scellé ; on applique un emplâtre.

APPRÉCIATION, ESTIMATION, ÉVALUATION, PRISÉE. L’estimation se fait par experts, et se dit de toutes sortes d’objets ; la prisée se fait par huissier, et se dit des meubles ; l’évaluation se fait des choses qui consistent en poids, nombre et mesure ; l’appréciation se fait des marchandises dont les parties ne sont pas convenues du prix.

APPRÉCIER, ESTIMER, PRISER. Apprécier, c’est juger du prix courant de la vente et de l’achat des choses ; estimer, c’est juger la valeur ; priser, c’est mettre un prix.

APPRENDRE, ÉTUDIER. Étudier, c’est travailler à devenir savant ; apprendre, c’est y travailler avec succès.

APPRENDRE, S’INSTRUIRE. On apprend d’un maître ; on s’instruit par soi-même. On peut apprendre sans étude, on ne s’instruit que par elle. Il faut plus de docilité pour apprendre ; et il y aplus de peine à s’instruire. Qui sait écouter, sait apprendre ; qui sait parler, sait s’instruire. Celui qui apprend un art ou une science, est dans le rang des écoliers ; celui qui s’en instruit, a le mérite de maître.

APPRÊTER, PRÉPARER, DISPOSER. On apprête pour ce qu’on va faire ; on prépare pour être en état de le faire ; on dispose pour s’arranger à pouvoir le faire.

APPRÊTÉ, COMPOSÉ, AFFECTÉ, AFFÉTÉ. L’homme apprêté est recherché dans ses manières et

dans ses discours ; l’homme composé est grave, froid, réservé, circonspect, recherché dans son air et sa contenance ; l’homme affecté n’a point la modération, la mesure qu’il convient de garder ; l’homme affété se distingue par de petites manières recherchées. La précieuse est apprêtée ; la prude, composée ; la petite maîtresse, affectée ; la minaudière, affétée.

APPROBATION, AGRÉMENT, CONSENTEMENT, RATIFICATION, ADHÉSION. Approbation se rapporte également aux opinions de l’esprit et aux actes de la volonté : il s’applique au présent, au passé et à l’avenir ; agrément ne se rapporte qu’aux actes de la volonté, et s’applique aux trois circonstances du temps ; consentement et ratification sont relatifs aux actes de la volonté ; ratification ne se dit que des actes du passé ; adhésion n’a rapport qu’aux opinions et à la doctrine.

APPROPRIER (s’), ARROGER (s’), ATTRIBUER (s’).

S’approprier, prendre pour. soi, se dit de tout ce qui peut constituer une propriété matérielle ; s’arroger, est aussi se rendre propre, mais avec hauteur, avec insolence ; s’attribuer une chose, se l’adjuger, se dit des talents, de toutes les dispositions de l’âme ou de l’esprit. L’homme avide s’approprie ; l’homme vain s’arroge, et l’homme jaloux s’attribue. On s’attribue une intention ; on s’arroge des titres, on s’approprie un champ.

APPUI, SOUTIEN, SUPPORT. L’appui fortifie, on le met tout auprès ; le soutien porte, on le place au-dessous ; le support aide, il sert de jambage. Une muraille est appuyée par des arcs-boutants ; une voûte est soutenue par des colonnes ; le poids d’une maison est supporté par les gros murs. Dans le sens figuré, l’appui a pIns de rapport à la force et à l’autorité ; le soutien en a plus au crédit et à l’habileté ; le support en a davantage à l’affection et à l’amitié.

APPUYER, ACCOTER. Appuyer indique l’élévation d’un corps à côté d’un autre ; accoter exprime la position à côté. Accoter, c’est appuyer contre. On appuie un mur ; on accotte un arbre.

APTITUDE, DISPOSITION, PENCHANT. L’aptitude vient de l’esprit ; la disposition, du tempérament ; le penchant, du cœur. La disposition fait entreprendre ; l’aptitude fait réussir ; le penchant attache à ce que l’on fait.

ARIDE, SEC. Une longue sécheresse cause l’aridité. Un terrain sec peut redevenir fertile par l’arrosement ; un sol aride est frappé de stérilité : il absorbe inutilement l’eau dont on l’arrose.

ARME, ARMURE. Arme, est proprement l’instrument qui sert pour l’attaque, pour la défense ; armure n’est d’usage que pour ce qui sert à protéger, à couvrir le corps ou une de ses parties.

ARMES, ARMOIRIES. On dit, armes, lorsqu’il s’agit de telles armes en particulier : les armes d’Espagne ; on dira plutôt armoiries, si l’on considère ces symboles en général.

AROMATE, PARFUM. L’aromate est le corps d’où s’élève l’odeur ; le parfum est l’odeur qui s’élève. Parfum se prend aussi pour le corps qui parfume ; mais aromate ne se dit jamais de l’odeur même. Le parfum ne s’adresse qu’à l’odorat ; l’aromate flatte l’odorat et le goût.

ARRACHER, RAVIR. On arrache un arbre, une dent, un clou, une fille des bras de sa mère ; on ravit des biens, une proie, des choses mal gardées. Arracher suppose toujours l’emploi de la force, de la violence ; ravir ne suppose souvent que celui de la ruse, de l’adresse.

ARRANGER, RANGER. On range ce que l’on met à sa place, à son rang, un livre, un habit ; on arrange ce que l’on met en ordre, une bibliothèque, îles meubles, un appartement.

ARRÊTER, RETENIR. Pour arrêter, il suffit d’interrompre momentanément le mouvement ; pour

retenir, il faut le suspendre : on arrête un voleur on le retient en prison.

ART, MÉTIER, PROFESSION. Le métier constitue l’ouvrier, l’homme de travail ; la profession fait l’homme d’un tel ordre, d’une telle classe ; Part fait l artisan, l’artiste, l’homme habile. Le métier demande un travail de la main ; la profession un travail industriel quelconque ; l’art, un travail. de l’esprit, sans exiger le travail de la main. ARTISAN, OUVRIER, ARTISTE. L’artisan exerce ! un art mécanique ; l’ouvrier fait un genre d’ouvrage manuel ; le peintre, le sculpteur, sont des artistes., ASCENDANT, EMPIRE, INFLUENCE. L’ascendante est le pouvoir d’une supériorité légitime, celui d’un vieillard respectable, d’un père vertueux empire est le pouvoir de la force ; influence, celui de l’éloquence, de la persuasion, de l’insinuation, de l’entraînement.

ASILE, REFUGE. L asile est un lieu de sûreté, d’où l’on ne peut être arraché ; le refuge est un asile contre un danger pressant. Dans l’asile ~on est hors de danger ; dans le refuge, on n’échappe qu’à la poursuite.

ASPECT, VUE. Le deuxième se dit de celui qui voit ; le premier, de l’objet qu’il voit ; on a une belle vue, une vue très-étendue sur une campagne inondée ou stérile, dont l’aspect est désagréable.

ASPIRER, PRÉTENDRE. Le désir fait aspirer après la possession d’un bien ; si l’on y a dei droits, il est juste d’y prétendre ; tous les hommes aspirent au bonheur, la vertu seule permet d’y prétendre.

ASSEMBLER, RASSEMBLER. On assemble un armée par la réunion des corps épars, par des levées ; on la rassemble en rappelant les troupe qui en avaient été séparées par des opérations, ou en rappelant les semestres.

ASSEZ, SUFFISAMMENT. Assez a rapport à H quantité qu’on veut avoir ; suffisamment, à la quantité qu’on vent employer. L’avare n’a jamais assez d’argent ; le prodigue n’en a jamais suffisamment.

ASSOCIER, AGREGER. On associe à une entreprise ; on agrège à un corps : certains corps ont des agrégés, d’autres des associés ; tantôt ils constituent le même corps, tantôt ils n’y sont qu comme ajoutés.

ASSUJETTISSEMENT, SUJÉTION. L’assujettissement désigne un état habituel ; la sujétion marque la situation actuelle. Les lois, les bienséances nous tiennent dans l’assujettissement ; les soins, les travaux sont des sujétions.

ASSURER, AFFIRMER, CONFIRMER. On se sert du ton de la voix pour assurer, du serment pour affirmer, d’une nouvelle preuve pour confirmer.

ASTRONOME, ASTROLOGUE. L’astronome connaît le cours et le mouvement des astres ; l’astrologue raisonne sur leur influence, prédit les événements.

ATHÉE, MATÉRIALISTE. L’athée prétend croire qu’il n’y a point de Dieu ; le matérialiste voit Dieu dans la matière, ou comme intelligente et active, ou comme identifiée à Dieu qui en est l’âme ; dans le premier cas, il est athée ; dans le second, il devient presque théiste.

ATRABILAIRE, MÉLANCOLIQUE. Le mélancolique a le cœur attendri, sa tristesse est morne et inquiète ; l’atrabilaire a le cœur endurci, sa tristesse est sombre et farouche. Le mélancolique évite les hommes ; l’atrabilaire les repousse.

ATTACHE, ATTACHEMENT, DÉVOUEMENT. L’attacha est une sorte de passion forte et déréglée ; elle peut se prendre en mauvaise part. L’attachement est un sentiment plus tendre et plus durable. On a de l’attache au jeu ; de l’attache ment pour sa famille, ses amis. L’attachement unit à ce que nous aimons ; l’attache, à ce que nous estimons comme précieux ; Rattachement, le dévouement sont plus généreux que l’attache, qui prend sa source dans l’égoïsme ; le dévouement soumet à la volonté de ceux que nous désirons servir.

ATTACHÉ A L’ARGENT, AVARE, INTÉRESSÉ. Un homme attaché à l’argent aime l’épargne, et fait la dépense ; un avare aime la possession de l’or, pour l’or même, quoiqu’il n’en fasse aucun usage, on homme intéressé cherche à gagner, et ne fait rien gratuitement.

ATTAQUER QUELQU’UN, S’ATTAQUER A QUELQU’UN. Dans le premier cas, on a l’intention ou de voler ou de frapper ; dans le second, on ne veut que choquer, offenser, provoquer, mais avec plus de suite dans l’exécution.

ATTENTION, EXACTITUDE, VIGILANCE. L’attention fait que rien n’échappe à ce que l’on regarde ; l’exactitude empêche qu’on n’omette la moindre chose dans ce que l’on fait ; la vigilance fait qu’on ne néglige rien pour la suite et le succès.

ATTENTION, MÉDITATION. L’attention se fixe sur les objets extérieurs ; la méditation s’arrête à ses propres pensées : « Faites attention à ce précepte pour le retenir et le méditer. »

ATTÉNUER, BROYER, PULVÉRISER. Il faut fondre et dissoudre pour atténuer ; il faut broyer pour pulvériser. Atténuer se dit particulièrement des liquides condensés ou coagulés ; les deux autres ne se disent que des solides.

ATTITUDE, POSTURE. La posture est une ma-. nière momentanée et fortuite de poser le corps ; l’attitude est une contenance plus durable et qui marque quelque intention.

ATTRACTION, TRACTION. Traction se dit d’une des puissances qui tirent par le moyen d’une corde, etc. ; attraction, de l’action qu’un corps exerce pour attirer à lui sans intermédiaire. La traction d’un chariot par un cheval ; l’attraction du fer par l’aimant.

ATTRAITS, APPAS, CHARMES. Les attraits sont ~dans la nature, ils nous arrêtent et nous plaisent ; les appas dans l’art ; ils nous attirent ; les charmes ont un effet plus marqué, ils nous séduisent et nous entraînent.

ATTRIBUER, IMPUTER. On attribue les choses ; mais on impute surtout la valeur des choses. Vous attribuez un ouvrage à celui que vous en croyez auteur ; vous imputez un événement à celui que ous préjugez eu être la cause : imputer se prend lors en mauvaise part.

AUDACE, HARDIESSE, EFFRONTERIE. La hardiesse marque du courage et de l’assurance ; l’audace, de la hauteur et de la témérité ; l’effronterie, de l’impudence. Hardiesse se prend le plus souvent en bonne part ; noble, heureuse hardiesse ; audace, effronterie, se disent en mauvaise part. On est hardi dans le danger, audacieux dans ses ~entreprises, effronté dans ses propositions, ses discours, sa conduite.

AUGMENTER, CROÎTRE. Croître, c’est acquérir plus de hauteur ou de longueur ; augmenter, c’est s’agrandir dans quelque sens que ce soit.

AUGURE, PRÉSAGE. Nous augurons ; les choses présagent ; et nous présageons. On tire l’augure, on voit certains présages. L’augure est une conjecture futile, légère, hasardée ; le présage, une conjecture légitime ou raisonnée. Le présage est certain ou incertain ; l’augure bon ou mauvais. Un présage est de bon ou de mauvais augure.

AUSTÈRE, SÉVÈRE, RIGOUREUX. L’homme austère ne s’écarte point des règles ; l’homme sévère exige que les autres ne s’en écartent point ; celui qui est rigoureux met de l’excès dans la sévérité.

AUSTÈRE, SÉVÈRE, RUDE. On est austère par la manière de vivre ; sévère, par la manière de penser ; rude, par la manière d’agir.

AUSTÈRE, ACERBE, ÂPRE. Ce qui est acerbe a besoin d’être adouci ; ce qui est austère a besoin

d’être mitigé ; ce qui est âpre a besoin d’être corrigé par quelque chose d’onctueux.

AUTORITÉ, PUISSANCE, POUVOIR, EMPIRE.

L’autorité est le droit légitime du plus grand ; la puissance est le droit du plus fort ; le pouvoir, l’agent de l’un et de l’autre ; l’empire, un droit absolu. L’autorité est plus douce ; la puissance, plus grande ; le pouvoir, plus fort ; l’empire, plus dur.

AUTOUR, prép. À L’ENTOUR. adv. Ce qui est autour est plus près ; ce qui est à l’entour, plus loin : les échos d’à l’entour ; les maisons autour de l’église.

AVANT, DEVANT. Avant, est pour l’ordre du temps ; devant, pour l’ordre des places. Le plus tôt arrivé se place avant les autres ; le plus considérable se met devant eux.

AVANTAGE, PROFIT, UTILITÉ. L’avantage nait de la commodité, des moyens ; le profit, du gain ; l’utilité, du service. Le livre est utile ; ses leçons sont profitables ; le débit en est avantageux.

AVARE, AVARICIEUX. Avare convient lorsqu’il s’agit de la passion de l’avarice ; avaricieux se dit lorsqu’il n’est question que d’un acte de cette passion.

AVENIR, FUTUR. Le futur est relatif à l’existence des événements ; l’avenir, aux révolutions des événements.

AVERTIR, INFORMER, DONNER AVIS. En avertissant d’une conjuration, on dirige l’attention sur elle ; celui qui est informé des détails, en donne avis à ceux qu’il veut sauver.

AVERTISSEMENT, AVIS, CONSEIL. L’avertissement instruit ou éveille l’attention ; l’avis et le conseil ont aussi pour but l’instruction. L’avis n’emporte aucune idée d’obligation, de supériorité ; le conseil emporte toujours une de ces idées, quelquefois les deux.

AVEU, CONFESSION. L’aveu suppose l’interrogation ; la confession tient un. peu de l’accusation. L’aveu a plus de rapport aux intentions ; la confession, plus de rapport aux actions. On avoue ce qu’on a eu envie de cacher ; on confesse ce qu’on a en tort de faire.

AVEUGLÉMENT, A L’AVEUGLE. Celui qui agit à l’aveugle n’est pas éclairé ; qui agit aveuglément ne suit pas les lumières naturelles. Le premier ne voit pas, le second ne veut pas voir.

AVISE, PRUDENT, CIRCONSPECT. L’homme avisé trouve des expédients ; l’homme prudent emploie les moyens de les faire réussir, et l’homme circonspect évite les inconvénients qui pourraient les faire manquer.

AVOIR, POSSÉDER. On n’est pas possesseur de tout ce que l’on a entre les mains. Tel a beaucoup de réputation, qui ne la possédera pas longtemps. On a par le fait ; on possède par le droit.

AVORTON, EMBRYON, FOETUS. L’embryon est l’animal informe ; le fœtus a une forme sensible ; on l’appelle avorton s’il naît avant terme.

AXIOME, MAXIME, SENTENCE, APOPHTHEGME, APHORISME. L’axiome est une vérité capitale, évidente ; la maxime est une proposition majeure faite pour guider ; la sentence est un enseignement court, déduit de l’observation, ou puisé dans la conscience ; c’est une espèce d’oracle ; l’apophthegme est un dit mémorable qui, parti d’une âme énergique, fait une vive impression ; l’aphorisme résume en préceptes abrégés ce qu’il s’agit d’apprendre : c’est la substance d’une doctrine. La sentence est concise ; l’axiome et l’aphorisme, clairs ; la maxime, certaine ; l’apophtegme saillant.

BABIL, BAVARDAGE, CAQUET. Le babil est un excès de paroles, qui n’a pour but que le plaisir de parler ; le bavardage est un flux de paroles qui prend sa source dans la sottise ; le caquet prend sa source dans une vanité puérile. Unr enfant a du babil ; un fat, du bavardage ; une femme, du caquet.

BABILLARD, BAVARD. Le babillard parle trop par légèreté ; il dit des riens, il lui suffit de parler ; le bavard parle continuellement, par prétention ; le babillard peut amuser ; le bavard déplaît.

BADAUD, BENÊT, NIAIS, NIGAUD. Le badaud s’arrête par curiosité devant tout ce qu’il voit ; le benêt, par bonhomie, se prête à tout ce qu’on veut ; le niais, dépourvu d’expérience, ne sait ni ce qu’il faut penser, ni ce qu’il faut dire, ni comment se tenir ; le nigaud, par ineptie, reste toujours enfant.

BÂILLEMENT, HIATUS. Bâillement, terme grammatical, exprime l’état de la bouche pendant l’émission des sons ; hiatus, l’espèce de cacophonie qui résulte de ces sons. L’hiatus est l’effet du bâillement.

BAISSER, ABAISSER. Baisser se dit des choses qu’on place plus bas : on baisse la tête. Abaisser se dit des choses faites pour en couvrir d’autres, mais qui, étant relevées, les laissent à découvert : ou abaisse les paupières.

BALANCER, HÉSITER. Lorsqu’il y a des considérations à peser, ou balance ; des obstacles à vaincre, on hésite. Celui qui balance se tient entre deux partis à prendre ; celui qui hésite n’ose pas en prendre, un.

BALBUTIER, BÉGAYER, BREDOUILLER. Celui qui balbutie ne parle que du bout des lèvres ; celui qui bégaie s’arrête à certaines articulations, coupe et répète les syllabes ; celui qui bredouille roule précipitamment ses paroles les unes sur les autres.

BANQUEROUTE, FAILLITE. Faire banqueroute, c’est disparaître de gré ou de force du commerce, par impossibilité de payer ; faire faillite, c’est se déclarer hors d’état de payer ce que l’on doit. La banqueroute exprime la cessation absolue du commerce ; la faillite, la chute du commerce : le premier est plus odieux.

BARBARIE, CRUAUTÉ, FÉROCITÉ. La barbarie livre à la mort les victimes de ses passions ; la cruauté fait précéder la mort par des tortures ; la férocité jouit de leur spectacle.

BAS, ABJECT, VIL. Ce qui est bas manque d’élévation ; ce qui est abject est dans une grande bassesse ; ce qui est vil, dans un grand décri. Un homme est bas, lorsqu’il déroge à la dignité de son état ; il est abject, lorsqu’il se ravale jusqu’à faire oublier ce qu’il est ; il est vil, s’il renonce à sa propre estime et à celle des autres.

BASSESSE, ABJECTION. L’abjection se trouve dans l’obscurité, le peu d’estime, le rebut, les situations humiliantes ; la bassesse se trouve dans le peu de mérite et de fortune.

BATAILLE, COMBAT. La bataille est une action générale ; le combat, une action particulière : combat a plus de rapport à l’action de se battre. Dans cette bataille, le combat fut opiniâtre.

BATTRE, FRAPPER. Pour battre, il faut redoubler les coups ; pour frapper, il suffit d’en donner un. Le plus fort bat le faible ; le plus violent frappe le premier.

BÉATIFICATION, CANONISATION. Dans l’acte de béatification, le pape accorde à un ordre religieux le privilège de rendre au béatifié un culte particulier ; dans l’acte de canonisation, il détermine le culte qui doit être rendu par l’église au nouveau saint.

BEAU, JOLI. Le beau est grand, noble, régulier, imposant ; le joli est délicat, mignon, agréable. Le beau s’adresse à l’âme ; le joli parle aux sens ; le beau étonne, entraine ; le joli séduit, amuse ; leur règle commune, c’est celle du vrai.

BEAUCOUP, PLUSIEURS. Beaucoup est d’usage pour le calcul, la mesure ou l’estimation ; plusieurs n’est jamais employé que pour le nombre.

BÉNI, IE, BÉNIT, E. Le premier a un sens moral et de louange ; le second, un sens légal et de consécration. L'homme charitable ou les pauvres sont bénis de Dieu ; le pain est bénit.

BÉNIN, DOUX, HUMAIN. Bénin marque l'inclination et la disposition à faire du bien ; doux indique un caractère qui rend très-sociable et ne rebute personne ; humain dénote une sensibilité compatissante aux maux d'autrui.

BESACE, LISSAC. L'ouvrier, le paysan porte un lissac ; le mendiant porte une besace.

BÊTE, BRUTE, ANIMAL. Bête se prend par opposition à homme ; animal convient à tous les êtres organisés vivants ; la bête s'appelle brute dans son dernier degré de stupidité. V. ANIMAL.

BÊTE, STUPIDE, IDIOT. On est bête par défaut d'intelligence ; stupide, par défaut de sentiment, idiot, par défaut de connaissance.

BÊTISE, SOTTISE. Un sot, qui voit de travers et décide, est plus dangereux qu'une bête qui ne voit pas et se tait. L'un a l'esprit bouché, l'autre faux. On dit une bêtise ; on dit et l'on fait une sottise. Il n'y a rien de si difficile que de se faire comprendre d'une bête, et de se faire écouter d'un sot. La bêtise déplacée devient sottise.

BÉVUE, MÉPRISE, ERREUR. Celui qui voit mal fait des bévues ; celui qui se trompe dans le choix, commet une méprise ; celui qui se trompe dans l'application de ses intentions, commet une erreur. La bévue provient d'un défaut de réflexion ; la méprise, d'un défaut de connaissance ; l'erreur, d'un défaut d'attention.

BIEN, BEAUCOUP, ABONDAMMENT, COPIEUSEMENT, A FOISON. Beaucoup dénote une grande quantité vague et indéfinie ; bien, une quantité surprenante ou très-remarquable ; abondamment, une quantité de certains objets pris en grand, supérieure à la quantité d'usage ; copieusement, une grande quantité d'objets de consommation, excédant la mesure suffisante ; à foison, la trèsgrande quantité de choses qui semblent pulluler et ne point s'épuiser.

BIENFAISANCE, BIENVEILLANCE. La bienveillance est le désir de faire du bien ; la bienfaisance est l'action même.

BIENFAIT, GRÂCE, SERVICE, BON OFFICE, PLAISIR. Le bienfait est un acte libre par lequel on rend meilleure la condition de quelqu'un ; la grâce est un bien auquel celui qui la reçoit n'avait aucun droit ; le service est un secours par lequel on contribue à faire obtenir quelque bien ; le bon office est l'emploi des moyens pour faire réussir ; le plaisir est une chose obligeante faite pour autrui.

BIZARRE, BOURRU, CAPRICIEUX, QUINT EUX, FANTASQUE. Les deux premiers mots ne sont jamais synonymes. Le bizarre a des goûts, des sentiments singuliers ; le capricieux, faute de principes, de règles, ne sait pas à quoi se fixer ; le fantasque change au gré de son imagination fantastique ; le quinteux, par des changements subits d'humeur, passe d'un sentiment à un autre, de l'aménité à l'humeur ; le bourru, plus constant, est dur, bref dans ses réponses, repoussant dans ses gestes, et cependant il peut être meilleur et plus aimé que tous les autres.

BLÂMER, CENSURER, RÉPRIMANDER. Tout homme vertueux a le droit de blâmer celui qui se conduit mal ; le magistrat, le supérieur ont seuls le droit de censurer ; un père de famille, un précepteur, réprimandent les enfants.

BLESSURE, PLAIE. La blessure est la marque d'un coup reçu ; la plaie l'ouverture faite à la peau, soit par le coup, soit par la malignité des humeurs. La blessure n'est quelquefois qu'une contusion ; la plaie suppose nécessairement une séparation dans les chairs. La blessure produit une plaie. Au figuré, blessure signifie tort, dommage, détriment, mal fait à l'honneur, à la réputation, au repos. On donne le nom de plaie à des maux beaucoup plus grands que de simples blessures, aux grandes afflictions, à des pertes funestes ; aux vives douleurs.

BLUETTE, ÉTINCELLE. La bluette, pâle, faible, luit dans les cendres remuées et s'évanouit presque aussitôt ; l'étincelle ardente, éclatante, jaillit, pétille, produit souvent l'incendie. On dit, des bluettes d'esprit, des étincelles de génie.

BOIS, CORNE. En vénerie, la corne est un simple jet, droit ou courbe en divers sens, et placé sur une proéminence de l'os frontal ; le bois est une tige rameuse divisée en rameaux, et semblable en tout à une production végétale. La corne est permanente, le bois tombe dans une saison, et repousse. La corne est simple, le bois est rameux.

BOITER, CLOCHER. Boiter, marcher en vacillant, par douleur ou faiblesse ; clocher, marcher avec un pied trop court, en penchant de côté.

BONHEUR, CHANCE. Bonheur embrasse les événements, les circonstances qui rendent un homme

heureux ; chance n'a de rapport qu'aux événements qui dépendent du hasard. On peut nuire ou contribuer a son bonheur ; la chance est hors de notre pouvoir.

BONHEUR, FÉLICITÉ. La félicité est la jouissance intime, sans trouble et sans perspective de trouble, du bonheur.

BONHEUR, PROSPÉRITÉ. Le bonheur est l'effet du hasard ; la prospérité est le succès de la condition.

BONHEUR, FÉLICITÉ, BEATITUDE. Bonheur marque l'état de la fortune ; félicité exprime l'état du cœur disposé à goûter le plaisir ; béatitude désigne 1 état de l'imagination satisfaite. -

BONTÉ, BÉNIGNITÉ, DÉBONNAIRETÉ. La bonté porte à faire du bien, la bénignité, à le faire noblement ; la débonnaireté, à le faire généreusement, en le rendant même pour le mal. La bonté touche ; la bénignité charme, et la débonnaireté étonne et comble.

BONTÉ, HUMANITÉ, SENSIBILITÉ. La bonté est dans le cœur ; l'humanité dans la réflexion, la sensibilité dans l'organisation. On peut, sans être bon, être humain et même sensible. Combien de femmes sensibles refusent leurs secours aux malheureux dont l'état les émeut ; elles le fuient ! L'homme bon peut aussi être distrait de la pitié ; mais l'homme humain réfléchit sur le sort de la pauvre espèce humaine, il songe que lui-même est de cette espèce ; il se secourt pour ainsi dire lui-même dans le malheureux.

BORD, CÔTE, RIVE, RIVAGE. Le bord touche l'eau : la cote s'élève au-dessus ; la rive et le rivage sont ses limites : le rivage est une rive étendue. La mer seule a des cotes ; la mer, les fleuves, les grandes rivières ont des rives ; toutes les eaux ont des bords.

BOUDERIE, FÂCHERIE, HUMEUR. La bouderie vient d'une extrême délicatesse de sentiments qui souffre du moindre tort, et l'exprime par le silence, n'osant employer la plainte : la bouderie fomente l'amour dans son sein ; la fâcherie, moins tendre, plus capricieuse, plus irascible, s'irrite et s'alimente par des torts mutuels : elle s'exprime hautement, avec aigreur, et son indiscrétion peut éveiller la haine ; l’humeur est, dans le tempérament, comme une mer orageuse qu'un souffle agite, s’apaise d'elle-même lorsqu'on ne lui oppose aucune résistance.

BOUFFON, FACÉTIEUX, PLAISANT. Celui-ci a du sel, de la finesse, même de la malice dans l'esprit ; il plaît, récrée sans effort ; le second fait plus de frais ; il rit avec éclat, en s'abandonnant à son humeur enjouée, sans jamais mordre ; le bouffon emploie beaucoup de gestes, il joue sur les mots pour faire rire de tout, sans retenue, sans goût, et même sans délicatesse.

BOULEVARD, REMPART. Le rempart présente une fortification simple ; le boulevard, une fortification composée, compliquée, ajoutée au rempart. Aux entrées ou frontières d'un État, il faut des boulevards ; aux places moins importantes, des remparts suffisent.

BOUT, EXTRÉMITÉ, FIN. Le bout répond à un autre bout ; l'extrémité, au centre ; la fin, an commencement. On parcourt une allée d'un bout à l'autre ; on pénètre de l’extrémité d'un pays jusqu'à son centre ; on suit une chose depuis son origine jusqu'à sa fin.

BREF, COURT, SUCCINCT. Le temps seul est bref ; la matière et les temps sont courts ; le discours seul est succinct.

BROUILLER, EMBROUILLER. Celui qui brouille met la confusion dans les choses, celui qui embrouille ne fait pas l'arrangement qu'il devait. On ! brouille toutes sortes de choses ; on n'embrouille figurément que les choses qui demandent de l'ordre, de la clarté.

BUT, VUES, DESSEIN. Le but est fixe : c'est où l'on veut aller ; les vues sont plus vagues c'es ce qu'on veut se procurer ; le dessein est plus ferme : c'est ce qu'on veut exécuter. On se propose un but ; on a des vites ; on forme un dessein Le chrétien n'a d'autre but que le ciel, de vue que de plaire à Dieu, de dessein que de faire son salut.

CABALE, COMPLOT, CONSPIRATION, CONJURATION. La cabale est l'intrigue d'un parti pour tourner à son gré les événements ; le complot est un concert clandestin de quelques personnes pour détruire, par un coup décisif et inopiné, ce qui leur fait de la peine ; la conspiration est une trame sourde pour abattre un pouvoir odieux ; la conjuration est une confédération pour opérer, par des entreprises violentes, une révolution.

CABANE, HUTTE, CHAUMIÈRE. Le pauvre habita une cabane, il ne peut guère y être heureux ; le sauvage, une hutte ; le pauvre laboureur, uni chaumière ; le bonheur y habite souvent avec lui l'insouciance animale réside dans la hutte du sauvage ; la misère et la résignation se fixent dans la cabane du pauvre.

CABARET, TAVERNE, AUBERGE, HÔTELLERIE Cabaret est un lieu où l'on vend du vin en détail ; taverne, lieu où l'on a coutume de boire à l'excès et de se livrer à la crapule ; auberge, lien où l'on donne à manger en repas réglés ; hôtellerie, lieu où les voyageurs et les passants sont logés, nourris et couchés pour de l'argent.

CACHER, DISSIMULER, DÉGUISER. On cache par un profond secret ; on dissimule par une conduite réservée ; on déguise par des apparence contraires. On cache par le silence, on dissimule par les démarches, on déguise par les discours.

CADUCITÉ, DÉCRÉPITUDE. Décrépitude se dit e ne peut se dire que des êtres animés ; caducité se dit de même de certaines choses inanimées. La caducité mène à la décrépitude.

CALCULER, COMPTER, SUPPUTER. Compter, c'est énumérer ; supputer, c'est combiner des nombres pour en avoir le total ; calculer, c'est faire de opérations arithmétiques.

CALAMITE, MALHEUR, INFORTUNE. Le malheur est un coup du sort qui frappe un individu, le condamne à l’infortune ; s'il atteint de ses coups un grand nombre de personnes, il devient calamité. Le renchérissement d'une denrée de première nécessité est une calamité qui réduit à l'infortune ceux qui ont le malheur de manquer d'ouvrage ou de santé.

CALENDRIER, ALMANACH. L'indication des mois, des jours, des fêtes, n'est que l'objet du calendrier ; l'almanach contient de plus des observations astronomiques, etc.

CANDEUR, NAÏVETÉ, INGÉNUITÉ. La candeur est pure comme la couleur blanche qui est son image ; la naïveté, fille de la simple nature, est parente de la niaiserie ; l’ingénuité, sœur de la brusque franchise, mais plus douce qu’elle, est plus indiscrète parce qu’elle est plus innocente, elle est dans l’âme. La naïveté est dans le ton et le style ; la candeur est dans l’un et l’autre. Un enfant a de la candeur ; une jeune fille a de l’ingénuité ; le vieillard même peut être naïf. L’ingénuité, la naïveté peuvent se dire ironiquement pour l’effronterie. "La réponse est naïve, l’aveu est ingénu, » dira-t-on d’un coupable qui ne rougit pas de sa faute.

CAPACITÉ, HABILETÉ. Capacité a plus de rapport à la connaissance des préceptes ; habileté, à leur application. Qui a de la capacité, peut ; qui a de l’habileté, réussit.

CAPTIF, ESCLAVE, PRISONNIER. L’esclave est un captif que les Maures ont pris et condamné aux travaux en refusant de lui rendre la liberté. Le prisonnier, privé momentanément de sa liberté par l’ennemi, peut et doit être échangé ; on rachète un captif, on affranchit un esclave. Une

jolie femme rend d’abord captif, et la passion qu’elle enflamme par ses charmes rend esclave. On peut être esclave de son gré ; on n’est retenu captif ou prisonnier que malgré soi.

CARESSER, FLATTER, CAJOLER, FLAGORNER. On caresse ceux que l’on aime ; on flatte ceux qui peuvent servir ou nuire ; on cajole des gens faciles à tromper, à gagner ; on flagorne des supérieurs.

CARNASSIER, CARNIVORE. Carnivore signifie, qui mange de la chair ; carnassier, qui en fait sa nourriture. Carnassier se dit de l’animal qui ne peut vivre que de chair ; l’animal Carnivore n’est pas réduit à cet unique aliment. Le lion est carnassier ; l’homme est carnivore.

CASSER, BRISER, ROMPRE. On casse du bois, du verre, en le frappant, le heurtant ; on rompt du fer, en le faisant céder, fléchir, enfoncer, ployer sous le poids ; on brise une pierre, une statue, en la frappant à grands coups, en l’écrasant, la divisant d’une manière violente, jusqu’à la destruction.

CAUSTIQUE, SATIRIQUE, MORDANT. L’homme naturellement satirique aperçoit les défauts, les ridicules ; s’il se contente de piquer l’amour-propre en les reprenant, il n’est que caustique ; il est mordant, s’il enfonce le trait et fait une blessure à l’honneur : l’esprit satirique se joue avec malice et gaité ; le caustique est taquin, il a de l’humeur ; le mordant est méchant, il a de la haine.

CAUTION, GARANT, RÉPONDANT. La caution s’oblige à satisfaire à un engagement ou à indemniser, si celui qu’elle cautionne manque de foi ou de fidélité ; le garant s’oblige à faire jouir de la chose vendue ; le répondant s’oblige à réparer les torts de celui dont il répond. La caution s’engage pour des intérêts pécuniaires ; le garant, pour des possessions ; le répondant, pour des dommages. Le premier s’engage à payer ; le second, à poursuivre ; le troisième, a dédommager. La caution donne un second débiteur ; le garant, un défenseur ; le répondant, un recours. On est caution d’une personne ; mais on est garant d’un fait, on répond d’un événement. Garantir ne se dit que des choses.

CÉLÉBRITÉ, GLOIRE. La gloire est on appartient exclusivement à ceux qui rendent des services célèbres à leurs semblables ; ceux qui leur nuisent peuvent être célèbres par l’atrocité et la publicité de leurs forfaits.

CERTAIN, SÛR, ASSURÉ. Certain s’emploie pour des choses de spéculation ; sûr, pour les choses qui concernent la pratique ; assuré a rapport à la durée. On est certain d’un point de science ; on est


sûr d’une maxime de morale ; on est assuré d’un fait.

CERTES, CERTAINEMENT, AVEC CERTITUDE. avec certitude désigne que vous avez des motifs puissants pour assurer une chose comme certaine en soi ; certainement désigne la conviction ; certes est une affirmation tranchante qui annonce la conviction la plus intime.

CHAGRIN, TRISTESSE, MÉLANCOLIE. Le chagrin vient du mécontentement ; la tristesse est causée par les grandes afflictions ; la mélancolie est l’effet du tempérament.

CHAÎNES, FERS. Les chaînes sont des anneaux dont l’ensemble forme les fers : toutes les chaînes ne sont pas des fers. Les fers sont pour l’homme, les chaînes pour les bêtes.

CHANCELER, VACILLER. Le corps qui chancelle n’est pas ferme : celui qui vacille n’est point fixé. Le premier est trop mobile, le second trop faible ; on commence par vaciller, on finit par chanceler. Au figuré, le témoin qui chancelle est suspect ; celui qui vacille est indigne de foi.

CHANCIR, MOISIR. Chancir se dit des premiers signes de changement à la surface de certains corps qu’une fermentation dispose à la corruption ; moisir se dit du changement entier.

CHANGE, TROC, ÉCHANGE, PERMUTATION. On change une pièce pour de la monnaie ; on troque une chose pour une autre ; on échange des terres, des prisonniers ; on permute des emplois ecclésiastiques.

CHANGEMENT, VARIATION, VARIÉTÉ. Changement marque le passage d’un état à un autre ; variation, le passage rapide par plusieurs états successifs ; variété, l’existence de plusieurs individus d’une même espèce, sous des états en partie semblables, en partie différents.

CHANTEUR, CHANTRE. Les chanteurs sont des acteurs de l’opéra ou des hommes qui courent les rues ; les chantres sont à l’église et vont aux processions. Le poëte qui célèbre une divinité, etc., est un chantre ; celui qui débite ses vers en musique est un chanteur.

CHARGE, FARDEAU, FAix. La charge est ce qu’on peut porter ; le fardeau est ce qu’on porte ; le faix exprime de plus l’idée d’une impression sur ce qui porte. La charge est forte ; le fardeau est lourd ; le faix accable.

CHARME, ENCHANTEMENT, SORT. Le charme arrête les effets naturels des causes ; l’enchantement se dit de l’illusion des sens ; sort renferme l’idée de quelque chose qui nuit ou trouble la raison. Ils marquent l’effet d’une opération magique qui, appliquée à des êtres insensibles, s’appelle charme ; si elle est appliquée à un être intelligent, il est enchanté ; si elle est durable et cruelle, il est ensorcelé.

CHARMOIE, CHARMILLE. La charmoie est un lieu planté de charmes ; la charmille, un lieu planté de jeunes charmes. La charmoie a rapport au terrain, et semble annoncer une certaine étendue ; la charmille marque nne quantité resserrée et n’est propre qu’aux arbustes.

CHASTETÉ, CONTINENCE. La chasteté prescrit des règles à l’usage des plaisirs de la chair ; la continence en interdit absolument l’usage. Tel est chaste, qui n’est pas continent ; tel est continent, qui n’est pas chaste ; l’un est tont-à-fait moral, l’autre n’est que physique ; un vieillard est continent par impuissance, mais il n’est pas toujours chaste.

CHÂTIER, PUNIR. On châtie celui qui a fait une faute pour l’empêcher d’y retomber ; on punit celui qui a commis un crime, pour le lui faire expier. Le châtiment porte avec lui une idée de la supériorité de celui qui l’inflige.

CHAUD (le), CHALEUR (la). La chaleur est


active et produit le chaud ; le chaud est l’effet brut de la chaleur. On dit, dans le discours, un chaud lourd, étouffant ; et une chaleur ardente, brûlante. Le chaud est un air qui accable ; la chaleur, un feu qui dévore.

CHÉRIR, AIMER. Le premier dit plus que l’autre ; il en est comme la suite. Les amants s’aiment, puis se quittent ; les époux se chérissent pour la vie ; si l’un des deux est renversé dans la tombe, l’autre voudrait s’y précipiter, il a perdu la moitié de lui-même, le reste lui est insupportable.

CHÉTIF, MAUVAIS. Le peu de valeur rend nne chose chétive ; les défauts la rendent mauvaise. En fait de choses d’usage, comme habits, etc., chétif enchérit sur mauvais.

CHOIR, FAILLIR, TOMBER. On fait une chute et l’on se relève ; une faute, et la réputation en est blessée ; on tombe, et l’on se tue, l’on se perd, on est anéanti. Une pièce sifflée fait une chute, et peut réussir après ; l’auteur avait failli, sa faute se répare ; si elle tombe, plus de ressource.

CHOISIR, FAIRE CHOIX. Choisir se dit des choses dont on veut faire usage ; faire choix se dit des personnes qu’on veut employer. Choisir marque la comparaison ; faire choix, la simple distinction. On fait choix de plusieurs objets, entre lesquels on choisit.

CHOISIR, PRÉFÉRER. On préfère ce qu’on choisit. Choisir, c’est se déterminer par le mérite de la chose ; préférer, c’est se déterminer par quelque motif que ce soit.

CHOISIR, ELIRE, FAIRE CHOIX, PRÉFÉRER. Un seul choisit, plusieurs élisent, et tous préfèrent. Lorsqu’on est à même de choisir, on prend ce que l’on préfère, et l’on s’en tient à ce dont on a fait choix : ainsi choisir tient plus à la réflexion ; préférer, au goût ; faire choix, à l’action, à ses conséquences.

CHOQUER, HEURTER. Heurter, c’est choquer rudement ; le choc peut être très-léger. On choque les verres à table, on les casserait en les heurtant. Au figuré, une bagatelle suffit pour choquer bien des gens ; on heurte de front.

CIEL, PARADIS. Le ciel est le séjour de la gloire ; le Paradis, celui de la béatitude. Le ciel est le tabernacle, le temple de Dieu ; le paradis est la cité des bienheureux. C’est Dieu qui fit le ciel ; c’est le bonheur du juste qui fait le paradis. Le paradis est dans le ciel.

CIRCONSPECTION, CONSIDÉRATION, EGARDS, MÉNAGEMENTS. La circonspection a lieu dans le discours ; la considération, dans la manière de traiter les gens ; les égards ne permettent pas de manquer à rien de ce que la bienséance ou la politesse exige ; les ménagements sont amenés pour éviter de choquer ou de faire de la peine, et de tirer avantage.

CIRCONSPECTION, PRUDENCE. Celle-ci peut ne regarder que devant elle ; mais la circonspection regarde tout autour. La circonspection est minutieuse, craintive ; la prudence est sage, mais sans CIRCONSTANCE, CONJONCTURE, OCCURRENCE.

La conjoncture est une disposition du temps de l’action ; la circonstance est une disposition particulière de l’action ; l’occurrence, une occasion favorable qui se présente sans qu’on la cherche. Il fant consulter les conjonctures, prévoir les circonstances, profiter de l’occurrence.

CITÉ, VILLE. La ville est l’enceinte des murailles, ou la population renfermée dans cette enceinte ; la cité est le peuple d’une contrée, habitant une ville et ses environs. La ville a des maisons et des habitants ; la cité, des citoyens.

CITER, ALLÉGUER. On allègue souvent beaucoup de mauvaises raisons sans pouvoir citer na auteur, un exemple à l’appui

CIVILITÉ, POLITESSE. La civilité est un témoignage extérieur et sensible des sentiments intérieurs et cachés ; la politesse ajoute à la civilité ; c’est un cérémonial qui a ses règles de convention ; elle consiste à dire et à faire tout ce qui peut plaire, avec des manières nobles et délicates. Un simple paysan peut être civil ; la politesse suppose de l’éducation. V. POLITESSE.

CIVILITÉ, POLITESSE, AFFABILITE. Celle-ci n’est, à proprement parler, que dans l’air du visage ; un sourd et muet, aveugle et perclus, peut être affable. La politesse y ajoute les paroles, les gestes, et toutes deux réunies sont le fait des hommes civilisés, et polis par l’usage.

CIVISME, PATRIOTISME. Par le patriotisme, on aime sa patrie ; par le civisme, on se consacre entièrement à elle. Le civisme est la conduite ; le patriotisme est le sentiment qui la dirige.

CLARTÉ, PERSPICACITÉ. La clarté tient aux choses ; elle naît de la distinction des idées ; la perspicacité dépend de la manière dont on s’exprime, elle naît des bonnes qualités du style.

CLOÎTRE, COUVENT, MONASTÈRE. L’idée propre du cloître est celle de clôture ; l’idée de couvent, celle de communauté ; l’idée de monastère, celle de solitude. On s’enferme dans un cloître ; on se met dans un couvent ; on se retire dans un monastère.

CLORRE, FERMER. La clôture est plus vaste, plus rigoureuse, plus stable, que la fermeture. Une fenêtre est fermée, et elle peut n’être pas bien close.

CLYSTÈRE, LAVEMENT, REMÈDE. Clystère n’a plus lieu que dans le burlesque ; lavement, que dans les auteurs ; on ne dit plus que remède.

CŒUR, COURAGE, VALEUR, BRAVOURE, INTRÉPIDITÉ. Le cœur bannit la crainte ; le courage est impatient d’attaquer ; la valeur agit avec vigueur ; la bravoure court au danger, préfère l’honneur à la vie, on la mort à la crainte ; l’intrépidité affronte le péril le plus évident. Le cœur soutient dans l’action ; le courage fait avancer ; la valeur fait exécuter ; la bravoure fait qu’on s’expose ; l’intrépidité fait qu’on se sacrifie.

COLÈRE, COURROUX, EMPORTEMENT. La colère marque une passion intérieure et de peu de durée ; le courroux tient de la supériorité, respire la vengeance ou la punition ; il est d’un style plus relevé ; l’emportement est un monvement de colère qui éclate et passe promptement. Tous trois expriment une disposition de l’âme trop fortement agitée par quelque chose qui la contrarie, ou lui résisté. L’ordre même des mots exprime la gradation de l’émotion des sèntimcnts. Le courroux est la marque ordinaire, extérieure de la colère, l’emportement en est l’excès ; le courroux, plus noble, peut cependant n’être pas exprimé. C’est une tempête intérieure qui devient emportement lorsqu’elle fait explosion.

COLÈRE, COLÉRIQUE. Colère marque le fait ; colérique, l’inclination. Un homme est colère, et il a l’humeur colérique. L’humeur colérique rend colère. On peut être colérique sans être colère, et colère sans être colérique.

COMMANDEMENT, ORDRE, PRÉCEPTE, INJONCTION, JUSSION. Commandement exprime avec plus de force l’exercice de l’autorité ; ordre a plus de rapport à l’instruction ; précepte indique l’empire sur les consciences ; injonction désigne le pouvoir dans le gouvernement ; jussion renferme une idée de despotisme.

COMMENTAIRE, CLOSE. La glose est plus littérale, et se fait presque mot a mot ; le commentaire est plus libre, et moins scrupuleux à s’écarter de la lettre.

COMMERCE, NÉGOCE, TRAFIC. Le commerce est l’échange de valeurs pour valeurs ; le négoce est

une partie du commerce exercée par des gens voués à cette profession ; le trafic fait passer les marchandises de mains en mains ; c’est le service du négoce. Une nation fait le commerce ; une compagnie fait nn négoce ; le revendeur fait un trafic.

COMMIS, EMPLOYÉ. Le commis a nne commission, il a ses instructions ; l’employé a un emploi, il obéit à un chef. Le commis dirige, l’employé agit. On parle de la fortune des commis puissants ; on plaint le sort des pauvres employés.

COMPLAIRE, PLAIRE. Complaire, c’est agir dans la vue d’être agréable à quelqu’un ; plaire. c’est effectivement être agréable : le premier est un moyen de parvenir au second.

COMPLAISANCE, DÉFÉRENCE, CONDESCENDANCE.

La complaisance est le désir de complaire ; la déférence est l’acquiescement aux volontés des autres ; la condescendance nous fait quitter notre supériorité, notre autorité, pour nous prêter à leur satisfaction.

CONCLUSION, CONSÉQUENCE. La conclusion est la proposition qui suit les prémisses ; la conséquence est la liaison de la conclusion avec les prémisses.

CONCUPISCENCE, CUPIDITÉ, AVIDITÉ, CONVOITISE. La concupiscence est la disposition habituelle TISE. La concupiscence est la disposition habituelle de l’âme à désirer les biens sensuels ; la cupidité est un désir violent ; l’avidité, un désir insatiable ; la convoitise, un désir illicite de ces biens.

CONDITION, ÉTAT. La condition a rapport au rang ; l’état, à la profession.

CONDUIRE, GUIDER, MENER. On conduit et l’on guide ceux qui ne savent pas les chemins ; on mène ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas aller seuls. La tête conduit ; l’œil guide ; la main mène.

CONFÉRER, DÉFÉRER. On dit l’un et l’autre, en parlant des dignités et des honneurs que l’on donne. Conférer est une acte d’autorité ; déférer est une acte d’honnêteté.

CONFIER (SE), FIER (SE). On se confie à un guide, à un conducteur, à un pilote : de son adresse dépend le sort de celui qui se confie à lui ; on se fie à un dépositaire, à un ouvrier, à un marchand. Dans un autre sens, on se confie à un confesseur, à un médecin, à un homme de loi ; on se fie à la probité, à un ami.

CONFISEUR, CONFITURIER. Le confiseur fait les confitures ; le confiturier les vend.

CONFRÈRE, COLLÈGUE, ASSOCIÉ. Les confrères sont d’un même corps ; les collègues travaillent à une même opération ; les associés ont un objet commun d’intérêt.

CONFUS, DÉCONCERTÉ, INTERDIT. La honte d’un mensonge dévoilé rend confus ; une repartie vive, brusque on piquante déconcerte ; le respect qu’inspire la grandeur, jointe au mérite, rend interdit.

CONNEXION, CONNEXITÉ. La connexité ne dénote qu’un simple rapport ; la connexion énonce une liaison effective, fondée sur ce rapport. Par la connexité, les choses sont faites pour être ensemble ; par la connexion, elles le sont.

CONNAISSANCE, SCIENCE. Dans une science, les faits sont une suite nécessaire des principes existant indépendamment de ces faits, qui ne sont que des conséquences des principes ; dans une connaissance, ce qu’il convient à quelques auteurs

qui en traitent de nommer principes, ne sont au contraire que les conséquences d’une multitude de faits analogues, contrariés par de nombreuses exceptions. On donne le nom pompeux de science à de simples connaissances, telles que la botanique, qui n’a que des faits sans principes fixes, sans rai. ~onnements : les mathématiques, la physique sont des sciences dont les principes im-

muables existent indépendamment des faits. le connaissances n’exigent que de la mémoire et a esprit d’ordre ; pour acquérir une science, il fan presque toutes les qualités de l’esprit. Les vrai savants sont de grands hommes.

CONSEIL, AVIS, AVERTISSEMENT. Un ami ~donne des conseils ; un supérieur, des avis ; la mort d’m parent est un avertissement. (D’Alembert.)

CONSENTEMENT, CONVENTION, ACCORD. Den particuliers, d’un commun consentement, ont fai ensemble une convention, au moyen de laquell ils sont d’accord. Ainsi le consentement est ] disposition des parties ; la convention, l’actio elle-même ; et l’accord, le résultat de l’action.

CONSENTEMENT, PERMISSION, AGRÉMENT. I consentement se demande aux personnes intére : sées ; la permission se donne par les supérieur : il faut avoir l’agrément de ceux qui ont quelqu droit sur la chose, pour en disposer.

CONSENTIR, ACQUIESCER, ADHÉRER, ~TOMU D’ACCORD. Nons consentons à ce que les autre veulent ; nous acquiesçons à ce qu’on nous prt pose ; nous adhérons à ce qui est fait et concl par d’autres ; nous tombons d’accord de ce qu’il nous dit.

CONSIDÉRABLE, GRAND. La place rend un homn considérable ; le mérite et la vertu seuls peuvei le rendre grand.

CONSIDÉRATION, RÉPUTATION. La réputation e le fruit des talents ; la considération est ~attacha à la place, au crédit, aux vertus.

CONSIDÉRATION, EGARDS, RESPECT, DÉFÉRENCE. On a du respéct pour l’autorité ; des égards po la faiblesse ; de la considération pour la ~personne de la déférence pour un avis.

CONSIDÉRATIONS, OBSERVATIONS, RÉFLEXION PENSÉES. Considérations exprime cette action 1 l’esprit qui envisage un objet sous ses différent faces ; observations exprime les remarques que 1’< fait ; réflexions regarde la conduite de la vie ; pe sées marque indistinctement les jugements 4 l’esprit.

CONSOMMER, CONSUMER. Ces deux mots ont la signification d’achever ; consumer achève détruisant le sujet, et consommer achève en mettant dans la dernière perfection.

CONSTANCE, FIDÉLITÉ. L’amant constant air constamment la même personne ; l’amant fidèle n’en aime point d’autre. Il est inconstant s’il a cessé d’aimer, mais il est fidèle ; de même constance peut n’être pas toujours accompagnée de la fidélité.

CONSTANT, FERME, INÉBRANLABLE, INFLEXIBLE. Ferme désigne un courage qui ne s’abat point, inébranlable, un courage qui résiste aux obstacles ; inflexible, un courage qui ne s’amollit point. Les trois derniers ajoutent une idée de courage constant.

CONSTRUIRE, BÂTIR. On bâtit une chaumière, on construit un palais. Construire, c’est bâtir par pièces, par parties, un édifice dont l’ensemble est bien ou mal construit. Cependant, si l’on a attention à la disposition seule des pierres, on dit d’un mur qu’il est bien ou mal construit.

CONTE, FABLE, ROMAN. Un conte est une aventure feinte, narrée par un auteur connu ; une fable est une aventure fausse et amusante dont on ignore l’origine ; un roman est une suite d’aventures supposées.

CONTENTEMENT, JOIE, SATISFACTION, PLAISIR. Le contentement regarde l’intérieur d’un œil content ; la joie en est la démonstration extérieure ; la satisfaction est un retour sur le succès ; le plaisir est une sensation agréable.

CONTENTEMENT, SATISFACTION. Le contentement est plus dans le cœur ; la satisfaction est plus da l’esprit. Le premier est un sentiment qui rend toujours l’âme tranquille ; le second la jette quelquefois dans le trouble.

CONTIGU, PROCHE. Des terres sont contiguës ; des arbres sont proches l’on de l’autre ; les unes se touchent, les autres ne sont séparés que par une petite distance.

CONTINU, CONTINUEL. La chose est continue par la tenue de sa constitution ; continuelle, par la tenue de sa durée. Le bruit continuel d’un moulin n’est pas continu.

CONTINUATION, CONTINUITÉ. Continuation se dit de la durée ; continuité, de l’étendue. La continuation d’une même conduite ; la continuité d’un édifice.

CONTINUATION, SUITE. On continue ce qui n’est pas achevé ; on donne une suite à ce qui l’est.

CONTINUER, PERSÉVÉRER, PERSISTER. Continuer, c’est faire comme on a fait jusque-là ; persévérer, c’est continuer sans vouloir changer ; persister, c’est persévérer avec constance ou opiniâtreté. On continue par habitude ; on persévère par réflexion ; on persiste par attachement.

CONTINUER, POURSUIVRE. Continuer marque la suite du premier travail ; poursuivre marque, avec la suite, une volonté déterminée d’arriver à la fin. On continue son voyage ; on le poursuit nonobstant les dangers.

CONTRAINDRE, FORCER, VIOLENTER. Le dernier de ces mots enchérit sur le second, comme celui-ci sur le premier. Contraindre gêne l’inclination \ forcer exprime l’atteinte portée à la liberté par une autorité puissante ; violenter exprime l’anéantissement de-la liberté par une force irrésistible. Il faut quelquefois user de contrainte à l’égard des enfants ; de force, à l’égard du peuple ; et de violence, à l’égard des libertins.

CONTRAINDRE, OBLIGER, FORCER. Ces mots désignent en général une chose que l’on fait contre son gré. On dit, le respect force à me taire, la reconnaissance m’y oblige, l’autorité m’y contraint, le mérite oblige les indifférents à le priser ; il y force un. rival juste, il y contraint l’envie.

CONTRAVENTION, DÉSOBÉISSANCE. La contravention est aux choses ; la désobéissance, aux personnes. La contravention à un règlement est ine désobéissance à l’autorité.

CONTRE, MALGRÉ, NONOBSTANT. Nonobstant marque une opposition légère : le scélérat commet le crime dans les temples, nonobstant la sainteté du lieu. Contre marque une opposition formelle, on agit contre la règle ; malgré désigne une opposition de résistance, on agit malgré les avis.

CONTREFACTION, CONTREFAÇON. La contrefaçon est l’action de contrefaire ; la contrefaçon est l’effet de cette action.

CONTREVENIR, ENFREINDRE, TRANSGRESSER, VIOLER. Contrevenir, c’est agir contre les ordres ; enfreindre, c’est agir contre dès engagements ; transgresser, c’est outre-passer les bornes fixées ar les lois ; violer, c’est agir contre les lois les lus sacrées.

CONTRITION, REPENTIR, REMORDS. La contrition regarde le péché, elle glace le cœur ; et le repentir regarde toute espèce d’action considérée comme mal, il agite l’âme ; le remords regarde le rime, il jette le trouble dans la conscience.

CONVAINCRE, PERSUADER. On est convaincu par s raisonnement, persuadé par l’éloquence ; l’un parle à l’esprit, l’autre au cœur. Souvent l’on est convaincu de la nécessité d’un sacrifice, mais faut qu’un ami persuade de le faire.

CONVENTION, CONSENTEMENT, ACCORD. La convention est née de l’intelligence entre les parties, et détruit l’idée de l’éloignement. Le consentement appose un droit et de la liberté, et fait disparaître l’opposition. L’accord produit la satisfaction réciproque, et fait cesser les contestations.


CONVERSATION, ENTRETIEN, COLLOQUE, DIALOGUE. Conversation indique un discours entre particuliers sur toutes les matières ; entretien, un discours sur une matière sérieuse et déterminée ; colloque, un discours prémédité sur des matières de controverse (le colloque de Poissy) ; dialogue désigné la manière dont s’exécutent les parties d’un discours lié.

CONVICTION, PERSUASION. La conviction est seule l’effet de l’évidence ; la persuasion est l’effet des preuves morales qui peuvent tromper. On est convaincu d’une vérité ; on peut être persuadé d’une erreur. La conviction est l’effet de la démonstration ; la persuasion, celui de l’éloquence, et souvent moins durable que le premier.

CONVIER, INVITER. On convie à un repas un ou plusieurs convives ; on invite aussi une et même plusieurs personnes, non seulement à un repas, mais à un bal, à un concert. Convier est plus amical ; inviter exige de la cérémonie.

COQUETTERIE, GALANTERIE. La coquetterie cherche à faire naître des désirs ; et la galanterie, à satisfaire les siens.

CORRECTION, EXACTITUDE. La correction tombe sur les mots et les phrases ; l’exactitude, sur les faits et les choses.

CORRIGER, REPRENDRE, RÉPRIMANDER. Celui qui corrige montre la manière de rectifier ; celui qui reprend ne fait que relever la faute ; celui qui réprimande prétend punir.

CORRUPTION, DÉPRAVATION. La dépravation dé. forme, dénature ; la corruption décompose. Ce qui est droit, parfait, se déprave ; ce qui est pur se corrompt. On dit dépravation d’esprit, et corruption de cœur.

COSMOGONIE, COSMOGRAPHIE, COSMOLOGIE. La cosmogonie est la connaissance de la formation de l’univers, la cosmographie est la science de la description de ses parties ; la cosmologie est une physique générale qui examine les résultats des faits, et tâche de découvrir les lois générales par lesquelles l’univers est gouverné. La première est conjecturale ; la seconde, descriptive ; la troisième, expérimentale.

COULER, ROULER, GLISSER. Couler marque le mouvement des fluides et des poudres impalpables ; rouler, c’est se mouvoir en tournant sur soi-même ; glisser, c’est se mouvoir en présentant la même surface.

COULEUR, COLORIS. La couleur est ce qui distingue la superficie des objets ; le coloris est l’effet particulier qui résulte de la qualité et de la force de la couleur.

COUP (TOUT-A-), TOUT D’UN COUP. Ce qui se fait tout d’un coup ne se fait ni par degrés, ni à plusieurs fois, mais peut être prémédité ; ce qui se fait tout-à-coup n’est ni prévu, ni attendu, mais se fait en nn instant, sur-le-champ.

COUPLE, PAIRE. Une paire de pigeons suffit pour peupler une volière ; une couple de pigeons ne suffit pas pour le dîner de six personnes. La’couple ne marque que le nombre ; la paire y ajoute l’idée d’une association. Un boucher achète. une couple de bœufs ; le laboureur en achète une paire.

COUR (DE), COUR (DE LA). Un homme de cour ne peut être qu’un courtisan ou l’un des grands officiers qui approchent le roi ; un homme de la cour peut n’être qu’un simple officier, même nn valet. Les amis de cour ne sont que de faux amis ; il peut s’en trouver de sincères parmi les hommes de la cour. Une femme de la cour y est fixée par sa naissance ou son état ; une femme de cour est une femme d’intrigues, etc.

COURAGE, BRAVOURE, VALEUR. Le courage est dans tous les événements ; la bravoure n’est qu’à la guerre ; la valeur est partout où il y a un péril à affronter. La bravoure vainc l’obstacle ; le courage raisonne les moyens de le détruit e ; la valeur le cherche.

COURAGE, BRAVOURE. La bravoure est dans le sang ; le courage est dans l’âme. La première est un instinct ; le second est une vertu.

COURSIER, CHEVAL, ROSSE. Cheval est le nom de l’espèce ; coursier renferme l’idée d’un cheval courageux et brillant ; rosse, celle d’un cheval vieux et usé, ou chétif.

COUTUME, HABITUDE. Le premier a rapport à l’objet, elle le rend familier ; le second, à l’action elle-même qui familiarise avec lui. On s’accoutume facilement à la laideur ; on s’habitue avec peine à servir quand on a commandé.

CRAINDRE, APPRÉHENDER, REDOUTER, AVOIR PEUR. On craint par aversion pour le mal qui peut arriver ; Ion appréhende par désir pour le bien qui peut manquer ; on redoute un adversaire ; on a peur par l’idée du danger.

CRAINTE, APPRÉHENSION, PEUR. L’appréhension est le commencement de la crainte, qui alors devient peur. En entendant gronder la foudre, on a l’appréhension de l’orage ; les éclairs donnent la crainte ; et l’éclat du tonnerre, la peur.

CRÉANCE, CROYANCE. La croyance est une opinion ; la créance est une croyance ferme, entière. La croyance n’annonce pas la conviction qu’annonce la créance. La créance a trait au crédit ; la croyance en fait abstraction.

CRÉDIT, FAVEUR. Nous avons du crédit auprès de quelqu’un lorsque notre ascendant sur lui ou sa confiance en nous détermine sa volonté suivant nos désirs ; si sa faiblesse ou sa bienveillance pour nous le dispose à faire tout ce qui peut nous plaire, nous avons sa faveur. Le crédit de Sally triompha de la faveur des maîtresses.

CREUSER, APPROFONDIR. Approfondir, c’est creuser plus avant. Au figuré, creuser a plus de rapport à l’action du travail ; approfondir, -au terme du travail et au succès.

CRI, CLAMEUR. Le dernier de ces mots ajoute à l’autre une idée de ridicule par son objet ou par son excès. Le sage respecte le cri public, et méprise les clameurs des sots. Le cri peut être la voix de plusieurs passions ; la clameur est celle de la terreur. Les cris de guerre excitent les clameurs.

CRIME, FAUTE, PÉCHÉ, DÉLIT, FORFAIT. Le péché est une faute contre la loi divine ; le délit, contre la loi humaine ; le crime, contre l’humanité ; le forfait est un crime grave ; la faute est le terme générique adouci.

CRITIQUER, CENSURER. Dire d’un système qu’il est démenti par l’expérience, c’est le censurer ; le prouver, c’est le critiquer.

CROIRE (FAIRE), ACCROIRE (FAIRE).On fait croire une chose vraie ou vraisemblable ; on fait accroire des sottises ou des mensonges.

CROIX, PEINES, AFFLICTIONS. Le premier, de style dévot, renferme les deux autres. Les croix sont distribuées par la Providence ; les peines sont des suites de l’état où l’on se trouve ; les afflictions naissent des accidents qui sout causés par le hasard.

CROYANCE, FOI. Le dernier désigne la persuasion des mystères ; la croyance des choses révélées constitue la foi. La croyance est une persuasion déterminée par quelque motif que ce puisse être ; la foi est une persuasion déterminée par l’autorité de celui qui a parlé.

CURE, GUÉRISON. On fait une cure ; on procure une guérison. La première a rapport au mal ; la seconde, à 1 état du malade. La cure n’a pour objet que les maux opiniâtres et d’habitude ; la guérison regarde les maladies légères.

DAM, DOMMAGE, PERTE. Le premier de ces trois mots n’est plus guère usité que parmi les théologiens, pour désigner les peines que les damnés souffriront par la privation de la vue de Dieu ; c’est ce qu’on nomme La peine du dam. Le dommage diffère de perte, en ce qu’il désigne une privation qui n’est pas totale. Ainsi on dit : la perte de la moitié de mon revenu me causerait un dommage considérable. Une perte se remplace ; un dommage peut se réparer.

DANGER, PÉRIL, RISQUE. Le danger est une disposition des choses qui menace de quelque malheur ; le péril est une situation présente dans laquelle il y a un grand danger ; le risque, une situation dans laquelle on a lieu de craindre ou d’espérer. Un général court le risque d’une bataille, et il est en danger de la perdre, si ses soldats" l’abandonnent dans le péril. Un vrai soldat s’expose à tous les dangers, court tous les risques, et brave tous les périls.

DANS, EN. Dans a un sens précis et défini, dans la chambre ; en a un sens vague et indéfini, on est en ville. On met en prison, et dans les cachots. Dans marque le temps où on exécute les choses, et en celui qu’on emploie aies exécuter. La mort arrive dans le moment, et l’on passe en un instant. Si ces mots indiquent l’état, dans est d’usage pour le sens particulier, et en pour le sens général. Vivre dans une entière liberté, vivre en liberté.

DÉBATTRE, DISCUTER. On débat par intérêt les articles d’un compte ; on discute par simple curiosité une question intéressante.

DEBOUT, DROIT. On est droit, lorsqu’on n’est ni courbé, ni penché ; on est debout, quoique penché, lorsqu’on est sur ses pieds.

DÉBRIS, DÉCOMBRES, RUINES. Les deux derniers ne s’appliquent qu’aux édifices ; le troisième suppose que les édifices détruits étaient considérables. Et on dit, les débris d’un vaisseau ; les décombres d’un bâtiment ; les ruines d’un palais ou d’une ville.

DÉCADENCE, DÉCLIN, DÉCOURS. La décadence est l’état de ce qui déchoit ; le déclin, de ce qui s’affaiblit ; le décours, de ce qui décroit. Et on dit la décadence des fortunes ; le déclin du jour ; le décours de la lune.

DÉCADENCE, RUINE. Le premier prépare le second, qui en est l’effet. La décadence d’un empire annonce sa ruine.

DÉCELER, DÉCOUVRIR, MANIFESTER, RÉVÉLER. Ces mots font connaître ce qui est caché. On découvre son secret ; on révèle celui des autres ; on manifeste ses vertus, ses desseins ; on décèle ses vues et ses intentions perfides.

DÉCENCE, BIENSÉANCE, CONVENANCE. Une femme est vêtue avec décence, lorsqu’elle est sans immodestie ; avec bienséance, lorsqu’elle l’est suivant son état ; avec convenance, lorsqu’elle l’est selon la saison et les circonstances. On garde la décence ; on défère à la bienséance ; on consulte la convenance.

DÉCENCE, DIGNITÉ, GRAVITÉ. La décence renferme les égards que l’on doit au public ; la dignité, ceux que l’on doit à sa place ; la gravité, ceux qu’on se doit à soi-même.

DÉCIDER, JUGER. On décide une contestation et une question ; on juge une personne et un ouvrage. Les journalistes décident ; les connaisseurs jugent ; on décide quelqu’un à prendre un parti ; on juge qu’il le prendra.

DÉCISION, RÉSOLUTION. La décision est un acte de l’esprit, et suppose l’examen ; la résolution est ifn acte de la volonté, et suppose la délibération. Nos décisions doivent être justes ; nos résolutions doivent être fermes.

DÉCLARER, DÉCOUVRIR, MANIFESTER, RÉVÉLER, DÉCELER. Déclarer, dire pour instruire ; découvrir, montrer ce qui était caché ; manifester, produire les sentiments intérieurs ; révéler, rendre public ce qui a été confié sous secret ; et déceler, nommer celui qui ne veut pas être cru l’auteur.

DÉCOURAGEMENT, ACCABLEMENT, ABATTEMENT. V. ABATTEMENT.

DÉCOUVERTE, INVENTION. L’idée de la découverte tient plus de la science ; celle de l’invention tient plus de l’art. La découverte étend nos connaissances ; une invention ajoute au secours dont nous avons besoin.

DÉCOUVRIR, TROUVER. On découvre ce qui est caché ou secret, soit au moral, soit au physique ; on trouve ce qui ne tombe pas de soi-même sous les sens ou dans l’esprit.

DÉCRET, Loi. Le décret est l’effet de la loi.

DÉCRIER, DÉCRÉDITER. Le premier attaque l’honneur ; le second, le crédit. On décrédite-un ambassadeur, en disant qu’il n’a pas de pouvoirs ; on le décrie, en disant qu’il est sans foi.

DÉDIRE (SE), RÉTRACTER (SE). On se dédit de ce qu’on a dit légèrement ; on se rétracte de ce que l’on a avancé, ou soutenu. On se dédit d’un marché, on rétracte un serment.

DÉFAITE, DÉROUTE. Déroute ajoute à défaite, et désigne une armée qui fuit en désordre.

DÉFAVEUR, DISGRÂCE. La défaveur momentanée prélude à la disgrâce, qui est plus durable. La défaveur se témoigne par des froideurs, des dédains ; la disgrâce frappe et abat.

DÉFENDRE, SOUTENIR, PROTÉGER. On défend ce qui est attaqué ; on soutient ce qui peut l’être ; on protège ce qui a besoin d’être encouragé. On est protégé par les autres ; on peut se défendre et se soutenir par soi-même.

DÉFENDU, PROHIBÉ. Défendu désigne ce qu’il n’est pas permis de faire, en conséquence de la morale, de la justice, d’un ordre, d’une loi : prohibé ne se dit que des choses défendues par une loi humaine.

DÉFENSE, PROHIBITION. La défense porte sur ce qui nuit ; la prohibition s’applique à ce qui pourrait être permis. Le vol est défendu, l’importation est prohibée. — La prohibition produit toujours la défense ; alors la défense a un rapport particulier aux personnes. La prohibition des marchandises étant décrétée, il fut fait défense d’en introduire.

DÉGOÛTANT, FASTIDIEUX. Dégoûtant a plus de rapport au corps ; fastidieux en a plus à l’esprit. La malpropreté rend les femmes dégoûtantes ; les minauderies les rendent fastidieuses.

DEGRÉ, MARCHE. Degré indique la hauteur ; marche marque l’étendue. Les degrés sont égaux, si les hauteurs sont égales ; les marches, sont égales, si leur largeur est égale.

DÉGUISER, TRAVESTIR, MASQUER. Celui qui se masque se couvre d’un faux visage ; celui qui se déguise change ses apparences ; celui qui se travestit prend un autre costume. On se masque pour aller au bal ; on se déguise pour une intrigue ; on se travestit pour ne pas être reconnu. L’espion se déguise ; le comédien se travestit.

DÉLATEUR, DÉNONCIATEUR. Le délateur cherche, découvre et rapporte ce qu’il croit avoir vu, ce qu’il est intéressé à faire croire ; le dénonciateur ne fait que manifester un délit.

DÉLIBÉRER, OPINER, VOTER. Délibérer, discuter des raisons pour et contre ; opiner, motiver son avis ; voter, donner son suffrage.

DÉLICAT, DÉLIÉ. La sensibilité de l’âme produit la délicatesse ; la finesse de l’esprit, l’artifice, font le délié. Les gens délicats sont assez souvent déliés ; mais les gens déliés sont rarement délicats. L’homme délicat pousse la probité jusqu’au scrupule, l’homme délie se débarrasse avec adresse de ses liens ; ce qui est délicat touche légèrement ;


ce qui est délié ne peut être touché, saisi, palpé, qu’avec délicatesse.

DÉLICIEUX, DÉLECTABLE. Délicieux affecte à l’objet un caractère de suavité, de délicatesse délectable exprime la propriété d’exciter le goût de prolonger le plaisir avec une sorte de sensualité, de tressaillement. En savourant la chose délectable, il semble que vous mâchiez le plaisir : en savourant la chose délicieuse, il semble qui vous en exprimiez voluptueusement ce qu’elle a de plus délicat.

DÉLIRE, EGAREMENT. Le délire est un dérangement momentané de l’esprit causé par la fièvre ou l’excès de la douleur ; l’égarement est un déliré prolongé : un malheur affreux, une maladie, un coup violent, peuvent égarer les plus fortes têtes.

DEMEURANT (AU), SURPLUS (AU), RESTE (AU) RESTE (DU). Le premier désigne le résultat, la fin, le terme, où l’esprit doit s’arrêter : il a tel et tel défaut ; au demeurant, c’est un honnête homme Au surplus suppose une série, une gradation ou une cumulation d’idées, auxquelles on ajouta une autre idée pour finir : voilà d’étranges nouvelles ; mais, au surplus, je ne les garantis pas. Au reste désigne ce qui reste à dire, une observation qu’il faut rappeler : je vous conseille de faire telle ou telle chose ; au reste, vous êtes le maître. Du reste annonce une relation moins essentielle je vous conseille…, du reste, cela m’est égal.

DEMEURER, LOGER. Demeurer se dit par rapport au lieu que l’on habite ; loger, par rapporte à l’édifice. On demeure à Paris ; on loge au Louvre, en hôtel garni.

DEMEURER, RESTER. Demeurer, c’est ne pas quitter le lieu où l’on est ; rester a, de plus, un idée accessoire de laisser aller les autres. Le premier laisse l’idée de la liberté. La sentinelle reste son poste ; le dévot demeure long-temps à l’église.

DÉMOLIR, RASER, DÉMANTELER, DÉTRUIRE On démolit par économie, ou pour réédifier ; on rase afin de laisser un monument de la vindicte publique ; on démantèle pour mettre une place hors de défense ; on détruit pour ne pas laisser subsister. Un particulier fait démolir ; la justice fait raser ; un général d’armée fait démanteler un place qu’il a prise, et pour cela il en fait détruire les fortifications.

DÉMONSTRATION D’AMITIE, TÉMOIGNAGE D’AMITIÉ. Les démonstrations sont extérieures ; elles consistent dans un accueil obligeant. Les témoignages sont plus intérieurs ; ils consistent dans les services essentiels.

DÉNOUEMENT, CATASTROPHE. Le dénouement démêle l’intrigue ; la catastrophe termine l’action. Le dénouement amène la catastrophe ; la catastrophe complète le dénouement.

DENSE, EPAIS. Épais a rapport à la profondeur des corps solides ; dense, à leur compacité, leur pesanteur, comparativement au volume. Une planche est épaisse d’un pouce, l’or est plus dense que l’argent. Épais est l’opposé de mince ; dense est l’opposé de rare.

DÉNUÉ, DÉPOURVU. Le premier marque privation entière, absolue ; le second exprime une disette plus ou moins grande et particulière à certains objets. L’homme dénué de biens est dans la misère ; l’homme dépourvu de biens est dans le besoin. Dénué ne se dit qu’au figuré ; dépourvu se dit dans les deux sens.

DE PLUS, D’AILLEURS, OUTRE CELA. De plus n’a rapport qu’au nombre : il a tel défaut, de plus, il est menteur. D’ailleurs amène une raison différente : le temps ne permet pas de se mettre en route ; d’ailleurs, la route est infestée de voleurs. Outre cela amène une raison nouvelle : cette affaire m’empêche de me rendre aujourd’hui chez vous ; outre cela, il est beaucoup trop tard.

DÉPOUILLER UNE CHOSE, SE DÉPOUILLER D’UNE CHOSE. Le premier porte directement sur l’objet dont on veut être dépouillé ; le second porte directement sur le sujet qui se dépouille. Si le prince se dépouille de sa grandeur, vous le voyez tel qu’un homme privé ; s’il la dépouille, vous la voyez s’évanouir.

DÉRRISER, DÉPRIMER, DÉGRADER. L’homme simple se déprise : il ne s’évalue pas lui-même ; l’homme modeste ou l’hypocrite se déprime : il se connaît, mais fait le sacrifice de son mérite à la raison ou à l’intérêt ; l’homme bas et vil se dégrade ; il se met au-dessous de ceux qu’il craint, quoiqu’il ait plus de talents, de fortune qu’eux.

DÉPRISER, MÉPRISER. Mépriser, c’est ne reconnaître aucun prix à un être ; dépriser, c’est seulement rabattre d’un prix. Cette différence très prononcée doit faire admettre le substantif dépris.

DÉROBER, VOLER. On dérobe furtivement une

bagatelle ; on volé souvent avec violence le bien d’autrui. Dérober se dit des petites choses ; voler s’applique toujours à des objets plus importants.

DÉROGATION, ABROGATION. La dérogation laisse subsister la loi ; abrogation l’annulle.

DÉSAPPROUVER, IMPROUVER, RÉPROUVER. On désapprouve, par un simple jugement, ce qui ne paraît pas bon ; on improuve, par des discours, ce qu’on trouve mauvais ; on réprouve les condamnations qu’on juge odieuses.

DÉSERT, INHABITÉ, SOLITAIRE. Un lien désert est vide, inculte ; un lien inhabité est sans habitants ; un lieu solitaire n’est pas fréquenté. Les landes sont désertes ; les rochers sont inhabités ; les bois solitaires.

DÉSERTEUR, TRANSFUGE. Le transfuge est un déserteur qui passe au service des ennemis. Le déserteur ne fait que quitter ses drapeaux pour ne plus servir ; le transfuge quitte le sien et va se ranger sons ceux de l’ennemi.

DÉSHONNÊTE y MALHONNÊTE. Déshonnête est contraire à la pureté des mœurs et du langage ; malhonnête, à la civilité, à la droiture. Déshonnête se dit des choses ; malhonnête, des choses et des personnes, Ce qui est déshonnête est toujours malhonnête ; mais il n’y a pas réciprocité.

DÉSIR, SOUHAIT. Le souhait naît de la réflexion il est presque toujours exprimé ; le désir naît souvent de l’instinct, et très-souvent on n’ose l’exprimer, on en rougit. Tels sont les désirs de la ruine, des gens qui ne vous nuisent en rien.

DÉSOCCUPÉ, DÉSŒUVRÉ. On est désoccupé quand on n’a rien à faire de ce qui occupe ; on est désœuvré, lorsqu’on ne fait absolument rien, même rien qui amuse. L’homme désoccupé a du loisir ; l’homme désœuvré est tout oisif.

DESSEIN, PROJET, ENTREPRISE. Le projet est une idée dans l’esprit ; le dessein y ajoute le plan, les moyens d’exécution ; l’entreprise commence à les mettre en œuvre.

DESTIN, DESTINÉE, SORT. Le destin règle, ordonne, dispose d’une manière immuable tous les événements qui doivent composer notre vie ; la destinée est le résultat de cet ordre, de cette disposition, et pour ainsi dire ces événements en action ; elle est fille du destin ; le sort est plus particulier à quelqu’un de ces événements et ne suit aucune règle ; il fait partie de la destinée et est soumis au destin.

DÉTOURNER, DISTRAIRE, DIVERTIR. On distrait des deniers, des papiers, en les mettant à part ; on les détourne, en les éloignant de leur destination ; on les divertit, en se les appropriant, et en en disposant. En parlant des personnes, il suffit d’interrompre l’attention de quelqu’un, pour le distraire de son travail ; il faut l’occuper, pour l’en détourner ; il faut le lui faire abandonner, pour l’en divertir.

DÉTROIT, DÉFILÉ, GORGE, COL, PAS. Le détroit est un lieu serre, où l’on passe difficilement ; le défilé, où l’on ne peut passer qu’à la file ; la gorge est l’entrée d’un passage étroit ; le col est un passage étroit qui s’élargit à l’entrée et à la sortie ; le pas est un peu long.

DEVANCER, PRÉCÉDER. Devancer signifie prendre les devants, aller plus vite ; précéder signifie marcher le premier. Ces mots marquent un rapport de temps ; devancer exprime une antériorité d’action ; précéder, une priorité d’existence, d’ordre. La nuit précède le jour ; l’aurore devance le soleil. Celui qui sait mieux courir devance son adversaire ou son compétiteur, et a le prix ; celui qui, de droit ou de fait, est le premier en ordre, précède les autres et a la primauté.

DEVIN, PROPHÈTE. Le devin découvre ce qui est caché ; le prophète prédit ce qui doit arriver. La divination regarde le présent et le passé ; la prophétie a pour objet l’avenir.

DEVOIR, OBLIGATION. Le devoir dit quelque chose de plus fort pour la conscience : il émane de la loi ; l’obligation dit quelque chose de plus absolu pour la pratique : elle tient de l’usage. On manque à un devoir ; on se dispense d’une obligation. Il n’y, a point d’obligation, si la chose n’a pu être ordonnée ; point de devoir, si elle ne peut être exécutée.

DÉVOT, DÉVOTIEUX. Le dévot n’a qu’une simple dévotion ; elle peut être austère, chagrine ; le dévotieux a une dévotion plus sentie et mieux exprimée ; elle sera toujours douce, affectueuse. En mauvaise part, le dévotieux se distinguera par une attention minutieuse à de petites pratiques, et la recherche dans les manières. Un homme qui n’est pas dévot peut être dévotieux, lorsqu’il assiste à quelque cérémonie religieuse.

DÉVOT, PIEUX. La dévotion est dans l’esprit ; la piété dans le cœur. Le dévot craint et courtise la divinité ; l’homme pieux l’aime ou la révère : il peut n’avoir pas de culte, ni même de religion dans l’acception ordinaire du mot ; le dévot la pousse jusqu’au fanatisme, et le culte la pratique jusqu’à la minutie. On peut donc être pieux sans être dévot, et dévot sans être pieux.

DIABLE, DÉMON. Le diable se prend toujours en mauvaise part ; c’est un esprit malfaisant, qui tente et corrompt la vertu. Démon, en bonne part, est un génie qui entraîne hors des bornes. La méchanceté est l’apanage du diable ; l’excès, celui du démon.

DIAPHANE, TRANSPARENT. Diaphane ne se dit que des corps qui ne laissent passer la lumière que par des pores invisibles ; transparent se dit de ces corps, et de ceux qui laissent passer la lumière par des ouvertures sensibles. La gaze est transparente-, et n’est pas diaphane. L’eau, de sa nature, est diaphane ; et si ce ruisseau clair et limpide laisse voir le sable et le gravier sur lequel il roule, il est transparent.

DICTIONNAIRE, VOCABULAIRE, GLOSSAIRE. Vocabulaire et glossaire ne s’appliquent qu’à des nomenclatures sans explication ; dictionnaire comprend les dictionnaires de langues ; les dictionnaires historiques, ceux des sciences et arts, et exige des définitions. Un vocabulaire peut n’être pas alphabétique : glossaire ne s’applique guère qu’aux séries de mots peu connus.

DIFFAMATOIRE, DIFFAMANT, INFAMANT. Ce qui est diffamant attire le mépris ; ce qui est infamant, le déshonneur ; l’écrit diffamatoire nuit à la réputation d’autrui.

DIFFÉRENCE, DIVERSITÉ, VARIÉTÉ, BIGARRURE.

La différence suppose une comparaison des choses, qui empêche la confusion ; la diversité suppose un changement qui flatte et réveille le goût ; la variété, une pluralité de choses dont l’imagination compose des images qui dissipent l’ennui de l’uniformité. La bigarrure suppose un assemblage mal assorti, formé par le caprice.

DIFFÉRENCE, INÉGALITÉ, DISPARITÉ. Différence est un genre dont l’inégalité et la disparité sont des espèces ; l’inégalité marque la différence en quantité ; la disparité marque la différence en qualité. -

DIFFÉREND, DÉMÊLÉ. Le sujet du différend est une chose sur laquelle on se contrarie, l’un dit oui, l’autre non. Le sujet du démêlé est une chose moins éclaircie, sur laquelle on s’explique.

DIFFÉREND, DISPUTE, QUERELLE. La concurrence des intérêts cause des différends ; la contrariété des opinions produit les disputes ; l’aigreur des esprits est la source des querellas.

DIFFICULTÉ, OBSTACLE, EMPÊCHEMENT. La difficulté embarrasse ; l’obstacle arrête ; l’empêchement résiste. Ou lève la difficulté ; on surmonte l’obstacle ; on ôte, on surmonte l’empêchement.

DIFFORMITÉ, LAIDEUR. La difformité est un défaut dans les proportions ; la laideur, dans les traits, la superficie du visage. Difformité se dit de tout défaut dans les proportions convenables à chaque chose, aux bâtiments, aux jardius, ànxformes des places, etc. ; laideur ne se dit que des animaux ou des meubles. -

DIFFUS, PROLIXE. Ce qui est diffus se répand en paroles qui délaient la pensée ; ce qui est prolixe s’étend en mots qui affaiblissent l’expression.

DILIGENT, EXPÉDITIF, PROMPT. L’homme diligent est assidu à l’ouvrage ; l’ouvrier expéditif le finit de suite ; s’il est prompt, il travaille avec activité. La paresse, les délais et la lenteur sont les défauts opposés.

DIRE, PARLER. Pour parler il suffit de proférer des paroles ; on ne dit quelque chose qu’en y attachant des idées. « Dieu est un être dont on parle sans en pouvoir rien dire ! » a dit saint Augustin. Il parle ! que dit-il ?

DIRE UN MENSONGE, FAIRE UN MENSONGE. La difficulté est d’abord de spécifier la différence entre dire et faire des mensonges, lorsqu’il est question de mensonges dont onest soi-même l’auteur. Dire, c’est proférer ; faire, c’est composer. Un oui ou un nom, proféré contre sa conscience, est un mensonge qu’on dit ; une histoire controuvée, une fable arrangée est un mensonge qu’on fait. À dire un mensonge, il n’y a que de la fausseté ; il y a de l’artifice à faire un mensonge.

DISCERNEMENT, JUGEMENT. Le discernement est une connaissance qui distingue ; le jugement connaît et apprécie la valeur, les qualités.

DJSCORD, DISCORDE. Le discord rompt l’accord ; la discorde détruit la concorde. Le discord tend à la discorde ; la discorde est un état de dissension.

DISCOURS, HARANGUE, ORAISON. Le discours est un ouvrage composé par un orateur sur un sujet important ; la harangue, un discours d’apparat ; l’oraison est le discours oratoire des anciens ; ce dernier est restreint à l’oraison funèbre.

DISCRÉTION, RÉSERVE. La discrétion fait que nous ne faisons et ne disons que ce qui est conforme aux convenances. La réserve fait que nous nous abstenons de parler ou d’agir ; la première agit peu, la seconde n’agit point.

DISERT, ÉLOQUENT. Le discours disert est facile, pur, mais faible ; le discours éloquent est vif, touchant, il maîtrise. Ces épithètes se donnent, pour les mêmes raisons, aux personnes. L’esprit rend disert, et l'âme donne l’éloquence. L’énergie de l’expression rendrait éloquent l’homme disert. L’orateur disert attache, captive ses auditeurs par de belles paroles ; l’orateur éloquent, par de grandes pensées bien exprimées.

DISPOSITION, APTITUDE. Les dispositions indiquent des qualités propres à favoriser le succès de la chose ; l’aptitude dénote les qualités nécessaires pour l'exécuter avec succès. Avec des dispositions, on peut devenir propre à la chose ; avec de l'aptitude, on y est propre.

DISPUTE, ALTERCATION, CONTESTATION, DÉBAT. La dispute est une conversation entre deux personnes d'avis différent ; l'aigreur en fait une altercation ; la contestation est une dispute entre plusieurs ; le tumulte la change en débat.

DISTINCTION, DIVERSITÉ, SÉPARATION. La distinction est opposée à l'identité ; la diversité, à la similitude ; la séparation, à l'unité.

DISTINGUER, DISCERNER, DÉMÊLER. On distingue un objet par ses apparences ; on le discerne à ses signes exclusifs ; on le démêle à des signes particuliers. Pour connaître, il faut distinguer ; pour choisir, il faut discerner ; pour rétablir l'ordre, il faut démêler.

DISTINGUER, SÉPARER. On distingue pour ne pas confondre ; on sépare pour éloigner. La différence du langage distingue les nations ; l'absence sépare les amis.

DISTRAIRE, DÉTOURNER, DIVERTIR. Distraire n'exprime qu'un déplacement, un arrangement ; détourner et divertir marquent des changements divers ; divertir marque un effet plus grand que détourner. Au physique, ou distrait des objets, en les ôtant de leur place ; on les détourne en les mettant à l'écart ; on les divertit en les supprimant, en se les appropriant. Au figuré, celui qui n'est que distrait est encore plein de la chose, en pensant à une autre ; celui qui est détourné n'est plus à sa chose, mais il pourra facilement y revenir ; celui qui est diverti ne songe plus à son objet. Une cause légère distrait ; une sollicitation importune détourne ; des objets attrayants ou amusants divertissent.

DIURNE, QUOTIDIEN, JOURNALIER. Ce qui est diurne revient chaque jour, et en occupe toute la durée ; ce qui est quotidien revient chaque jour, sans en occuper toute la durée ; ce qui est journalier se répète comme les jours, mais varie de même, et peut en occuper ou n'en pas occuper toute la durée.

DIVISER, PARTAGER. La division produit des parties ; le partage produit des parts ou des portions. Au figuré, la division marque la mésintelligence et l'opposition ; le partage n'emporte que la différence ou la diversité d'opinions.

DIVORCE, RÉPUDIATION. Le divorce est la séparation de deux époux ; la répudiation est le renvoi de l'un par l'autre.

DOCILITÉ, DOUCEUR. On peut être docile par intérêt, etc., sans être doux ; on peut être doux par tempérament, sans être docile d'esprit. Le monde est plein de ces doucereux qui n'en font qu'à leur tête. On est souvent doux par insouciance ou par faiblesse ; docile avec fermeté, mais par respect.

DOCTE, DOCTEUR. Être docte, c'est être savant et habile ; et être docteur, c'est avoir donné des preuves certaines de sa science. Docteur dit moins que docte, parce qu'il y a beaucoup de docteurs qui ne sont pas doctes.

DON, PRÉSENT. Le don est gratuit ; le présent est une offrande, un gage de nos sentiments. On fait des dons à quelqu'un pour lui faire du bien ; on lui fait des présents pour bien mériter de lui. Le présent est le don que l'on présente.

DONNER, PRÉSENTER, OFFRIR. Donner est plus familier ; présenter est respectueux ; offrir est quelquefois religieux. On donne aux domestiques ; on présente aux princes ; on offre à Dieu. Donner marque la volonté qui transporte la propriété de la chose ; présenter désigne l'action de la main

pour livrer la chose ; offrir, le mouvement du cœur qui porte à ce transport.

DOULEUR, CHAGRIN, TRISTESSE, AFFLICTION, DÉSOLATION. Douleur se dit des sensations désagréables du corps, et des peines de l'esprit ou du cœur ; les quatre autres ne se disent que de ces dernières. Le chagrin peut être intérieur ; la tristesse peut être habituelle ; le chagrin a toujours un sujet particulier. L'idée d'affliction ajoute à celle de tristesse ; celle de douleur, à celle d'affliction ; celle de désolation, à celle de douleur.

DOULEUR, MAL. Douleur dit quelque chose de plus vif. La douleur est regardée comme l'effet du mal, jamais comme la cause.

DOUTEUX, INCERTAIN, IRRÉSOLU. Douteux ne se dit que des choses ; incertain se dit des choses et des personnes ; irrésolu, ne se dit que des personnes. Le sage doit être incertain à l'égard des opinions douteuses, et ne doit jamais être irrésolu dans sa conduite.

DROIT, DEBOUT. La bonne grâce veut qu'on se tienne droit, et souvent avec orgueil ; le respect fait tenir debout, quoiqu'on ne soit pas droit, que l'on s'incline avec modestie. Y. DEBOUT.

DROIT, JUSTICE. Le droit est l'objet de la justice ; la justice est la conformité des actions avec le droit. Le premier change ; la seconde ne varie jamais. Ce n'est pas aller contre les règles de la justice que de soutenir et défendre ses droits par les mêmes moyens dont on se sert pour les attaquer.

DURABLE, CONSTANT. Ce qui est durable est ferme par sa solidité, et ne cesse point ; ce qui est constant est ferme par sa résolution, et ne change pas.

DURÉE, TEMPS. La durée se rapporte aux choses ; le temps, aux personnes. Durée désigne l'espace écoulé entre le commencement et la fin ; le temps désigne quelque partie de cet espace, d'une manière vague. On dit que la durée de son règne a été de tant d'années ; que tel événement est arrivé pendant le temps de son règne.

EBAHI, ËBAUBI, EMERVEILLÉ, STUPÉFAIT. Ces termes sont familiers ; l'ébaubi est même populaire. On est ébahi par la surprise qui fait tenir la bouche béante, et avec l'air de l'ignorance ; on est ébaubi par une surprise qui déconcerte, et tient comme suspendu dans le doute ; on est émerveillé par une surprise qui attache, qui charme ; on est stupéfait par une surprise qui rend immobile et semble ôter l'usage de l'esprit et des sens.

ÉBAUCHE, ESQUISSE. L'ébauche est la première forme donnée à un ouvrage ; l'esquisse est un modèle incorrect de l'ouvrage, qui n'en contient que l'esprit, ne montre que la pensée. L'esquisse d'un tableau est le premier trait au crayon ; l'ébauche est le commencement de son exécution en couleur.

ÉBOULER (s'). La terre amoncelée s'éboule ; les rochers, les édifices s'écroulent ; les sables amoncelés, les dunes s'éboulent ; les volcans, les montagnes s'écroulent.

EBULLITION, EFFERVESCENCE, FERMENTATION.

L'ébullition est le mouvement d'un corps qui bout ; l'effervescence, le mouvement qui s'opère dans un mélange de liquides ; la fermentation est le mouvement interne qui s'excite dans un liquide, dont les parties se décomposent. L'eau qui bout est en ébullition ; le fer dans l'eau-forte fait effervescence ; la bière fermente.

ÉCHANGER, TROQUER, PERMUTER. C'est donner une chose pour une autre chose, pourvu que ce ne soit pas de l'argent. On échange des ratifications d'un traité, des marchandises, des valeurs ; on troque des marchandises ; on permute des bénéfices.

ECIIAPPÉ (ÊTRE), AVOIR ÉCHAPPÉ. Ce mot m'est échappé ; j'ai prononcé ce mot sans y prendre garde : ce que je voulais vous dire m'a échappé ;

j'ai oublié de vous le dire, ou j'ai oublié ce que je voulais dire. Le cerf a échappé aux chiens, les chiens ne l'ont point atteint : le cerf est échappa aux chiens, il s'est tiré du péril.

ÉCLAIRCIR, EXPLIQUER, DÉVELOPPER. On éclaircit ce qui était obscur ; on explique ce qui était difficile à entendre, on développe ce qui renferme plusieurs idées.

ECLAIRÉ, CLAIRVOYANT, INSTRUIT. L'homme éclairé ne se trompe pas, il sait ; le clairvoyant ne se laisse pas tromper, il distingue. L'étude rend éclairé ; l'esprit rend clairvoyant. L'homme instruit, qui n'a que de la mémoire, n'en est pas plus clairvoyant. On peut être naturellement clairvoyant ; on s'instruit, on s'éclaire par l'étude et l'expérience.

ÉCLAT, BRILLANT, LUSTRE. L'éclat enchérit sur le brillant, et celui-ci sur le lustre. L'éclat tient du feu ; le brillant, de la lumière ; le lustre, du poil.

ÉCLAT, LUEUR, CLARTÉ, SPLENDEUR. L'éclat est une lumière très-vive et passagère ; lueur, une lumière faible et durable ; clarté, une lumière durable et vive : ces trois mots se disent au figuré et au propre ; splendeur ne se prend qu'au figuré : la splendeur d'un empire.

ÉCLIPSER, OBSCURCIR. Le premier dit plus que le second. Le faux mérite est obscurci par le mérite réel, et éclipsé par le mérite éminent.

ECONOMIE, MÉNAGE, ÉPARGNE, PARCIMONIE.

L’économie est le système du gouvernement d'une fortune pour sa conservation et son amélioration ; le ménage est l'économie qui règle les consommations Intérieures ; l'épargne restreint les dépenses ; la parcimonie est une économie rigoureuse, qui réduit les dépenses, pour faire de petites épargnes.

ECRITEAU, EPIGRAPHE, INSCRIPTION. L'écriteau n'est qu'un morceau de papier ou de carton, pour donner un avis au public ; l'inscription se grave sur un corps solide, pour conserver la mémoire d'une chose ou d'une personne ; l'épigraphe est une sentence au bas d'une estampe, à la tête d'un livre, pour en désigner le sujet ou l'esprit.

ÉCRIVAIN, AUTEUR. L'écrivain peut n'être qu'un commentateur, un compilateur, un copiste ; pour être auteur, il faut créer. A présent que tout a été pensé, que tout a été peint, tout a été dit, il n'est guère possible d'être plus qu'un écrivain. Voltaire, Racine sont d'excellents écrivains ; Corneille est un excellent auteur. Descartes et Newton sont des auteurs célèbres ; l'auteur de la Recherche de la vérité est un écrivain du premier ordre. (Encyclopédie.)

EFFACER, RATURER, RAYER, BIFFER. On raie un mot en passant une ligne dessus ; on l'efface en empêchant qu'on ne le lise ; on le rature lorsqu'on l'efface absolument avec un grattoir ; le mot biffer est du style du barreau.

EFFARÉ, EFFAROUCHÉ. Le visage seul est effaré, toute la personne est effarouchée. L'homme effaré reste souvent immobile par le simple étonnement ; la terreur fait fuir l'homme effarouché. Le stupide a l'air effaré ; le moindre bruit effarouche celui qui est pénétré de crainte.

EFFECTIVEMENT, EN EFFET. Le premier est plus d'usage dans la conversation, il sert à appuyer une proposition ; le second sert, de plus, à opposer la réalité à l'apparence.

EFFÉMINER, AMOLLIR, ENERVER. L'amour amollit le cœur dur d'un tyran ; il le rend efféminé pour plaire aux femmes en les imitant, et ses voluptés l'énervent.

EFFIGIE, IMAGE, FIGURE, PORTRAIT. L'effigie tient la place de la chose même ; mais l'image en représente l'idée ; la figure en montre le dessein ; le portrait, la ressemblance.

EFFORCER (s'), TACHER. Celui-ci dit moins que le premier : au figuré, je tâcherai de vous être utile, je m'efforcerai de vous rendre service. Il dit plus au propre ; l'ouvrier qui tâche de faire un trou, s'efforce par instants de briser une pierre qui lui résiste.

EFFRAYANT, ÉPOUVANTABLE, EFFROYABLE, TERBIBLE. Effrayant est moins fort qu'épouvantable, et celui-ci moins fort qu'effroyable ; ils se prennent en mauvaise part ; terrible peut supposer une crainte mêlée de respect. Des cris effrayants, un bruit épouvantable, un monstre effroyable, un Dieu terrible. La pierre est une maladie terrible ; les douleurs qu'elle cause sont effroyables ; l'opération en est épouvantable ; les préparatifs en sont effrayants.

EFFRONTÉ, AUDACIEUX, HARDI. Le premier dit plus que le second, et se prend en mauvaise part ; Je second dit plus que le troisième, et se prend en bonne part. L'homme effronté est sans pudeur ; l'homme audacieux, sans respect, sans réflexion ; l'homme hardi, sans crainte.

ÉGALER, ÉGALISER. Égaler se dit des grandeurs morales ; égaliser se dit des grandeurs physiques. L'amour égale les hommes ; on égalise un chemin

raboteux.

ÉGARDS, MÉNAGEMENTS, ATTENTIONS, CIRCONSPECTION. Les égards sont l'effet de la justice ; es ménagements, de l'intérêt ; les attentions, de la reconnaissance ou de l'amitié ; la circonspection, de la prudence.

ÉGOÏSTE, HOMME PERSONNEL. L'égoïste ne parle que de lui ; l’homme personnel ne songe qu'à lui. Le premier est ridicule ; le second est dangereux. L’homme personnel fait de l'égoïsme un système.

ÉLAGUER, ÉMONDER. Élaguer est proprement dégarnir un arbre des branches superflues et nuisibles à son développement ou à la nourriture des branches fécondes ; l’émonder, c'est le débarrasser de tout ce qui le défigure, pour le rendre plus agréable à la vue.

ÉLARGISSEMENT, ÉLARGISSURE. Élargissement se dit de tout ce qui devient plus spacieux, plus tendu en largeur, d'un jardin, d'un canal, d'une promenade, etc. ; élargissure, de ce qui est ajouté pour élargir : il ne se dit que des meubles et des vêtements, d'un rideau, d'un drap, d'une chemise, d'une veste, d'une robe, etc.

ÉLECTION, CHOIX. L'élection d'un député, d'un mandataire est la conséquence du choix que plusieurs en avaient fait. On choisit avant d'élire. L’élection d'un tel indique que quelqu'un a été lu ; le choix indique celui qui choisit.

ELEGANCE, ELOQUENCE. L’élégance s’applique la beauté des mots et à l'arrangement de la brase ; éloquence s'attache à la force des termes t à l'ordre des idées.

ÉLÉVATION, HAUTEUR. L'élévation an propre indique la situation d'un objet qui s'étend au-dessus des autres ; la hauteur n'est qu'une élévation comparative ; un chêne est élevé, et des blés sont hauts. Au figuré, les rapports des deux mots sont tous les mêmes : l'élévation de caractère est absolue, et le place au-dessus de tous les autres ; la hauteur n'est que relative. Tel est haut avec ses inférieurs, qui est très-bas avec ses supérieurs et même avec ses égaux.

ÉLÈVE, DISCIPLE, ÉCOLIER. Un élève prend des leçons de la bouche du maître ; un disciple en prend des leçons en lisant ses ouvrages. Ecolier se dit des enfants qui étudient dans les collèges ou les écoles, de tous ceux qui apprennent sous un maître la danse, l'escrime, etc. Écolier n'est mais du style noble. On instruit des écoliers, on forme des élèves, et on se fait des disciples. Elève comprend presque toute l'éducation ; écolier ne se dit que de l'étude d'une science, d'une langue, un art ; disciple a rapport aux opinions, aux


systèmes. On dit les écoliers d'un maître ; les élèves d'un précepteur, d'un instituteur ; les disciples de Socrate.

ÉLITE, FLEUR. La fleur est ce qu'il y a de mieux dans les choses d'élite. L'élite est grave, et suppose de la réflexion ; la fleur se prend quelquefois plaisamment : la fleur des chevaliers, des beaux-esprits, des sentiments, etc.

ÉLOCUTION, DICTION, STYLE. Le style a rapport à l'auteur ; la diction, à l'ouvrage ; l'élocution, à l'art oratoire. On dit le bon style d'un auteur. On dit d'un ouvrage, la diction en est bonne ; d'un orateur, il a une bonne élocution. Le diction est le choix des mots ; l'élocution, leur emploi ; le style en est le résultat. Il y a diction, élocution dans une simple phrase ; il faut plusieurs phrases pour caractériser le style.

ÉLOGE, LOUANGE. L'éloge est le témoignage avantageux que l'on rend au mérite ; la louange en est le tribut qu'on lui paie dans ses discours. L'éloge met le prix au mérite ; la louange en est la récompense.

ÉLOIGNER, ÉCARTER, METTRE A L'ÉCART. Eloigner est plus fort qu'écarter ; écarter est plus fort que mettre à l'écart. On écarte ce dont on veut se débarrasser pour toujours ; on met à l'écart ce qu'on peut reprendre. On éloigne les traîtres ; on écarte les flatteurs.

EMANER, DECOULER. Emaner désigne la source d'où les choses partent ; découler indique le canal par où elles passent. Émaner se dit des exhalaisons ; découler se dit des fluides.

EMBARRAS, TIMIDITÉ. L'embarras n'est que du moment ; mille causes le produisent ; la timidité est dans le caractère, et vient plutôt d'une sotte vanité, que d'une véritable modestie. L'homme timide n'est pas modeste, surtout avec ses amis ; l'homme modeste n'est pas timide, même avec ses ennemis ; il se tait, mais ne rougit pas : or la rougeur est presque toujours causée par l'amour-propre qui exclut la modestie.

EMBLÈME, DEVISE. Les paroles de l'emblème ont un sens achevé ; les paroles de la devise ne s'entendent bien qu'étant jointes à une figure. L'emblème suppose une comparaison ; la devise porte sur une métaphore.

EMBRYON, FOETUS. L'embryon est le germe qui n'est pas encore parvenu à une assez grande maturité pour qu'on en puisse distinguer les parties ; le fœtus est le corps dont toutes les parties sont développées et apparentes.

ÉMISSAIRE, ESPION. L'espion épie, fait des rapports ; l'émissaire travaille l'opinion. Il faut beaucoup d'astuce, de perspicacité pour être espion ; beaucoup d'adresse et d'éloquence pour être émissaire. On pendait l'un et l'autre, et l'on avait tort ; car l'espion est vil, l'émissaire ne l'est pas ; ce peut être un fanatique, mais non un lâche : tuez-le, mais ne l'avilissez pas.

EMPIRE, RÈGNE. On dit l'empire des Assyriens, le règne des Césars. Le mot empire s'adapte au gouvernement des particuliers : on dit l'empire d'un maître ; règne ne s'applique qu'au gouvernement public. L'empire des passions ; le règne de la vertu.

EMPIRE, ROYAUME. L'empire est un état vaste, composé de plusieurs peuples, et renfermant des royaumes ; le royaume est un état borné à une nation seule.

EMPLETTE, ACHAT. Emplette emporte l'idée de la chose achetée : achat tient à l'action d'acheter. Achat parait seul propre aux objets considérables ; emplette ne s'applique guère qu'aux choses d'usage ordinaire.

EMPLIR, REMPLIR. Emplir exprime l'action continue de mettre une chose dans un espace dont la capacité en est occupée ; remplir désigne l'action


d'emplir de nouveau, successivement, et d'achever d'emplir.

EMPORTEMENT, IMPÉTUOSITÉ, VIOLENCE, L'emportement est un acte du caractère violent, impétueux. L'homme impétueux marche vivement et brusquement à son but, il s'emporte contre les obstacles ; l'homme violent écrase, anéantit quelquefois sans éclat ceux qui s'opposent à sa volonté. L'homme impétueux peut être bon ; l'homme violent est presque toujours dur et même méchant. Achille était impétueux ; Agamemnon, violent.

EMPORTER LE PRIX, REMPORTER LE PRIX. Emporter le prix est obtenir un prix, une récompense que l'on a recherchée, mais sans idée de rivalité ; remporter le prix exprime une victoire sur des concurrents qui le disputaient.

EMPREINDRE, IMPRIMER. Un livre est imprimé ; les caractères restent empreints sur le papier. Empreindre désigne l'effet produit par l'action d'imprimer. La physionomie est l'empreinte du caractère ; mais cette empreinte est souvent altérée par des impressions nouvelles et profondes.

EMPRESSEMENT, ZÈLE. L'empressement est un effet du zèle : il agit lorsque souvent le zèle est réduit à rester dans l'inaction. Le premier est dans le fait ; le second, dans l'intention dirigée, stimulée par le cœur.

ÉMULATION, RIVALITÉ. L'émulation ne désigne que la concurrence dans une même carrière ; la rivalité dénote le conflit, quand les intérêts se combattent ; les émules vont ensemble ; les rivaux vont l'un contre l'autre.

ÉMULE, ÉMULATEUR. L'émule marche en concurrence avec vous ; l'émulateur marche sur vos traces : émulateur est du style noble. L'émule a des émules ; l'émulateur a des modèles. L'émule tâche de surpasser son émule ; l’émulateur d'imiter son modèle.

EN, DANS. En exprime l'état dans la situation ; il vit en liberté dans sa maison ; il est en déshabillé dans son jardin. En est plus vague ; dans particularise le lien : il est en France, dans telle ou telle ville. v. DANS.

ENCEINDRE, ENCLORRE, ENTOURER, ENVIRONNER. Enceindre une chose, c'est l'entourer dans sa circonférence ; enclorre, c'est former autour une clôture. Une ville est enceinte de murailles ; un verger est enclos ; ce qui environne peut-être plus ou moins éloigné. Un anneau entoure le doigt ; les cieux environnent la terre.

ENCHAINEMENT, ENCHAÎNURE. Enchaînement se dit, au figuré, des objets dépendant les uns des autres ; enchainure se dit des ouvrages de l'art.

ENCHANTER, CHARMER, RAVIR. On est ravi par les plaisirs des sens ; charmé par ceux de l'esprit ; enchanté par ceux de l'esprit et du cœur. L'enchantement naît d'une admiration ou d'une joie extrême ; le charme, d'une contemplation de l'objet ; le ravissement, de sa jouissance.

ENCORE, AUSSI. Encore a plus de rapport an nombre et à la quantité, il ajoute et augmente ; aussi tient davantage de la similitude et de la comparaison : il marque la conformité, l'égalité.

ENDURANT, PATIENT. L'homme endurant souffre avec constance, par prudence, faiblesse ou lâcheté ; l'homme patient souffre avec modération. On peut être endurant sans être patient.

ENFANTER, ACCOUCHER, ENGENDRER. Enfanter ne s'emploie que dans le style sérieux. La Vierge enfanta un fils. Accoucher marque l'action de mettre l'enfant au monde ; engendrer se dit des deux sexes qui contribuent à la génération. Au figuré, on se sert d'enfanter pour un ouvrage, soit de la plume, soit de la main ; accoucher est employé pour les productions instantanées de l'esprit ; engendrer se dit de ce qui est l'effet de l'humeur. Un auteur a enfanté un livre ; un poëte, Vient d’accoucher d’un sonnet ; un homme gai, facétieux, n’engendre pas la mélancolie.

ENFIN, A LA FIN, FINALEMENT. Enfin annonce particulièrement, par transition, la fin, la conclusion ; à la fin annonce la fin des choses ; finalement annonce un résultat.

ENFLÉ, GONFLÉ, BOUFFI, BOURSOUFFLÉ. Enflé offre l’idée d’un fluide dans le corps ; gonflé offre l’idée d’une forte tension par plénitude ; bouffi, l’idée d’une enflure grosse, flasque ; boursoufflé d’une enflure de la peau. Le mot enflé est le genre des trois autres : il se dit de tout corps qui reçoit une extension par des fluides. Gonflé suppose la plénitude ; bouffi ne s’applique qu’aux chairs ; boursoufflé se dit des choses auxquelles ou donne un gros volume par le souffle.

ENNEMI, ADVERSAIRE, ANTAGONISTE. Les ennemis se haïssent ; les adversaires se poursuivent par intérêt ; l’éloignement des antagonistes ne vient que de leur différente façon de penser.

ENNOBLIR, ANOBLIR. La naissance, le mérite éclatant et récompensé ennoblissent ; le prince anoblit. Les anoblis ne sont pas toujours nobles, et les vrais nobles ne sont pas toujours anoblis. Les anoblis ne sont pas toujours ennoblis aux yeux des hommes de sens ; tous ceux qui se sont ennoblis par une conduite généreuse n’ont pas été anoblis.

ÉNONCER, EXPRIMER. Énoncer demande les qualités de l’élocution ; exprimer, les qualités de l’éloquence. L’homme disert énonce ; l’homme éloquent s’exprime.

ENQUÉRIR (s'), INFORMER (s'). S’enquérir, c’est faire des recherches profondes pour reconnaître exactement ; s’informer, c’est demander des éclaircissements pour savoir ; s’enquérir dit plus que s’informer, A force de s’enquérir, on découvre ; à force de s’informer, on apprend.

ENSEIGNER, APPRENDRE, INSTRUIRE, INFORMER, FAIRE SAVOIR. Enseigner, c’est donner des leçons ; apprendre, donner des leçons dont on profite ; instruire, mettre au fait des détails ; informer, avertir des événements ; faire savoir, rapporter fidèlement. Enseigner et apprendre ont rapport à ce qui cultive l’esprit ; instruire, à ce qui est utile à la conduite ; informer renferme une idée d’autorité à l’égard des personnes qu’on informe, et de dépendance à l’égard de celles qui sont l’objet de l’information ; faire savoir satisfait la curiosité.

ENSEMBLE, A LA FOIS. On met ensemble les choses que l’on veut emporter à la fois. Ensemble désigne plutôt les rapports qui existent entre les actions ou les choses ; à la fois, les rapports qui existent entre les instants.

ENTENDRE, ÉCOUTER, OUÏR. Entendre, être frappé des sons ; écouter, prêter l’oreille ; ouïr marque une sensation confuse ; on a ouï parler, sans avoir entendu ce qui a été dit.

ENTENDRE, COMPRENDRE, CONCEVOIR. Le premier s’applique à la clarté du discours, tout cela s’entend ; le second se dit des principes, des leçons, des choses spéculatives, qui se comprennent ; le troisième, des arrangements, des projets, des plans, on les conçoit.

ENTENDRE RAILLERIE, ENTENDRE LA RAILLERIE.

Celui qui entend raillerie ne se fâche pas ; il la détourne avec adresse ou riposte avec esprit à celui qui, entendant la raillerie, voulait exercer son talent sur lui.

ENTENDU, HABILE, ADROIT. Habile se dit de la conduite ; entendu, des lumières, de l’esprit ; adroit, des grâces de l’action.

ENTÊTÉ, OPINIÂTRE, TÊTU, OBSTINÉ. On est entêté par attachement à ses propres opinions ; on est opiniâtre par une honte qui empêche de se rétracter ; on est têtu par indocilité, par la bonne opinion de soi-même, qui fait rejeter le sentiment d’antrui ; on est obstiné par mutinerie, par impolitesse.

ENTHOUSIASME, EXALTATION. L’enthousiasme est un élan momentané d’admiration causé par l’aspect réel ou idéal d’un objet étonnant ; l’exaltation est un état habituel de l’âme qui s’élève de sa propre force au-dessus des sentiments, des pensées ordinaires ; et, en sortant de la sphère humaine, se perd, égarée par des idées romanesques, dans l’empire imaginaire de la perfection.

ENTIER, COMPLET. Une chose est entière, lorsque toutes les parties sont assemblées comme elles doivent l’être ; elle est complète, lorsqu’elle a tout ce qui lui convient. Le premier a plus de rapport à l’intégrité essentielle ; le second, à la perfection.

ENTIÈREMENT, EN ENTIER. Entièrement modifie l’action exprimée par le verbe ; en entier modifie la chose. Quand vous avez lu entièrement un livre, la lecture en est achevée ; si vous l’avez lu en entier, vous n’en avez rien omis. Ainsi entièrement a plus de rapport à l’action générale ; en entier, plus aux parties de la chose.

ENTOURER, ENVIRONNER, ENCEINDRE, ENCLORRE. Enclorre, c’est enfermer par un mur, une haie, etc. ; enceindre, c’est renfermer dans une enceinte quelconque ; entourer a une signification plus directe, plus rapprochée de l’objet ; environner est plus vague et s’éloigne davantage de lui. Un parc est enceint de fossés, on ne peut l’enclorre que de murs ; une ville est entourée d’eau, elle est environnée de hameaux.

ENTREMISE, MÉDIATION. Les querelles entre les individus, même les Corps, s’apaisent par l’entremise des amis communs ; celles entre les États, par la médiation des autres États.

ENVERS, REVERS. Envers se dit du moins beau côté, du dessous d’une feuille, ou est opposé à l’endroit ; revers ne se dit que d’une portion d’étoffe repliée sur elle-même, du côté d’une médaille opposé à la face.

ENVIE, JALOUSIE. On est jaloux de ce qu’on possède, et envieux de ce que possèdent les autres. On peut devenir jaloux sans être naturellement envieux. La jalousie est un sentiment dont on a peine à se défendre ; l’envie est un sentiment bas, qui tourmente celui qui en est pénétré.

ENVIER, AVOIR ENVIE. Nous envions aux autres ce qu’ils possèdent ; nous avons envie de ce qui n’est pas en notre possession. Le premier est un mouvement de jalousie ou de vanité ; le second, de cupidité ou de volupté. On envie le bonheur de quelqu’un ; on a envie d’un cheval. Les subalternes envient l’autorité des supérieurs, les enfants ont envie de tout et qu’ils voient.

ENVIER, PORTER ENVIE. On envie les choses, et l’on porte envie aux personnes.

ÉPANCHEMENT, EFFUSION. L’épanchement se fait doucement ; l’effusion, avec vivacité. Au figuré, un cœur sensible se soulage par des épanchements ; un cœur trop plein de sentiments se décharge par des effusions.

ÉQUIPONDÉRANCE, ÉQUILIBRE. L’équilibre résulte d’une égalité de forces qui agissent en sens contraire ; l’équipondérance, de l’égalité de la gravitation des corps comparés.

ÉQUITÉ, JUSTICE. La justice rend à chacun ce que le droit ou la loi lui donne ; l’équité est la lui naturelle qui nous invite à agir envers les autres comme nous voudrions qu’on agît envers nous. Tout est juste quand la loi prononce ; c’est à l’équité à tempérer la rigueur de ses arrêts.

ÉQUIVOQUE, AMBIGUÏTÉ, DOUBLE SENS. L’équivoque a deux sens, l’un naturel, l’autre détourné et qu’on ne soupçonne, pas ; l’ambiguïté a un sens susceptible d’interprétation ; le double sens a deux significations naturelles, l’une littérale, et l’autre d’allusion. L’équivoque trompe ; l’ambiguïté instruit


faiblement ; le double sens instruit avec précaution. v. AMBIGUÏTÉ.

ERRER, VAGUER. L’homme égaré erre ; l’homme oisif vague. On erre sans boussole ; on vogue au gré des vents.

ÉRUDIT, DOCTE, SAVANT. Une bonne mémoire, de la patience dans l’étude forment un érudit ; l’intelligence et de la réflexion en font un homme docte ; ces choses et la pénétration dans les matières de spéculation en font un savant.

ESCALIER, DEGRÉ, MONTÉE. Escalier est. le seul d’usage ; degré se dit par ceux qui ne savent pas leur langue ; il n’est proprement qu’une partie de l’escalier, une ou plusieurs marches entre les paliers ; montée est populaire. v. DEGRÉ.

ESPÉRANCE, ESPOIR. L’espérance s’étend sur tous les biens que nous désirons ; l’espoir s’attache aux biens que nous désirons le plus ardemment, et dont la privation serait un malheur.

ESPÉRER, ATTENDRE. On espère obtenir les choses ; on attend qu’elles viennent. Nous espérons des réponses favorables ; nous les attendons.

ESPRIT, RAISON, BON SENS, JUGEMENT, ENTENDEMENT, CONCEPTION, INTELLIGENCE, GÉNIE. L’esprit est fin et délicat, il saisit les rapports plus ou moins éloignés entre les objets ordinaires ; la raison est sage et modérée, elle ne sort point des règles ; le bon sens est droit et sûr, il juge

sainement des choses communes ; le jugement est sain, solide et clairvoyant, il fait discerner, distinguer ; la conception est nette et prompte, elle épargne les longues explications, donne l’aptitude pour les sciences et les arts ; l’intelligence est habile et pénétrante, propre aux divers emplois ; le génie est heureux et fécond, il saisit les rapports les plus éloignés, entre les objets, particulièrement les plus grands. La bêtise est l’opposé de l’esprit ; la folie, de la raison ; la sottise, du bon sens ; l’étourderie, la légèreté, du jugement ; l’imbécillité, de l’entendement ; l’ineptie, de la conception ; l’incapacité, de l’intelligence ; la stupidité, du génie.

ÉTONNEMENT, SURPRISE, CONSTERNATION. L’étonnement est dans les sens ; la surprise, dans l’esprit ; la consternation, dans le cœur. Étonnement dit plus que surprise, dont il est l’effet ; car toutes les surprises ne causent pas de l’étonnement, de l’émotion.

ÉTONNEMENT, ÉMOTION. Ces mots se disent de l’agitation de l’âme, de l’esprit ; étonnement ne se dit que de l’esprit ; il est la cause, et l’émotion en est l’effet.

ÉTOUFFER, SUFFOQUER. Ce qui ôte la respiration suffoque. Les noyés sont suffoqués ; on étouffe dans un air trop dense.

ÉTOURDI, ÉVENTE, ÉVAPORE, ECERVELÉ. L’étourdi est celui en qui la vivacité du caractère nuit à la réflexion, il peut se corriger ; l’évaporé est celui qui par sa légèreté d’esprit est privé de la faculté de réfléchir ; l’éventé enchérit sur ce dernier, et n’a ni idée, ni esprit ; l’écervelé est celui dont la fougue du caractère, des passions, etc., annulle tout jugement.

ÉTROIT, STRICT. Étroit est du discours ordinaire ; strict est du style savant. Strict est d’une précision plus rigoureuse qu’étroit ; étroit est d’ut : usage plus général an propre comme au figuré. Strict ne s’emploie qu’au moral et en théologie on dit une stricte probité, le sens strict.

ÉVADER (s'), ÉCHAPPER (s'), ENFUIR (s'). S’évade se fait en secret ; s’échapper suppose qu’on a déj ; été pris, ou qu’on est près de l’être ; s’enfuir ne suppose aucune de ces conditions. On s’évade d’une prison, on s’échappe des mains de quel qu’un ; on s’enfuit après une bataille perdue.

ÉVEILLER, RÉVEILLER. Éveiller exprime l’action simple de tirer de l’état du sommeil ; réveiller exprime la réitération on le redoublement de cette action. On s’éveille la première fois ; on se réveille d’un profond sommeil. Le tyran que le remords n’éveillait pas, fut réveillé par la terreur.

ÉVÉNEMENT, ACCIDENT, AVENTURE. Événement se dit, en général, de tout ce qui arrive ; accident, de ce qui arrive de fâcheux à un ou à plusieurs ; aventure se dit de ce qui arrive de bien ou de mal aux personnes, inopinément ou par suite d’intrigue.

EXCELLER ÊTRE EXCELLENT. Exceller suppose une comparaison, met au-dessus de tout ce qui fct de la même espèce, exclut les égaux et s’applique à toutes sortes d’objets ; être excellent place dans le plus haut degré, souffre des égaux, et ne souvient qu’aux choses de goût.

EXCEPTE, HORS, HORMIS. Excepté dénote une séparation par non conformité ; et hors et hormis séparent par exclusion.

EXCITER, ANIMER, ENCOURAGER. Exciter, c’est inspirer le désir ou réveiller la passion ; animer, c’est pousser à l’action déjà commencée, en empêcher le ralentissement ; encourager, dissiper la crainte ou la timidité par l’espérance d’un succès.

EXCUSE, PARDON. On fait excuse d’une faute apparente ; on demande pardon d’une faute réelle. Le bon esprit fait excuser facilement ; le bon cœur fait pardonner promptement.

EXHÉRÉDER, DÉSHÉRITER. Un père exhérède les enfants pour des causes légales ; quiconque possède quelque bien peut déshériter ses héritiers.

EXIGU, PETIT. Celui-ci se dit par comparaison à quelque chose de plus grand. La fortune d’un homme qui a 10,000 francs de rente est petite, comparée à celle de l’homme qui en a 100,000. Exigu spécifie l’insuffisance de l’avoir pour exister.

EXILER, BANNIR. L’exil est prononcé par l’autorité ; le bannissement est la peine infamante d’un délit ; l’exil est une disgrâce. Les Tarquins furent bannis de Rome par un décret public ; Ovide fut exilé par Auguste.

EXISTER, ÊTRE, SUBSISTFR. Être convient à toutes sortes de sujets, substances ou modes, à toutes les manières d’être ; exister ne se dit que des substances, pour en marquer l’être réel ; subsister, s’applique également aux substances et aux modes, mais, de plus, avec un rapport de la durée de leur être.

EXPEDIENT RESSOURCE. L’expédient est ce qui tire d’embarras ; la ressource, ce qui répare une perte. L’expédient suppose un obstacle à vaincre ; la ressource, un mal à réparer.

EXPÉRIENCE, ESSAI, ÉPREUVE. Inexpérience regarde la vérité des choses, elle éclaircit le doute et dissipe l’ignorance ; l’essai concerne l’usage des choses ; l’épreuve a rapport à la qualité des choses, elle distingue le meilleur. L’expérience est relative à l’existence, l’essai l’est à l’usage ; l’épreuve, aux attributs.

EXTÉRIEUR, DEHORS, APPARENCE. L’extérieur est ce qui se voit, il fait partie de la chose même ; le dehors est ce qui environne la chose, il en approche le plus ; l’apparence est l’effet que la vue de la chose produit. Les toits, les murs, les entrées font l’extérieur d’un château ; les fossés, les cours, les jardins et les avenues en font les dehors ; la figure, la situation et le plan en font l’apparence. Au figuré, extérieur se dit de l’air et de la physionomie ; dehors, des manières ; apparence, de la conduite.

EXTIRPER, DÉRACINER. Extirper indique l’action d’enlever avec force un corps adhérant fortement ; déraciner désigne l’action seule de détacher les racines ou les liens qui retiennent le corps, qui reste à la même place. Un ouragan déracine les arbres et ne les extirpe pas, ces arbres restent à leur place.


FABRIQUE, MANUFACTURE. La fabrique roule plutôt sur des objets d’un usage plus ordinaire ; la manufacture, sur des objets plus relevés. Des fabriques de bas ; des manufactures de glaces. La fabrique est une manufacture en petit ; la manufacture est une fabrique en grand.

FABULEUX, FAUX. Ce qui est fabuleux peut avoir une apparence de vérité ; on ne l’imagine pas pour mentir, mais pour instruire par d’agréables fictions. Ce qui est faux n’est pas vrai, il renferme un mensonge, ou du moins une erreur.

FACÉTIEUX, PLAISANT. Facétieux dit plus que plaisant. Le plaisant récrée par sa gaieté ; le facétieux réjouit par la plus grande gaieté comique.

FAÇON, FIGURE, FORME, CONFORMATION. La façon. naît du travail ; la figure, du dessin ; la forme, de la construction ; la conformation ne se dit que des parties du corps animal, elle naît de leur rapport.

FAÇON MANIÈRE. Là façon donne la forme à un ouvrage, à une action ; la manière donne un tour particulier à l’action, à l’ouvrage. Chaque art a sa façon ; chaque ouvrier a sa manière.

FAÇONS, MANIÈRES. Façons expriment l’affectation, l’étude, la minauderie ; les manières sont naturelles, elles tiennent beaucoup au caractère et à l’éducation.

FACTION, PARTI. Faction annonce une machination secrète et active ; parti n’exprime qu’un partage d’opinions. Faction est toujours odieux.

FADE, INSIPIDE. Ce qui est fade ne pique pas le goût ; ce qui est insipide ne touche point.

FAIBLE, FAIBLESSE. Les faibles sont la cause ; les faiblesses sont l’effet. Un faible est un penchant innocent ; une faiblesse est toujours répréhensible. Un père qui a un faible pour l’un de ses enfants, a la faiblesse de le gâter.

FAIDLE (ÊTRE), AVOIR DES FAIBLESSES. Nous sommes faibles par la -disposition habituelle de manquer, soit aux lumières de la raison, soit aux principes de la vertu ; nous avons des faiblesses, quand nous y manquons par quelque cause différente de cette disposition. Personne n’est exempt d’avoir des faiblesses ; mais tout le monde n’est pas faible.

FAIBLE, DÉBILE. Le sujet faible n’a pas assez de force ; le sujet débile est d’une grande faiblesse. Le premier remplit une certaine carrière ; mais le second ne la remplit que difficilement.

FAIBLE, INCONSTANT, LÉGER, VOLAGE, INDIFFÉRENT. Une femme faible est celle dont le cœur combat la raison ; une inconstante n’aime plus ; une légère en aime déjà un autre ; une volage ne sait si elle aime, ni ce qu’elle aime ; une indifférente n’aime rien.

FAIM, APPÉTIT. La faim n’a rapport qu’au besoin ; l’appétit a plus de rapport au goût. La faim est pressante ; l’appétit est plus délicat. La faim ne se dit guère que des aliments ; l’appétit se dit des objets qui satisfont la volupté. La faim pourrait se dire de l’esprit comparé à l’estomac.

FAIRE, AGIR. On fait une chose ; on agit pour la faire. Faire suppose un but ; agir n’a d’autre objet que l’action.

FAIX, CHARGE, FARDEAU. V. CHARGE.

FALLACIEUX, TROMPEUR. Trompeur est un mot générique et vague qui exprime tout ; fallacieux désigne la fausseté, la fourberie, l’imposture.

FAMEUX, ILLUSTRE, CÉLÈBRE, RENOMMÉ. Fameux indique une réputation fondée sur une simple distinction du commun, soit en bien, soit en mal ; illustre, une réputation fondée sur un mérite appuyé de dignité et d’éclat ; célèbre, une réputation fondée sur un mérite de talent, d’esprit ou de science ; et renommé, une réputation fondée sur la vogue. Illustre ne se dit que des personnes.


FAMILLE, MAISON. Famille est pins de bourgeoisie ; maison est plus de qualité. On dit, être d’honnête famille, et de bonne maison. Les familles se font remarquer par les alliances ; les maisons, par les titres.

FAMINE, DISETTE. La famine est causée par la disette de vivres.

FANÉ, FLÉTRI. Le second enchérit sur le premier : une fleur fanée peut reprendre son éclat ; une fleur flétrie n’y revient plus. La beauté se fane par le temps, et se flétrit par accident.

FANTASQUE, BIZARRE, CAPRICIEUX, QUINTEUX, BOURRU. Fantasque dit quelque chose de difficile ; bizarre, quelque chose d’extraordinaire ; capricieux, quelque chose d’arbitraire ; quinteux, quelque choyé de périodique ; bourru, quelque chose de maussade.

FAROUCHE, SAUVAGE. On est farouche par caractère ; sauvage, par défaut de culture. Le farouche, épouvante la société ; le sauvage en a peur.

FAT, IMPERTINENT, INSOLENT. Le fat est un sot vain et maniéré ; l’impertinent est un fat outré, il offense, il est offensé ; l’insolent est hardi, vain, injurieux. L’impertinent est toujours ridicule ; le fat ennuie ; l’insolent est odieux.

FATAL, FUNESTE. Le premier est un effet du sort ; le second, une suite inévitable du crime. Fatal désigne une combinaison dans les causes inconnues, qui fait arriver le mal ; funeste présage des accidents plus grands et plus accablants.

FAUT (IL.), IL EST NÉCESSAIRE, ON DOIT. La première de ces expressions marque une obligation de complaisance, de coutume ou d’intérêt ; la seconde, une obligation essentielle et indispensable ; la troisième désigne une obligation de raison, de bienséance, de devoir.

FAUTE, DÉFAUT, DÉFECTUOSITÉ, VICE, IMPERFECTION. Faute a rapport à l’auteur de la chose ; défaut exprime le mal qu’il y a dans la chose ; défectuosité marque le mal qui unit au but ou au service de la chose ; vice indique un mal du fond même ; imperfection s’applique à un mal de moindre conséquence.

FAUTE, CRIME, PÉCHÉ, DÉLIT, FORFAIT. La faute tient de la faiblesse humaine : elle va contre les règles du devoir ; le crime part de la méchanceté, il offense la nature ; le péché est contraire aux préceptes de la religion ; le délit est une transgression de la loi civile ; le forfait vient d’une scélératesse profonde. V. CRIME.

FAVORABLE, PROPICE. Ce qui nous seconde ou nous sert nous est favorable ; ce qui nous protège on nous assiste nous est propice. Un supérieur nous est favorable ; Dieu nous est propice.

FÉCOND, FERTILE. Fécond donne l’idée de la cause ou de la faculté de produire ; fertile, celle de l’effet. Une pluie, nue chaleur féconde des moissons fertiles. Un génie fécond crée ; un écrivain fertile écrit beaucoup.

FÉLICITATION, CONGRATULATION. Les félicitations ne sont que des discours obligeants sur un événement heureux ; les congratulations sont des témoignages du plaisir qu’on ressent. La politesse félicite ; l’amitié congratule.

FERMETÉ, CONSTANCE. La fermeté est le cou. rage de suivre ses desseins ; la constance est une persévérance dans ses goûts et ses désirs. La légèreté et la facilité sont opposées à la constance ; la fragilité et la faiblesse sont opposées à la fermeté.

FERMETÉ, ENTÊTEMENT, OPINIÂTRETÉ. L’homme ferme soutient et exécute avec vigueur ce qu’il croit vrai et conforme à son devoir ; l’entêté n’examine rien, son opinion fait sa loi. On réduit un entêté par la flatterie ; l’opiniâtre est inflexible : son amour-propre l’identifie avec ses propres pensées. Fermeté se dit uniquement de l'âme, de l’esprit, et constance y ajoute le cœur ou est ferme dans ses résolutions ; constant dans ses goûts, ses affections.

FICTIF, FICTICE. Fictif est ce qui, par fiction, représente, simule ; fictice est ce qui est feint. Un portrait est une chose fictive, et c’est la personne fictice ou figurée.

FIERTÉ, DÉDAIN. La fierté est fondée sur l’estime qu’on a de soi-même ; le dédain, sur le peu de cas qu’on fait des autres.

FIN, DÉLICAT. Il suffit d’avoir assez d’esprit pour concevoir ce qui est fin ; mais il faut encore du goût pour entendre ce qui est délicat. Fin est d’un usage plus étendu ; délicat s’emploie pour les choses flatteuses. On dit une satire fine, une louange délicate.

FIN, SUBTIL, DÉLIÉ. Un homme sin marche avec précaution par des chemins couverts ; un homme subtil avance adroitement par des voies courtes ; un homme délié va d’un air libre et aisé par des routes sûres. La défiance rend fine l’envie de réussir et la présence d’esprit rendent subtil l’usage du monde rend délié.

FINESSE, DÉLICATESSE. La finesse laisse apercevoir sa pensée, sans l’exprimer directement ; la délicatesse exprime des sentiments doux et agréables, des louanges fines.

FINESSE, PÉNÉTRATION, DÉLICATESSE, SAGACITÉ. La pénétration fait voir en grand et profondément ; la finesse, plus superficiellement et en détail ; la délicatesse est la finesse du sentiment, c’est une perception vive et rapide de ce qui échapperait à d’autres. La sagacité est dans le tact de l’âme, c’est une pénétration soudaine qui touche au but. La finesse examine ; la pénétration voit et saisit promptement ; la sagacité prévoit.

FINESSE, RUSE, ASTUCE, PERFIDIE. La ruse emploie la fausseté ; la finesse s’enveloppe adroitement, elle découvre les pièges ; l’astuce est en petit la finesse qui veut nuire. La finesse est jointe à la méchanceté dans l’astuce ; à la fausseté, dans la ruse. La perfidie est une fausseté noire et profonde, un abus de la confiance ; elle meut des ressorts cachés, et tend des pièges pour perdre.

FINESSE, SUBTILITÉ. Ce qui est trop fia devient subtil ; dans les pensées, dans la conduite, la finesse tient de l’adresse, et même de la ruse ; la subtilité tient de la fausseté, même de la perfidie. On peut être fin sans être fripon ; on ne peut être fripon sans subtilité. La finesse exige de l’art et de la réflexion ; la subtilité, de l’adresse et de la présence d’esprit. On tend un piège avec finesse ; on y échappe avec subtilité.

FINIR, CESSER, DISCONTINUER. On finit en achevant l’ouvrage ; on cesse en l’abandonnant ; on discontinue en l’interrompant momentanément.

FISC, TRÉSOR PUBLIC. Le premier se dit du trésor du prince ; le second, du trésor de l’État.

FLATTEUR, ADULATEUR. r. ADULATEUR. FLEXIBLE, SOUPLE, DOCILE. Flexible, qui fléchit, que l’on peut fléchir ; souple, qui plie avec facilité en tout sens ; docile, qui reçoit l’instruction. Au figuré, l’homme flexible se prête ; l’homme souple se plie et se replie ; l’homme docile se rend. Le complaisant est flexible ; le flatteur est souple ; l’homme simple est docile.

FOLÂTRE, BADIN. L’humeur folâtre fait agir avec assez d’agrément pour se passer de raison ; l’esprit badin fait jouer sur les choses, en égayant la raison : le folâtre est plus sémillant, le badin est plus plaisant. On ne folâtre pas sans des manières folâtres ; on badine quelquefois sans en avoir l’air, et on n’en badine que mieux.

FONDER, ÉTABLIR, INSTITUER, ÉRIGER. Fonder, c’est donner le nécessaire pour la subsistance, il exprime des libéralités ; établir accorde une pince, une résidence, il se dit de l’autorité,


du gouvernement ; instituer, c’est créer et former ; ériger, c’est augmenter la valeur, les dignités.

FORCE, ÉNERGIE. Énergie dit plus que force, et s’applique principalement aux discours qui peignent, et au caractère du style. On dit une peinture énergique, et des images fortes.

À FORCE, A FORCE OUVERTE, A FORCE DE BRAS, DE FORCE, DE VIVE FORCE, PAR FORCE, A TOUTE FORCE. Façons de parler adverbiales. On dit prendre une fille de force, la violer ; à force ouverte, de vive force ; par force, avec violence ; à force de bras, avec le secours des forces corporelles ; à toute force, par toutes sortes de moyens, à tout prendre.

FORT, TRÈS. Fort a une propriété intensive, très, nue extensive. Ainsi un homme fort savant possède une science profonde ; un homme très-savant, une science étendue.

FORTUITEMENT, ACCIDENTELLEMENT. Accidentellement, par accident ; fortuitement, par cas fortuit. Ce qui arrive accidentellement est un événement qui survient contre l’attente ; ce qui arrive fortuitement est au-dessus de toute prévoyance, et tient à des causes inconnues.

FORTUNÉ, HEUREUX. Heureux se dit de tous les genres de biens et de bonheur ; fortuné distingue le bonheur singulier et les grâces signalées. On est heureux par les bienfaits de la nature ; on est fortuné par des événements. L’homme que la fortune va trouver est fortuné ; l’homme qu’elle laisse en paix est heureux. Les biens rendent fortuné, lors même qu’ils ne rendent pas heureux. La satisfaction intérieure rend heureux sans rendre fortuné. Celui à qui tout rit et tout succède est fortuné ; celui qui est content de son sort et de lui-même est heureux.

FOU, EXTRAVAGANT, INSENSÉ, IMBÉCILE. Le fou manque par la raison, il suit la seule impulsion mécanique ; l’extravagant manque par la règle, et suit ses caprices déréglés ; l’insensé manque par l’esprit, et marche sans lumières ; l’imbécile manque par les organes, il agit sans aucun discernement, par le mouvement d’autrui.

FOUDRE (LE), FOUDRE (LA). La foudre est un trait électrique qui part d’une nuée, et frappe la terre. Un héros est un foudre de guerre, il anéantit ses ennemis, comme la foudre anéantit tout ce qu’elle touche,.

FOUETTER, FUSTIGER, FLAGELLER. On attache à fouet l’idée de la peine ; à la fustigation, celle de correction ; à la flagellation, celle de pénitence.

FOURBE, FOURBERIE. La fourbe est le vice ; la fourberie est l’habitude, l’action du fourbe.

FOURVOYER (SE), ÉGARER (s'), Se fourvoyer, c’est prendre un chemin que l’on croit le bon pour le véritable ; s’égarer, c’est ne savoir plus quel chemin prendre. L’ambition se fourvoie souvent ; l’amour s’égare.

FRANCHISE, VÉRACITÉ. Celle-ci est la suite, l’effet de la première. L’homme franc dit la verité, et tel qui dit la vérité n’est pas toujours franc.

FRANCHISE, VÉRITÉ, SINCÉRITÉ. La franchise est dans le caractère ; la vérité, dans le discours ; la sincérité, dans le sentiment. Un homme franc qui aime sincèrement, le dit avec vérité,

FRÊLE, FRAGILE. Fragile exprime la faiblesse du tout, et la raideur des parties ; frêle exprime la faiblesse du tout, mais la mollesse des parties. On dit un verre fragile, un frêle roseau.

FRÉQUENTER, HANTER. La foule fréquente des lieux, des places ; les particuliers hantent des personnes, des assemblées. Hanter exprime une habitude, une fréquentation familière qui influent sur nous.

FRIAND, GOINFRE, GLOUTON, GOULU, GOURMAND. Le friand aime, recherche, connait et savoure les morceaux délicats ; le gourmand aime à


faire bonne chère ; le goinfre, mange avidement il se gorge de tout ; le goulu avale plutôt qu’il ne mange ; mais le glouton, plus vorace, semble tout engloutir.

FRIVOLE, FUTILE. La chose frivole manque de solidité ; la chose futile, de consistance. La première ne peut subsister long-temps ; la seconde ne peut produire l’effet qu’on attend. L’homme frivole s’occupe sérieusement de petites choses ; l’homme futile parle et agit inconsidérément.

FUGITIF, FUYARD. Le fugitif a été fuyard dans le moment où il fuyait ; il est fugitif, lorsqu’il est parvenu au lieu de sa retraite chez l’ennemi. Des troupes accoutumées à tourner le dos sont fuyards ; si elles passent à l’ennemi, ce sont des. : fugitives. On ramène les fuyards ; on pend les fugitifs repris.

FUIR, ÉVITER, ÉLUDER. On fuit les personnes et les choses qu’on craint, qu’on a en horreur ; on évite les choses qu’on ne veut pas rencontrer et les personnes qu’on ne veut pas voir, ou dont on ne veut pas être vu ; on élude les questions auxquelles on ne veut pas, ou l’on ne peut pas répondre.

FUNÉRAILLES, OBSÈQUES. Funérailles marque le deuil ; et obsèques, le convoi. La douleur préside aux funérailles ; la piété conduit les obsèques.

FUREUR, FURIE. La fureur est un feu ardent ; la furie, une flamme éclatante. On contient sa fureur, on s’abandonne à la furie. La furie est l’accès de la fureur. Furie marque les plus grands excès ; on dit une noble fureur.

FURIES, EUMÉNIDES. Les Furies punissent la crime ; les Euménides châtient les coupables. Les Furies poursuivent les criminels pour venger la justice ; mais les Euménides les frappent pour les ramener à l’ordre. Le nom de Furie exprime les remords vengeurs qui déchirent et désespèrent ; celui d’Euménides, les remords qui corrigent.

FURIEUX, FURIBOND. Furieux dénote l’accès de furie ; et furibond, la disposition à cet accès. Le furibond est souvent furieux.

GAGER, PARIER. On gage quand il s’agit de vérifier et de prouver un fait, une opinion ; on parie quand il s’agit d’événements contingents, douteux. Un lutteur gage contre un autre de le terrasser ; les spectateurs parient pour l’un ou pour l’autre. La gageure est une espèce de défi qu’on accepte moyennant le gage convenu ; pari est une espèce de jeu joué, ou censé joué but à but. Le défi de la gageure ressemble à celui du combat judiciaire, où l’assaillant jetait son gage de bataille ; le jeu du pari ressemble à celui de pair ou non, où l’on met son argent au hasard d’un événement quelconque.

GAGES, APPOINTEMENTS, HONORAIRES. Gages ne se dit qu’à l’égard des domestiques et des gens qui se louent pour des occupations serviles ; appointements se dit de tout ce qui est place ; honoraires a lieu pour les maîtres qui enseignent, pour ceux à qui on a recours pour en obtenir quelque conseil, on quelque autre service honorable. Gages marque toujours quelque chose de bas ; appointements n’a point cette idée ; honoraires éveille l’idée contraire.

GAI, GAILLARD. Gaillard diffère de gai, en et qu’il présente l’idée de la gaité jointe à la bouffonnerie, à la licence. Un propos gaillard est toujours gai ; un propos gai n’est pas toujours gaillard.

GAI, ENJOUÉ, RÉJOUISSANT. On est gai pai l’humeur ; on est enjoué par le caractère d’esprit réjouissant, par les façons.

GAIN, PROFIT, LUCRE, ÉMOLUMENT, BÉNÉFICE. Le gain est très-casuel ; le profit est plus sûr, il est le produit des fonds, de l’industrie : le lucre consiste dans un rapport à l’intérêt satisfait ; l’émolument exprime les appointements de

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Ct’lur 1101 drpf’U- .e lfHh ,r-,, fouJ., .1vru le-. te !, e111 :u ,/i’arl,lt’ ; cdoj qui la1,,,t’ ~•t«·t, rillèl’ IOU hÎC !II eu ,m,•r :• 1l1·rron~e ~, g ur1II,•.

Cl ► l’it’.1tu., U. :hvtn,,,. ( ;1. ! <1ni c~t ,~ !111 :.’rtd rrnlc le J•lu.t g1auil 11<.,ml,1·, :: f’t• 1p1i ~~l 1111 ;~l’f•s ,/ sar•lt luUt , •• mnrul,• .. f 4 ! /. :,,~rai c.•uu1p1 nul ).1 u nltl(’ t’n 1 ;11n : l’,m11•erul, "" clet.111 . J).111 .~ Ir .. , h-H<1f"1 , hi n/,krtrl f’- .1 oppv,c au p,,tticuljc. -r ; t•t r 11111 •r.u l. " l 01,livi1lo.

C,t ::’HI, ’l ~1 &.,r. Lc· . .. iml’ r..., pln"i Înkriimr ; le nlall 1,lo.. r1frrirnr U11 a ltt gtme (ln h1 poi. :,1r i u ~ le ftrlr’III c.l’Ccrirc, Le ;ù,.,. e&t n ;Uotd ; mai• 111 tulclll :.

1

il1·11uicu,.

tiaN11, l !iPJlt t. l t- ,, -. i,ûe .1’appli’lur , : X ~ci •n•

ts, Jm :-t ;ttCI .a11Lli11w, .. -l’tU : , ;r.111,J,·, , ho c :., l’f'Srit Y(1higr 1· tont. J . .’un ,1ppt·of11111Ht, l’.t11lrc 01 ; Il •1u dll1H11tr- ~

1 ’,, ,,.·, u :11d )t"t 1,t !,.1,ts plus

lflhmtt ; Jr Gt’IIÎr , :l’ét- ; l’npt·a con,p,1nJ. Gu,,i ;, Pt.1Ml~~, ~. Gau dit quelque l·ho~a rlc : ’ne1al el J.c : v11guc ; ptr.,am1t_•, ,,uct,ltlt ! d1Q,1• de ,nticulif’r et de ,lelerww~. On voit Lu. · :,uc·onp tl · e1u ; u1i C !lf li( l’Ut’t· J’C"II ,le ,,a,1m111t :1. Ct • ;s ~si oovcmt un~ ,lt :nouun ;11 ,,ui flJ,JlliliL•r,•, rnfpri.l111le ; r,on111t r~t p1cu1nc : toujonn unt’ ,111.- Ufu- ::ition on,ic’th·. On li,t tl~ :&l :tt"r. ;t11J} iu.iis vn tht de nnes" ptr101uus.

( !l, !’fTfTt, r•~u•..- t~ . LI" nom tlt’ cum’l.s (nf d1m1u ! IOU :i 1,, pt11r1...~ ,,11i ’('3Îtnt horJ du 11-t’in r1o l.1 rinll•i- .. o t{ :li,l’I ; t"l’ ,u de 11,Jit11J (p ,,., ., . .,, ; } ~.flr.ut dot·..r1•ou dt- .- .

f.,u.~

tli :,.11~ 1

’}Oi, 1>euicu1h prir

e& rmrt1c11r"i ch,cti,·o,. all11i 111 i-xercc1 feor (inltc ,m, Jt•, t· :.111p ;ag11t1. 1J y ,,vait ÔttS çc.11tilJ ’IUl udo• icnt Je ; :1i nin1.

t,ifll !’ft, licaa. C.elui qui iir-t !. p11rte toat lé oui, cl,., ~lf11irb ;t·elui’lui r~gil le, ; goavr1 ut, urnh •rit.. no pli111 hi’Ct’, li) .l.Ul ~Il’( colooiu- ; de., r,wts •l’Ü agt, ;1oiitnt wmme propriëtahe, ; 1. -s 0•JhtUi".f Je <luruaioc, dq pdth·t . clc-1 1ur :ioll• (’0, ’OUt lt’h :uot pJr de, loi1’, cles rc-nlttut’UI ’i. Gttl&T, Pol’t :St~ Le- gi6ct .... l 1-, scnn• <le supp 1icr, l :1. po~ncc ..n eit Plnitrumt111. On tlrt"- .&t 11 potrnct pour tt1ui qui t-it cunJamnè at1 tikt. G,.ou~.w, Ho2nu.1J"-• Ln 1,•loû·c t’ t plu) ! écl :.toute f{’lt’ l’/ionn,ur. On p~ut e !tre indi(ft.,·cm1 pour l.1 1/u I’ !; il u’c•t pu pcrrui., ~le ! l’è1n, pour l’l,01111ci.1 . Gto•uu.x, 1u1., .A ,..,., .. .uoun. L«firr Mt coru-- 1nanique peu ; l’,wanta_ ;;ru.. ;r altu .. e Je- !1t dC :JJrM( !c :; l’orcuri/1.111 . .r 11 :ffü·ho IJ buono opinion c1o’il • Je lui-au :tuc ; le glvn~elf.r . nu1pli de "~mité, dierclle. ptn, â •’Ct.ahHr don_ . .

101,ivion p.,r lc.s dtûou.

L’urg,uifl,11., se crc,i.t ; Je glvrltu.x ’f"UE p ;ir.tîtrc qitf-l,,1ne chose- ; l’,u•ant«Gttu .agit comme 5•i1 i :r,ît -roe.lque chose i le fier b’uu :-. g i,~c qu’il cit JtUl lmrortont.

II.

Coù-T. Gi. .· •,n,. Le gr11ir t<lit nn dt)n ùe l.1 .TI .• HAn11.2, C.Ar.,1tt., . l/n,iled.lt plo-s qnecapab !t. Urrt :- ; Je : Gt’"' 4 !"’1 l’o avliq ;r. ùc- 1•~h1dc rlu tttrups. Lt c(lμa/,/r P"tH ; l’/,abi/~ txécole. L’uu .1 ,~ tàN,. Le-.

loi~ ,lu gvd/ tluu111mt Ji"~ N1lra"e., :,u gC11ù. rie : l’.,ufre "J~ pluac 111 pr-alÎrJUt. et l’u :prric11ce. r,,,.c. :, f, _,H,.nt, On,,·c <lit tJIIC’ltJUe eL1111,e de lh.Jan,k, 5.UA !’U, D001. Les ,oour ;is~. ,occ1 gr :1toit j fu1.•tur , tJUt’"lt1t1e : cho !H : <l’ :i. !(’ ; r•ue :ox. 1-1 rt-duitc.. cm rl’i'llit1ne tctulent /u,hilt ; rieUe, <1ui ~r,irr :muou~t . : ID ~u1,critlrilt. J.- n.., C<•lui <pri l"trn.. dcumuclen1 J.., .apécul11ion font le smmnt ; c.cHt"’ cnrd,· ; JI fr :•·c ·ur n1mu1tCict lt f,nh !r <l.,u, ; c1-h1i 11ui tJUl • erupli.s.seot b mêmoire font J’bommt drJcte. la f.u1. 1 ;t~J,wn,r •••c,t &utH’rnl q•r’,ia t~iuoi. ::11,1ge L’uratcua t’lt !UJ/,if.., · le 1,llllo :i.OJJl.u ~ ~. st sawml ; n,,urur ; I ;, ;_. --t icr. c~t utile. On fJit cra~e Ju la ; l’l,Utot·rnu et le, jotÎCOn1uhe s<,ol doc1,s. vt~• ; un ~u111·1tf’ ~, un~ Ja1•,• 11r.

j l(lncu ao~u,s, llo1uti.T.t 00711 :.tl, Hv.Mllf : n& Gru.eu,, o 1

,fl.i.1111. ?o f",

Le1- 6’·dct·,

~ ont n,uo~ nu ~~

.

La prciniet ~. st T :'ll'emt>nl eu qor ,out Jr, reillL"~ ; (C ;’ :,- 11 .~r--c,·1mm ’s vi1•u11(’1Jt J<t l’ :trt. tine prr- dcu~ :mir.- ", ,•er 1uc11x 1

bieofaisaot ; c’C !’ll â Jni ii

!’<JhOt : mnrt !Ue, -&utJril, rht1tUv nvee gt·dr :cs ; ~ comlrihe Il--, :uurcs poot· son plus gianrl {ll’Ofil • 

convt-rtntion 1· ..t plt’ÎUt J

1

«-’ r. :m,•111s.

L~lu :1111/ t~ lmmm~ ne f :i.il de tort â peraunne ; Gr.At :n.ux, c. ; .r."~er,’4 Li. : -.

nmuit"1es rrntltat l’ILDmnitt de !J1c11 foil du hien aut11nt qo’il peut. , ;"me t1IJ. ; J’t• .. ?rit et I hnuitur r~mltll n ;;rdabl.(•. IIARfT-’XT, .llou :RG.to11 1 C1TOnM. HoMrnnt .te l.211 Loruuic 1,~,’rti.• ;,u r pJ.tltj un horninc nurr·at,ü dit pat 1·,,ppo1·t an Hc.·ll de la r<é.,Mcnce,qud qu’ 1l

llnll’ie. Le- ! pcr~l•11oc.- .

e11j1J11t•e, lont "Grà,.hlt’.s. !’IOÎl ; hum·geuis ruru-que la n~11Jtnce : dan, l :a 1’illc Orncien.1 Ü :tllc lt’ !' - .tn, , l’amour-prdpl’e ; no’7·àt• et un dt·gré de conrli1ion entre lil uohlt.,te et le 6/~ cuinfout ou g11iJ1 f1 ~ l1P,,pr-it. I . ~ tÙABt.k . p :.)"san ; Ir. cÎloJ·ei, n nppou :i la •ociétè _polfti.. c ;,1.oN. Gt.l !O~.

1 t’ , :ra :,, t’,,1 fo .acrncnce 1 il •1uc. il J~nsne nn 1ucrnOre Je l’Jltat. est lt :· f1 uh qu’tm t"n 11,,i, n.•cu1•àllir ; b : ;r11i11t n"’e...t JJ 4.DlTA. • H.> !’t, lfAtaoN , Si1oon, Dul.ttcn 1 , nt.. ph le Croit ’JU

1

~1le tl~•lt proc.luirt" et q’ni peut teu• :i1u.11i., l1ne lm/111ation t’tiiL un Hen ,1u’on hi.bite formtr plusieul’l'J b"rm u•J On ! !, •iue tl,•’f ç,-nitu ile •jlMm.l on veut :- oo u uoe maisa,, danA un t !n• Lll ! prior avoir tle ’-1 . !"’ c,-ainr.r ; ou 11èruu de, l,77"(1Ï• droit qn’on 11°b..’lbi1e paa ; 11u sej"ottr, dans un en• 11t·1 pour al’oir Jeg llt·ur :-. 1 Ne.

· droit qu’on u’h,,bhe c1uo par iuler·nlle5 ; un domi• GnA ?’fD, V ,,,TL L"c1,..1ulne 1’(1.ff ~ et r~glêe lait ln cilr, clan& on tndroit •111’011 th :e anx autl’C$ corumo ,rrttt1d : la ;,"’ :4m/,m·dê :111e !’illn :c : fait lt’ 1·c1J’t'. la lien d,. a :n rc ... i1ltnce ; urJC dttuf !IIN’, p31’"11,ut ou. l~ !-’ :'fn, E~oq1u,A.1non,.Ct.’i rrol !épithèt~s, 11011 ~~ propose ct’~trc- lous•lcmp,. Jl11ilon dCs.i• Jt a, ;appo1 cint nu~ nirur :,, on nmr’loeat le d,..gré ; gnr le l1 ;’iti111t11t qne l’on b :1Litc ; /,a/,itntian cta.rac. il y 4 J,·~ c.rio,e- ; 11Ju,. ou mmn> ,.,,·a11,ls ~· ,ùw,·m ~ hhi1r. l’u~ :igc ’f'l& l’on l.1it cJ’uoc mni.son ; lt1 mou C !.fll"ÎO)e l’cxob ; atra(e y ajuuh : ridee de- CÎI COJl• c1~ .1Cj,mr cl lie di m,mr~ &our relatif• au ri~ ou alimce.s -&f :’&1’nunt_ .4 -

u1oju’i cle JCmps ’ln’on lrnbitti cla1u un Heo. ; le G1’4 :0JL<’1l u’.Mt :, Ctbc’i.n. .o !n-â, llA.ctt .ttnnTA :, u-jtJW’ CAL uue h ;ahilatlon pa.s .~t1.gtl,c ;: ; la dtmturf. r.,. cr1md,11.r J’time. f .iit clc ~r :u11le, c·ho !le~ ; ln [,ri.. uy • babitation plus du.rable ; le ternte- ile don1ti.·ilt1 ne·,usif, : le-, foll p,1r nn ,lcsiutc.r,- .5 - .cment .. uhHme ; 11jonte la l’iJèu d’lwhitatiun u :Ue d’a.n npport à hl la m11311t11,imit" 1.- s fait srrn1 effcut, conhoc tles aociitê civile. chvsc~ ! !iim11lc !, On :11lmù-e IJ gr(J1td,ur d’urnt ; lJ.BU.lln, FuvAaott, lft.lfTl !tJll. Le l,ali/~ur on :ulmirt, on aiw.e la gr11df0Jitt !. ; ou . :i,’1"rubou• meot pom· !f11fflU,l.Ct’ et ar.nuser te :i ; :UtTesi le-fan• ~irun :nc poor la mn&"""imilt ; 1 elle caraotCrise les /1Jro11 _ pour se f1oti11e v11 :loir i le mt11ftur. pa,• io... Lutro~.

térêt., foud,rrie. Le premier e.t pl’lrfol !, amusant ; C11 V.&_, Gauv. I.e pra1nirr "1i'>l’fll11’.' l’énormité le seco11d., rit.Houle i le troi.jèmc ~ dingerellL Jo c :n1ut :; 1~ ;r,,Cc•lnil, le mal r1u’jl foit ; urn, fJoe llAnu.,

.,.·r .2’~HUf 1 ÂltTr !’4TU11

1

IliP0’C1’f.t«r.s .

,"’f'f11 e cnote nue prine /{rtrre,

L-i !uti1 ;e unit de J4 p ;tssion ; l’m.. :nitJ11, de 1~ d .i,r. ~AYt :, ~,rnna ;. :c ., ll1n :o.1t. L"n homme crae-•e eordancc : elle fait ,iou !Trir to p1·êunc~ ile roLjet ;. n’t.t p ;a-.

cdui ’li ne tit jnu,a,,. c1tt,i ;t et.loi ’]DÎ I l,1 rtfpu0·mam :, : ~St l1iJ ùeguôt du ce qou l’on <’11t ne .. :b•J’JUe puiot le~ hiNlf’11Ch’t"’i Je t-. on flot, do Corr.é de faire. 1/altùtl ! .1e tltl •pici. :il,nae-nt Ùb ~on IÎGt-. dct ~on. cariwlt-rr, de !t. i HICJ :tJri, c1c. petsonnt,i, L’I.Jowwe .sé,icuz frit diff~rt :nt de I Uomme cra~t . H .L"- !ttt, -6011f’•t•. Le sot,Jfle ett plu.a fort qoe ~ h1 C’,t , :rm’t ! p ;u• ma1u1•jtl ! c.l’~prll ; 1uie11.& p :•r l’lwle/11e : J’/,n/cîn~ fait ,•adllcr la Jurnit !re- ; le humrur ; prüJc pnt dfccuniou.

1ouJJl1 : l’~lttut. Le sou.f/1, : ram :iiJe roule l’l1alt !Î.n6. ÜDA’Y. 1 Stnrtux. Un holllrue çra~c J,t’llt t·i,e, Le Ju111Jl~ des aqmlons ; l’/,<Jleint des ltphvra. 111 :rh H l’.lt’ L""bl)<tw, point Je.’i l,l.- n,r :rnc :-t :i ; l’hotnmc H.u1 uu, Y u.t.~O&, Bocno-. La pri..,ati.o""o ,rnn Jerù :1u : l’ctt par n-1tut·e, u .aouvt’1il f.tqlè d’iJéti. marche di41 ;ngnt un t’t'/la~~ d’uu ÔOlll’/l, con1me GU ( na 110 :t ) , Dt Dll ?i ~ e ~ oun, rR 1 Da aol’I' b pcivatiou d’uue lglù.e paroh~ia1e tfulwgne un oourtt , De on~, nnÂ.CE, Un dit de /,o, : çrJ, .saur l,nmian d’un 1.·i f/(,-gr. cmUtillUUt ; d.e ! l,.,mu ,•olonJt !, .) ;u. _ , répu1 ;nanc :e ; HAr.ru ., A’l-i’lu ru,. Happc :r, c’cist & :Ù.’iÎl’ hro.s• di ! /Jou cœ.11r, pu iorlinaliuu i Jd bt11uUJ ; ;rd.ce, <{Ut’lll<mt ce- que l’on al/rapt ! après 13 pounuire. al’tC 1’Ùli1ir.

Le ùticn l,a.ppe le gibier qu’il atl.rop, :. C !iut, F’r.u’l.T. L’tnfant jlutl est ru3igre er H•Ao1u,a, A(aca :11, llnovc>Qcaa. On DGll.ctJ petit ; le grilc e,t ru :ugrc, uu,i~ graqd.

aon,·enl tn rÎ :lOt ; on rro,·0111~ un ennemi ; un le Gr.os, Jt1•"1 :r. Uuc clio,e ,.at gro,u par la grnn• l,arr ;Uc en le ( !0u,hitt3nt. Une femme, agae1 :. s.an. d ~ur cle A-O dceot1foumcc : elle tsl cpalsiep11r l’uoe inclt. :.Cente j elle pro..·oquo avec impudeur ; elle har dt 6ts djmrroion,, Un ad.u·c e~t G,·or, une p1au• t.Jle pr.ir labri.cité. cbe e,t ipnis~.

11.uu :auux, Q1tt11.at.t .&tl’I. Un homme lu,r. Gutniuu, lLLtQctn, !f•llTOt., f..frr.tp c11t11.r, d’humeur chagrine, qui trouve pactobt T~JtS. Un 1nince lu :ll !qut !tJ.r, a.iw.e Jt1 sncrrc sans de5 torb I dc,·itnt â toor m0111ent ,711uclleur ; il h (i,ire ; s’il ~t guerrier, il ue l~is,e pAl5 à cl’an• cliercbe et f,,lt m,itre d.C$ <JDtrtUtS. W 111trtlleur, rrt’..’li le cowu.umilcmeut ,le IM :tnnc :e.s ; tst~il mtrr• 1qui e :ht :rche lt :.t roi~, tl.tv.icu.t ltar&’""s en les rial, il (npp< ! luf-wt’me son t’ :Dnt’iui. ll y et1t des I

reproch,mt.

ptmct""t !Jt’llt’]"~llr qW. ne furent j.imai~ gnrn·irrs ,· J !.t !AfD, FonT01’&, SoaT 1 D&1Tlff, Y. DuTur. jl y eut dt-"i prince., gt1trrlt"rs 110.i n’rurttnt ni l’ ;.ir liAU1'J>tR., ll11qu.ca.. Ra,s.crdcr., t’est eom.a,crni. lc <’Cl !Ot’ mnrti,1/... L’esprit mi !iioire ne voit Ja1 :a lrè oo bat.ard, à l• fortune, •n tort, et propre.. le ,olcbt qne dt’, madaiue.a à tuer ; mai, le vrai Iment au jeu ; ri19ui !r, c-•e-st coudr le dauger. Le mili.t .>ira ~t no honut :te homme anné pout s.on pre-nlÎtL’ indu1ue J’iocertitnde ; le scconJ. meoael :c souvcr :tiu ou ponr 1 :.. tlufcn., ~ de s.- i p :u.rie, ’ouà luu,1rde :. 1 pol :lcc tJUe voos le •01.Jle~ ; on ,i,.. Gl m•~, CoKoaru :, ~h :rl.l. r . Co :ral."Ua . q,,e qaclqodou Hus le vooloir ui le ~a,oir. C

18

DIC’fIO’) ;,lllE l)F ::, SY.'il>'.’IY lE.S. IU.TE.A, P,cu1an, lli.p1.c1uA,

1 :-U.1’11,,l.., Jld- / ?fiàf’U.J :, por dt·- .
-.fr, pti.iCll,1111. !J. (JI dl•lr>. rri1

nn ahurd rloos cl foC’1lc ,1 uvs L1lt•1,rur~. bt Il’ 1i, ’J.01t’11Ct :f, Lurttnlllltu ! dlpt f ù Ulh : 1 !J Il~•· uhc1c1ur-, ed1 111, :! -1 l’aLri ci une h :rilu, !t : l’f't,mJlwn c,il uut ! l"..CJ°t"ptwu i 11ae ul,lib~t,,1n cuuuuunC !. Ou <lit l’r ,J’",,d

tltoi1 ; l’1111tn11111I tlt’ !ii pr1.’iounc1, •lt·’ lit 11, rtr ruaiqm, une Ji1i.gc11Cf ! iOUL~uu .. :; pt " :"., ltll~ impulMOD Je b ·i·11cité ; "l.i :!tcr, di.t 1 :u. :rtYhc jnsqa· :i hl p~dpitouion ; a, :,·~lrur. uu 1 cJvul,lem ~ul U’ï1cti,·ité.

]f..iTU’, PU :cor.t :, -P1tÛH’rL1t.i. La ùiH, :;rncr t’l la ,itt :., !"ic c :u-. :lçtêa :.hmt Je l,tltif ; l.a c :dia·i1e1 et P.10tori 1é) le ru.~«6 : ,., . precipital.ion l’t 1’,1ulit :ipa- 1iuu, Je phmaotr,l. Lei ftui1~ qni ,,fon11l’11L te.., 1r~mlcn aont luitlfs : ctux qui , lrn, !ent A :iut l.a 1.1i,uu r1ui leur t~t proprt )unt /"’f !Cùcrs ; et-u .l . qni ,jront-nt rrup lût pour uc :11ucdr lc. :u1· watolÏlê ’»UOt frèmaJur/J.

IJ.u ;-r 1-hVTAilf, A1,TU.R - L’hQmtnc luwt l’lt’ .

,

croit au,de1sa Je.,. autre.Il ; 1 hom :m : ,1 ddtU,1 vt•ut le faire croirfl ; lï10rume al rc r , col 1, f,1 ut’ Ht 111 ir. L’huu11ne ltClut ue 5’,1h ;o~ !it : J.&UIU..V - ; l11vru1uu iLi/1·0· , eut t•JtJJOJU’ : nntl vil,

Uli.UJ,uri 1 Jiinn,ua.. L’l,èrJJitl t :l la succcs• MUD-

.i .us : de-oils Ja tlt’funt ; l’/,i1Ïlfll,~, la " !IIU1 1.,. .~.. si,, 11 aux Lh·tt$. Yon., enrn. -z d,10~ l’hd,r :,litc, el voo, pnn~ pOn’-' !’i~iou c.lc l’l1eh·itcgt•. J(r.r,.fu~C’•, lh.1Snonoxt.. Celai-ci t.,l d.10& l°r"n’"OI souvc-ut , :ina Il, 6.1’VÎt 1 t•t tuujnurs ~u, "’eu nm’t•r, I..’l,cr(IÏt : e :.t w1e c ;rlcur- tli.. dH,i , un d,r :1d1c ;i là prup- :tgtir.

J-l&ho1~, :.t, Jlan.u.1c17i-. .

L’/1/rnumr 1 ;:-.t la ma-

oien : loJH l" lie peu ,u-, tle ! !Cotir, cl J’ :1r,1r 1Jt1 :S lukot. ; l’/, , ,,i :i.lJ t’il te canu :ltll"C prorn : du )Jê :co,. <. :e tpw l /1 ro11,11c C !>Î~r, J’l,ùvr-cit~ t~~C"c’Ute. Le ruo ! h, rvi~. : • t~I ,1 pdue fa :rnçai.1o lfl.rw,, (,RD JIU.IME, Le/. f’UJ r,t frrmr.., Îll· tri·plJe, ,. illiant : le gram/ l1vmme juint JU l ;ilc :ut d au ;u.1ie, l,•~ ,cr111., moi ;alu. Ll• li.l I t· Je /, r, s dtpeml ,lu a,uc :c. :i ~ 1 el i : oe peul i :onvrun· ,p,’ 111 gnitrrier ; drnc1ue .iudiviclu_ peut n,, :riltl 11. ! IÎllc <ll"

,nuul lu.Jmmc par fhum
mi1é i.t le p11d01.i ~rue

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~c l~we1· clu t1t1l,•il t ,t immam,uaU’1. mw u· ;le rl tfftll11nr1, 1u.e <’~, t1tjudlrl,lt !. IAO :omn .. , Oe ;.1111 .. . 1,u,, }1 :u~"S,Str,0,111 .et qni tcrul ., 1’011 rl n1r : 1· t ’"' , ,/, rti ; et• qui oct garJe plu, 1 ?c pn1port1v11 • r ,lrr.u sure ,· c< ! qoi p.a.uo let J«nu C !)l ,v.,,u,f,· cc qui. p .1 .i c de be.1acuul’ Je but t>t 0111 •

D.’y .. den ,.u·a ne viole. dc11 r1uil U1t•~ 1 :-tAM’ro«, UMOI.L’Vllt.Mt.Jll’r, 01,11v.tri., L’inn tum l’ ·1I l’f.’1,H •le celai •1u1 ne {,1it rien d,ml la (ll11we11t, le d,uu·11t. ·r rmNJI. de celui qui 11’,1 i e• ,·t uc : dJc :rchu tft_- n oi fa,jnq l’oi.rit•l"lr, Jt- celul 1J o•a rlcn et ne reut rirn {.ifrc. On ,.., 1rp I e Jtal J1CTJ()NAinF. DES S1.’.~1,1Es.

19

rinnr ’"' ;, v11 :.,c,011n dt’ 11 :1~ :,ttllf’, p :ir ri s-o<tJ• .m ut_ ; un joue r•~r c, ;_,w~M..

l :ii ;.UU’Clt1’.l !ffl, bJ..’J"l’OTIO ?(. n.10.. l’ir. r,h·, ·r• "n "· u’a,t°’f ; puuu plt !I, e,111le_, m,,h ,lHh ••~11r1. pvi111. j1’t-rti ; J.-ui j’w,,r ;, 1Jlwr1, Yll~ t.’lΕ z t,r1j. L’ùmJ,-rrtnru :t• l’"'I 110 oul1H iu,·nl1,ul.111·<" ; J ttalf~n’4·o,, ut unè ti•· _f :lÎ6’t'JH.t ir.prchen,H, !cr. l t1 Jw,mmc :i.lHlr•it ,... , ,,,jL·I ô 1lt u1r,d1•,1lfmcc.1 ; un iouunc d, .. u.111 t,t .sui~t u tl<· 11wlf 11t11J :u. Jr,At•, 11.a,i :, 1 :. J ,., nt, bcst u,~uu.g. r/ :unp• ml l1ul,,11n• tjlU• l’uu u :r.l (•Il pn•pn• i1 qudrp1e o l" ; l1111·,tptt,·1°t~, 111w Jon u’n pa, de fonc.•~ i ; J ;ülu1lf’"l I i11Jn1· , 11 111 ·, 1 _. 11u~• 16 foét1l1~. Ill’

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J :U,f’F ,~ u, ;, l , ( :-< 1,l’L. ;Du.t. . . lrttffi•rnl,lf’ tlé., ;igne un, "Pl’3h•n.·r qui doit h•nJoor- .

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l1’ ..- .oira, lu :10’1mr1. 1 O,•PIOtmi. V,’,ifn,n ;e ôte la r,•put.1rioo : fl~r, 11 l’huun,•ur ; l’ig11um1mc. .suuillu fo nruo ; l’tJpfr-u/ir,. i •)t I ignomiuic uh·ilme. b1· ,nn.a, F", ;r.1HC1>t. Ezni rtn. Ci•lut 11ui e.,I 0,(11111~ a uuc ),1Jrtc d’1.111gon"111c11t ’tni t"nipl’cbl" ,inc fo 11 :rlt~ 1w r·•ei. -.c jwqu"à ..on w.pdt ; u :lui ,4ui nt J,11c :i11t

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J :uli.CTWX-, PuuTr.UR. L’ù1fa1fon rt :pJnrl une rm,,1r11,. ’li ,lcvicot c,m1aoitu,e ; 13 p1uv1 1~.ur CJt l1wl- tu· th,’2-i’~rê~hk C"1l1 :dt.’•t <le~ co111s. La pun"~ lt•nr Jr :1Jait j 1’111fi.ct :,u1 unit. J.,,- 1 --·, t r n , l tfow 11li. f’..o~ Cl.trn E. Y001 in/ire- :. )’•11· OU’ !! n,11 :s~(pu·m·e fo1ultr !’iUl’ Jt,, r~pporl. ; f’l..ihli, t111n· Je :, ; pr11poJ.i1iou~ ; ’fous i11J111.u : y :,r 11.tlc, : eonsêrttJC’IICll uaturdle d’un prim.....ip. . -. uu U’ouc-

,,frité ,Jc·d ;1ppèt• ; ,·oas ,·u11t :bu· ; p.u one : con~è ~ qurnce oêCl’-5b, :Ure c.h . -s p1 ÎllcÏpc, ut <tu.i rermiliu le n.Uonnement.

IKPJDit.t, Pr ;nPtD&· UoP frmme i,,jidJ/,,. mm• nnr pour tdlc, u’~t qa’i11Jiildt ; dlc r,t r,rfid~, ai elle Vt’Dl paraitreficli :./r. l. .Apaf,lit :.jt.>ut’" fim.. po~turc il l’mfiJrl :’td.

1N-01u.T A, ] !’fll.fU’l• UH’&l. Ou e~t in(. ;r11t ao1.. cl1oit-s ; uuc ltl’rr fog-rate a l.i ruiturt"", ~n osprit ingrat omx leçons, un cwu.t û1grat l.4- 1o hic uraisa. uce. On est ,’11 ;-re1t ~llnr, lc1 pcrsonucs i un bomruc est ing-ral etwi :rJ sou l)ieuf.uttur. l1nt11J1&.1’, l~ :f’t&fl8U. On rlltrrrt• œ meltant en terre ; oo iulumu : J’û•Jmmc .i qiti oo rend Je.s honneor- 1 : fuut•Lrt’..t . Le., I’r•~u·.., i,,/111menl lt.’$ corpi ; n.n thHUÎu t·11Utr~ le c. :iJ.i .n·e de lJ persouoo qu’il n ufre.

lZJDUTtk, PLU("Ct’ln. L’iuimitùJ pt1r :"1it tonjonrs oo,•ert~rnent ; ) :1 rmrctmc diui1n11I~. L ;1 ran’- · u,1c1 c :.t pf’r,onof’ltc- ; l’ùn111i1ie ia lrM1,ruot. L :1 pn·miërc nl d,1n ;i> r~ivrlt ; l :t "$(COUdt, tb.ns le : ccrur. Elle pcot nahre c..o ,a p1-em1tre, .si ln veog~ancf’ ne l’ :a p.11’ Jc1rlliLe- ; l’inùnui,i n’tt !it jo1m1is ~atis(nite ; nu toU •r,11rllt un antre tort.

I ==’ n ,,,.u : . 1 ur.t, L"fCVlfCLv.lDLI :, L"fCOM.rftian. su.r,1.. /lûutd/fgiblc. ac Jit dt ! l’expression ; into11,. . :,,dMr n tft]tpOlt 4 l’i1uaginatlon ; inromprr·l,rr,. , ;ttc, J 1~ 11atm·e cle l’~JJl’lt ùnwair :1, l’.nc pl11 :utini 11/1 lli ;,’"1/./,. ; uu (.ait i11co11, :,a.1aô/,.. ; nn wy !tti :,e iucompréluw.,i/,(,_,.

1.•ut·n .ttft., hcn :c-r1v11.n .. Le m6prt,, l’in.sülencu, l :t . ;:,·0M1ic. - i·ctê i11j11rlt111 ; la cltaleor, 13 ctlltt"e, 1~ ulr iw•,•cti1•f :11I. On o•inj11rie CJllt lt.i penoonc~ ; cu~i4 on im•r1·li1•r :1U~,i "ouu·e le~ cùo.i.es. lujunt, ch~,if :m• l’dftt produit par le cl.is~our. ;; i1w,c1fre1· ùi :.sio11e h, •Jll :t.ht1 ; dO- l’àctioo t J :1 ’f'bt"Ult :rtt’c. J.’f !!tnu. :ux, Gu·ru.1 :x. Dt ::t mo,•cns insùlieur irul11iHUL PD erreur on en faute’ ; Jr·a : 111uvetl$ cn11t"·11z cniportcnl. l,es premiers lcndtnt on pi~gt ; Ir• •ec·mub jt>lltnt nue (".’t.Jlt !CP. de cb.arcne. Lu ,un.. lice.• tlcs pu.•rufo,~ e_,l carhèe ; ln m :dice de.’ ;! ! ~ccond» C. !>t p :irë~ ,te : dd1on trou,peurs. Ce ’JUI) les r,j... $C- .n nemcrn les plus , :npti, :nr n’ont p~ proda.it, uu~ c :1rt"’i !IC lu.fidieu&t ~ufilt pour J’opërt’l'. 1N !it :iCltft. • l>t.R’IU’A.Dli.fl , Suur,1.Rt ;I, On ir,1Î/111e nvt•u ,ulre :’i,e ; on prr.1ua./v a,eo clur1nrnce ; on ’"GnJn• :wcc arliJiri :. /11.simrtt• tlit r1u••lquç cbo,e du dëlfr :u i p,•rJumlrr, (JtH’l'JIH : «lao :.e dt> p.aùiéti.. qoc ; .sn,..· 3t’rt !r, ’JDtl11ot- cb,J.C J.t" frmu.Jultu.%• 1~,_ . , , :’{1’, l’R~~4 !’ol :1.· 1 ti"r :r.n~T, h1riauu. :n. Lc,-11 60lll• itul.iou., imt,mltJ lt.uJ.tut J. r.l’ir Jo cuwien-tt-mtnl pi !r une ,ioltnt-er tlvacc ; le.~ r.on,id.~ r ~. .

rionri pus,ar,fa ptmM ;cnt nnc nue furtc impuJ, t,iun ; le, f’-tittse& urgt11tn portent nvec Ot’lr- furrr majem c ; lt•J tb ugen imrni,,r11t.J OVt !rlÎ’)ent cle r1 :.~r mhlt.·r

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l,’Tic <l’nnc, fl.’X~liun criante. Sïl s~ ùli1lç q11clque du·f ’li 1.1 fumrnltt t-l fJUi Jn ,lidgr. Pile tlcwit·nt lt :J,’,im, : pui, ; r,frolte J01-,,q11’dJc 11a~. ,.c- :mx ,·iokncc. .. , AU~ toi~ Je (ail.

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0. L’intld’fll’ t"4it r :1el.é, con-

n111 pJ1· r ..~lf’.fl~llr’ lé dt·dart, l’t..,.I Jlllr ,~ d("btlts. Ou m· peul pé11rttrr cl.in~ l’iut/,·h,,r de l’lJ,JlJJOlt.", et sou Ckli’rirru· ~t ·u .L _rcot 11,Wquu l’C qui :, ;c 11nH.• rm ,/,.,l,ws .J,• loi.

Iin,Rfft’f', 1.’flJ.llN&-, l :tTJU’ !isl~l•a, Une pctt• aée r~t i11ftr ;r1w·t• et lll’nt nmius & lï1<.u11mt :, ,1uis . s••~ 6e1JtiU1t>nJ1 c1oi sont inter/les, quo ses qo~li~ tjllÎ ’l•lJJt Îf,l(ÎrfS J’fC. ~.

J :,rruc.ut, t ADAl,1 !, JJnrovE, l’A.nTr. L’rnfr,.

,"llt 11 Htn c111rc qu,1qtJ~ iutlivi,l1.u , -lulltent coutre

un t.f’ol ; 14 ca[,(1./d c :, ;ige la rC :rmioo cJe plu• lt"Uls- cutill’r cdni qu’cllu veut rt-m·eNtr ; l,l tn-G " Uru cfaoi ta.ac

~ 3e-ruLl~r pour le ehoi :c de-

31’3 mtrwLrt" ; le pnrli rJ1’i,c $OUveul une J,llllion ç.ali1•1e t’u 1lru1 1,ortjom t111wmiH. bn : .t ;_ ~n ;Jl 1 Tnou.... 1 -a. On i111·e11 t Je nOU’Cu~, cbo~r ~ l’lr ln foc-cc Je l’im :iginal iou i ,,u ti·om•c dN eho ;;c :~ cachc !e,3, pur ln rtdierc.• 1.e et p-’t J’ c~otle,

l. :l mêcanirJu•• irwe11ta le.s macl1i11r.s ; la phytique ln>ll’ft- Jr.) ; c,11u~c.,1 e.t lts eO"ieu. TRttawlLu, Ini.c1,. On ~3t irr. :Sn !/l ,hno. Je• matin1, ;~ oÎl )’ou 15C dL•lerminc 11a guut t p"’r v•n.. tiwe11L ; oo Nt imlici1 daoa lfs du,n•, ; oU l’on ae diciJc 1..ar la rai.se ;o. ;ut ! :’.nue ptn 5Ctislltl-, ea t irrùuluc ; an e.i.prit le-nt .6’ !t-a llldù,,. lnJ.Îtsot.OHO !’f, b :tu. :a.T1nrtn :, l’t.nrt1xrri. l,’,r... r/10/utiou de,îgne ooe 1i,uidi"té J t’Ullt"JU’t•nd1c :- ; l’inçcrlitml,~, nue : ir ·ùolulio11 ù croirt’ ;. lia. pe, - 1l, :.riir’ , nue 111•/,olufion inquii :h,.’ . l•at, Svijr... (,n peu de "in pt :Cl ttndrc it-rc • ,l l.1ul ctt ùoice do1vaut :ige pour itlrc ,ad/. L)101uuu1 frn· oc gni 1 i1 cbiiutèlc ; Phomme solU e :st àlupidl" • i.l rnrnL-ar, c’est aue h-1-te 1,rute ; d ut mt !mc .IU• d~sou, J.c la l,#-1e.

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JAn.Lll Ru,1.11.1,tA. Jaillir marqne l’ëroprion ; rr1ai’lùr, 1 :.s dTeu d’~ur : , ;raode_è~uptiun. (aillir ue ’° ,U.t que Je, 1tc111illt-1 ; ,"ïmll,r ~e. Ju Jt-t . lh1uîtle.s et Jt"-1 solid<’- .

renvoye.~, npou~se,.

JAf.UU !’ffl., 1 :)t’CLA.f !O :C, v~mulatio11 t’~l un SNI• 1.im.-nl CûUl"aftt’, 1JtJÏ fait CjUC r :unc pruf.itc <le~ sr~nd.s r :~iu1 :1c~ : ~a jnl~111ie ~I 1111 ,, ~u tac~•r : et cuuu~1im ,lu 1uentc d : :uJLrut ; tll~ 101 rtfo :,e le~ è)oiTt& uu la.i cm·ic )( !S ..t"compt :nse.1. ltJ :)

JA.J.1AH (") 1 l’Ol’ll H)IAU. A 1a111nu ma.rq,.u : lu force de 1.1 c :- .m- ..e-, rc :ut’rgie de l’action, la gt" :indcur ◄ le l’dftl ; paur jnmnis cxpd1uC l inlcH· tion, le {Jit 1 une- t .•irt·Qn"’fance clt : 1c1111111. Jlc. -ux l•milOb .- ;,• jU1tOt tl’.'•1rei ,, jtmwi.s l’uu a l’ant1e i deux. t ·potu. ,,mt l’un ~ l’auu·c pour j11nuns. La dcr11it11t Jilmne 111 c-x111iuu : ,,ue le r ;1it, cr. 11111 t.st ; la prewh :n· e-xpri111tt _Ill_ fon•e , !t·.. .,r,Jlim,•ul~. .

Jo1 t, (.," eni., Lo 101~ NI ,larh le1. :a•m· ; la t ;ttltlt• d :rn, lt• ; m,1111e1c•"’· L’noc co1~i,1c danç- un Joux aeontimcuf 1lt l’âme ; 1’ :intat• ... Jco, aue agn :.tLle •itu :wtioo tl’,•.,rrif. r . ’1.41 .

Jon,ro a, Ac :r.OTA.11, Aooaoca. On jai111 hi coJUp :1 ;uie 1lour ou ,’et ;tll t :ç.ntût ,m a,cast~ lt p1,~u1l ; nu al o,’tf,. les ~t-11., de eu11.m1i.~ !.~1u•e. Jou~, Jut :a...•o :I(, Le jour est un clc111c11l d~ 1’-11nuêC’, ciuuiue l’.lu f’O C" :o.l un ~t4X :lt, tm sien ~1 .’1 l pour mM,JUt’t' une t’pnqar 1 ,. :1 pour Jêteru~i.ncr l’t :teudoe ù’uru : dor~t. · ; on l’f'D hJ ;e &U.i !IÎ ~ ::m., lllCHIUUl d M dt11tr< ~ ln j,,ur,,ec ~l oue dwt•e dtti :rrnin~ et di,·isilila L’U 111u’i,rurs partie,,, ~ la,1urlle f’)D 1· :irpurh• lr• 1..’YCrj1.•1u,,.11h qui 1/y peu--Yl’ : nt rl !’1u-· - ou1n·r : ou l I c11i.11ilie 1,ar lt.1 c :, éueiocnb qvi t’IJ rentpli~ . .,i’ltt la Jw . -r . Jo~"u, l~1J110", J rJJ /’ :rmu aont plu, llc :iox. plu, f’l••<üru, ~ lt•A l1jui1 t 5C’)lll rlu~ jolis I Cl plu, CDfÎ<’O'- On cHf Ir.. jupt/1 r : tl<• lu t.’OOfLIUnt’, Jc-. ’i l1ij1.1uJ. t1·u11t- (C"11u11t•. U1mi le l,ijuu, t’nt $tlllOUl l• fJcrn1 4111 : J’ou cou,iùé1e ; tlnns lt ji>Jall, c’e :it h. mn1ir-Lt’,

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LA.i,00011.rox Langcmrtus C !:t• ,IC’" ho1111111 !’ ;- ; ln,li •, dr., .mimt1lll ;. A1J fif :urC, ,,,.

priruc uuc lnnsneur attribure ll fJUclqn~ p.i .. :o .Îl>11 1li,~ 11 ltp~ tlu j•tdH :~ lnJt,rle dê 1ç11c 111u :· p ;,,r. - i .·iole.nh.- ; celle qv’upritue Je fllOl /anç11l1sa11t u,. ,.ulr ,·.1nct, Jè,Jgue qoe 1. - 1 1i11tplc Jin1inu1iuu des ft>1·ce ."f. t n Lm,i E, .E l’lTI tj. l ..rlll e. se dit dto lot1lf", lea am :mt t’ !l lnngo :,rcu...c a :i11i, ~l l’c lung1ll.11a,u, l<"’Urcs qu’on t·crit ri ’orilim1i1 r-. sun, ;ut ru 1wo. r, LA.ni., . Pi.. !fA.TU. Lt-1 "1n, saut lrs 1licux pro- rt ,Je cdlt"S tp1Ï ont ètt ! t-ClÜt ! J• ;ir rll’-. n,1tr11 , ttdt-m· : . de l11 :1bi1 :uion et dt b fmnillc ; JC !J pc’~ wnJc-nu•.,, n11 1fa1J’i dt• !! fauguc, ~" 1111,, : tJ ,, noln ,ont lr.- i, tlietUt to11 !L1it"cs de la ol’1i,on iuté• 111, ; cl1t en p.11 l.111t c !h lc11ru N.t1lf" : f"U , rt’t , utt ile ricurc un de la chose. domatiqm.•. Les lnrcs p1ti. ccll,· ~ . qu1 cu,l ctç cctit•~ l’IJ 1•ro1(’ r~r 1~, 11111. :1 ,u Jideut à la s,•ue !4 :; ltJ p ·na1,s au otén~c. J n·.rn, lhu• an. L’adiun dl ! lt11rr ,l pm1r ul’JN T -’1-,., J>1.1uM, J..c .. rlt-urs ,ont dc.s lar111e1 d·nlt-u•r l’ol,jrt <lr. ,a pl,1t-t" : r :.1. :11,m J~ ’"'"""r t !’HèU ptn1iJnl nnt• rluré,r ; ri~ tcu ps. Lt- tcp.,.utié . - 1•our uhjrt de dot>uc :r pl,n de 11 111tnn pcrpru-- ~uct"re nous dnnne J~ lnmu.<~· Il’ 1 cmonl-. Jedti• dicul :.1irc :. Ou /f :j’f ! nu .,pp.vfil. nu "1 ;’" ; uù 1an1 n’•• que ilc-4 tl,·r,rs. les (<un,c1 rmJ,.-1 1 1 .-~ om l,a,,ur un mur, IC" 1,ra de, cl,u...c4. ~on,·ent fa he :.i1it" ; l"",- p/tru, 1 :, ddittut·eut. llil’ll l..ttr..a, (- ~~ - ’-"’ • S.’lt r.u f.t • 1r~Ull~’-", l~xuA r11-a ·c~t phu dou1 11ue 11~

.foucu larmt•J ; tunt c’il .,,a. Ou l i•t’ l."Q mrllaut dcL01n ; ou clc :~I ! t’D pl :ti• arut’r tl :.ns le~ J’l~ars. 1. .C-5 /orme, iou.l :ascul ; le• i_ ;mt ùam, llll lil !’u 1 ,Jau."i on urdu= en.une.or ; un ,011ple. urs 11.embl11nr •.itirir l.a duoleur. lt ~, t·11 purtaot eu J’. :ur ; on /,aus.se en .ajuutant u11 L.u,ftolf, C :n1row, r~1.oo, Vvuna. Le lan·fl11 Jeglë sa.pr1fo11r ; on e.tl,r,ns,e en donn,mt plva prend en cachctr< :! ; le fnp. ::m prend pnr line :iui ; Je de- i. ~11tt,-ur ptq•t :nd.icul.1ilc. f !ou pi end avtc .atlrt.5et lcn’Oltur prtud Je toole.tt LEV !.ft. 1..x N.,1, :,-, fu11,.a t :!f ru~. On lh·e ,,,,

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1 bouuuu luxnl ide, t" et• Catlh !l<-rt• pur »11(’ 11011,· 11 :in(’t',~ : lù i,,e,c,H,,1 1u,.u1,-1uc élc : ,.1gr. !» les Hlllt’i L 1MO :if, r.uu,t :, JtH. :l t DolllBK, liRUTft, .Le- d1. : liJ.it•lé 1 p"3l’ UIIC : !Ollu J~ nv !Jlt- : .be cl de f>l’..Î ~t tou, U(·III CtlHIJr,. : lui. n e.. 1 lt.• dc-11c ,11.•’f c.- ;10.t : cu1 :u :iuh•s : 1., l,tJurb,,, dans lt".t 111 :tutr’IC.S, ,

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l,t,rre t""l un curpa 1011 ;, pt !n J,ut :t· t.•1 IJOÎ ,·. -•i~tc. dLthe 1~. , uwl1rt’.S ; la ,r.plnnf m• e.,t 1outt lim,iè :.re- . tl~ C1’ qne-lun ~ n,.- 1 cutnJHb ; le ’l"Î/• ’I"", 1ht I t•

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!].t.Ll’Uti, l>n•t-. 1.’1.& . lin Lommt c,st 111nlfn111L 

un tout. 1A /,sle J~ c ;iuJhl ;;ah ; un t :n’(Ûffc,•ue ,l~ ,-.- ,,ific :rm :e, 111 grJn<lt’UI d l•p~1hiuct sou1 ,·th1vm lorstiu’1I court dt’-S Lrt.1 ;l5 inju1u-11x. fi u 1·epnt.1• t rcJ ; uu "lie ,le -.0IJ ;1h ; nue ,wmt11clulm’tJ dn p1u• la 1u.u1.it. : .nJ : ~• par l’ul,jrt, Liou _, lu uih a,sez Lien r"nJ~ 1 ru :ii& ~JD’I le- .

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ute, ♦ lti d"""ml•r"ffrnl Jr’) h,11Lit.u11>.

1,t.At."1’P., Lu1111.u. : .nët LAf :l’CTé. La luxurt : est ,-es ll"-salt$ c1ni co11.,tattnl cl c ;uo. :.oruwcnl h11 di(. 1.nuR~LUO~r, A•• 11 :-rrAt :... J,illtr,il,mcm una h :ab11udç, ou 111•urh~11t c,1ul po1·tc uo ittJ.r /a111ation, ~n ùommoea,t 1/i/famr ! lor~tj11’uu ch. :i1u Î"ne lro -,eu, Juoprcj .i ln l1111rr, le "t.’ ~H risou - .. ci,_. , r.1utre, avt- . : : nruportt-11u•nt tir Mru rctrOUt’ ; ,lf..,lh1t :1oromt ou une llUII<’ r !’ ;u :tiuu,. iufiitnt, 1’011t ~ U ne bol l."’H H1uJ11,1 lùleru !r,rtc-rtt le lt :slt’ l ;1 l,tl,rir :itd <’d l’ir,Ouroce Je cc J1t’lcl,ot11 .1111r 14 l_Jtnlu de 1-épot :11io11 aux )dTX <lt tout lo- 111t>11J~ . 11 11 aub.•ur qno )’nn lradnil ; il ue C..ui Jlih pttn• CUtlt-tt ;int :t.•, h•s i :?, ;tc :’- ; l. ;a 1’11 ,•.., td ~t r.a mo111i- 1.LUCtiA, ACQlDUfl , Ua.t ~"’t'at, L~ mnllu :ur

( !JI compliment~ à h, le. itt.

f~ :ot,,IJOI’- p .11 · dr~ i.lrtt’5 J11~u1t’1lite). l’. L,, :.cut :1·~. s’aJ•plif1ot au~ C :.vêoemeuts ; l’acàd,·nJ. n• ;;arde lJ

L ,rrh1 :.,1 ua.1 ;, 1 ::...1. :un1015, S,, 011,, Sctna&, 1 u I u. :, 1ut.J’CLt. · . Le n,nj]lc. .1 le ’°i)30 t : 1,ldu pt"raomiet ; lf ,lt :’sastn~ c,.t pieu ginérol. 1>,..rdrc un C’t"°’*· l.a lùt, :’ratu.rtJ Jt>Sjg :uc Jrti , mm :.ri»au• et 1.•rl :tc ; Je juttJjla n d~ GT.,u,~ juu~ .

mil c~t on mal !t. ~ur ; c :t tt>ml>er e.1t un accident ;

dct LeU,1i-lru1 t• ;. ; l’eruJiti.1n onootll c ,lmi (.Un•

?h1 I’- ~-rt , Dua11 i. J .~ 1,r1Jj(•ie c,t dt conven• c’rst un dC.rns !N" tic ,e ’Voir toot•à-coup roiut’. 

b !l, ;lncct profoucl" ; le 11wair nt plu, êtrudu lion, dlti 1.’X1 ..1t d.tH !I h1 pom_pc, d.su.s le fr ;1cu, Jfu.utuart..•, Mut’. : .rv.1111 . On e~t fait ou rtoilu

et qui ~• Je prati11ue i la JCtci1Ld c.- piimc l,.1, d.,1,1, le c-erchooni :J i fa di ;;11iiê œt d,Q. !I l’iiiuc, ;r,4//,rureux J>4r qndquca .,ccirieots iruprevus t1t oodeur des conn. :aiuanct·, a,rc uu 1.1p1Hl1t .à tllr n. :ait de.s Ldlt’. qualité. : .. An fig,ué, lo m’9c•lol fool1ea.x ; ,nai1 ctlo.i qui r-.t misérQ/,I~ nt rêùuit -l ’fl’Î e,,t di ! •t,c ;rul :ittou ; ,locfttlle tio il.il eu f :sil <’Jol d :1M 1tt "’t) Ir ; Ja 1/îc,nilt, t.bu, lts l"nc ;ë. :- . . uu .- lot digue Ùt" t :ou1pa .. sic.,n, il est cxct’11-~iveme-m

1»œhn, de rrlii ;ioo, de ~lugmr.

1LH>iT 1 Pu.s,1 EUll’i, /J !uJÎtJfffJ m ;1r’}11r purt"1uenl 111all,rurc•11.t., A ~~l"’t't’ d’,hrc m :illteu.r,·u.z. :.u jta 1 on J.1v11 :&11o, J)i J.hl.U, .U1rrr n’exprime qne la et 4-impl~mrnl la rlnralité ; au li :c-u l’Jtlu m11im 1t- p•nt J.evcn.Ît’ m,,~ruMr, ple tr.Atl1tion ; d dili, r« a.primt- l’.1clioo de : duit lo1 plaralilr à nne .sorte a111nitê • con.une .l ! -Î 1

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,~oolu11~ ê1re bl1fu~, ; l 1 /~ - ’ ,n,,,w,1t ’fhr uou.. umu Jlaitmu cl nu "A111 l’on 11i1 i l’o J,’Jlrdlrur. plt.•in de hd.•1.tlt’llu-, ut ,1u1 pt1 !111t1 t1(lc1Jrê : Je !'tt I CtM>lllH’ô If ’iff tt, Cl"lilC 11’()ifl 1M11uc occupt’t b 1w11-. 1’ t tif" to111 li : 1111,nJr • prrJomplur111 rroll pu1.rn.oir ,·rr1ir ù Lout «le lul Oruts :1, 1.t.V :tT, E :.i’l'. l’"r,c,,t . _ . , ., lo htu dc•I on I( ! jour comml’Jtet• J l ulu· : I•• /,.1 nt r , r lit•p oil 14· •olt’II Jtat.aÎt ~ lt·Vt"r : J «·•t t" l le- 1 cl~ l’hrtnzuu J’1m J~ nnt !IIOHftfc tJU.1011 J,., "’oleîl

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l’lt’fll 1 à l’a,11·01tt’lmit :. l’t'fl. n b lllt’IC(Huloeie. th1.Ji. ;no :, Su.flC.. . L’tJuçmt ""’ le Cl)1Jl1u~n ment ,le.5 cho~cs 11ui oot une ,uue ; l : JiJurce Je (lrincfpe ou la ~u,e •ini lt", 1,r1J1Juu. Lt1 t 5c.i prcsment n ::thsaocc à leur unc’llh’ ; dlf’.I h ot’Ut ltur existence dr leur ,uurct.

On :,r :R, PAR.81. Dtr :011t.•. Omttr • c’~,t ajno 1

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.. sente l iùee de cc 1.1oe Pou ajolllc pttur r. !t’hrr rlt. :(~utb, dc !t :Qrcr, c’est nj(ltl.t(’r 1lt,i orncroc :nh Jimai1 t’ !. Le cadre eu l"ur11cmt :11l ,rnu liiililc.iu ; "oale t :ntr’oui :ert t o r. :i.l la pt2rure. ,• Je, sculpta, le, t,’tlû·l111Je5 eo ~ont le dc.’cor. Ul’io, Û)"li>IL"fTi, L~ osumtnfs sont u n a d’c)S ~ .lÏJU,i ou ;t tn.m,, ; on champ rcrurli J·o ment,, 1~011i lelf1uel, il y a,·all le• ns de J., Ull■ o, d’un cheval et t :f’<ux du ln1’ii d’on homme. Oaan1a.. T• ’"-", ~l1o.<1nnu.1t. Uutdlr, c ùispo~r le.• Hl1 pour ’"ire une tnmc ; /ram c’t".’ot pa<i-. cr dt.s Hh cntte d’antre" tib tcndt1.1 le nwUf"r, Au ti ;urè • lmm~r r.1 .prûua uo ruiea• c ;onr.t !rtr !, ottrdir., c’etot couuuc11cl’r ; /rom 1. : · t" !lt uv~w :er l’ounage- ; mtt<"IÙJ1er m :mp1e qoc clrn.se de 1,Jo.5 profond. rt ùe rlu8 udicus ÜtTTIL 1 lffnacxUT, L’o,,Jil ul uoe mat maui.ililc,. dont le ; ,u ts Omples a« acn~ot DICTIO~X,U.E nr ::s Sï"’O~YIF.S.

taire dn tra’ :1111 eommnns ; l ’ù1J/runumt ett anc fait pttrml~ dt. - : . c -ho..t’" · ParaJ~sc 1lii :111 prr)pr, lh "’ll :irill’ ! pnht !1•u• ; lt"t ç11et1 1 •

t :lala, L1 mi :oil’t·"", il

anacbiut- insêoie~"’ dont Jr..1 111~ plu, re-1c,·ê. : . et ,1 :ua un - . en.’i ( :norable oo ind.iflL·reu1. on -o ,tt"-. wrn11iL, ~1,•4 :’ç t•apf’. -.rc :il le plll-. ,Jëc :uùtaJU,

ltt !’l Îtnc~ ~ t st :rvt"nt pour f, 1..irc lcura 011fr.1tinu.s . l111lut .. pour la pam,lr ; u.1/t’llfctiou 1t :Hillc l’ùkt’" l’. 1·,

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On tlîl, (lu outil, de mcnuhlrr i Je, irulrmn~nil de Je hlâmc, t"~nt ou tJ.cê.s de ’-1Îut : i ::-toire_ C•~ -. n n. La rauvr,•li t"-.t ou,, ~ilU.LÎon tic forlouc,

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PMv.Loo,~~•P. ,Sorurr. !’111’ :, l.~ JJaN1 !o ;i>me t’""l nu rJaus- b 111u,Jt~ 011 c : .. , 1wi·H : Jt’ ! commoclitt. ~ Je ln t h,,1..,GJ :. 11"T, 01 :Ttl.,r.1 .ux :. L’insulte : cat la pil• aq ;umen1 ,·idc.•ff"-i lé ,opllt.. n11 ::. t·,t un :ir :;,nult<llt "i • : l’ù1,l ;:,,,.1. .•11,. · t . · ,•nr :_khir :.nr elle , ou Wiuap1e t.les rnle ot :!ragamtc de l’Ltlru•uc orttrngtur.

1.•ap l irU"’.(• il , iutluistut Cli rl’rtnr ; le p~enu••r,p :t1 1.•Lu1>c1 nt’ce...,"’~aes ; la ,liscllt• t !:,l le 1JHuu1ne de Ot.TnL, f :,. :uu ., :,~.

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un del~1111 de lunûcre ; H le - .ccou<l, p ;1r ~ulmlit~. Le ·1nc :s ; le lu~t1in et ltt 11if’-"SÛti out plus de r11p• m ;ntv :u..s lrnitt"fUt’Ul f., .ic :,_ toute pr-111,ormr ,ou..s nn’ p, ;rnlo ;;i,me Hl c·omr. - irc an r.u !01)nnemcml ; le purt iliU..’ - M•coor, qn’Qn al !L<nd ; 1oaU IC !- ht ::iOÎfl est , ~u .x ; t"l ntJO’) 10 :.uuu :~ t,utrês lot· ~1u"’il "t f ;ut .s ’1' 111 nu :., j Ja. rlroittl.Tc. moir,., pre. ;5,.nut tpui l.1 llt

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,,,.,,,.,,ij/rflr ~ cdui tlc i ;o11tl ;1ir,n <l’nn nian :bé 1 t•n Hvrimt le- prix. <lOn,.. c ~ ’Ille ! le~ hommr~ IU'cnlt>ut ,l ;.i11. !J ln ,t’l.+·nrer c-t 1tnqu·t’ntlte dc.s l’l.’pa~. L,. pirrnsilt~ a 1’ :1ir tltt a :’oc,.. venu ; m·quifti-r, c :•r.111 re1nplit uiu• t·bt1r~,, irupo~êc tfao, 1,· ~ ,uh, l’ :i. t u,,. ,.,.,

0 e ,/~ fr1pl’Yt. : lts. cnmpr1- ..i -- ,,up~r du maÎflt’ i l’c. ·c, 1111,jl~m cfo w :• rL• :rdn."’r f_)ae ,le mJnir"fr à . ;trl.’ qulue a,·cc cdui pour tJUi "lie lion., ,ks gr11 , ,li ! leuu- ~ &unt Jus ; ;m·tn ;p’s 1/’t'Jf’hl. la 1. :1l1l. -. Le parn.1ilt p ;1if" t•n ,-ulul.ilin11.1i l’r.1·1 -1r11i- l’r,1it J111p 1,"lt·e. Ou pait• ck :. dt’orêt’"~ • ou ac1uit1e l’•C.Ai. ; r.

1

(’.i1·t’nAr.r., PÂ"fr•1, Pl r !l ! Le : pir- finir, t·n r .- i,nnl bonntm : û 1.1 tablf’, ~t ru nt ivn- tl~ ultlif’•lti<,u•. Le. pwcme/U termine le HHHtLê ; ,n,..,,. c.,l ut.a 1, tu putu. 1•,1~r.ih,,·1 du l,i :1ail, il de- seo,ot (1u’ :i manger. l’nc,1111t rh•drn1 ::i :,· la ru•1·"’onuc ou la i. ·hoae.

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1ualile U- ;.’ fa tr,-rc ! i :t J,-1 pnuloçtiuu ; le P’"~’""F, fu !<""-l’fTUt. t :ipnrrrre.t !ol muflldte Pt.eu : {AVUlh ), A,·oa na LA. MU. ;s :& A ,u,_•

J’âfumo~ f.l ou d1 :1111p oit Il’ L.ct-. 1i l l’Mtm’" ; U ’Jill’ l :1 j"ir,inntiu ; l·dlc-ri a ~ -,not·rc dans li· •1t·r.r.Q :t CHt.hf ., C)n n 11rûie .i f.iirc ont cl.iu~~ â

IIIUl’fl’Ut t’almnd.an1 :1• Jtt l,1 prntluclivu de to len·u 1crup•·1illUt’Dt ; t-t . 1 ., pnr~Ut !,.tlaus r.imt. 1.a pr ;... bc111clh~ ou ft-’f)llI ;lléi CH a ,lt.t /11 rri,u : f’Xt :cotrr rropn, :m bt :t,u l ; le lilis ~. ,tune lert·. .-

où palt m1rn• .t

1itppli.r1t1c ~ l’otcrinn tlc l’t'•prit .- on1111c.• à c,~ qu’u~ m : f.ôt q11’Jn•c difü(luhC. (Ju a tdne !1 Je l,C L,1.i .l . il t- ;tppt’llt ! r.1c1io1t c.le p~all’C ; lo r«tl(rr cr !I,- Ju cc.>rJ1) ; ln tll•t :-0111le’ , ctUe 1111 corp~ . ] _,4 : C1"1}ÎlC n : ’llll ! lo,c ;pJ’Ït l’tjt•Uc ; un tt. Ji, la pti-ne -à.

t "it uni : ft’ I t’ im :11lle ull le bet. -a UOU’C :, p :1it1e- . j’IPl"t-SJt.’(l..( cr. :ilnt. la ( ;u ;guc Ï wnis le Jrû11é1u,I Unit (’ruirc Ci : ’l'"’))J 1.1(’ pttll,NÙC JliU .iii,,tment, l .c, pt. :, fonntnl. ,le-. rn.cry ;n j lt"I pt1c’1 ;c.f !,,l)tll ll,("1’Jp :üinn. P • ::1t :UA ~H , PJ_ ;(Tl. , -P~•Jrt- :’ :fatf.> :( I J.~ Ctrl’hTtOJII’ • dC’ ;"f }’ltltirn ;-n ; ,~~ bruyt>rea, le !i hois fu t ltlt"lt dt-c. l’,nPt r, ft"l(t , L~ pmf11il rt•gard,• 14 Li :t1ul~ Lé ft’ !lcl,wu~ ..1,mc dir1 !NÎ011 ., N'> le hM ; la r1 :11te, flÎIÙ : le-, fticlu-,,, ùe.s m ;n· ;a.i,-bont ~lc.s /Hitu~ .s . <tui m1h du c !t ...,iu, etc- 1., t· ~1htr11ctiu11 c~c t’~m• un ah.tÎlt·mi :-11t pto :;re,•nf rtnê mène clcluut en t.)0, clit lh• bc,11., prt,ngts. dt- ~"rns p11tura ;;a, un yr,1g•· 1 et lu /uu, t :t•ll 1· ’l'h t1-11t ùo h·,- .,. -11. L lUJ li.1,- ; la prvprm,oll, une lL•nd,mre nalurt !lle ,•er., ,Jimpl,•r,r’1,.,, une ,,, ;,,,. ptit11r1..• .

cx.clut tout d,·f.o.ut ; l’ ;iu1n• 111out1•c un )Oiu p.irli,.

ull leamc ’J'Jl l’t1t11re : l’im. :limtlion. une imprt !A•

1’ .u-1t’1Qtt :, Pl.tDI t :. Cdoi ’l'li ~t pnciji.1ud ,·uLl••r, uut, :111"nlio1t :iut plu~ pr ?1I ! d(’r ;til .... Co- si110 ,p,i foit plier cl’uo l’ :cltC. [’n wnr ;1lr, Je ptn,. ai m•· J,1 JINÎ.i, l"l pt’Ot n~t’trf ! pa., ; pnisihli• ; cdoà ,,rii 1111’on p~nt mico ~ fuirt u’t•.Jil 11a1 ,,arfn :r ,· c,· 11n 1

00 , :luml thnr,{’tc 111,0 iropnhion u :.tu1 dJe ; lo pf’11 !e , hl Jutl1it/t’ t" :.t l’O p :-ii .. 1 d peut uc pa&ftrt-rnt’if,,pt_r. . (ltlll t•rtt :m·r : U♦1~11illcr U 1

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1,,-Rl"’-'" !-f, lt :ru :rrr : , l>nT !lfiltfL On pnrtnge !ltU-JJI ï I mcl111nr11n1 ; un gnut, une di,pos-itlon 11’, in tr :w11i1 1 d’nn .. , -nh :e ; b p1"l1’e 1"’1t le .wl,iir-, en ,kux p.- r1is N’ qur l’on 1qm1lit eu plu :tÎcurt fi’01,.l,Jr. l’.. lxc1.r !ifto~. r 0111i11u et•, n tt·.i., ·ail uo ù’un ~ef{ce o •nlinn ~ l..1 p•H h q1,o 1’011 ,lislrilme. PL~ni~T, lkn NT. J)11rnn1 exprime nnP tlot·éc

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ol,j~c de ltJu.r c1..ftt1, c·n Ir rt’p ;,rrl :un ~or toulcJ 1· :111.t . et foit .’tt :ntir 11•5 tarin :1,I~. Pc 11./,J !tt 1"r.

P.i. 1t ;, U1.i ,, E, Lino&, H~, r., lh Fl, "n .,,,.s f. , c,,_.. : un 1’1 fvit dr- toutrJ f"~ , t111 :11111<.• t,~o" l’innocPuce ùorr, le <"ri111c ,·1•ill, ;: : land ;, ,,uc 1’in.. t>,l,j,• t pdld t~l foililc tl,. cu ;,l uri~ ; uu ohJr-t /,//me ,· . cu’.t c1ui l·111ont·l"nt l’a1w1çui.,~nr. Le n..’"ll’Jt’U• 11occ1,c•• tlutl en pail--, I’"' cri111~ ne clnrl ’lllC J,1u, r !II tr1...,,• ;11ilc. ou tlf’1,on.i1 lci ,le la Î<’.idlt~ c1c .,ô rrnx c :brrt :lte l :_ rv1ttmc tl" t,1111 r :.-Jte.J, j.unai’ il Je tourmt•nt. (’11t’ 1l1 ! umr ; il c~t lui~•t ! lt ,raqn’il t.iS tleligurt pnr ho11n,11r ... dt Jouta pr.rts , l’uuu·t• , l :t t’4Uht.>. l’,11.t~r . rt ;,nt mJ JIU lu,u1111 ïr fonnë ’-.. -,11t-nn ; il c- :;1 /,i i./~ lor~11’1'il r,t pl,1u , li(’ et la• 1ni• l.a Ct !ncuutu• : l.a (ï1v-cmr do prir.ce attire tkt PE !.,, ;--ll. P1. :t-- . . c .a . L’nfi l"~t l’elftl na le rro,luit ; le ,krh :iru,•mcru ; il t• ,i t /,t,,f,.,,·d lor~rp1’ il t’· ! l r,i/,· l1 ..n1’(f ; I P-’.tT J l’o ?.TII .IS" r,, : pa.•tic pst,ça qa’t,o dn ’1•rbc fl’ltjf’I', ~l l’üi :tion I’rulurir :ce d’oll u :1i1jn •1u... 1’,1ff.11 Ltli,,semtrn, til h1.11u hf. L" 11 rnnul~- •14 ;1 ;wl,1, Jn ront ; la 1,arl, et. · rp1î tn dlit re,·e11i 1· ; ~cnt )f"s r~ukrt.

r c•u t CJI p,dl’ ; unt· p,.. nunnc .. :,t-,i,• llt rajute r,t l,1 pa1tia :1. ce : ’JU’11n t’U rt•ÇQh , Le pn,mlt-r n r’np-Pi : -i,.&1.. J>1.r,cc~T[O :f, S :- !fHTh1 ;-ç, c ; •s-ar.ar :,-r .t . /il/me ; un 111 .. tùcur !IX Ul<"’Otlli dt ronp, 4’t /,.

p,,n •1 r ........rnl,1,,gr : 11 • ’it’lOl111 .. .... h )U’OfWÎt’h· ; h-- lnü t ~’ll"IO !i. L, J’"IJ.IÙ ~t la rrnit dt ! l.t r !- 111/r ; un pt•n ;lcnl f"11~u 1t1è pïtl’ (le :. 1rlmc !t. ,le, uoi~, mt. :, l. :1 ’1'1 :mlit•~. f’oc p,,rfj,, ilu curp~j 110"’ !lf".i"on, ,le la mcdi1.1tian, clu 1.,p1_-1url ’IQC l’on m ;1t·~i ;ui11ll’i I c~t lufrt’ ; uuc : fruuue crê1,ic : Je l,ht110 1101’/ 1ltl gjtc."•10 ; nn•’ /’· i -tam l l,èr-ila~r . ,.,i ... i :t cut-n• ll•"’ êh~~ : l,1 pcrt :,JJ(Ùm est (’t• ’l'IC lt•J c&tMrifq_, /e.

11.,, .. 1-’tw,r. Pas è1111nct la nêbatitJn, ;paim ;ip..

~~ , x. <l<’" l’c.- ,pl’it ou ,t,, t’Ul’(l’i 1·ec•lÎer,, t.i l’c(tf :.. P.intR, ~t 1•,tfl, f.dni ’lui fâmc 1,,rohc cm pnfo ,1t1• rul<.’e. L,. 1,rrmirt ni" : nia <.Ju’en p !ulic, rit-nr ; l ;1 .ft11 .S1"tl."ur,, l imprc :1,~i••11 r.ritc.• an, h’" !ittUï c.li -foiU ;atH·~ i l’. •ini 11ru ,, p,im,· ~ u tld.> .1t ’4,tut de- le - . ,•rünÙ 11i1• ah’ulnnw11t. P1,n1· 1l11j,’ j, ! n’ :.i p,rs la cun. ~c :irr1cc, le !u.•11tim~11t mue ,111 h1rn 1)1J Ju 1,101l1tr.

tl’.tq,t•nt 1 il suffü d’tu ;noir 1,e :u ; pc>,11· tlîl. : je n"ai mnl, ,le Oieo, de rimmv1t,1li1~ ~ 1’ulic t·t l’.ruagu l’.~ f.,Um, Sr : r., :; u·111n.. 1 .., {ht1mic-r ,h :,i,snr 1 :1 Jlf’l 11t tl’"rg,·ul. il fant J1°(>n :wl,ir pai,,t du t,1nt. rfo... ul1j~,~ . -lans l

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Il- rITtt"i.

st·11t" 0111 ,ur lC"nr JCelto. te., flc-1u ; . -t l~"i frul.1i ; pour t.’•1Un :.1Îhï~ sou ohjr·i ; on ,,mc• ll’ea i1F1•1i~ .. P.- : , ,01 :111,Jt’K, t~tn.- :t U pa11c" :_rriq11.- . Ml 1"0’11• o•ont c.p1111,e 11ii,1i,ou, il !I pi,sstnl : ont’ flcnr St’ toJt-, ’io1Jh .suîer, potir p.nn·t ~nir .l cc ’fD’nn "’"""’ lrt : d"um, i1n~gi11a1h.ln ,·~ihêi !. ,111i "-t ! pJatt ;;. ,oit pruw • . :Ile ,c rito•· cl ’C UêLril. b ;aik ; ou ,J,,, : pl)nr iocé11pn ag1e.1IJtUJt’Ut. r.a

Oh 1l,-11 1i-dîen d :u,~ Hll laomnu, ; I’ lu.ac e(it lc11,rr.

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r ruvt,l~ ; ou l • fait pnr o,tr11tal1~1 !l : l’mteulaJù,n tuietb lll :ca~1l"♦• cle 1., ’Îe ; Je memlia111 aollidtc J’u11l !’ p.1 -. . ,i1J11 svnt rrl·~ l lri. JI.

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force 1fo la h1wii-1c t’t ml c,_1u1,1-1 tl’I ; J’f'm•floflt tieot Je J,1 fvrc~ 1lt.• l’,11tt’nlion l’l de 1., ft"Jln :iou. t·n cipril rc-rrnnt _,·oit lt·s cho..c-.s uu_ 11"3 t.’t"’ J.1• voilc !J ; an csp1itpc11dnmt :,pproft•nd,~ !t•idto~e,. Pi 1u.rlltlMiE I Ctnct119VH,--i . 1 Jô’.'f. La per1pl1nrst f"bll une Hgore ùe du.·10IÎ 11ne, 1.iu· laf1ueUc, i’1 l’t·.X .• pr~ -&-~ iou simple d’ut.le i~I ~. cm ~u) ;!flitue- 11nt : des• ,aiplion uu uue e-xp1c.ss11Jo phu 1lé’rdoppec-, puur n.nJrl’ le di’lr.ou1~ plu llti,IC ;1l.ilc , plus fi.app :iot p b cir- :u11lo1 :.11tiu, ; ,.,t nne n ..p1c-i . ~ iuu detnut·ui :c ; 4UÙ’ltitnee- j l’r1Jm.’ !>’IÎun i1,1turtll1• 1 JJar Cfme :• UJn< :r ; rm.u l’u1iiité 1 ~oit pour ,’.d,,tt.’n ;r .i~ ri,x, )>rrslflun p,·orl’L' !iuÎl Jlc>U~ farililr"1" 1 ~• !tc-lligen~t" rle-, cb1.>M~ .

l..a i’rt’•·<11du,•11Jtull t’"'I f.l penpl,r.1.,e fo~ mili~n :- : l ::i prn,,/,1·f1 ,~ t•.or,t l,1 eh t•<.11dc•cu1fo11 ,,r.,tnin : uu pottiqoe. L ;, rtt’i nu l-. ,t nn cll·tonr pc.uu · c>1,rlroe1• ,., puu••c :; dlc cClu.,istto ,1 .. ni, l’.-. rr :m~cmrnt d~ i1ltrtt cl l’.ultliriou ù 1’j1léc print’ip1fc ; fa rûwmlot. ·ulinn f’.&l , !.tu. l’,1.t1" ;1ngn1wut <lL·s iuols tel 1p1e t dr :. ut ;._ . ,, ttu’lh rr~~11tr11l, l ;1 priatipafo se trfJl1"C lu drini,~1 ·e. Je '>i. :lïtl• fH•S•IJcnrcox - !fi je pou,·.1i- !I ohlc11ir de ,·ulrc l,onrJ ln 1·r111i.M : clc cc qoe jt Y1JU !I rloisJ , c~t un~ t :in ;4w/1J,·1JIÎ1u1. O,, forn t.111e f’eripf1rtf !,c : !oÏ, ,"f•~~"’ ?.ru1r . pt’Ïu l la I

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1rn-, le rll, :; ,olb plo1r. :. le p :tpi, r ’]Ut’ ull~ nm lt l~ On rlie, nne ••LUrftt 1 N (IU 11/1,Ïe. Uflt• 1,r ;incLr. A,,., ~r /’L.,r1· a’émploicul Ooo.- ; le MU& d1· fh·d1ir ; ru.u .. ’ ;jlur~/’hu iurlirptt" uu cffr.t pin• tr :uid, plu"’ •rrrod,,ot do pli. L’lluuuno f•ibl• tlie •o•• le f. :1rJc.1Q tJUJ f111t pluJ,, no llonJulé fort. Plt~r tft. pluJt’I' N11portt."nt une Ît.lt’c tl’,u·ratJ~f’IUfnt l’tlC une t.lrt1-ÜQ3lloa fWU’ticul.i ·rr. On plil’ ,lg liop aliu rfc le (’0Ufo4’1" rr prnprt ; on lt.1 rtoitr 1>9111, 1r11(cnlH1r. A1ur :s t~>· w Jit cl1’.'1 c. :hos, ;-s raal mel ttnl c n pliis p ;;r li t. :i ; pl«-’) cr c. :onvieut i& ce ~ e rncl. en fHHJtu :t•.

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1’01,, J•or 1d. Poli n~ •urp,i,~r ,,n,, tl,.,. 11,iim•"I c~tt-1 if’IH•ll, lùuj,,n~ t -•1ul, 11•1u1 :_1i tlr 1,u ,1, 1•ill u, r ; poli"é !.Pppo~ç d, :.a h,is ’I"’ L•lAl,li. ~ eht lc•a d , , 1i1J rC,·ip1•orl’tr"l dr.i h1. -nH·illauct•, J.,,, b,,mmt" pallL s ,.1lthl tttÎt’tlt ’JtlC : Jr.- . i101.’1111è, f ,,/s. Pm.11u0Jt. 1 t·l·n111 1 :1rc ,,i, dil 11lu .. qu•tt • r :Îi " : l’huwme t :ii il 1"’"' ,. ’.In· (1 : t’UÇore r<>lf. I.~ èln/,tc rc-3 ;11 tlé’ Ir lnuiJ clP !!i d106l..., ; 13 polth.l -’• b 1u1mièn.• d.. - ltJ"t (1Îlt", Ji, ln t1irc. l". Crn,.ni l’onnn~ . l.uur. 011 ,- .t /,ul1r. 1•e1r c·1u :t’fc1e : uu t•.. 1 p1 ltmrt J•l’lr î.1 ,r-,iute l.r /1 ,./i~ C !’,I iilllinu,, pu I :, ’ u~ Jtt Jangn, il Ut’ c·nn, :oil p.il !I fë,JfC’ dts l.i L~ -,i,tauçe : I’-' pu !tro11 ~, mcp1ict ,nr lt"a )oi1,-1 1111 d :w ;. ;rr, il ut aux. n ~11rl"i punr lt• J’i"rv11Î1· d "’Y ~oH"itr.lÎrt". l..e /tic l,t•

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I’, 1-lque, p :1r Li roo- .t"CHl.linn tt p :1r lt g11n, 1·1 r"· 111,•ut jl.1,~li111cl tJll~il a 1l,11H un clioce~e . Lf• p,mll• f,tr11 4’ !1it une <ltlllJi,μljuu J b r1,l,n1rc 1 nnc : Jis-tiot’tio 11 ; 1·t1riJCOfff/ ~ 11111 : dn, ~,. J1rJll ni , . r-ror. ri n . TA, ~•hruJ f 1 • lh,truAt’U,. Parltr 11’,1 r :tr•1•11tl ’J1t’an f :udr. :D ; nr,,c•rlrr y l’ !jo111c l’idcc ,ln 1it11 ou on lt ! llOHe ; 1r11,,,pnr1 r ajoute- cucort’ l’i.te~ de 1’cwlu,j1 ou 1,11 lt prt’l1J ,mr,,rt, r t’nt :LC’,il t,Of 111111r, t :rJ h)rfI r.1r 1,n , 11t :1il101iou 1IC’ 1,ro1111t•l._ .

,lu f,11clt~1,1.. l.t1 cTod1 ►

tem porh·III 1~~ f’artlrJ111. ; ln rlomt’ilÎ’JUt’• Af+ port ,,1 t’C qo•on Jrur cnrnif" c ;hrt<"lu :r ; le., ClltP. llt-1’~ t1n11.111orlt’t1I tr., m :1rd1,1,rnh)H ; Id ,t,l(un ,mpurum (.’t, qu’ils unt pr ;., .

l’ontn 1 .Aron·1a. On poste pour obactvtr ou 1

DTCTIOXNAJilE DES SY50 :"T.IJF.5,

’27

pour dëft’ndrc. ; on t1po.1/4, pour f- :ùr-c un manl"JÎt coup. La II ouJ1c t-,t l"""ç ; 1’ ;1ssauin çst npost,i. l’o~"l es• t A ’tT1Tt ;n1. La /tmtuu r~t uof : 111 :1oiere de pv~er Ir tUrJfi rtfa1lvet11t :l’ll .i l’bul,itu<lo ord.im1irc ; l’allitud-t :.

~ t c :onvcr-. 1blc .i b circon.s-

llBtt prhcUll’, Li1 rosfllr~ de :lll’t•liant c.., llflt ! nJtitmlt qui dl cou1r ;lin1e. Ln pn~wre ruar,111c ln pcuilinu, t•llc : e.t mot.il, :; et J’atlitmlct n, :.rqoe l.i cor,1tuance, die ! Nt f1 :11ue. l .t -, huli1dm~ fuut c.lt"’ Jlt,ro riJiC’Ulh ; 104 acttur :1. preuut11 l tl••f" nlldui /rJ . Posturr e,l Je terme Yulsnirc ; attilud~ l•.St uu t erme ,1"’.uh. La rosture eu :bra~1• lt· l’Olp ! c :111in ; l’nttitii,lt’ u’t.•~l qurt,1ocfo6 qu_e ,le CC !1 taiue p,irLie. Y. Arrnto1.

l1o t. 01•~, Poe <C !Û :tll. L :t roudt’t' """l t,, ftl t·c Ût•J• dJl’.t, t :l 1 ttlU1U• i’ll 111vléc11J,• :1j, ri, rm,ui...r, t it b ou.ln : l.1 pln~ li11r, ’]ni -&’rn :,oie • t’l la pou.t.sl,ft •de·~ J’uu ,·orp, ; 1·C . :duir eu rouil,·c .

) 111n,, .•·t :i. ( ., ;4.•1 th•u~ moh HUii ~ynourmra tu ..,pl’il, ~igruütnl qu’on f ;1i1 onc cbo1c en vue ’u11l" 1111t1e ; ru ;ai,pour nUJPJne une IJt’ ,pr~"icntc ; lfl l’II l.111r,J11C llllt’ phu clu1gu~~- nu 1e iin :l !tt"Ute t· !ul J~ priucc pv11r liil ( ;1Î1t ,- :, conr ; on loi tti1 ., ~ C’tJur, nfin ,t’ohll’Dir <tt’., ft’Tiicu. Fot :K, Qt "" r . 1’1111r .i 111t•illr111·e - 1 ;;,~n= lor,tpi’fl ·11~it Ù1• l,l 1•cl ~nn,1e- ou de ],i th0~’2 IJUi 1·t·~il le uhe ! 11rn,,t ,’,.iuploie lor.’i•p1 a ~· . ,sit ,I~ rc qni l 1~i1 11»1 Id yt I l,c. t)n ,Ht’ rour moi. je f(’ Jllt : ,.1tllc il’a,ttuur afr.urr ; IJIIWII j moi, toul n,’e)t â 111 u JII ;..,, in,lilft,•n ut.

t•,11 Ill’, !’( r, ( &rl !fDAln’, ’i ,- :rM :onu, Tov1·1 :• r ou. P.nn/11111 n plu. - .

dr. fv~r ~ : rt’jlt11,ln111 cal

oni11., fcn11~ ; nimtmoitu Jitir1 ;:11c ,1u cù,,s~,

flf"HrC’t, C’l al let sunticnl ; (outifut.",, ~e dit pilt .X’C'Jll IOII,

1•,ildnlf, Pt'r'>ul !io, fAr.ct.1i. (’ :.- . . moH, ,tms " s1•1,, l 11rc1,1l, .- .i~u1fü·11t tou~ ia 1. :np :11.•it~ cJ’n_gir, uh-lc r••ll111il ,i. -ul ,lt.• ~~l !(’uUr !t ou ile la lilh·rlê r •Hir ; 1-a / ms a-1c.· r . rient cll"t forn•.s ; 111 fr~cu/1~· irnt ,11·• p1 ,,111 iH,·, 1131 un !Ir.a . T .c put, 11,ir 1fün ;uuc ; il /WÎ..uaua >'Jf(.. ;f,111 ; la jw :11/ia’ •t : JJL•rJ. l’ai« 1r11.1., (,otn•nt. 1 Ata :-u. Ou 1umh~ d.1ns

et pr,-rip1,e ; 011 tu t :n~luuti par 1 : 0 uujjit• ; on JHnl 1 !:11111 !’, ;/mm•, lri portui1·r f’11ipnne- l’i1lt•e 11’un , i,le o :aq1l• 1 d’ou il t-Cll p1 t’S'JUç iwpo,-.i l,Ic 1r •c r«·lu,, ; hr acc<Hul ul,~01 be 1 <’lll1aîuc. J .al1 cJi .. p11r.1iirr lnUI t ;4’ qui. ~ D .ipp1oclJel le t1c1l.oit"II.U’ 111p11r1t l’id,-r J’11111• p1c.1fu11Jct’.II iumu·n ~c. Lr lr’d tru·r il ilf’i l1ot’Ù !1 J ;li :.~ ;uus d d :au ;l’lt !lX pOUI’ c, U’t fJUi c.- n Hf Jtfi)(’ht’J ;l ’l cl Îttih !Ct-~ fült,.. J !Ulll’ r.rux. •(IJi sont dcJu1-, ; 1,• 1,,or,fjl<’ n tlt-~ circoih

1f,m1 on ni• JH•ut 1e J, :g,,gt’r, l’un} et e :mr><uu : n1,1ltrC ,i ;tii 1 J’,1/Jm,r ne prC :,,t11rc •tPe dca 1uull•Jï Ofl"i• tll’f' t’f m, t’I li’IÏUeJ, ~ :lll"i ÎJ.’ !OC’• l d ( p ; 1 S, :c r.1 :,c t , Co !(c•i,, Pr/► l.s bt .su,·ducl rrt,t ;1ull’lll cf ! qr1,u Ji.L ; i.,l cun,·t."J, I ;, m :rni~re Juot 011 le JJI. t ,., . Jt·ux (HtlUÎC’N onl l :i. cl,l’~t ! pritu 0J1Jd, d ’OHI au foit ; le l1’nbi1•11H• a puul’ l,ut 1’t' l :Jlrt’~~1011 CJll .111hi ;f"l’, J.e di,roni~ pr. · • "tu· t’t :· C :Ule p. :1, 1lt1 1.ujt’I) le 1li~cottn srte. :i,11 :1 nr- dlui ..il •JO :è ),,, i,J, :r, ç<i.1•11l1tt ?I••.,, I 1opp111e du fiNtÙ t’ !il 1<" pr,,li1c ; l’oJ •J’<r-i’-' 1111 .m, :i :md f’l !I l’, :umdu ; l’op• fU !’o 1l11 n 1o.i.s’ :il le ,li1ra ...

f> [11 t• !’f 1 .An : ’1C :110 !’1, l I rr.,hfon sfparr h•J dw !'ittA dnl1t1Ctt>: ; pour tu1prl :Utr J.a cunfu,.aun dr~ idê-,•~ ; l L1/r,1, :t1e1,, ( !pc.re ll·’i cl.ms~, puur 1, ~ c ,u.,.11-lcrl’t t pDrl Le )1111 11t" lu p1-..d11(•n t",t J1 : nr p oint /t.or1i1 iln ,njd, l’t•lui ile l’,,/u/rni.1iu,, t~l de he r- ~s 1..•11t1l"t 11 111th 111l)l(_• l’t•t(OÔOl : du &lljcl, L~ gc1 1r11t-lri,• l,ü.t df’, f’l't( ~1rJ1u rx~ctrs : 1., HJefl phy11u(Ul’ (.-h ,ln /J,11-, :1t :fo,u. Le. :, i,l1·l’"5 p11.d tl 001 la ilil ! L, p1us .sû1c r•(.IQr ,, !ll’r Atl ~rtt.i ; t1,IJU-Y,

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J. ;ru J,.s t ;li :ll~ 1 pour /,.11 : ;J./tu·if,t. lonqu’ il est eonstatC ; on s’t·n préf’tt11t noprc-jr ll’ur (•Îl’lt-, soue df !’S -semUJ1J1.

aur $r•~ roocorn :ul :1,

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Jlktr.11,, ~’-1 L•r,.0 ;a. Prier, , ;’e~l demnnder Rve-c le mo,ulP 1lr f :1irc une pn :’illctu,n : ou l.1 fou,te aur ft."-ipt>N et j1111 ;mcc ; l. !t "’l'l,II(,,, c·~ t pri"r avec dr proLilLilite :o., ,le-~ coujcclorc5, (HJUt • :Ire pro .. Lu1u1l1tê, cmpn.•i,semcot l"l ;itdcnr. On prie rioor p/ ;j/e, 11 f.eot nue elud~ upprofoud1~ de l’h1.1turnc ul11l·ui1· ; on su111ilh· pt.,ur iuii :rc-,. .,.r et honorer. La e t d•,-s ,hrncwn.11 ~ P3’i~1~ .s, a.fin Je r.uudurè dt :.,•., .iU(’fHh-a1Î1111 ;ljmlle ~ l.i prhrt dM !tii, ;m·s qoi ~Up• l{UÎ ;tl’dvc 1 q110 1ds ê’°tnrmeol~ Jvivcnt arrivt-r . ro"’r11t u :1e : Jf"t :1 :uP no 1uuitv• ,lu nu"rrumt l"tllre Jl t ;I E ;fl.,~tt, St, ;l’ÉfU(.11Cti. Cn b,11umc rni• t•t-lui ’)OÎ prje t’t cc.•lui. ’l14’jl p~•’", ou <l6 hcao !o.5, wu,,-111 u’e~l p ;i., toujuu~ au l1mn1uc s11p1•rù :ur, dt", cll :-,jr.) urw•111 !, c,1t l.1 pl-’Ce !h pu111 Jonnrr l.i . pr, :. :mi,1r111.•a ; P11.u"’ 1n. .1JI :. ", P,u1A A. JJΠ:..- 1 ;.n ~ 11’VrTll& A il ri’y ,1 que le n,C,ilt 1Jui JIIIÎ~ :!-1.’ donurr l :t J11pi, oh,11. P1i,., . ,le,. d111r1· ("t uu tnme ,lt ttncootre ,·icJnli. La rrrimau lié~ tirnl j l’opiuiou ; l. :i 1-1,p,/· (Hl cl’cu :c· :1.ion f /Ul1 I’ , ; 1/lmr H1 ;ir,v1e Till de, ;i,ein rlvn d t" !l de fait. On 11e1 ;11 ;.ccordc1· li . prttn,i- prLillll’tl11e : pr1,•r 111a,,p,c 11111-"t de Iumiliarité ; ,um, :,· , t :cl’l.iint.· -.

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01,iniou ch.•,-,i,h· son• ù,..Jr,-r. rlo1 ,le con,idêl’Miun. Qu :mtl on prie d~ vl•ut ,J,. 11 u, r• LX ; l,, .cupcri,wite cl ·c111,1 it ru ouc ,lfnt-r, c’t :i.l Mm, :,pprM ; ’Ia :uul on prit ,I clti,tr, du•"’t' u :dlt’ '1’1·u11 r,r p,·ul Ji,putrr W ,ltpfac~’ .I’, l’o,pr,tft 1l11il t~tre 111cillcur ; ru,1i, ;, ,,u :.ntl on uwitt’ Pnt :,1n ;n, l’nuntur. / 1,,.mie.rot : dit <le p1o,iron lr ·l1nrr, il do1l llen1ir la cc. :n !111onit.•, L’uc, t.lbtinCL."• ruai" !! c•o1hitlt. ~1·ëi flJ05 la uu~1ue l 1•l~è~lrt, 1’ u :,a. :u· . le ,,rmctpi ! t1St no-x ttJr. a.uite t ptim :1//sr tlil 1J<’., . ;,ah - :4ucc-r~ :i-if, tin m~,ne- mtnu "t’ •1ur- 1 ., . C :Jl.’SC t-SI "it l’t•t(ct ; le /WÙlrlpe Vllt !. Loi hngul ! ,I..J..m e- t d’b"u csl lt1 pre111ii :.re pc.••1t r-, ;hlrt s. : .ns dtd~. DJeD t’- .t pri11dpe1 la

ile.), langur~ ; c-ile t,.,t. ;Ul. ;i,JiÏ le l,1ngi- _gc.t pruuit ;_f ,la linu1û ,- :,t uu cli : 6~i ~~1~· mr11ts. Lei r’lt ;n,,wJs th~, genre Lamain.

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. :i,t. &Or.tt ll"S rè, ;;11 :l ; q11i dérilcnt

P&i.ot :n rA·r10 !’(, î’11.l !v1n,,,.,-,

)">l’i.Joci. î~a. dt.1 prim :11 rs.

11r~on :11p1lfÎOll t.l l’ê~t ,l’un 1•,.111it 1)lciu de ctr• l 1 n.1,·u . F1n·~ TR ER .. On prÎie qoeJqn’on ,l"uncblut ~ icll’r1, ,·t qui. ne r"o1 f"U e111cudt·r - Je cou• jt>1ti~,a11ce ,1’1ïl 11,,,it c,u potJ ;,lL .aroir ; ou Ir lt"~iu•., ; la pti·••tlllÎ<Jfl t.lt pc-11d1cr rame j ÎllGtrl’ fnt.Jlre. flt• :,.(•~ ’ !-.pt•r,11h·~ . {,n-l)r.iblt :wtu r un tld :1,·01al1l,·nu.·111 d’un ohjct ; Je Pr. n lfl. (~t. 1 S’.ll ~Tt :(m. On s’c/,srit :111 tn ne se ,,,.. ju ;e. est unjug,rn1cut anriuipê. L -..pr..-’occupfJlion procunwt p :i-. d,.... p !.ii..ir,-, dl’J 11llJJJrul ! qne l’on

,lll &d1c i••~p111 ; l,1 rrii’Cfl(Îull Ôte, l'imparti>llitû ; poUl"ï.ail St’ pi-tw111er . On u /’f'H’,' los11que, le& fc ff)" ;~ ûtc le Jou·e .

ay.iut, ou n•st o ... (. (>lh 1-a 1~rh•Qti,,u C !tl r,,lu.s cou~ PM flOG.rn J :., l•Rl·u.tott. L.1 prC ::.rr.,çati•·t ! rc.. r ~eu ;e qoe rnb.st,11rrH :~. sarùe l{·." p1·des- ~1 1t·t•~ 11e-1 ~ouncllt"S ; c. - llc ~i(’nl cle, l 1n, x, lt io,,1rt. !’{'il Lo p, :, el ce ’JUti 1 :1 dao !)e p1•rs1mfle :, ; le prfri/, ;,r~ rrgarJI ! qnd,1ne l’,UH,1bt ; ,•aUtj 1.l r,. :i :1mpt,ur hl Cc.· tJUc b 1 :b,1_ .,., ruérilt". il virnt <k :i : su.lnlJ de la 1mcicl~.

L, rrni- . ’ -ltUt’tJ Voo :. p,1yt ;,. le prh, <le l.t d111.~1q YOlhi dunnc :i une ,fonntt clrs p1/h15n1t~•cs ; lei d1 :11gca • de, pr,,•ili :o·t/.S . rl,·om1h’t1Jt’ pn :1r 1111 scr., .ict. Le ~.d :1fre " ·" le pri.t l•tth, l’11.ocu1, . Prod,e, .,u plôflft’ tlt dan11, 1i :t t.111 lf.1’ï1ÎI ; nui, , ;r :uitka1iot1 uro b rdcompcnst. hin~ .ite cwdiu,iji1e, t’ :ipiiwe ~oc 1,ros.iwitU de rfo l ’a_c,.,i+lnih•, lil·ll ou tlt.• k111p :; ,,,’C :s c..~ t U-’Îtl’ d101 tnali Il• :, Puo1 :nf., I :n·i .cofl.ni. , Jt,,- :cç-l1·1 .1·i. La p1·1Jbi1à style :;, rt ,’c.•n•J•loic 1c)on dI,1et ..ci. ,1cC<.’ïttfon) d t"-A -1 h1 Ji,po, ;1.Joo cfo l’.lrue ~ r-t !-.pecle :r les droits c !.1111 1rnt1 {ml,· J’c ::- . .prc-li5Îon~ fi~ur, c. - . , d’autrui. I ..’i11tt’ ;r :1J t•~I fa prutih : rni~, · a ,le font !s Pa’f...,txr.1.a, Ornuf. On tkut à lia mnin "~ qne ~l ltc.’ffU1m1cs I pn·un• :S. L’l,ounJ,~ tii ~cmb1è t~1r1.1 ln pro, atr ; il ~ufllt ile 1no1Hr~r rln ,l,ii~t et : d•ahu1•t.l tout il l’cs.tcli••nr, ru,,i.. - t"lle n~si.de récll,,... ’lt’ l’uq Qf/1’•'• Ou pnhrnt~ nn t,uît j qlltltftJ’uu ; 11.1ènt rl nh nn cœar noble t•t gtuc’.rc-ux T inC !l(l :.tblt uu ojJr~ d’un meh 11ui ti.st :.ur u1ble.

tle nuil’c :11u : aullc,. pour~, iu1êri•li.

JJ1U :.... 074îrlO... ;c • Cù.S.IUl C& ,. 1 .i pranmptia11 ~t Pao11n ~ , ,~f t.TU, llv :ii ;,Ç .UJ’Jt, L,i rr<1bi1d ~’iu• fowlt~ !inr de.. motil-& de crê.liLiHtt~, rlt..1 f .,it• ce.r - tcrilit l isrioreu1c.•ru,•nt Je 111 1 tlC :ft’ntln p :i1· le :1 lo :" 1 :11n !i, tl~ vfnlt.’" c.·uu nur ., ; Ja , :onjC’dflra, ~,u rle en _sc :né-111I ; ln i•rtttt f,iit le hîtn ’j :l’~llt-~ 1 1c p1. ·n• 11i111plcs npp :,u•nce.s 1 th- . ; l11te1 prc1 ;11Îllll. cJr1o l’IUJ)• ,., ~, 1,rc1r I ile ; l’IJi : c.1l M.1i,e et dan.. 1c : ~ 11· : wnihun~ ; .- Il(’ c"t idc.,ILi. L ;i 111"c1omp1 :vn e.,.l d1J1,- J’fw11n. w· est •~omme Je llaml,tp !l de fa 1·r,t,1 ; il nèo p ;,r le1 rh •’-t’S ; la 1..’0flj~Clure C<t~ troa., i..·c r :w t :.)lcl.1u-.le l’ccur t’l <l.rn~ l’t :·prit, 1l r :1iumnc. eljnge. l’111, :i0itut...11n,

J Pr.o.PtitHTlQU& 1 D{u,1c.ux,J~cr.nt,nr. JI u’y

l’nr·, •f !’1Till, Sr oot•·un, S01, ;-r~o :’( :"l.fl• l’rrJJ o pojut cl c nii.,vn rie pronunct !r cl 1ns le> cbu-Ji’Uflf 1’1oe :11Uc J•tft’t de l’1ma1 ::i111tic1U 1p1i. :, ;m~ Hl'> /’f'l’"" 11wlÙ/III ; il 11·y a ph :inn tle i.ii ~on jrulicr’ 1 _. , ,uu prtUVl••, ie figure un 1.,,tutmrnt de : c1vi1c lL•u .. 1 s l :bVM i :,ct·rlr.t ."nt&. l 11t.·1JtcJJ•t•• 1Utul t·ouum !’ :.’H Ctoit. ,’lrtÎ’«.’ . el fait èpruU9t’r' 1•ar’ .. i1ion an·nturc :è est 1•10/,lci111t1li,pu ; OUI’ ! ’cnitô

1"1tncr ,-, 1’.)1,h" le st"U1iuu.•11t, !liUrtoul <l~ ilout,ur, lurtrutr-ut c
orul,,11111~ piir ;1it ,l(Jt1/J’lt.i1 ; une ,·tl’ité

que 1 :- .1 1 Jnî,nemt :ul doit lui 4·n1ht :r. Oo sr. ,lu,u..• c :roy ;1hlc t :.U :iOUt’l'lll cnct 1·r Ùh.trlai,l(’, ,I~ ,·t• <J ni duit ardver, d’••rn :.s ill.’. !I indic,·~ a.J§nl >r.oc[ou1 , P.RtJVEXf :1 1 É,)4", .ttu , Ut.cont.l :!, ,.tir."i ponr ••ppuycr lia 1wol,11l,ilÎ te ,le l ;’Vl~ucmc.·ut : llitu’tft. Proùtln iiuli pte Je- ptit.1Clpr. tt un le Ju"l’r ;< lil’IJt 1,luti l ),1 C, :t)1Ui~> □ nre ,,n~ l’un Ce-tl :liu or,frt- 1fon~ h·3 cLvsc :,, ~t1•-~ rrm,nù·, lt•-"i a Jr~ uull t’11r, et Je... pas)i :on.• tJUÎ lu dirlgt•nt. 1110Jl•n1 on l,1 m :111krt- clc 11r<•d11iIr 1t1kl : t.’mancr, P .1 r Ii,n, ; (-.ors 1.r ) , ~t . : ft ut r1i11.,u .. On l., 11011reP et l’ ;,t-’ t1111 <la r"11,.ud1 e ; 1/,. """, l·ron• routlc ,e., ,1 •. !ii ~du~ ,,,, 1111 rrc/1 .zt.i ; tm le3, (’,1t-he ltllll•til !oUi :~(’.q ; ..i( ; ,L,,· r . l .1 . ~00( !C’ 1 l l’,1, ;IÎOrt ,l :D HltU lUI rr, ;,Jr.rU. l .t ! ptclr.ilt : ...... t l itlt’ r.iisun Lith...tt. titcr h d10 •c. L~ 111111 f’l'Ot :,"dt• 11’un JI, :. UJ !(’ uu ,·hc1chc- m1 p1t :.te.cte.1,1r tJllOÎ l’uu :,,- ’a1,p 11ir 1m11r tcli11.,e fJ’O•lt’,,I dt.-t’iutcrpo itiou <l’1111 tr1fp !1

r.1irt" le 1t11’1 ; on im.i ;;iuc- ma prrlrJte JOll.f lr-,1uel op ;a’J.llt’ ; l~ lutui,•rf’ /11w,•111 tÎ :1 ~l~il ; lt. - ;1 :1 ,li- •iu (, !lL’lc.• r•11s- .er nue ac1ion c,our h1rJle aalrc chose cualc. ,ruur- JflHIIÎIII !; rc.au ,l’i.lu c-w1al t·~ t ,/ù ;rl, tJ 1~ n• 11u•t :11e t-t.t.

<l’nu n1î,,1• ;111. f ro ~.lu d pr wc11ir f"Jttl JilUi ait• Pr,itlbE. s... CllbOCl’ ;. Lt .’1(’U1{Ck·c rcn(ennc 1r1.1ppOtl l’US •1uhle ; 111a1.~ r1n-cn :r f’ t dit d,~coun pltu Je 1lrc1i1~ fJOe’ l.a rritr,11.’ . SiJ.c .’t'n/,.,, :e ea.t f ;. ;fle.. orJ1112îru :rro,•t(/cr-J 1)11 tol)lc :1’ ;.ut,. Cc .. ru,,1, rJt’ ri11ut tl &’.tp)’l1,1u• :. IOn"’ l’& vrt !’Uei ch1·r :1ieu, :e cli’tt’nt ,p1wn Ji ;ntq lr~ onrres ~•r1111’lolcut ;10 juih el p :ul."n,o u1 ;ii, la prhri~c n’e~t à l’u~ :toe dr- :a /igoré e-t n11 prup1c ; il,C", r,·,,,. ,’,1pj H·I" j l’t. !ron !t"’o prt"trr11 ’]Ul’" 111Jlir 11 rcl1~i,n c.·..11buli11ut. /’n"1 riso ment Jt,J ;qoiil ;c,,r,W !·r ~ùl’.iCt<tUt le. l·nu ~· 1Î1)DJ 1 :,t , 111~ ü1·e ; lfh·rnlun• e,,t U() l,le- .

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— .. !1btil~

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~ Et HA HliF tt l..On

PNotua, l’RDCIAHf. YO !h~.

Procf,i :. :tnnour-e

St ! tar., - .u c J’1.10 11 a11t ’~" 111.1e 1,1n nuit :a,· 1it" ; Qn UUI ! J1roxi111he ’lllt·lcon•tllfl i pro, :/111u1, HDf ! g :r•n~ DICT !OX, ;-, IIlE DES SY.O.’.Y'>lES. "

1•ro~fo11l•· ile lt"tnps ou ÙJ Hc :u : ’.., ., Il’ une gn,nJc inu :s. :iwite : lu~ .Je.

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P11.~ •llllit :! )tm.u :ra. M1nrs.u .t1.. Lc, prod,G_, l III rhtnoi.nene ed.itaut, Lors du coq," 01 J1rs,

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Jet ~~bosr-" i )t> 111ùv1,· c-, un ,., !Uen.tt :Ul éo11ltc u~••

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l’orJrc Jes rhti-cet l "1 tntn, :t ,~. unt wuvn : quJ

cff. - c. : wut,ta Jts aultl’S, Lu- proiP ;;tJ .)U1’JJ :, .... ::ic lti llln. !1 com1nuut. - & ; le tmrtitit, notre.ioLdJjgt •ncc ;

)11 no-11·c,Ut, ut.ill’c iwagjn ;1titm. Pauu1ot.t :, Dcssir+Ti :I• Le _rrtu1irr . !! 1

éc.arto

des Jt’gle, tle 1’cc0110111i1• ; "t’~ d_~pt’UJit’5 pr.u~ eut ~ :rc l,riUJttlU- et bvnlh’,, 111 ;11s 11 J ., tX.t ;è. : . i Je AC1-~oud ; ,l1Jnne d ;tU :’i l’atrô111itc UJ1pv"t’e -à l’,n·ar-ioc , sH d~pt-u&e,

~o ut foltr !f. ’l'uulc de1,elbe

inutile c :.t prod ;r,1/itd ; 1outc Ji1>en,e rnim•u~c C !ool JisJÎpaJt"’"· [J’ !s~ip1tfrw• !".t’ dit en ruau,·ai :;e p.in ; fro,h uc <lévcod lie l’ :ipphc ;,tion. p{t :Dt ;CUO !’<, OU"•u.~,- .e.. L :i pn,rl11ction rst le frtul ùe la (ècoudiu : i l’ouf’ru, :rr, cc.’hii du tt·,w~il . On f’Clll- foire (10 111Hrnce eu tmploy :mt J~ ·.s Jlf~• ttl !cl Jmrui ; IH1ur duuuu ~es prvdw :t1u11t, il faut Cl’~tr. r. (’2.t ;’ll’.,

PnoFAtc.TCO ?lr. s ... cau.tct. L ;1 p1Y1/m1nticw c :st nne irn :n>:renct t·tLVt’ts lcs cl10 :-. b sacret"&, un ern• ptoi l,ilru~Llc dt.." .1 cJ1me :, pl’édc :u.ses i lt s~, :rilc·G~ în.’IUhi !! 1 :, dhioilè, Oa NI01Ut :t une pr.,j1111a/Ju11 s, 1t )’r1utd ; un sa,·rUf’ ;,c :, ,ur la pcnonatt ,1u 11rf. 11c. flOI t· ,l Ici mJ1Il’,lt~ d t :Omrue le re111·ê -"t’Ulôl11t de Dam .,nr krtc,

11 JOPiR u, ’ ,. ITICt’LER. • l*&O~O ~CU. P1 ufi·ur, pt UlhJllcer Û h31llU tl in : L•lligiblc’ ou ; m·/Ît’lll, I’, 1 ;1lrr111e1· lc :1 sylluLn eu Il·~ lhwl cw1cwLle ; fllJlltJlt• ru·, fo..i.,a t !UH·nd1·c p :u J.i vuii :. L’homme 1110) ?,-e 11 p·1n.1les ; ’Jnt•liJUei, oi~C’ :tUl. nrlÎ1. :ul.·1 1I des ~) 1, , hP-s, ,h.- s- mut’ ! f des étnwgcn ne pcun :ut l’~u I’ t 110,,(U u1,tro li111~11t.

l’n )li, Ilcru,.1.L" 1out prc>ie tlbi~nc : ce que : 1~ ., 111ri,,1a,c c· :UJli1$" !Ît’t"ll< tl"’ÎUflll N manscnt ~ fa d,s,st• : le QJ.ul butitt ch : ~tac 101 d~pooi !le~ plilie~ ,1101 l euuc-1111, Le J•1·c1nil !I" 11 uno idte ,le Jr.slrnct i ,, ; h• ,l !cv1ttl I une iJct <la- pUl.1 ;c. Prvic c-11 U111J ,ta uJiell’.,

P,wu- . 1 1 Ik,.,t-.l !’C, Le prvjet ni un plan pour r~’.t :ÇOl~flll J’,m d,•ssrin ; lt de.fn’.W ,. - ~L c~ qu’oo "rut t·a.è-rntc. -r . P1(1jtl et J/t’S1riu 5L’ Jlt"r11ncnt aus~i 1our J,1 1lJ01e 1~11•011 ,·eut tté1.uh ::r ~ m :1i"’ le projrt c,H 11lus duif ;n~•. r . uu ~Lffl .

11,w :1U, !’CU11, Pao~U. !'CC>llt. Le- lien oU rl)n lH~lll &fi pr ,mcuer "3l uoe pn.1mt.11,1lh ; .il n’y ;1 dl· piu~ m t" 1· 1.4m• le lien di.,posê p,,m· qu’on ••y pro• , t’llt’, l.c1 Tnilet tu snut dé.li pro"1r111iÎl’.f et dr~ p

11r.J11 : dr :a l>ui :, sot.t I de... promcnadrs et non 11 ~ f’ m, Hoi,·s,

l 1 an,at1’A&, S’l' :t, ;.uan..t lloi’( :itfl. - ,.,Roi..c. On

rr •• t clc- Ill) (’t ’ Orle ~lllffllC :-, on le promel ii l1ic11 tju’il ttrruLlc que cd.t soit fitit p.lr :1oticip. :11ion de le Jl. ; on ,l,mnt.’ paroli. : de, l~ p :i ;yc,r tel jn11r ; et. ~i ul :a ne !unît p ;. on(, tllôt.Gt ! p :.r e,c-,11. .,

f.

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l .a 11ru ,pti ,,d.. ~t .ut n mmc-uc~r -. 1.US’-iti.1 ; l.1 ,Tlc- 1111. 1,LJt .,Dit =tOJ inttl,1111t1un ; b l’tltsS~ .- 01plu1t : 1 11 ) t ltiOnttnh ;,n-c : uctiut~ ; tt 1,, ,/,/,’geuce t lw1 1t lts ; o,r., lu 11luJ cua1 l«"~, 11,.0 •111 :: ., 11nornE roc ;a, Jlrot,1 : ù ,1,~,i~n~ une •f•t1tudf’t, uu • r. 11.adtf", IIIU ! voe.111011, outt Ùl"’"sfi. 02IIÎ~11, on ht h)tlt forme i. J’r~,ird de ),1 t :Lo,., . p,lal I q :1dlr on hl /"’Ol’re ; 11 four .’iC foruwr , l 1 :i ;u.rd de b , boit : .i l.iqutlte : ôn e.,l proprt !, Si ,ou., t IC" rr-01 ~ ,w.r 11r11.1e-"J, vcmi,. ponrucl clcvr• 1ür ~uc :rr,c-r ! •1

u,o t"1t’$ prilJlt ? rom· lt’lf ,Jt"IJc~ 1 ,·onor. t’1t1 f ;llt’Tti,·1 · nu pn’•t .t l’l'uc. Lt !cl· t’.'il rr-o• le u d 1 nr.s u . ..~Ht• ; un couteau. t -il piv,prt I"’,. ~npt.’r.

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Jln.ou.c. :nu«. ~’ -t’SrIC.t’. n tM ,l’tm hun :rngure ,le te p1 t’~cilltr puur uue riace .. !JUS le~ a11.sp1c :es J’u1o iiu11,111c "~1i.J11ê ; c-epl.’rnloul un ~1 Litu plus

i.Ùr tic 1’uhtdlÎI’ lun,quc l’«.JO ~ fa 1,ru1txlfon J’un

humiut1 11ui.~~uJt. JI faut ,•ntrc :r ù.ins Je mon,3⁄4c• snus lé) nu,Sptctl d’on bonnèli !’ ho.11111(• ; il faut ~e 1uc :t !rç, en t-nlumt dan.- .

l"·" o(foitl" :’,. ’JOU~ )a pro.

lnticm d’un homu1c haLilt : on puli, :i.ut. l’nuc 1....n, hl’LOlT’t. Lt !" pl ~111.ei- ee ,Ht ,lu at’tÎOll5 êdalunlc., d’un U’Cllll.Uit !r 1 1rou tiuld1.1t j ~.t11’mt.,, dt~ ~cllc :oi <l’un dit•f. ù’uu lu. -ro !, ri1v,11ost c.•~pri111e :rn~st Lii :tt uac suU11c, n1u11CU1éri1~ ; le 1uol cl’~rrlvits n ’ !ud,1uc t :Lose J~ l’lcu ~Crieux, 11.1êU1e llonittut1t1t-nt.

l1unr.1r. u ~ , t· 1 :< ,~ci :,n 1 Tn, tTA !I !. r, P,UtT’UAff • )h1. :1ô1· :.vr... Lti pttblhtlin t :-1Jlt le’ pl·tcc•ptcur de• rcvt.’111.1 .$ puMics Jan~ l .ittlÎrJultê t le jinam. :ii•r 1ère lïu111ùt t’U ,11•stnl, 11 t :Sl ()U frnuit’t I UD n~gΠ!!teUI", uu eutrr111tue-u,q le. - l1aJltr11ls <lono.iil’lJI j ;u !ii une J.Ol(IOJC/ pQur on fCCOti’fCltlènt ; le mot rnrli-ian, rpd offre l",dl’t du !iulda, iJUÏ met ii com11h111ir.m ltt r,... ) s t"UOt·1ui, ~t UlJC Jt :nomi.o :11ivn oJit’U. !IC : Jun11te. ou ,,,uumt CJUÎ se . - h.1r0 e d’une ltt"t"e ’t"X.JIVΠ!"~ ; m,,ltJ1itr c.1ait uue t.iéntJruiu ;,1j.,0 iuju• rÎt’W•e qa’oH (fouuoit ~u :x traitr.u !s qui ,·c- ;uient. l’u1uri, G1n :.11t1i., rt..otcni. 1 Coxrt. !CANC ::t. L.- . putt"lc. c ~t l’tlat de l’ :imc : pure ; h d1aJtck e :.t une vct tu !lt ;.l’l"C q 11i dumptc Je.~ apJ1lt1l, 1lu • uqts, l’r'jlUl’t", ri le lÎcùf dalû Je n•~rt·cl .~ .3C l’t : J,. 1. . lui ; 1~ JJ1td1dt,’ place touJunts h 11udrut· ciev~1ul k :s dt11ittt tl J~ pfalih~ 1 pour no~11i.lff’I la mofle~11c- ; l.t t,•tJ11(Ulji,U ;C : lall t·e,1i~l(’I' a la sm( Ù(’ !i 1•lJisùs par l·mpi1e- ,ni- li :.~ &~u .. L :i 1mrtli ,., ., l’txcr.llen’--e -, l, :1 ,., ·N>ê-, C,anc :t· ,le ln chastcli ; Ja durJ’,·t,1 . _.. . ,l une t,r :11ttlt tt·sulitrllc dt Uttrllf’i ; fo pmf ;riti r11l lt : n~apeu hn ;<Jal,le de Il> 11udr11r ; Ll coutiu,•ncc t. !ll l’vb,tP.a !lun dgt,ur-cn..c d1u11e J,,~ IJUÎ fro !ttlc la 11.1lun• dt" àr& Jwi1. -. .

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Qu.,Lni, 1’.L.CÇJ J.e. .., ’loliti,1, furn1cut le car-tctl"tt Je 1.~

pc.o<uuu.•~ t’llr~ . :-ont u.ilun•llr, ; lc.i fo !t"ls eu .itUH. 1 urnemtlll t di -,out :u,,1uhr ÜH se MH’t da mol 1111nl là cr, l,i< :D oo t.·u uiul ; tdlt·11l ne. · :- . e 111eud ’fli•~H l,uune p :. :i1 r. Qu"Jl :1’ , ’Sut, Pt,t ::R i1u1, QNn11t i, moi, 7,,a,,1 11 cti quî me l"c~~ulc cl.i1u ccllr .1ff,1irc. qunut tJ ,·a (JUÎ l,•~n rt irut ; pour moi, 1•our b p,ttl que je l’r, :nrhai j tcllc ré,olu :iqo, /’. PoL’1, Qt ’H, PlllcCl( ;r.. Qru,si I IIIOt ru1r1u1•nt l.1ti :,1 1 ,c dh par t•llijl-)1 : puor ’l"d raJ ;tJII~ .si., di. : ,uVmt ’JUC .,.i, 11c 111t

u : m ;iuic :’rc, <’0111111e .~i. Prts,/ !I"" ~, la IUl’llJC : c-L’.'11.’ qut- rit.·~ ,fi :• prt.l.s ,/’, trr. /L (’.S( qun.si lum1mr., c’t :..,l c :Hmrur ,s’il ~t .1Jl l,otnmr : JI,... , /’i't"S71,c l,umme, il l" !>l /ll’t.4 J'tt1t" buJt11ot>. Q ,ns~ 111 ;1rq1ae b rc.,, ;cnd,lanct, l·’c : t un tnmtt titi i,,11~ li111Jc ; l’r1·1,111t m ;uqnr- t’,i(lJlM.X :i10 ;111.,o I c’t· -l uu h. :t 111t de 1n~iure,

Qli.t :.tua.t..lH.i Gno :nut.", On groru{,1 ~n murmur : .int ; ll4 ,,,,,.,.. !/~ c1111.- i11e plu <l’t. ;d :.t, pliH ,Jr dl", cloppcmc ut, plm, d’aihn•nr. 011 &,,,,,./, nu ,·nfant, uoe femme, n1t~uie une m.t,lrn.w ; ou 1 111e,

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(JL Ütl’JU,.’"1 :,1 li.li ., J~l l ft 1 :JII , l)L :I -,,h, D • Q tt"I.. thlrmrr 611J’(lflllc un 0111,t ile cu,i,, ;,tt- ; ·,, .t’rr••μr 1111t1r<l !1l" de l’.iu1ori1C ; ,lrma,,.l,r n •1udq11c rhtit~ Je plu~ CÎ’ÎI et de 11lt1 !1 H’ v•·dnt•r1’-,_ r :1.•,pi,10

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H A.IJUl’fl’, ll.t1.rx-, R-1ditmt lit ,lit 1lr1 en ,111i rr1. ; -olvc111 1cm luuuPrt d’un cur-p~ ; rcJrt de.... cur-r.) lumUh·tl. ~

p :ir- CUl.•mt’nie5. .. ~ne i ;I•

c~t un corps radiaul ,· le soleil. 1111 cvrp, raJicll n UU."X, l.A(J !’f'(,UIT. L’cJJu.nuu de lil lurui rend le corp,. rf1.di~tu ; l’èmh. :oJion de plu.,1r UaH~ <le luuuêre t~ renc1rnt r,,,,,1>11a,,1. Lt :" .sui c-- .t J·at/Ît :11.t . ; un di :uuunl Nil rà ; ou,wut. te- 50( ’-'"I ra dieu r Jau, un ciel pur ; ,l t’.tl ,u, un11dJ1t tr ;n er-s dc- .s nutt !i rratt !patt’"bk.’. Le-’) nlrou,. é1 u,·ut du l’OJ-ps ra,li,u.t ; il, eu,·frt.mncui tm ru 1- . n vmu wt. t :n point r,t,l11·u .r jC’tl~ dt .)un srln o ir ;fo,itè de tPyou. -. ; le ’-'rl’tl :.11 J11111pé ,l’uue u lumicr<, C !tt rnym111a111. Rn,lhm.t. 111,11,1uc b.11u :1U cPibewiki (d)111i1•1le Je la ... -Loise ; raJrJl"lflant, une quaU

i.cc.id~atdle.

llAIUt., Rr<.101, Rrcooftrox. l’ae p ru,,n raide ré :i.i -1tc :,,all.’i faibl lr ; uoc : 1•c.-1 -~onuc rigiJ~ so1h point wollit ; nno 11cunnue ,, ;our, us~ ne rel,iclle pas. Le c :arnclère, J"updl sont ruiilo ; 1 prindtJt !)i, lt’s mt.curi suut ,.,5 ;J,s ; b condttire rempile &uut ri ;;aurru.~.

JMor.t . :I., l.J. .i .iont., Rumr :tJA. U ,.11 ;,/,11, c-un tlêf.ml c-1ni f,it qu’on o~a ni lliitll, ni tgards ’l'/vo ùtu1·tc, qa•on é.loi ;uc leJ 1uht,i ; l.1 "I’• ,lite’ e...t une I f’tlh nde tl’ ;:i111e qui tond.am ne uns aJvncÎ. !llt•rucpt nu !rc foiLll• :.1 ;e, n~ i1111•rrtrl’lio111 et UOltt’ ÎlupuÎl- :mce ; fa rfc11tt1r tal tt11é mfrft,,1’ J,- jnscmem rl t.lc V1.,lu111è ; rp,i fwit rnosi(’r J• droit oo I"’ punrni1· aus-i loin rtta’rl ()t"lU ;il !C"q tlle d1ui~1t tc.ujour,,. le :.rn., le- plu"’ -,nict <"l IC$ p<"i.nd lt"a JJJut 1u,Je., ; dl<’ ne douur 1u1cu11 r,c :,·1· - 1 ;, 1111 Jn1 ;;c-nt·t’, L’ioù1.st·ipli11r uhlr ;e ~ l.1 r,,,dt11r ; le n·l,h :lh·Ultol , à là rigtdlu, le : JChurdeu1l"Ut ~ .i l,1 ri3r1tf.tf’. , • n 001.

R>.r1.U.tllt, )loQt LI tt, l’u.,u I LA.ç.L, l.3. 1r1 /. I, ,. ;,. esl um : pl1,î. - .,mt’f"Îe ornli~11e •Jlll p ut ur. L’AI ,,ffcmst-1· o 1.t "’"'/"’ ,j~ cs1 111u1d.111tc•. c : .11,• .1H ;i,r1• Ir..& rilLculn, lL"~ Jd ;it1h : le p1rJif//ncit, ,111<titt 1 ut" :mH tp1’1111r pl.1h ;111lc.- 1 w li1w c·, lq ;er~ • a’d i1 pn,l,mgl’, J~,it ut uu &C’n ! pJu.-, ùff’t•u,,,ul. 1•a1 qn’il 01111umce plu1 de 1< :llr~iuu cl plu, tÎc.• 1114•t~11 - 1ion i 1.t ~u1u1 i.otlft.

J.i .ui, 1l4.LPU- ~r . /Ml~ <’SJIIÎmt" 1«" l.1n1t f,uL t :tl dJ :mr : N ,., .I/,mr11I, li. ui .. ’l'•i 110111,c : lt ! 1dl, Cu :i~mii :mi.-, l,· ;c- ./t’l 1· l’, :~pa.atiun e,-,t tloubh :a (1 :Jl’ lt• l’Jlf1 ln• llf,

fu~c1tJ11l, ’RA :rru.,unr.. L.i rtt11ci,l,t~ : ,..,, 1 qll.ihtC" tlu ,·0111-" n111cc ; J.i . 1r.11t.1 s11rc._ r--. t J, ffct

,, :.prou,. ; par le rorp~ r~oici. L :i : ,.a,,c,,ft,~ t’ !.I 11 ml l«’~ r,1.inctpt.5 •pH vi1·irut ; l,1 1tr11du11r<• " 1 ,l111A lt’ïS pan.i. ~ 3 vu :.ice :1. ll t.Jut detrtûic I• rm1ti,litc, et 1’,re :r l,l MîlliS,HU(’.

n,Hltf ar., n ..At’ti.e•ru, J 1’1.Al’fTA. ~,r.n. R11pi,· ,·r, (·l’-tl 111 • !Ir~ ile.. pi1• C-"f ,npi~,clr,, r•,-~, mi :l•rc """.. l’Q~t ! cle nv1nclc- ., p1i c~11 t ou Hl~ltl l ! 1uu-- <’01,p tic ptl1tu 1•1 ;•(’f"f 1 rn1u·la•J1r, ,-’c<il wt :11,c e c :o•IUl’t" ~,o.. !11r1t·uu ut cl•• J :llh,tt p1t.•ce,. n"i•riu,TJ ,. :i5u1•1H1L. L’m1,1l11.,1e : S(.• ,ruJ plns v~croe f le. rnpptJtt, t•’U" f" rd ... L’a11a1t, ;:c e<•n .. i 1 1’-t’1Jt111wt1t cl,111" le 11101 ; 1, l"11/’/IIJ11, d .. n, },- !i rh at’5, a l’Xigr. -

IJllt 6Î :11,li1u,1c u•rllc 1"0 "41Jclq1Jetl poiol•, l'nna/i>ro•i~, 1111r. th1111 :,1ude :111p :11cntc ,l• l’u.~ .• ;-•· ou dan-. la !l.igt1îlu :,H1•JU. HA1•,•1Jkl ,.) n<rl’IJll .A’,'l.f.", fî11tt dlO !~ .t rnp

pml" une auhr. •1•1 :1t1< ! die ) 1. ·,mJ1111 oo •1•1 t<UI’ l"U it11f ponr ’lueî,1uc ;mtre n,l ..011 : ,,iu,, ltil rffd :1 11111 "’f'f’Ot’I mu c, :11u~ . l uc dm~,,, r pr.c/1"1 a,,..,. Ufl~ autsc ’lllo ~lie lui t’A r1·oporliu1111N. i ;;uttfutmc au .’)c :1u.Ll.,Llc. UoC’ rc•ptC’ a ,np/,ofl a,il DJC’l'IOSX JRF. DF.S SY :-. O~YlFS.

t"ori ;i.1.al, bi die : lu• r. :s .~r r uble. ; si c1lc hl hnpar-- (air e I tllr a rappnrt d l’odf ;l1111l. RA ~ -.uRUl, .i -h

10,raa. " VQS ltl.mre : <-dui qui

a’u t p :u fohu u ; ,•uus rassure : celai <i’ci 1’.sL,rn• don ne : li. la cr~i n te.

Jh.Ylt.GLl t Di.’iCJU !I ’ ni :vAITtn’ St1.i :c.ua ::1.. t’idce J-, rm’agi :r c-~ l ,le ,cnrcrse.r, d"t :t1n.~ i11tr le~ ~ tu~ p :ir crue ttCljou :r,,al,it~, impêtuL•ll’,'if’ !; celle J ; ,l’-•.JOl<1 ~t de- cl~t, ufre 1 :1 popufa,mn cl’uue c1m• rie .. de 1~ rt’Juire en un dt=,tlt ; celle J.c dc-1•1111,r t clc tnu t delruirt !- Jan- . uu p :tj.i, dt uuanirrc .i ’y lob"lcr- aucnue tractr ,fo t·ultore et d’b :.1hi1anh. ; Ill’ di : Ja< :cac,•c.r eü de livrer an c.irnilge une illt I Je, ; l1ru1 ptnpfo·s . li"~ tu11t•n1S rm•og,·111 t,, r- .1wpa~nt-1 ; la gurrrr t.l J. ; r~te dùof,·,1/ UII ay~ : c-e, ilt :1ux ,lt1•,u !r-11I 11t, c•mpirc 1 dc !-’l v. i11• 11.Curs fè1o~ ·ts 1aect1• eut um.• , iUc : JH’l5t’ d’.l-" .5,ml, l tùLl :<t.SR, Et-,t :C~t.t :.rl, E.1Jt :t :Tu.. Ri,1/ ter. ’Nt accorop1i,· Ct ! cp it dt-5 nppal·eu~n out dunul’ Îttl J’c.,peuH i t’jfc, li/il’ , t’t. !tl at·~ :ornpfir l’C lfUC " " ru·owes, ;cs fu11111. !l ?i · : . tJl)l duouP tlroH d :Uh’II• c ; err :~uh’r. c’c~ t 1ccoruplir conforo1’wt-nt au 1,m formé. lld~1li1t.r a r- :.1•pon :mx 11pp.u ·••nco ; ·

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Lo t’1 ;btta(•1’ l’ ..t 1. - 1 1.’·cc de Lùo• lieu ; lil r~••ult~ . _. .. , 1~ gurn·<" tlecb1 éc : 1.a n/itf. · ,n f.ait t1.1 ~sr,· J fa ,·e,•l• :t< . t .1 rt.’" !lc t~I Lot1juu1- ~ iul rnte, truibJe cl foue.u :: ; J_. r. :6t·IIW11 n’t'. :it ,1ad• ncfui, tJU’un : oppo.5,Umu 61Hli ; tl’OUhlt !!i- . îl1, ;CI. - vu1n , Accn•1 i.r., :’ oa~ ççcrpro11s- _, m•w : r t’oOm1 de l.1 main. de b ’olo11t1 ; ce c111e l1ou 1005 uJ(re ; HOlli. rc-ci ,-o,u ce ’t•ic l’un nou~ euOie ; c ucoud 1uil1·qn~ un con1tnk111cnt ,_. tu• (u1 iud. Jh. :utC :’(&Jl ~ lt11 srn ;:u ;’f.. /i., l·l,ir :,11a m :1rr1tte 11e l r épusn.1ucc, un 1lu ilc~Ulll Tl" lin . :iir 1ud-, ; tjÎ’flJ ;flrron 1c11/ro1r11t·r _, r’t"••l t·u11traclt’r ~au front e m :micr~ ~ m~rq1Jel· de : I.• 1t’, r.1 ltJ, li" l’lm11.1l’Ut, a dt J.t l rÏ"-IC>t’t', f.(’ ,., d,t ;, :,,, tfh’r,1 cl 1,· l’rjn.1 ;;11tt. "II n1.11C JUt-T1l clt’ ! l.1 111 ;un· .ii~t• humc111· ; h : rf !’. :/,i. nrmcfll la ICmnit,u1 :; le rrf,·u ;;utw, ul l. :1 dt :cdu u b C"l• 1u ;t>ulnu1t.

n tcot.Tl : . Ric :uuvr. R,, ;;/ailr (."j,’ nn terme ù, ! n ~dt,·ior , :t rit u1oult : nn Jl1fll..rll. ! - no on pid1cul’ 01u uoe 1·1. ,.1mt1,. : t’l•,·1,/ ;1 t Cf.l un 1crm1• de jnri !i.~ l •ltl,mce : bit ,•r,np.aLh : r,,it llnc- J"t.•i :1.Jî1•f !; J..a f’t'4 lmte ~t 1111«’ rn,J,.lfi<" run, ::,.tc plu- . J,mgc·rt’1t. ;,e ciue . a 111·e1ull"le ; r,. : .,,/ ;.,, . f.H ou :.c . -, ·oml Jelil i,c•wLl... ,., ;,o p •1•n1u..•r, l•l Jitu-. t .t :n•TU~lll pUllÎ. Cc, UObi- de"i~llClll 16 l(’tour Je J.i JU~WC frmll’ 011 Ju ,•ru~ oral

Jt1’n.... nr.l . lr.n :.NDIQ.· fn. "’-~ ou• ,-~clnm" : 1 il nt-liJ itc !lue t411c n : ${>Il, 11mdulf ;<’ucc, 1lt’.'I tt• oar :1 t la ju~1lce ; ·11u n l’rndi,,11t : à tirre tic.· plO· 11·i~ll~.

L. tYdm1mtiu11 l’ !ll nue ,fomniult" ; 1~ rri’l'II• 1, ::c1ti,m I mu :- pt,ur,,hlt-. L .1 r 1.lm1,aw>n CVtt..•en·r t fhe ù~ J1oit.,, 1-o r~prndit.-1 :/ÙJII poarsuit tu ~ Jitntiuo.

lli :COLT’tl’I ~ lLt :"t.Jt :tufl, /ù..,. ·Q/ttt, c·e :<.t rccucillfr Ïf’ :lnt lt’~ procëde.. ,le l.•cm1om1c 1nnle ; on c,,rillt. Jt""5 r :trttn.., d," !i ~11ffragt.1, de~ OOtl elle~, es ùëUrl !- . On ,-ei.o./te cc CJUi se ('OUl>f". romme ~uin~ ; <tn rrcu•·i !’c l’t' ’JIii i

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tl (ruiu tll séoiral . lt~ r’•dOl’"'I ♦ R. 1.r .o~~· A.1u.,,, -t."L.. r ;n., ro c oa. La 1·tennnai.1an 1~ eat le !ou,·c : -111r ? P.n·ru d’uu Licnla~I ; b : ra .i11,do t<-1 ]t, : ,e :tüu.r qu’il iu,-pire ; la reconnai,.. 1a1uc t•, ;.l

.h ilb b méu,oll’c. : la ;r11liJr1t !c • dtm I lct ·u•u1 • l a. ,·c•cnmlm.fSDllCC’ s’.U..’t'(Uil lC ; J :i { ; I {l/t/1t,I. : lh,it t1.Jujuui-, . t, ;ratiJuJf ! deùcut 11cJ~uln11ac t.·u ,·ic1Ht,,.11.t .

!r :;nn ;u&, Dno11’en5. L :a droiture monfl•e Ir. 

Lut H la ,,oit- ; (a ,·, .- âitmle- con,luit ao hot -. :o ~ ol"ant co115taomu.•n1 la ,·oit. Voue tlil·ïgc, l’auu·c t>'t(’Cllh•. L . :t droiture t>St donc plulût tl4.111 le de. :,- ,crn ; hi n l’ !itnJe, d11ns l’.1ctiuo.

R 1- :ct· UL , t,uLI t.c -t•.. u :r. Jlccutil eit 1’ :nn :t s dtt> dJo.,~ l<’CUeilliei. ; cullrdfou cl.pl’ime l’ac :tiun tl<’ t,l :i$tnd,ltr. La cûll,idiv11 conMilùP. te recuâl ; lt : n•cutil u"t.'"'>l pas noc h.ÎHlJ’le cullectivn . Le 1·1,"ucû. u,,it, lie . l f’ :t :- . t’&l·, , plm, t :uoitcu1ttnt ll~ d10. !l-tS tJUc l.t ,-allt- ·lfo11. Oo opp<"UI.’ recut :il une pL•titc : i."üllf.C· IÙUJ ; e-t 1-u !lt’ctio,, 1 uo ; ;t.wd rt~ucil. Oo douar nu rc..·, ,.til de pi~c~ fu( ;ili,·c .,, H ùoil èu-c t·lmt,, ; un ilL111oc la c.C1l/,.çt/on ù~s hU1oti~n :, J.’uu i, :iya :,, cllr. duit t !o·e comph :te,

l~uan( ! , llih·nt,cMDll. Rec,,l. :r : :nppose OtJe :t clirt. :t :tiou up1•0-.,tt.• " la direction uaturdle dti L~ m,o-di e ; r, :"ho ;.10.ltr uffre nu mouvemeut c<,u· u,d,c. l.c canull l’<~uit ; des l r vPpcs rc·lr !Jt ;rfldtllt. U.i1 :u.curn 1 )Uou~a. Ct-s ikux. n•rl)l’ : 11~11ri• tnt’Ul ropi :ro.li.011 Je l'c'>pt i t qui -à 1 ;tprli’)Oe à l ;Ufl·

i,,iilèt’er ,lltcru.1tivrmc11t Ier. ohjet~ S1lU ! tOUh.’ !t •~ars foCt""’. cl 11311.., tOlb lt’tJti rnpro1 tl, ; ltHJI’ 1lJI• po1 t ;1nc-e est l1ieu rliffç.- enle. On r..jldoMt ,nr M.’ :o.

.,(fait..
1,,1 sut- &b inlt !tt’ti, t-Ul’ 111 cou,luitt" ;’, nmir ; on

mt,lite le" 5tic-uce, . lt•s ,·critC :3 de l Êwmoitu 1..t.’s pa’..,Îum, UdUrflcU l cellt : txptcs,iuu. Oo 11tàlt1r s. ;1 ·f’u~caurc. SL’, ouHJw-s, ~c~ projch arul.ü tieux ; il ,el’ :>H pluit bit~t tlG m.,l !/er ;,OU lll’,101. R l V<H’-'t’hl !’f , JH :.run :’dS.. L. :> rt. :{ur,u)IÎt1fi. t -sl l’artfou de t’efo1 mtr ; l :i,. Jt>1 mt Nl r. -~ t l’c. - ffot. Dllrnt le lt’IO(b de. J,l t1/urrm1twr, 1 on met l !II 1 t-sle, (.IIJ rt’rut’atie 011u ;ibu !i ~ J :111,1 ln t~111p, c.le la Hfarnu : , on -.c rt’g !e ~ et )t’-.

ub1t.,r ; . :: ;,int oorriMtt" ,

R.t.c.•urni- :11. • (, ;u_, .u t. !:st·u J ’locr.u.Ea. Lot~tfO noos prdJOtJ~ Oh1 ; li !ijt"t’t., ptirl à l,1 ul.Jo..iC, elle nmL~ l’f'f,’«t’dt· ; il tu font p1cudre d.1"’.a.ot ;aoe p1tur ’]ti1t-lltr llOUS tDm•crnd- ; elle est plus 1,m1ouudlè’ loaM tu·dJe nom, ltJfu. :1,e..

lh,Gll t DUl[C"r’tO !’f . AD :.UNl ~’fl’IA’l"IO :I’ • CO !’(• Dt. ? l 1 ~, Gou-,, pSt ; ’ l l !N--r. L :l ;·coit’ l eg ;1uic Jr.a biens tt111po1 d~ cou(if :"s â quelqu’uu, pour ll’.'i {~ire nlvir ,m prlit du propi iel<iire n nqucl il 4loit t·t11nh c-’ ! l.l1Uf’lC ; l~ rlirc,. :,/Îon ~I pu11r cttlaim~"" altair1.•s Je- liu :incc-’I, ou de :" orf’11p :11io11, ôlU"’t(JOi.’llC-3 011 t•~t <·umml.., pour) muintt·oir l’Ol Jre couveu ;fl,1-, j l’adminis !rrtliou a pour oltjt>t Ja juslic~ : on 1l’ ! f ;o ..mrc’l J’un Ét. -. t, dlu tloruu, «lu JH>n’oir ; la ,~,,,,rluilt’ th :",igue l’h,l,ilf. !tc : à l’êg"rd tll"$ (’Lr)Jo1c’l, t.l 1t11t’" oul,"nli11.11lon l 1’...-_ ., ::1rd tlt’t !’I 11t1• :mo1ws ; le GOUl’<'n/f.mr11t iurli,p11 : ut1e ~opl :rior,lè <le pl.ice, il .a 1·,1ppul’l à Ja (hJJil ÎIJIW,

}i,. ;1μ ?1’, Cv~UH le., t•, "T" .... R~ · ~ -- ioti. . St’ ,nt ptio-

cip,dt’lllt’Jll lursc1nl’ l’uu l’t1us1ÙcH’ um.• p1uliou dt J_.

tc !l’tC 1eht1l·emcut .i &utl l•lc-iuu ;m..Jt· ~ su s t.lo ni· eou de ln 1twr ; t :4JU/lcc., h>n,r1m..• l,u 6°01. !ÇtJpt tlt’ la r-êlUJI.Jou tdUht·mt•JU i 1•. ~•J1t :t1tu1· l’l au (11.ft"1J ; p,~•s, Turuiuu l’un ~’oocul !c Ju tlirunt, ù.u .site. Jcs L.1hilnnt :t,

lüa.~ , :looi-tr., La rè ;tle prr~eril cc qu’il f :u11 (Ji,,., li ! mutlclc tuonlre la cùo.se lOUlé ! f,llte. Uu tuit l’11m :·. ou Îlnit•• 1’,m1re.

Jl~r.t .l !:, Jlt.i . ;Lr,st :.n . l..,’l ri"g"lt· prt’ !it’dt Ir., cl,o. . SN- l’)n’vn doit faire ; 1eh·g/cmtnt1 l.1 mauiérc J,Jt1t uo ilt1it 1~ f ;ùrc . L

1

ê1ui1C, l’hmonnitê J.oiveut

être 1.._ ,s r,3lt•-1 ,te 1. - t•ouJuit’" : dlt’s tluh·enl defl.)- 6"’ à ton" lts f"rçl4 !mrnts particuliers. lU tiLf.lll .’YT t .R .iauLri- :r.ut~ST." <. :~ dcnx a,1 ,·c, be~ ’if. ! Jlrc-unent Îhlhfréremm1·nl pour 10.uriuN· b 1•èt~cv~1• ;inct’ : on l !lndi.e rd ;km~ut ou rt :G11/i_~. rc, ;uut huit Lt’u-n :s par jour ; lh~Î6 il y a. fl !’i cirl’ufü 1tiocc :w- où rt !" ;;,’~m~11t ,•c :nt Jirc tl’nnc 10- :mi~ -rc :. ègal~ 1 et quj. bUù~l .lc ètre auumhe à uue tt-6le} cl -’6' lt r, ,, , 111, J1unc u1 :i.nil-re c,inrorrul· ;t une u· ~ !1 : 1·cdle.

P1..11.J i., r. l :tt, ;, o,, est rltlc ,b11, $a r.oodmte ; tlH <"’1l nt11-f>•,.’ d ;nu :.t ~ otfNÎ&t.~ . L’ltununc r,. ::/, :-wt, 11.,p :~• 1 :t , ~pu 1~tluu d $0 11rrwtu1e ; rJ1l1muu. : fDflSt : lUt.’11 :.tO~ lo ·0 tru,p~ l’& )UU )1it•H. Rùa.f :, ll :~ <t :Lurt. Cc t1oi ~t riRlti C5t tout ,1-,wjl !tti n ufü• r,-gfl’ 'lad ~ou(1t1e’ Uuifo1me Oct ,ariqLlu, honui : uu 111..tn,ti..,e ; t~ •JOÎ ~, l’CJ{tdùt• t :St ,~uufor111ç Cl louuLlu 1.e mun -1 .·rnH.’Cll d~ r.. lune eat n :~-k , w :ii~ il u•e~t pa$ 1’t' ;:rt/ie ;•, il r/t'>t J•ti~ unifonuc. l nt : , it r/glt’.e ~ ’cotrud oo vLyaiqnc t l ..r1 wor. :J ; uuc Je ,. ;G,du’ t’O t’~t ctmforiuu .atJJC prind11es ,h_• la mor.ilr :. Cc qu,., t rr ;;le· u’c,t . -. duwls â uuct 1q ::1~ ,,a~ JJOr un ChiJh liblt’ ; tuais toot ce <l’Ji cst 1-c’julùr t·st couforwt j t3 H·.,Jc :. ll1- ;1.Ar :ui I llt.r..i< :1u.11z3’1'. Le r,ldclu : t• :11 une {’ !~sotiuu Je lraY !IH [IOUl l t’oparc :r les futt’fh. a ..,l ! pi cud l’ll Uonue pont ~ Ir- rd,ii. :h1r1u1m hl oou f’(, : ~..

!iJÛon tfe :&èlc et oe plt<ml :.vu,cot en urnu-v .ii ::.e 

f1Pfl.

Jlu,bvi, Sum.n,u ;. l.vr.sqno <’i !S mot~ . )’ ;,ppJi-

’]Q’.'JJt au di :i1.•1Jor.,, ,·d~i·ti :i rapport t, l.t .s,•icocc t•t. à h u :um·e <ltci -r .hot.".o, ; s11h/i11,c l’n :.a t1 :iH•nln 0

~

à l’ll’rit et -t la u..ianlCre dout Ot tl’. 1Îtc.• ln clt>J .. Jt•~ .

L’l :nttmlan~nl l,umaiu tle 1,vl·k.c 1.•~L un 11•J. - n ;igt, rt•l,-~ ,,.- ; on u·uu c lt ! Jtd,llmc J~o5- Ja u :bl, Ilr ::1 w,, !f, DL, 01 zo !’C, Pti.ri. Le mue tle 11/i· t :io" e’l.l plii, 1fau~ Ull ~t,1 fotmttl I rp1i m~1quc um : Ji !ip1,~.itioa Jo cœor â J’rgncl dtt l1id1 1 11ni foit •lu’ou ne 111 :i.1HJUl.1 JJ01Ut i, cc ,1uin lui duit, ln pitre füit qu’uu s’en :u.’q11it1e an.·c plv.’j ,li : 1.elc :; (,li ,li·t•,>/Îon ’Y ajoute un (l~l ..rivu1· r•IUl,, COlJj.111 !tt’. Lii rdiglu,, C- !1l plus <lan.i le r :œu,· ’Ju’dfl· ne 11,H,1~t uu dr•)mr, ; 1.i prd. ! C5t il.ma le : t"O. :Ur t :I pat·ait on dd.11.1~ ; fo di1·Qtiou p.a 1ait ,,oc :lrioduJ.. au dclwri. -,au~ tHe d,mo ; le n :;cur.

R.J :’ :,1’,li&lt t Ôbt.ln· .ta.. On rc :m<U·quc. lca du,.

11•.s p1u· ;l.henliun, pour bC rr-~ on,•ctli1· ; <•tl ln ol.s~r,·t par J’exàweu, pour en j<1gn. Le "oyagcur r~mW’•fltC • L’<.·,piun ol,Jf/’l'I’,

RurinJF, ÀILlircA,axr. Le t·hn ;dc est ce 11oi f,’ll~ril, le 111(•1/ic"m"’tl est ce rplÎ cd pli ; ponr guênr. c ·e~t c :01n111c remède qut le nuf,/ù :ffl11t :11t l)Uèl’Ît. Cr qui cunlril1ac ~ guëiir e~t r~m ""i’ et 11,U c~t prti1H11·e 1,our ,rn·i,· <le- nmi.{t !. fnil mc’i,rnm, m, même ll,L~ttll~il ue { :ut-dt pu,. nt :.,u-. qo,- 1 A•nu rem, 1 A D’"l’lU,t. 1"IOJi t fiAn th•~ I GRÂl :i, L :a 11’mis.1iu1t , ctLatge de h priue ; l’nb- ,10/utio, ; t>'ll l’a1 :h : J.’Q11 j,1~C" n1nit ;ihlc m i Jiropi1 c ; le f<t1d1J11 e~t uu ;1dc tfo d(’tH’lll’t' ou de bën{’,o..

.Îlt~ ; la grJct e--l lin :-iule ,r~rrt.•clittn (111 tic Lonl~

L’«/Jo.’ttiur, :,c,u..,tt· :1it k coup,,l,le t1 la jn~lu :~ ; l’n/1o 1oh,, ;,,11 rr1.1l,li1 le, pJ,iile-ut 1.Jn11.- .

OIi iur11. n ·,11,e- :

le p~,,c/on dett·uit )., ùiu-iion n,irc J’olh lll’ltlu’ rt l’offcu)~ j b· ;;rdtr rt.•1t1r t le l’OClpaL :I.’ l’ ;] b• a"(’, RL ~, f. ’, "NCL, lltcl~i.R , tfO~ n,.uniJ.((1/lCt-i ."’, .•iu• ploje nu !ii ;1H·e, 11 ~~ dit dn icflutHc1fnuenl ,l ::Jl dtu !l1"’◄ : h’ ;r.uçmfÎ<’" .o ;,• dit de la l’t'fll’oJulh m ile 1,, :.uh,inucc- r• rdlh !: ;m J1g :nrt’. l<.11 ~11n"il L’"l Cm• ~ . i1 rê , la relii_{im1 .. il tnllf’]llt’ une ur,o- :-r-li•· , r. Rt :’ !un, 1 K.t :1~,

l lUH. ; ttfl. o,u r,r.cm, :rr. : 1100

ebn.. u ,l. :n1, vulrt cù,•miu, cl YOUP 1.i h·o ·H 1 : j ,.i plai.t>, ol t-llt’ e&t. ’0-11 lrt.im•r. : . uue ptrso1111c cl.J.l r. dle ; vo1a lu t,-ncon1u :. cl :11u lc’t 1nt-. 1. Rt. :u>t.1 ., Tl1. :ua.n ·11 .1 :, lb-..H·rTt ’li. ~ous rc11•

do,, ..• nn pn !t . nn thm ; uou..’ rc111, llu11s un. 1 ;,131 ;, un Jcp(H ; o.oru rr,tifu,J11J un ,·t>I, uo 1,l-a4 ;iat. Rt :. :rn~, :~n . flt1usn, .AO-Jur.~R. Uu r,nonct !i. tll’4 11w~rut-& e1 ~ ~les 11 .. :-g~ 011 t !t" !I J,rJtc.’fltions ~ nu renÎ-( ! un Jll.ùilrc , mie rd igiou ; un n/Jjura l’n~,~u ·. ., , . .J/•pU’rr .se dit t’II houuc p<ul ; re"icr, l’.'U m~11~,1i11,e p.1rt j r,lhJIU :rf’ t :’~l J•n.., ;:,ftt l :IUIÔt t.’rl l1lco, tttntôt co 111ill : ou r- .1 1 1,n ..·t au ,·ict I l1 la ,•c11u.

ll.c•c-t) !fi. ;LATIMC, nt~O"lt. :1,rr.7,T. R ~tUJflt’ ;ntio, : c~t 011 tcrwe Ûl’ jun,1lradeüée, c~e .,t l’o1bi.1odoo

;o

DICTIO~~ AIRE DES Sl’NO :lf.S.

de :, droit$ un· «,ut1qne t !ho,C’ ; 1-en ?numtnt Hl."" ternit de-

~rirituulite : c~cs, Je. ()e1.,r.~ e1nt-ot hX ;_e dd chott’ ; ile ce monde. L :1 ,._ ·m mc1n1to1,- C$-l C1lt· deurt ; le rt11011amc.11t e~, iutt·tu !ur. Jlu,·r, :. 1 -u, r.JttT, J..a ruztt t"->it la prlx. nnnotl j Il’ rut.mi ~• ce <Jlli rr,viC’ut omiuclkwcut Je fa 1,ropriejlci, Je,. uu.11~es .

Ri1•o~s1., nlrttQl’B. t nérAftT[&. L~ répOllld st (~it â une- "ueii.tion ; là r~j•lique, :,, nue riponse. i une- rt-u1outr.in1.-c ; t., , r.’pn,.lir _ . â une • ,-iltedC’, lt

nuu offt :ô :’.,C. Ll’ 1uo1 t.lc 1ipumf.l tlt 1~1u,., etçnJu : rtrt,,1u~ hl plu, rtitre-Îtll ; n•jmrlie_ :i. uoe t.1_u•1gic p.1nkuli1.’le 1,our n rlclèutlre. Lo 1-cpo11se do,l ûtre cl~ir,c- f I juttc : la ripli11w, r1,r1t~, ".ÎVt· et couvain.. tante ; l,1 ripnrtie, ,·h c, proiuplc, l ’tspr-It tloh y dnwiuer.

Je,Pn1".’fon1, lkl"nrMA ?fD&t, n,pr~11dre, 1• 1

t•,t

~ vct1ir aimplt 11u :nl lie la fnule 1 •~u$ oJfounr eo titn cdni qnt 1-a eoounc.H ; Nttimandr1·, t :•1t y

ijoultr <le, 11
1rolc, ’JUÎ re11fc11uc :ut unt’ puuitiuu

rèdlc Je la fan.le.

R.tf’fl.Übl’l'1 u1. _ , 1 ntuN rRP.I, Rcprlsrntt !r, c’est tl..1,0~1. -t

.1,ec tlonrl’llr dr~ r.1bo11, JlOIH’ foitt ch-on"<’f J’npiniun I de c.ooduitt ; 1tm.iJ11/rcr, c’t-. 1 •·lpü~tr AH !c t•l1u Je forC’c Je, 1lc,,oit~, ùëtoorucr cl’une foutt’, r.trnt<uer- d’uuc tl"n•ur. Ln rtpré,,11~ ftrllt :m cc111l J l !cl1urcir, dlc -ne Mlppù,1 : <Jtù1n mttl â c1uh1dre ;- l :i ,cmv11tra11ce tcuJ. iJ. conigei-, rllt’ 1upp1l’-l’ on tort.

nirt.l’. tf() :"( I r.h ,· DIUTi. 1 Ih.som, ii : t CoN !lt- 1.1i.n qr,, ?f. Un CiLtit :Jlt uue rdp11f1tt1011. p .11 · fos l’t :I Ul’I soc.iules et h1, rra1iqoe CODr,laUlc de ~b ,re.-’UÎrt :

l’eor,p1 it, Je gtoîe 111ocarent la cett :’l,nfr : 

c’t'il le pretUit.r J)3 vers b re.nomm . !1 , ’JUÎ c-~1 r,lus ttc :udn ; la ,·onûtlcrati,m f. ! .."t un : ;cnii1m :t1t d’t'Mirue m1•lê de r~ . .. pcct iusph·è ;.. n’ !i iu(cdt•ur»,

, ;c- ; 5,11pê1icnra, p3r 1.t 1lnnlon Ju wtri1c t’l tic l :1

dc :. -~ ncc, par le 11nm.- uir bh-11 ronnu ù’oLliger I et 11M ro~oge CCbi,·ê qu’on en f.tit. Ri.uft-.’&. ~lootsTlf. Jlnniitia., Dfcf. !fCE 1 Punni. 1 a 1,cJt1·,•,

c1, ial c1c ~• .1 ..- 11nct1 ; la rdf/lllr. •

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ne t, a.vm,cr qu ... , ce : c,rcou~pN·Llf.m ; :t tue, Ou ! ne ~r 1ut :~eu1e. qnc dan1 uu Ct.o :t convmuthle ; lu 1110• r/t>,11. -

ne 6C Jll ,twnle ’lu’.i peint’, t :l elle (nit h•• rrg inl,, lc., ;1ucù ln.111Llcut la Jll1tlt•W’ el ln font umgir. I • D.. :u !fa.

]l ;!ilDl.."i<."E, Jl1Jlltt1u., Duu.t’DL L.1 r,·lidtNICC c.,t 1- :t d,m,ur hahitneUe ... t fi.i.t !; lt domit.i/,., la tl mrwt, lt• l1ru IJUt’ l’ou l11hiu.. ll1Jid,1h·1 ; 5l’ : rllt ,l.’ pt,,onntt tpii t’)...1.~ 11 . : nt tlU ,.,m ..~..--, tl.b minhtiiote 1,11l,lic ; dumi,·ilc r 1 ,ie rt~1 .i,1ue ; la .l,·111i.1u·~ 5C pr1."1Jd ,wos touw-.

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îl ,011 :1 ,NT. Suu L.ut.r . Rt’ssrm !Jam i11Ji1Ju. : ’J11 m nl,j t H .... , 1,ili)e à m1 :mflc ; .f II lut/ 111• 1 !11111" a prl•plic :1e ,lc :voa,01r ~tu : cc,mp,,11" l)etu : ol rts 1t,.s m nnt1 0111 let m !1uu r ppn1h ~rruti l1I& : : 1. ~ ·, ohjf’t, •rr11U,1/,/u Olll f,,ib 1.uu1 aller ..-n·••••••, :• a t· . 1u.1e d. : ll11r1 t :CJ•~1111 c.,m1UUJM. /’<,-,,.... 6 1 <Ill tfu. : ,ac plu r111~ • 1 !• /.,Ir. 1,,~ il

s’.11pplif1ue à des uLjc :15 ’}ni scwblent jctt’. d,10, le mt :nu : mon.le ; sem/,fa/,’o indique ~elllt :.n .1tn l di’•trs npporu dCll--,il,les. t’n po1 ti. :ut qui ~t rtssa11/Jhmt rend Lit :ll 1a tigutf’j u11 lt0mme, ,111oiquc :

semUablc. t nu :1alrc : 1 oe lui eu poa toujour.s 

re-s .st :.mblant.

1.i -TuL1a, RuTi..Ullll, RiPAllP.I. Rùnl,lir •Î· gnilie remettre e.n bt.m ü :it ; rcslnurc.•r, rerut ::Urt

i oeuf ; répan
r, t- ;1C<’UOl1uodt-r, rcJt>nncr ln force,

l :a. prt’uÛt"re flf1pa1cuge, On rda/,/it Ct’ <1ai ttl J~uoit ; oo rrs(mn’l !. ce rtui t"-61 cl .. -g, ;ulc ; on r. !porc

ce qui ,•,t rutlou11uogJ. An ftg01ê, Oh rdlal,l,t ouc lol abolie, un O :t..’IJO lfUtHrouipn ; on rNl,wrt lt :a. lt :llr~ tuntlJct•t. tll <lêcmJcoc« :", él tout ca qoj a fltnlu de sn force, de sun êclat ; on ,•, :pare Jt·• tur1s. lt- .1 ,loaunugcs, to1u c :~ qui J ùonnu atteiou : . t fa pt<dt•-. :th•n, â l’vrJie ( !t11Llt lt t. 1 r. :(u , lhmu1 ;.. Oo e,t retrm, <lans .fit !, 1,n.rol..., -1 rt ÙJDJJ be& artium, ; ou ’.St nu,,lt’str. d .1u~ ~es dc,,ir.s, dans St’.S

.i io-, J,1m ~uo lu,Lillc :<1ocot.

r. 1~. :H.11., a.

RLT u , .Jli :JJotm&, Rr.,.t.’ .cu• 1 R.ic.uc,Tn , :;1’. Le rr :.lij ae(w.,t• d’ubdr ou dt-• cccltr : il e !tl f•mlH• ’JUC • wdo<.ilc, tt’tu ; 1~ rcl,uutS _. bt’us~ê 1 Ut ! dounc nucuut" pri)e ; il cll !t fa1oucLc, woro~e, ii11rai1a-Llr :

lt ! nt/d,e rc-1,uu~~ ; il t.·st nioi-c, clillk,lc, 

coiitr~ U t1c tÜH.,lfr ; l1f rl•~· a/çitra,u ~e J~L,a M ~" tleft•ml ; iJ <l-1 ,-rolout.lJ I t’ , t :olt’t·e , î ud,~t :ipl ib.1 bic. li l,f t’St du liou ~,, lti ; 1 1,u,irs t-l’t ptu u~ité ; et ,.i ;.1,/l-/cc. t :>l du bl,·lt• 1•wJhê : reCt1kll.ran1 c,, :t le phn ~ou,eu J.m1tlic. -r tl pt,is. :mt. . Rr.t -,M1~, SLcci..-. , J !o.,i-1,. La 1·é1u.1if~ l’l lc

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R.tuzcc-LI ! • 1uuts . Ce qui t&t n’,lic11l~ dait t.- - icite.t la rhte, tt l’l".X<1i1e ; ce qui ca ; t ri,i/,/~ 111 propre d e1 c1trr le 1-irc- ; d l’u c :itt’. Ou , lt de ee ’lui c)t r’4iMe. ; oo se rit de ce c111i est riJi,aJ. . iJ ne n prt-od qn’cn uuun ..tic part. Ce qui. ; ridù :ufc u’e., _ci tt y :11, touj,_wr :’ l e rirt’, ru :1is «allel-’l ~11~fo1t le _d ~dam, le. tlJL•pn, :; ce qui e.st r, ""9 u e. - t pa.s r :d1r11fe, tuau p~ut en aprrol’h~r . 1la tot c :,t ddiculc ; un fat pt’Ul o’l !tte : cp1c ,isiNt. Do. Q11id1otu, ~, risiblr, labotiu tst r,dir.#/r. 0’9 oLjrt e-sl ndlcuh• par no coou·3ste fn1pp.11ut rntrt ltt mwit :,e ûout il JoiL être ; un olijet c-11 rlsi/,/1 pur <Jnrl1JUP d.10 .. c de plaisant t l de piq :u ;.int ’]Il catue une joie ;i•,cz. vl’c 11our ,e ru.1.1o.i{ç1 lfr. llf1c, R.ocu t 1 R.t>eu ,n. le ro, tlt OOC’ m.1u, da picne trr~•d•Hti, ennadnêc d.111 l,l Ittre rl cl• ,te a :n-Ùt.SbW Jr .& :l ~urfac-c, . :•~11 Jr t ;cntt’ 11&s ~r<l de la roche ~l ùu rocl,cr ,· fa r..’f.-l -t’ ut n n 1"rH isvlJ, <l’une grv.,st’or et ,ruut’ gr.1ntft-t.1r cons1d inl 1les, c·l’,l .1u.-.~, uu hlm : d~t ..ru... Ou r.J ..l1tr ; f~ ·- od,rr est uu 1,1, : trè•(·lc,e, trci-,•scarp8 , brriul Je pviulc.-.

uig,u-s, Roc ch :,igue ln u~turc dt la pic,re tie..,. - dui-t ; e1 nuher txp1.i,1,c ,le ,,.1nde1 lt1ilb.’1C& <le viesrc, de JtHtlicrtt tlOI dilfort"tllCI L’itlcc de forn• t’"t <lomê11 :in1e J,1n, le rf)c{lt’r ; il ut .inHu•illhLJe. iJ ’lloe J•tf’ !nd ,111 .. ,i 11•1m ou ll !>ile, uu rtturort. /,oc.·, t·m11Joyti nu plt111t1, r,ercl rai& alor-- sou i~olt•uit :01, ~l Je, ro,li.r . ; p1en1lnucu t 11 : plrire ; ’"'"·lu,· est Je Jtlurict de ro :: : ( :t• !’loul de mn~,es tu1t1, .. ~c), im :,,cu !’&, :udot-1 1 do11t l’œi ne Jir ;iisu pa~ l c,1..,rmlilc. Oa 1l1t 1111 l, ;mr ,te ro. du :, at1 l1r1nc tle 1udur, pt1111 rxpt1111er ti4 c :ouunui. te el rl’1t.•11Jue ill~~ t’t.·ut-il., ; WtWi 011 rit’ ùit ru uo hooc ile r :Jc : ~·il ut 1..uM,. il a st.1t1 t.· :.J rc non p :irlh :nliêrè’ c’est Ull lhC•ir.

llut.tt, _.1oc,,T, f,~, DJnu~ ?r1.n. Oa rtcc.moail 1’ho111uu :- r,,gur u ~ h.111t1 :nr, 11 ;’ !: ~i-Jear, û .’la inmgnc ; l’ro1Qàl’t111, u ~ morgor, l ~ o : 111.111it..rt"à b.iol,1ine1, tt !U’ !J JHt. :crutimn luu d,ca 1 te fi1 :r, J l’J,, h :mrcur1 ~ ,-. -. conH~o• e 1lo1t.n ,.1•1 for•

Cf :.) ; le J, dai1.,•1 : 1u • 3 1,1 ht1Ukltr t .à t,t111 affrct :,. tion de- dib1111r, au grinul 1uc1•ri, ,1n’1l l< :cuo1gno pollr 1~ ~blrc~.

f.(n. ;nl.

Rut., l’AI.Nt.t 1 }>,11. • .. ."’11,’1 , :lu’ !'I "I.Qllt.., t :B-t&.. RUIA, Un p1111c·,~ (’cQI o’, :11on ~1u’nu tt11t’ de 11rio• cipaote, : ;.in, la po~,t’de1 ; J,, poltnl,,I t-teuJ u •

1

pm.-.~ :tnn•, 3 qut : que llt.n• qui ! cc s1•1C 1 .’itlt ua ’~"’,,. J)lyi. i il y ot ,,,_ . ;, i 11’1rltJn t’Clll’-' luuita "’vn aulü11h• ; mo·. 1 :r,111,,, ,)..,1 GOLnt,u~ -. eul ; _,,, _ 11 :uur, s’il a !’oou., lui d,,., t,rs. Ilu !’C 01 ;01 , llnI oxun L r..,m/ m· H :J"i 1 1te l’1Jé1 i1L’lr.Ulct cl’utir- ti~ute ronch.11 1 la n.1u111J,t. ,~, Ja figure d’un rorJ r,,nJ. / ;(1,,J ur ur du1g11e ttUI lil t,1111 t1 ; ,.,•lv111/1Jd tlt.ai~oc J,, c,• ,_, 1 m I l,1 ..111••·•• . f’1t1.1. lJu,-, ruur. t :J uoc l,11ulc s1.111 1oodu, w :i Ll ••llros 1-liff• :1rnl cl.111’1 lr11r ,, 111/, , • Ou, li 1., 1 ,. .l ·ur Cl lu r.1ti :m,f,tl ! Je b fcu-r : • lot i(IIUf,,,,. Jc)iooa

!t.l f1r :mr ; l.a HJ(CJII l te cliubll" fil c :.r :iell.- 

1U1, Rhr1. J.e rti’ ut l’r ,p1r11 1 le rn·,a Jtj nwh rJtiJ ; le ,-(fi c l 1, , 1u1Jr 1 ··,,. U !’ ’i1t1des n1llf" :f .i la htm :?,1• •011t ,lu , J , kt ll f. ,~l’dJJli r,1 .. ,11 ,le Cl.’tle t’~{I.C C j o,11po,r- 11l 1 ’ ·,. n ) il UII I f f"n 111 :ustt• <011’111~ t 11 ,.1 ,

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V.uuJ1·1 ar. & :~t culedo rv•. Ou U 1 ,JI. CIi l’ou Ul.au, ; t1u f’ . ,Û.

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1crrilt11 q,,’,..,n ~oit et ch111 le-,Jlu.- 1 ou nu,rche uli 1mit Ir ,1 ~, ;,, Jl"t", ou ln tfuno11 tl~à lctie.) A f ü1Jre 1 l,11 li uue NJ ile con l(nl 111ut111ett1 ;1111 l11 l11, 110 10t } mtuenvc1 11,umrusile1,u mmya,tue (uilc10u.1r. Rotllt. d d, , ~. JMi,. 111 murtLt- ; lo p1t1111rr, J :.01 1 Il t,Ct, L J,, .& 13.rneto11 , 0011.5 Mrc cl’-' n1· u , ; 11 t,1 •• r -

le 1econd, tl ;oi, uu it"Jn rcL-i.tlf à no~ r10 :mtité ; 11lu~ JÎl’n. t :1 P t"•"l>OU , !oil r, :utln : rnti,fait ,· le : on dit f.tfrr 1.t- . 1nro1,p <lt t :fu :mù, ; -r’Oi~ tlC,ignt’ )a s ;out ,cul ri :-u1 1eo,ln : Ct),lf, !ltl. ’fOitorc : ou l.i fJL·uo. ,l1111t on f.iiit la m,u·d,.., on I Sn. - . :c ·r HOM ; ►., Uo,,,u lllVA !fT. Le preruifl’ on ,·oyagc ; l.a t,’('f" ,t" l.t po’-lt ; la ’t'OÎ~ du cotb~ ; p<’tlf ,e. Wu" itouê(p1~n1t-11t ou ue ~’1tppl,j,4oe ! 11u•~ la t·oie du me,"1 :1gn.

uno st·1t•nc :c ;- ~,wwtl / ;’,Jmme en ru :i1iicru ;1111JUl’ !i, lh :iT1.t1n, ULai"’litl. C’"M faute <l’êdm ::uion llvn,mt. s<111ar1t i.e dît toujour :t rc... pectuclL,tn.cut qu"on l’Jt ruJ/(lt1tl ; no c,t r,,slro par bnmcur’. Cu d’nu l11mu.uc ’JlÛ po :s~tde ;·, fmul ou moin.’j deux o.s p. :lf !5JU a P.air l’llllttml ; uu ltmu111r fuou- M :Îcuce~ ; 1’c'il n’en ttlliiit. ’tu’uoe 1 ou du.ut : ;aurnt 1br a l’air rttJlrl. Le rUJtnnJ ~~t l.u,rJ.i1utnt c :e toat.l1t111 :.iirie11 1 rtr. ,utl t",l ; le nutr~ l’ut ro,lcweul.

S.~vonu :llx, St.GCULtxr. Cà qui e. -st sarouttu.» S•ciut’1. :K 1 bnu>i.LA, l)Jns Ir :’lt’tU 1·eligico~ t i hfuuc. :uup dt ~.- vt"ur ; co ’toi l’-'il 1111. ;c11lefll esr on sarrijie ltrUltt sorlc. tJ. ’objth ion n ’frm,,i>I~ ’JUe pldu Jo . - . 1h : t’t t !t.- , ·kut h~•11t1utri.ssaot. Le pred. s l’ÎCIÎwcs, titi l-tre"’ auunl’S. L’ohjrt Jnctil ;c r !i-l o1Îer ~pri !ùu la 1•1t1pl’idt cl 1

un corps rc !.itive un

ué à fa ùiviollt"i l’uhjei 11111m,.’ !~ t"•t d,.ra·oll e11 ~ 1•ul : le se(’L1t1d ~ ln mtlurc t.lr l’,'1iu1ent tl sa 1,ro~ onut-nr tl, J.- Ji•·iuilt-, lla111 Je t’rtn, 1•rof ;.mr, c.1c~ 1,nt :1c 1uit1111H~ . l"u mct :1 suc,·,dn,t e :.t sa,’Orif’élll’ ; u1 u.u>ts oot celtt di(ft·1t11c. :e ; t’i,lêe de snc :rifi,·r ma~ it ) a bt’t1Ut.1onv <lu mer :. J(U’ùflrctt.r c1ui ue t plui ,agua l ?-t lllu, èrr111Jut1 ; ,·t’Ue c.l’imn,o/tr_ ; 1oi.t p~, ~,t,·1 ;;dt•111s. 1ch (vHt d pllli rt~trriULt. S,urij1~ : · u•c1tlrimc Suu :ruuw1, Co ?CsClr :"fCtClf :t, Il y a des h 11m• u’un rcmmccm,nt : irrmwlr..r C’•ptÎLde Jn de. :;1ru1..me. ., :1r1·111"dr11x tpii ue ,-ont rièn moini tJUC cout-on ou 1,, tl"~rarfo.ric.m dt J’o1,jt•t.

,, :it11cu·1u ; ib cr :lsncmt non r :1s Ju faite le rua.1 , Su, (1Ti t 1•111ai’U :.u :: :1·t .. l .,,1 6t1g,"h·itr t’5l l’es :-- /un,~ fJUt’ n• 11MI fie nui,e a leur t·t_putatiou ; ils rllcth :t J’uo Jl’o~t ·1 Dt’OJC !Hl - .i «.1l11in oyaut , qu’il i,. ;, r ;ilf.ml st.1·111 u/~1u :, si Ja fr,utdc J..ev ;1Îl ~11 ·<• ch·i• i..1ti11gue- ilH.• pri1u ce •1uïl y a c.lt plu ol.t)r11r ; d,·utt ; m .. i, uolll•tutnt a,,,,scieuûcu.r., i.’il’i pcu1re ; -1pic-<1ci1i t-Sl J :, 1wuth·ati11u ,l’un ,-~ prit ~i ,·.tirûl l.1 1. _•, dJrr. le .1C’TII/HII,- e ~t t tl :mj une nahc 1l1tH. qu1H nc :r1111erl ln i.’utu1.11>-.. -1nce 1r.1rf•~i1e ,le a1·1 :t-pli1m, l’t.•~hJ1m~ J1.•licah~~se Je IJ constltnct ’ln’il y 11 11~ hh)Îll’I JH.•nthiLlc. La snga,, :iti t~t ttuj J ctJc lt !:i. uMi11,lui» at·tiorn,. êoco.. :i.ntc , elle n,.it tl ! l,Jiu , Jtl’ioe, prCrui1 ; 1.i . St r :i mlHl, -rntn., ..... 1.1, 1 ’-R ., l. :acdoa de .s~rt,u. 1rr1p1,rrri1~· ur f"i&’IC ric-111’ dccua,·r,r, die voj1 i ri,• o ; 11p11u~t· 110 «hmE ;’"'r i,nwincut ; J,, cdi-riti :, le ouJ, mti en C,·i<lroc,.

. :o ur~gc : t.•,iu.. - :1uÎ’M,•,1t cc1w acrionj ault·r suppose S•••u-..t, Pnom~,, WI 1,,.,·r .i,e n priur ol,jf"I l.i un Jta1t1w1 dr. fun :c cl Je UJ•)~ t :us : Ill (orcc . ;1~i - : .• èd.rt, elle s·o(.>cupc ,lé, dw !n~ ; 1~, l’,.,,d~ur, : ,-eut .’i.111h’.' al.le. ; 11ssi.s !rr soppo... e Je Leo ;viri, on lt1i h :nd e honhcur, elli : ti’vcrqie 4lt no.1 Îutftt’h, elle uur= m,1iu Li1·ofaiJ,.1nte. Uu se,~nwt tlou1 :t le daogt. -r ; r- .auiltc ... ur l’bo1u010 pour le : u•~h•r, Cl ttJCJi10 on mdr ~ l :1 f,1il,l1•- .. scj UIJ ,usi,te duus le l•L"i,OÎti, Kndt’ cléctm"I it, L., sa ;;rs.ir e~t lia r,,iw1l p<l fcc• Sr.u, i t fU.·-n·, 1-’ :’i !iiU :fl. t.1 . Srcn-tr111cmt ~uppo1>( ; i•1nut•e- par J’cJt1,~,1u.m ; Jw. prudc11.. :t e.’"'t l.1 tlruitt l’intc11tio11 Je St : C3Cbtr ; r.11 Jt’fl’t :I o’txpri111e qne j.,110 rnlmdle nppfÎ’jtll’<' _.

L :1 co11Juite- Je la ic,, 1’.tliH’Ure 1lt·"’ ll ;tfllJÏO<t. •os ne (cri( ;!, J.tJ pulilimcrSJf’ ""’ ..-1 1

1lu’•or,e ; b 1•1 ,,./ urr , ru JU’ :IÛ• l3⁄4lll"nle11l , 1.· ’l"t : , llTh faitt.•j sun ltnuwt ; m.i,is ’UII !! ne. n &t’JuLJ,, fjUel,1 Jh(J,sU &Îl 1•IUl’i ~i ;l.,irt.e, f1 :Jitl t. :U puLlic l,c~11cuuy ùc ctv !iot.S quô ’ùU) •I riac 111 pn,,/~,"’" toit fllu1 1·t :-l !-.’t't’"· (,.i,c· . . " " Jr ;:r-t’f.

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.,,f.,1t,flv11 , -. 1 lt !’ (1th l’ ; s,r,·1wt,1rr’, un •u•1e ,111tllt<r11Î’Juc. Uc" ru·o1uc ::,, lut particulitr à h·Jlc ocr,,,i,,11 .. flft<’ 11("- . m ;1r~ aes ,c font ,uu, U.IIIIJ p1-0 ·1 . :; 1111 conh.. t :.f ! 1 ;111 IJ.. r e.1 d~ rrttillé(’l un cl·111p1l,,c111c-ut ; b r~1•. :r..·1tt :,· J ;i...sigrr.1turr.

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113 u’.111ur s. :i cL :.,lr11’r o , !;1Hlu :,èf ’i w .fr,,sfrt•ul plu, ;1hsul11 que 1uh•f, ·d. f 1n vil ruur :.l ~JUtlH sc !ur, e sih-nifi~ l’Îru : t1on plu, cp1a 1u11 ; tr. 1ÎlI JH’I~ l • rq :le • tJU J• ;i1i,1 il l1·~ l’" :.t -wl1lc- :, ;, u. 1• ;1oe ; t. :uh1 cp1t lu uus •tlll uut è :c ••~•IL- . s, 11111.r.n, P"R~h,-,P.,

. S·m 111· àigoili~ par, :.’frt

n.n-til 21~ laJ_•~uir.

,1’1111t’ IJtolle n :i111N·~ .

1 u 1)1,J, t remble. b" ::il.l 1urs-

S1Tl"F.C :·1,o !t 1<,o :ttt,".’<tf :, :u.,n. l r c,,,tf’11fnnrut ’lu il-f11 ?rti ’t. 1t !11r. Pcurt tre o,,.~t ~ n()U~ 1ne tic ic11t 11hJà :111 l-œ111 ; la 111ci~Jm·cion ltt•nt,, plu.. aux stmU1r ’J'Lr- ,11uttcl ,1 m ;1N(Ut l’ :111p :arruce ,l’~u -c s iora’ eth~ <iOJ’i' ~t • le 1lê, ;j1 ; lr u11,,~11 1tlltt’ftf r .J l u o1,jr·t J. ! ,M,t t•l rrwa./( l•c.au. L :t rrss«•m• 11.’tiru~ Ir J’l :u,11· dC’ 111,.,,t IN ; l.i l,lli~f,h l,ull l" :’i' '""Ç .1 1111•p1nl lb. dà.fft•1 t"IICe ; l’npr•1N.11c~, û La ’ohh-rur ; l !t>.111 .’., 11,1111 ~11( t’Al Jcj,1oi1-. C)n !ail tt,ul Iré.itilf". Ce ’1'11 ’OU !. trmMt ponm,il Lu :o o’hn, ur .,1 1nhrjn1•/)u11j 11(’11 J•oar , ;on C’Oltli !llfrll/rllt. pu td rruc Vt’Uh l, : C :Hl~t·& f C’t' ,rui ,·011 :1 ptrat’J 8 41ari.n, (,11 :H« !’Jf’. Ou ~. .t uli,fn,, t(HilUf) on 1[U)ttr,.it liic :u Ut ra êtt- : t•n dTt ;l te qu~ ,·1Ju1 oLt,ori ; ou tlt ~•.111’Cflt folS’J.UO l’on Dt -tool.t.iile I c1·oyc.--i, -Uu ou,·rose stmbl~ Lien f.it I arrè :4 qurl· ,jj

cp1e tx. :rn1tn ; il paraiuail bien (..1il _. u ptc11111.r <oup-J’o.,il.

Si.MIR, El’fsun ::tccn.. Scme., · a nppon au g,--ain. Ufl lt’Nlt’ le oie ; <lt~,r :(’Jlt :,r :t rap(tOl à fa t••l’I'( ! t oo t-11.stllht’llt’e lt. ~s c.Lawp~ . Le prewier a une s-igrti• ficatioo plu• va ,te ; on ne se snt du sccnnd qn’.i l’ègar1.l clcs gr :mcleAi pièl’et.’i dt tt-, 1«-’ • .f .111c1111wcl’r n’tt.t empluye que tl.a& le ~L’ltS liuêral.

SU’hlllLJI, ’J ( !H>JLi. l -ll CO !Ul’ lr’(ISi/,/e ,·arrcc :le de ce qui l’intt.’ .it :s.t- ; un cœm· IIJUl1t· rpron,- ~ io ~ t"otitnt•IIU lc. :t plu.. affi.olUcdX, 1. : .

.St’l4Si !Ji,itc r ... t

pa~,p·f !, il foot l fAdtrr ; Li. ft 11d,osc ~l aelitt, •·1fo cxdtt’, Ou s•au.,d10 un co..’nr uu.Jit.1e • un c~ te11drt : au,,c-he lui-ruVrnc-.

SUf 1’1"101’ , A’ U, 1Ir,~ lU :f, ].~

ttnlinuut e.,l

nue en>) iml.’e pl’ofuuJt- ; 1•a,·û e- :,t un jugemt-nt que ln pJ ùth•ncc "’ugt.Jt :rtl", ccloi qai lt’ '-lomrn J-, Cl’Ojt ~3gr ; l’crttû.,,11 e,-t 0111 !" pt•u,. ;c adu1llccl comme JJ.ar provi7iion, rllt· u’~t ,prc probahlr. 51 :.lf 1r-n ., i,, ..

1 lh-1 :ttu~ , PJ ::. :"(SÎ.r.. J .a P- nue : . l’""it t. premiCi·c 1Jêc, c1~w fait naitt e tian, l’~p• it Ill v1 ;e J’nn ol,jtl ; ~t l’,,pimun ut celle même idêe ",n. ; . . clUc, comparée_, qui éle·it :nt uuflmt11t Jor~r1u’d !~ a péué-lrâ- 11t• :;prit. r. Puuf1.

S1.~ 1 ·1’1t.."’l , S, ’ :f’, ;, 1 lu !’f , Pt :.flC& !·’t'tO~, . Le lt’lilη

nt1wl va au cc.rot, il ct<-od ’-OU U’ll"<Ht j1t’ic1n’a111. ruœm~ ; l.1 St 114a/Îu" 1 ;’ ;1n•"-1e :iux M~n~, t-1 le ne , . - ,,a~ 3U. .fh’IJ rio pli-yi,î,tU" ; fo ft’f"t ;l’f'li<Jll r.- . ;,ÙfeS. :JC

, l’c,pril, elle H•ureruu : c :c Juut l’.imc pc :nt se furw

..r une itu3f ;~•

Saa~Rxr, Juatxnn-, Jcnmr. Lo unnrul •c

foit pottr coufüu11 :1· !,1 sfnt"t’t"ilct d’11or promc-,’ll’ ; lt jw·~men’, pour conlirnier lot érit~ ~’on ll’m•JÎU’U.1f ;I" ; le jur,m 11’e1f t111plo,•. ; ,pu1 p11r le peuplé pour tl• 111ner d lu cun, t•t’jUliOn nu lùn ti-, . !;urt•. Jnrcn1ttU exrrü11r qnr),p1dub dt’ l’r.mpotrcmcut.

S1tR,a :"fr, Yot :u, C~ :mm deux rh·tt -. , rrli ;1teux, fJits &VU$ les rc-ux da u ;eu p-tll’ l(J st•rm,•11l tlO LU.

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IC’U .a 1,•rn,J ;n. f’n te :o ;omuct .1 is.1

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seance ., on ioh~ ·"" pn>m~•11 : i Ir t"ol (j l’hl llll Nt• g=lgemeut ~· o1our :,i1c . :n’1" lH, ◄o :, p- :ir lc,rud on s ;’impo.,c l.t 11C1·tt.~ ,i1c de foitc : c·ct t,,mt, clm.’it’.1 au.x(1udle~ on n’était pa tcuu.

S1 :nf1Df..i 1 ÛFPJCH.IJ~, n111.,c,.n, Vhomrnc

J.- :nù,M~ c,t c·mpt es. !l’.c

,’1 ; !><’n 11· rl.nh l’ncc. ::iiio11 ,

il w fait bl’l plrii,ic- cl’t'u1, 11 :ilc :- 1 l’l1ur11m • ojft1C’ll.r. . f"•l afft’ctueu ::, 11. !lc, ; : f"·ut t"1,·c i11ft’1·c’1 (. : 1’110111 u~ o !dir,,rom c-. 1 ll.1He dt> ~••1 ·,1t•, il ,·.1 1111 -,l1•, :11ir 1 !,, l ’uco-. :1"ïiuu, 11 ot ; ccru.iJl’rc qt2.él le pl H"Îr d(• l t·ndr, ! h~urcux.

St ;nvrTL’nt, Üet.H’AGr.. L’Nd0►’,,, ;;11 e>'lt plu<ii tla.r q_ne b srn-•itmk. Ln Jtn·lludc impn)t’ un jn :1,s ; l1, :.1dacwgt, nu joug tic fer. t ., sen•iludl’ oppnuu : 1•• lihrrhl ;- r,,,d,h•fJ ;tt 1..i rlctflllt.

Sf : ’-' i l’Ut’k _, JtU’,. t. 1.a1. 1.1

.H ,·lrill !li’ 11·011·, e , !ca 111

la manière dt~ 1u·n’.tr t-l dr jng"r ;. la ngm•nt, , !11ni la rnanit !re de punit’. On Ji1, !J , .... - ~· ~ rite dei mtcur.~, ta 1ig111.•tu· de l,, irlÎ~on.

füt.• ?1’4.t .t’., J :i~lO- :f~ .

S’l,·n<1/. ! ru :u’lue l’é1·l,11, fo

111 nit I l’elfot cl’uua thu.c ;.c ; ;,,, :,,, :.• n’e11 c~pl1n1e 11ue la qualité, Je mt~f’Ht•, le r•1i.< . Cc qui ft’t1J1JIC t••t .ûçrmlri : cd ,1ui e~L’dlc c :.l i·1ûauc. l II iwrg,,, lt ipou n’., ·sl uu fripon ,i ;,,11,1// r111e lui -itpJ’il ~ ,1,,t11u ! Jl•, ; ~oyc :5 éol..tl,101< !$ tlc friponm•1 ie. Ou dit uu

,m ;;tu fripu11 ; on ne dila pà
’1 1 un iu-1i ;,11c J,ëro., 1

uo insigne 0~1cur ; 1u :1i’ :i 1 01 a Lcnr, Je t•t•q 11i11 t :l le 11. :ro" sout si ;ual ,.,. par t !e.a 11ctiu ;a. ( :c. !I <lr :ux mnl. clésigntnl cll’t. d1ose-1 tri-, tt’-nltlrqn.ihles pot lrur Çd~t ou p3r leur rrcdlcnce ; il.s diffêccnl de c.é ldm, , de fiuucox I de rt’nommt~, •tui ne m :irquent q_ue la réputation <les cLo.M !.6 ou le l1ruit. S1v !f&, S :r. ;’l'.u . . Le signe fait COhlliJÎtre ; t·t fc 1i0m«I ;n·crtit , il e1.1t <le conveution. Lu mou-vc-tnenl-’ du ,·i .sage &Ont le-" .s,"gnu de cc qui ~c pitl~C J~ns le c-œur ; le cn11p tlt- rlorlte fil le sÎJ/nal. S1 U ({CtLUS. >TA(ll’lUJl. !’fE, Le .rilrt,cÎtU.C sarde le ,acm :e, lJ ne parle rai qu.1nd il Pl’Hirr.iil parltr .. •

DICTlO~N.lllE DF.S SYNl) :’.i’ ;'. IES .

fi· tn ’t,itnc c-nd~ un dlt’ntc opini.’1tre, il ne p. ;irle pli, ml1nc 11u~u~l a ,l_t !vr.iit pa~· lrr. Le sÎ~ -rttci~u .r 1/~uul" pniot ~ J1i.c -onnr ; le Ulçrltu-m : y rtpug~i :, r.ci ,n/,-11, .eu ., a l’,iit Iierlru1 ; le /cc,t.irne .a l "11" lllûffl"

~iNn.nonn :, Co11t’AfAtsOY. L :2 sinulilwl, : ne ,·,•ut itnt Ju l-1 rc. iemhl.1111,.’t' entre ICj objth, il ne lui faut r1nedt" ! apJ~’lr~nCCl1 ~eml luhtct : J ;, c,,mrn• 1111 , 40 etJhHr uuc-scu te 1fo p :trill~ f"1ttrc- eut. 11 lui { ;wt tl(1 qur.ilitt~ f’lï."iflllt ,•. ;,.ale'> l,.1 ,irn :tiu"llf e,1 1111 " ro pnnti ,1r, 11ai c ’-'Ul1h.•ntc cl’uu n•pp r1 •prruc11 : l I lie n’ct l ni :i.11t .i n.,111rf’lle1 Ili ~Ill"’ Î 1i ,,nrcn c : 1•1c h p ;id.llti : çomp ua u> 1 tloh l’ittn :•. "

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· :tme. f.a S,’11J’ftt•, !t : dan., 1t .. ._ .n, mor.11 cr.t l 1 " i1 1’un c...,rncti. -tf ! ioooi•cut rt •1roh, 13 WU· 1t, 1 ,~ f’i.t l’ingén11i1t d’1m C’OrndNe fl~ma. ~ 1_1111 ne e,1un :ut ui l I linr-&~t · . m h : inaL L ;i. s,mplu :ae t>. :lt u :.tnfcllt ? i dle tient à une innut•4•11cc pnre : hi ,

171 lr.ssa t.,1 11~1Vl’, 1 :lle a uttc_• hunhounu d1.11 m ~ .... L1 ,imp/nre ~L 111 ~,,,,,ticiré ae 1’.1t’fit".lU .

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11 p1rllc il npp ,a-ucur. ri ) ,, ’JUt-l 11nc c 11 SI.’ cl ,,,g"nol rlnn, ; lo s/110.- ull r, t’t qqt’ltp11 : cho,c 1 •e~tl hl’ d~nl l1r.ctr11c,n/im111-r. lk - ; pro 1,r de, r.ne,,d~ 1ri1it~,li~tir1cu formt’nt h1 sin,. ;r,. li r ; 1 { ;f. :t•uknr on l :1 pt•titc..,,c en Ion !; l~, -at-m , 1r c : d tnt l’rrt·,wt,h1,n,r~. jin ;u/ :t,. c : ·ulul l.1 om r.1i,m1 f’rtr,o ,/irrn1 t fa auppu"f’ Lf ! ûnt i ., . c I our "’"rtc ti,· ur,avraatc i l’r".clr,rordinrure , "t un, i.nrt~ ,l’,·x 11•n,inn cle d1ose~. ~our-.

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Suna :ux., 1 ’IQ.T.’ .E :ox. Simuu.r. _ i.mliqnt’ ! la m :u Il Ju chn"f"" ; t’Jl·Weu.z > lrur f,,1 me. l.t’ t’o1 ,1e ;a li" C’l(l 1 !"’ :l IITllit’IJ c ; 1-o [’)flllC Jc.4 1.1 c..’Ùtc c.d tar.’11 flS , t hl f, it Jt~ r~p~t, -1it111rt1.r, tot (’IU " , I’~' Jt" ~ " (u1t111• rs. Oa con,idtlt’ lm t-nfoncm "nt. ,Lm, ra du,~c, SÎIIUN/At•., ; lt_, ., Q}11iquile H ni 1., Lhose r r/llft . ~t>. Tort11e11• ’lie 11rt"n1l .,u t :: : •C : rn μ1, t1v. :ii ..,• l’"r et ,fou., nn "’Clh d1- Llà111,•

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cl•D- .1im1io1t rré1t oie ,lei cLo • ~ : ;i,~ phy~if]ue_ on 1~at~e ; Jo{i,b,, à l’u~ilicê. On dunne ~• la Mt ;.._ J ao 11111ral i l"t-lal ùr. n,11ore. l. . .il .11lunh,m J~ 1ff,utH a ~. t :s Ot1·uges. 1 fil 1 on cberel !e Jo sol,J, -r ~, 1~ J>Oilll on die, CU JOUI ; leur e/nl t’-Sl l,1 dir.• dC1$St’ins.

po~itioo d :m1 t.,,liwllc t·llc !; 1e-itrnt. SoLJWQV i , llo,roLOau1. Le solilo’I• •-

.Snt.·A-rw ~, Po~n 10 :f _ n,~ro1ïu10,c, L, .,ltun• couvrrs :aliou f,,it d a~ct &c,i comme avec un e’Ml-S. tl ·u t ::..t 1111c 11w.11ii :1·c ijrnertrld d’t~lle tu pl :t.c -t - 1 elle le mo11olt11, ttt f’-M une. r ~ptce d eJialogae dam dé isuu I lrnlutu•lt’ c. - nt Ît.’l"C clu cnri,~ ou . tic l’objrt ; le pel s,moase joue to1u â la !vis 1o u rôle et 1 :tj’CJJÏ/iu,, tsl QU !l lti~uiht : r ;utin,hè1e-(rèue <lao., du t·ootident. un ,r,,.,, elle (1r- . i :,oc l’.ttlÎLoJc <ln e :,,qh t :l lfo S0J1 ■ 1.a 1 lIoa ;ra. So,1,hr~ est phu noir, l’ol1j t ; b dtspu.sltiau nn,rr1ne ln r,ui11011 ,·omt.iure tr~le, 1- .lu.s au !l l trc , pins hnrrlùle que ,uona, ,le 1L1Trnnr,· : . p,1rtie1 1p1i -cont :oitrnu ;111 ru~mc e-t ►ynonyme dt 1eurbreu1. Le ,olcil ut"’ de5."c :-i11 . 1, ;i ;o :1rmL :c t :!il Ù, ;n :§ lellt ! J.iluali<Rt ; "li<’ '1011nJ i.l cl . !o. ;,u, Ceint ; J ;a nait Hl 1omfw a a d1u’ u uut r,uit’o,, pouL" :it1ar1urr i eU~ (,dt u•• qu’elle- ("lt profotu !e. le 1yran t-&t somir, :; l’ ,l111 ~,1w1u pour le coml, :it.

"’ moiwt. On c.. -. l m11n10 dans Je walhcar ; d ~ 1ont, FRUG~L I l’URin.u,r. L’homm... fru ;r.l . ~~ , luu : 1 l•U C"Sl s,,,,i/n’t !. cont<’nl ,le ’t !:’lllt l I n.1111rc ·en1 tt lui <>ffre, e,·ilc So !’J !ltt I S<.a1~u :1t. Le sommeil t.iprime. p ro l’cx :l.’c. -.

tl,u1, ; 1-t. qm,lilc- tt do1ns la qa-nnll tC :. S4>l1·t ! 111rnt 1è.t .it Je 1’,.111imo1l ,li ;ins l’auoupi !l ’il"W l’ n t .s e ,lit Ju lo,irc : tt 1utmr du mnuger ; Jà1 ;ul nr te I u1cl dt’ to•H le"’ 11c11, ; le 1vmmt 51f ;llifle- 1~ re dit rJIJe< dan !) le ~rn, ripoureu !. ; to11p... r11nt hl’ sr- ,1uc t !UJe. •·l’i a .. ~uupis. -. .t :mcn~, il oc oe dit q Jit cp1e dt’-.

a1~p. - 1its cl tle. :i p l.,i,ir :; phyic1nc ; pn. -1 .mt tif’ l1rn1111ue. Un dit, Caiire u11 JIJnttn~ • u111i 1,1 / "’f'Ù•llll"e c1nl1r., .. ~e et mudt•,·c toutts lb ! otJ 1h1 :1i1 p,11t, f.,hc an 4 ?mnttil. p.,.. .~i. .uru, loulr.s les aet..ioHr-.,

~ v~1,11 r, < :,,t.t, CoM’U.llt FA i.Tt. Le som

!wc.rAnr.Y ., A11unr.s :. L’humu1~ wciahl~a le :t cJU ;l~ u1’110 ci uur- g1,1mle ëlê,·a1iou ; l.s cm,r ~ l :a I g1 

lité-, p1upcci de la. :'>1>c1e1e ; ••

0

. :.<il Je ,·rai cit0)’-'11 : p.. 11h :uljt1~ Jo Nrp• poiu111 ; le u,m/.lt . une 1’hommt• <Ûmabl<’ , iudiffoa•nt tur le liieo pnhli , 1 :nruul~tion Jl’ urnh :riaos..4Yrc une !IIOl’te clc en c-. t

.ir,1..-nt ii pl ;1ire : A IC>lllh 1~ 1mciétM <"l J>I t"-1 .i I Ul’e ; leJ. Id, Jr• dc.-grb ou Je, rom ; ~ JiJf~rrt en ~oc1·itier d.1.1q1tf’ parti~uürr ; jJ u’oimt, pt’r.. - . onn,• 1 1 ,. svmmrl n’.1.pp :irti~nf qo’ ;i c :c (pti a..uue l"frt tÙ• :,.t n.iu1ê Je pt’n01rn1·, pl.th j 1oac ;, c :t aoun :ut li :urtcur ; !a 1- ·ima. ~ • ptopre 1mx. ohjeu m~nns t’~l 1ni-pri11é f’l rtdh•tcùt 1•nr le~ 111f’11.1 :c, ; gelti. li• L..iut ; t.1 amr 11"110 :irUrt, J.’un ,•,1dtr-r O n Snt, Ler• Sm- ;I. · ~ •, l.ttf- :.i bu,. Lui "e p1iw,• ,li I J’U, le f.’OmMr cl’uue m1mhgm, ou J•un C’ ,1.m-, b pr •f>Cui1ll>u l’•'ff1culièrc_, l or~,1n’il ~• .,g,1 OJIUtt") 1 Jrnh, :c-,p1 1 on ne r~ull :un 1,lt’1c-rcttnb

•l’unl.’ •uml o J•t t oum_, ; .sa se n~er tlnns ha )fftlJlfl"ïΕ corumt 1lc1 :unu d, mnrttianx c-nta~. ,e, ; on dit, riou Gé•uf’1ale, h>rM1u’il ni cluc-tlifm J.’uu 4•er1 :1iu /al/1 ! de ; h1,1111c.- ur11 1 par r qu al y a diveu drr ; ~••uro Je pt.•r.- .1 1nne~ ; 111 ;,j., llii-m me el 101-,iu : ·, ~ .t

fl~11u :, lt -1omt1ttl e :it torijuun Jt- J11m h 

11’.- jo11tt-nt .i lui t’t 11 soi c1u’unr- fotcc rnm, elttr 1lt porl11 ; le /r.i1a r.<it lo plu ; h.111t r.1r1g ; le t’ ,,.,(.le fo,ign :11ion, d, HGrue !llJUoD, d".,nïrm-,tiou &i el le- 11lw, Ü ;.ul p. ;rindt’. soi-m,·,,,c !or ! d",cnl ,1orlq11t-f1,is ; J•unt’ pt’1·,11n11r dt :• 80’1' ni ! ,·eux I ro !f n1 von.. l 11,m d, 10, z lc101111tc, C :tlllllUt’/ai t’t l., ;.mnnt ; ce- . drinfer.. ne ! <l1 ft’tn1ioé Jl :ilI" la c-onslÏllllll•fl ,,1a,~,rp1c, ,Ir- I° ,.• ..ippli1furut j :m,ai"ï rp1’û om : pr1"nuno ûc ;_ ;n~•· gï’Dt• ; le, "10 ,lt• 1r1u, lour-ù-1011, . ; J,.v1’- MJ h• IJn <ln~ « !ô :ltrurnt"’ uu lu ;to."’ 'f’li liu· ,on Jo-. , ,r 1r ;-. .l f" c.m g ;ii, c- . t dt’lt-t111i11r p :11 les 1,1rfrc11u11 1 1t wt m ’ml ! 011 Je l11t•1Ut n ,·. lor’-•Jll" -..oai Jite,. t,ri.. 11rC !S ; il prut ~tre tC’Hlt : 1 1· 1 111, J •1c ,1u’1m hC :to-5 r1ttpJ’Uurc dtt ui ion lu.ah,., V{•O$ ntt ~o !i•~En ", l 1r :ic~r." A I’,

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lt’.'11i., ;nc~ c1uc- le f.111 rr1IJ•lt’ ~ ce ht1(), ; ~a "’O'l th t !’d ;1m.rt’ ..piit.) rdlt1l1i ;11,.u · 1011lit•u1 tlile., tJlfôn li~11,,•’i ••ruprnule de n>i. i, :ou lo~trc, lc.·rtm~id.1•t !1b.M,_. ,out> pi1t.. _ ("I cnoccnJ1tt l ’CHU uuliqm.·r. un f. i1. c•ommun à toui. l«.4~ h1~ro,. rr111t•nt : .’• l’l1u111111e 11 1.(il .s11tfil 1l’.1Ye-111r , Sl11r.- : : -1 ~, t :crntLL’- :t Soro :"JlJ51 ;111u’r, Cti- rthe... • sv11 t’ :-1 ; ~ c-t•liu rpu• tou, vunJea con .

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Cu iru.t J~i"hC ! l’hlet de- , :ivuir, dt vou, clill",,, ,., . r ; l u ,,. ’i' :u,0 ,r CAi prc1, ,. l

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tulr. de po ;.,e,ler~ .111 1’0 11,•u..’t c1c.i ;igilc la m. :inierc- luu1u’il a.·.1 ~•l tll." chm :( lc~1•tt’ !i ;1ln•,·a 1p1’ ;t Je trgiier tnutc’i lf", chn"t’", J :!ao1111111• t·urlru,,1 ;, Ù<’ ~cr . :iux prtttrs rhn N ; JI (,,ut 11t114 r. -ux O .1 n parure vcm l’iC f ;ma- d,,ti11v •"t ; 1hor :1110~ 101• 0<1 ,0111,e ans- :11111<-’" ; on/’ u r :, ni.

,rnru.r de sa pal Uî"C ne Yl.’Ut Jl.l’t

· c : ~ro"tr il lil crl- Sc.lT, r~1 ’ l-,.ll’llTlKUU.. s l .1l ;UfUf pliu 1 lupat :. Un petil c,..pril cll rur.i•u.t d,.o~ 1-cs ;i.jnA.. pr :t : J.,1 et intpt :1ti11n I, 1~ 1n.au1tr«"~ . U’,t,t

lt’Wt !lll4 : un. htJnl !Ot." JCcc :nl t’ ..t Jo1 ;;11e1, C : tÙ !n."i ", Hl (’cll"Ji qni n’a J .t1 (’f ’l'l,d r,11J t (1 <illl it pnnr h ;il1ill,·u,rnt On g ;:inlr so. ;;n,w t :rtirul ,·e c1ui C" t ou Jùt ; le fit{ t•t ce.•lni •jUC 1~ . 10/.1 N’• 1<’n t U1i1t.’ ; ou snrde- e,11, 111C'mr>11t cc ’fOÏ f’~L rart- . On i. ..rnuu : d’t·~pn1 ; l’i,,,pcrti ,r.u· r !>l un,. t~J ee ._.. ,l rn ;3n~ur 1l1mt ,..,. ’Jll’on 1loil faire ; c·,,ruru, fu’uit• cnt • :c sur l ;i ; g1·11 . ~j,- e -lé r. F,r. cl n• l1 d1o’lt’A ,1u•an ".. 1, !.ih :1 f ;iirc. S lf !ou :1, Su ;u-r. S wl in"’ te" ’t • 11rri S 11- :r, SoLtl, Sou1cuvc,t. ;. Lt : .sain t- .t uu cm- 11rp,,t :mt metrne. tn ttn 111.,t ;n11 : 111t I, , c : ’i"Ï ,1 h :irt :h ûe l’f ! ptal c• ;tf1’ .. 1ar nneo ~i• m,tîon rriti11ut’ m.u.not :.111r~. Sum/{1i11 1•l 1’1111 prn1up1 ~111 SJ 1111 !•éurhl, ci ,,u H 11,•. uÎ’ ,ff’ : s111 tir , ou 1p1’a r.,u• le ! pi eru1rr &Uppou· nu pr limin1irr. 1 ;~ ..., 1~11t-Jr. iit a,lonrir ; le $OfiCt e~l ont• in,1ui, :tocir il’i :•111il stJtul""in n’n flJS pn ,•,11~ ptevu ; l 1

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~- tJIIH’r p· tll< : NcTitl--nt~ ’1UÎ 11 111,lt·ut 1.i 11c ; l,1 . , J•ll J’i-l !e. in~i, il 11

1

&1 p,._

th ! 111rl" 11 t 111tîi1

,ail. Il, lt1 (’1-t uni : •-•r :1ta1 ;,_,n ,·1(’, ,(lntin ,r1lt- • n• ni . 1J11d in :. qt11·l,1nr c·how ,Jç I u c. : r c-au~cc- pnr d,,,. intl’lt’ :,i : p rtil·111rt<1s. •r,mt C"l11b ;11"• c. 11 ut : ,p1r 1r ;/.,r, L’.1ppnri1jun clr 1«nw nu f, s tlo11nr ~i I sni, :. 1ou1e <-mini•· donnf" du ,oud ; ./, , d, 1t. l11t ’l'••rur tt·om11e I f Ui"1,y•111(’t' !. tonie ch 1tt !"• .. ,lt’ l.t ,,,,’li tu le L,- 1c1Îtl pnu :-i,c. -A r,t s,,lit , l,,r ’l'ùdle ltl’ll-ljlt .1ir-111 ~1ht11t l’iltt r :1t’11on1 il t’ltc 1 ;1 lîh(’II" ,r•.,prh ; le Jl,}N(~ 1’001 ., ·,.u,lniu e !I rcM’rH· !J’lUJ lo1, rue~,e ri p ,nr le- 1 ri1Ju :. ,ur ,oru. il ûtr J., tr :1n1111illite ; 1, solltt.l · ,c ::cn• ; 111bit el doms 1’or1lu, n11111111111. tml,• ’On~ 1·cnt en t’Vffîl, dit’ ct~ Ir rC’p05 de ~ocnn v- 1 .a,Snrr. :to1u : . :,,,p,.r,,/rr,mt~ns l’t~p, il. h lit ,11~ cJri- :u :-tl1111i ; t’llc al1-. 1 1rb•· . 1ue f u,lt,1 r, uc I.(" clit q11c I an, lt t1,IJ Ir S,,,., . ~ u . UTBl. :f"t’H•Pa.. S ,ft :,m lr1o1 et 11uî !l’-C 11111t : 101,r/1,JJa ~•01l1,lir1ue ii toni. l(’f, 11u~rc<"t1 foit pol, ?1rsrJemcat .i la. vue ,l’un 1 ;i- :iotl nl"lwLre- de Ou ,lit 141uJ.,, -rr dc.’f ui ::,rnu. fir,. t•,..p,oM, • d lt-Jat,iu ~tut/, M qur, ci : ’l_llÎ ,,r 1·rwf1u 1l.r ful’ftl :I• bllld .. r oil 1li1 •.USl !,l :m1 ;du1 er tlt"i p111nt1flCf’.I lif’" :t I d’exr•rf" ’1 • !l’i 1rgalc·1 t !l !’illO"i :U,lt’" !I : ainlll s t ,,n., I’.' [ :.otJlllâ I St.rrroft1 tk, ,fii ’ liracu~nnp tle llit .fe :111el.J un.- . + !"lt pltu antluuli• 1lit11"11oe n 1 :1.mf !’1·c ah,o(o,. :on ouj)r lc- • 11 tj , • tr, ,~m11ln ! ~"•1l 01,1rh

,10 ne ~e ve1•se po1n& ;, 11.lurcr A r :ippnrt an 1 S11u11,Sn p,.

S 1·,r. ~ ,~ r0 ;pponr ~ b. on t11. :IM·~ le 111.- l tl11uf "" ,liftrre à ~ vc A

DlCTlO~~,IRE DES SYNO~i)lES.

53

1nuL> J/lf'/>nr/,r r,gnrJ• 1. -. ,lofanls per,onnrt. : on Jupro,·te Jn mouv•i.sc bomcur de be-" -proches. Ou 1011/frt .1vcc p=aticnce ; ou r11dure avt-o dis~iruulation ; oo s11ppartr uvee dooceu.r.

Sutï ,, ,, .• . t ·Rr , Sva,1 :r.c2n, .A.,1suJt...rr11t, As.. in- ,·ut• ., -t,1sujtthr et ,oumctt~ Ûhmt l’i11dèpt•1ubnc :e ; srtlif11gurr t !l ntUJ’1-’Îr i,tcllt la liberté. Ou t !. !it .,01imi. , j un prince ; ai.su.j,wi Q Ott$ rltvoir !; mlijuqu,i par nn 1•nhrt11i. ; tUSf !11•i p11t" 1 :1 tyr.mnle. Su11mt·t1rc eiit gttnt’dtJUC i il rurn·11ue une certaine di..po5ltio11 rJi : t’bo•c) ; la S<Jt1mÎJ.1ùm va drpub la dèfJttnoe Jn,t1n•~ l’o,~~n•iuemeat ; nssujeui,· mArqne ou êt1.11 I.J.1ltitael ; la s11jclio11 ù~ :1igne one conU’Zlîn1c-, unt, ~saidui1e cor..s1.1nte.... i .subjuguer es.prime l’t-mphr .. l’,11sC’••11rl’1nt , biHt• t•~1gt-i, comme <11Jtr,·lr. l’e1• pre. !i ~ioo de-l’,1Lu3 : il y a np /ou•r tlocu, an ;·ou. :r ’

,

0

dt. ft !t, llrt l""G 1tgt’L'., Ut joue pC !!l1tlt ; (l.lJt :n•tr d~,ig :o~ une cxtrèu1e contrainte d’on L·~cla~r, d’un hommr cvchdioè. Surm1c-llr~ exige nue dêjlr.n<lomce v11gue ; s11bjt1 ;j"Ull’ c- . _ige une force , i1,1tc.ritO !e, one grande Jcp~od•ncc ; nssfljttlÎr· ~s.igt ont· pu ;. ! .. ’1-ancc ou uo I ëtrc , un dé,oue1uent tltlbli ; ll$St’IVÎr ~xi~e one puh,1.lot’e irrë1i- .tibl~, ou un pun·otr •y....,.. nnittue et une dore cuotr•iotc. Sool’f :<"N. Susr101or.-. Sonprn11 Mt 1è tcmJe nr,linnirr ; st1. ;pi ;;fo11 eu nn trrmt- r .lc j-uti,-prncleuct, Le sn,11,r,m roule :.ar toote--i. 1orteà d'ol>j~rs., il entre c.l .an,. les e.spriti dc.flan l :li, et peut ètrr san, fontltmC’OL ; ln .4«.1pit :iqr, to111hc, 1.or le-s dêlirs et d :m, lt< conseil de~ juges, eUe tloit O’OÎr one t· :tî-MJU apparente et jUblUièc pur de.,, inrlices. La S(U· ph·ion ,cra donc uo .SOIIJ’fOIA iàghüot. Soe"u, SllOI.UU~ .

Ou voit le 1011/’Îre. il repo.- .c

511r le viuge : on :lpnrçoit le smui.t, il i’ê~nooit. Le sourÎ4 ptvlungè tlevicut rnurin. Le- souris e.H an !tn1rir,r, c·e cp1e l’ :sc-cent co,t à. 1~ voix. ce n ’ e :;t «ju~an acte lê ;cr, an rruil fugitif j le sourfr~ tS>l une nctiun ~oivit’ !- ., nn ê1a1. 1,..3 ptiottuc fixe le sourtrr.

elle c~qui.s .•u~ le 1,wri1. . Le ,ouril’e doit. C
tre

o ~tncd ; ,~ ~um·Î.I. t"lt oai(..

Sou,•t ;....••rT-, F"hQvooc ·u1r. Sou,,~nl ""ettt : direh ~aucoup de füï... ruJ.irite foi1 ;/M’lurmmc111 veut •tire forl t’.OUVt•nt. pln’i qufl de cuotnrue. Smwent o’inJuplb •tue fa. JJhnali.té des ~ctt !s ;fri11111mmt11t ~rnooocc une Labitudt forrute.. Frt !,7uemment e.,1 parlh :ulfrrtmf’Ol prorr~ .i dt’.siguer ce qui. se f- :ai1 orJ.in.1irt’mtnl, mni"’ pJu,... s,,m·nit gu..à l’urdioaire. S1·,111u1&, Co :t&TAllif"lî, Fr.R ~lfl’tt. la Jla/,ilitt ! emp~l ·l1e de "•u lei· ; elle I itnl de la prHtrtoce, tt justilÎt ! le cLoix ; la con.rla11r~ empêche de chong ~r, elle tient de la ptrsévé-rnoccr, e.t f :tit briller l’ :11t :id,r-rotnt ; la ftrmtti ernpèd,~ J. .t •ê«l~r, ell~

1irf1t d,, t~ rc....,i !rit,rn("’e, et rCpaod on ,clat tlc : victoire : . r. F1 :n.,1ui.

Srf’uu t, L·"Uli.A’l'tLE. La root stèrUe iodiqo,• ou principe de ttèrilit~· ~ l’ariclné J ta , ;éolu :rt-t4e. ; inferlile n’intliqoe que le (a.it ~An.s d~sii ;ne,· 1B cau :1e. s,~·ritr c'l>l oppos~ - ù 1~·c. · Q11d : irif. :rtile est la oc•gttti.011 de ftrtilL· ; orJ J. :,mnd toxprirnc la facoltè rlc produire, et fntilc • rios ùe r.ppmt .1 l’e[Ccl ptodult. lnf~rtN~ ne- M ! dit an figuré que de l’e :;• p rit, oit d"nue ru :iti,’·rc â trniter ; sufr•ile y eo, t 3Q cootralre ,l’nu grnml usa.g~.

S roacu :’ :'- • S-r,..v,1c e.

.ftoicirtt sibrniOc de la 1ccte

pLiJo~opbique de Zt :nun, et Jl<>Ï’l"" •tot dire con .. forme :1111. ma- .im,, <le cette Joctrint. Ont, vertu .ttoitptt ! rst couraatnsc, ioêbrn.nfablt :- : uue vertn Uoicit.mlt pourt’3it n’êlre<1n’u.o masque. Celui qui r..t plu1 111t1acbJ à l.1 pr-Jtiquc qn1aux dogmes tle l• pùito,..,pbio d• Zcuoo, on plw stoi’fUC 400 tloicien..

Sre1t1.rr1m.. O’Oa t rTrct. Ct’S mots cat :ach !s istot des gT.âcn obtenues- pat i1Jrpri.s~ _ ; il J a PtthM ,.~ptio11 .. 1t,~~1n’on 11vaocc comme •r.1ie a-ne cho,e f.u1..- ..1te ; il y a oltrr11tio11, loraqo’on sopprime dan~ son e1.pose nne Tërité qui c1nprcber.1 it l’effet de h dtnHUJde. l"n titre qui f !"’U obrepti...’ -4 ! t’t mbrttp· lL.

titc tout à la foi !I, a les c.ira<·lt !n.- s lts -plus crr~ t :ii11~ cle r,tprolmtion.

StiMhT.,, .·ct ?, Dt !"Riu, Vt,ne,. Les s11 !1Aisllfm •e1 ,ool l~is prodm :tiou, : Je la tt1 re qui fonucnt lu nouni1orn, l’r-ntretic :ro ; 1~ ,/cm·ùs isont dt•ll e.cpêrc. ·s tic s11/,si1lar1c.·~..J ’]Ol (011 ’Î-vre" fjt1Î :tJi1ocn• ,ue,ul d .H1que jour~ t11 p :1y3 t~I fl’rtile l’H ;ub~ts4 lam :<’-1, un 111 ;ircl1ê t :... t pourvu fie d~11n :,•-t ; unè place est :.p11ro.. - ibiounte Ùt, 1•irrr s. l.e1 s11h.sisla11• ces, com111r" If’~ t u ·r’l's, or M’ prcnueat c1o ’ <"n ~,·os ; ch molb u’vnt J)OÎflt ile siogulicr : ou tlit m1c- . J,.m·ù, 1,arcc tp1e et : mot n ’ëuoncc originnircmcut •11H. · ltl "tULe ,le tlê.ithl. Il y ;, plnsit :uh <’~}J~CC$ rle S(lbshlon~~s, ~eloo qu"ell~, ; .scf"l’t'nt A no,u1·ir, :1 viHlr _, t t’d1 :wffrr, à cdairt’1' , ll c(>a :ftrve,r : lt..". d,•nf’tl~s ,e tlh·i•wot en mt :ntlr~ Jeure, ;.s, çoruuu ! Je :, fruit~ ; et en srm ;’iC-’i ,h11rc.c.J . comme 1(~ blt."..◄• Sc ft"l~T"- :u :1 ;., Soca.t"1,,11J., At.Ill tt"t·~ . On f~it dt’S pn,,·i .,~ious pour lu jllbxist1111c :r ; on (lppr~t.t ! .i m~oger pvor la uourr :tun• ,· t,n r,hoi<1it, cnlre les Ult’ts 4 les alm1e11/j t’Onv~uaùlt." -, . l.. :, J11bsislt1ncr e,.t c,..irumiM~ QUS. ..nius du pua1·’"o,·cur. : la nour~ rilure -se prt’p :lre à l :t eubine ; Mn· Jei r,/ime1tls, un con~ulte le goitt ou le rufdecin. 1.e pr•mier ri ra1,1,t1rf :,.n lit :toi..u ;: le seeourl., à li s :,ü~raoûoo : li : troL,i,·mt, l l :1 iuanil’t·e Je le solhfail-e - . St.a ~, .3Tl.."l"CB,. Su~TA~cz... Le pren.iiN· veut di,·e ~ e <JOÎ !el r à nourrir, ù foi1-e s,ubsi,te,• ; et le Atc-oml, rc i :1rii .. -~ l

— a.bsolnrutut nC°C :t>!ISOÎrt.• pool· ,•iw~. 1. . .c .. ., moioet mendi :mts 1rour :ilt-11t ~bê1ucnt ltm• J1rb.siJl<llt, ;e ; be.i 1,1L•oo1• tle pao ’ I c :-. c un..,tlmcul dru.J~ ln cloult’or leur .ml,stam :t. JJct {Ct’US. .., 1

cmgrai•

sent ile la sul,,,1anc11 clu pcnptc, et t1J011g1•11t eo on jon,· la sulnùla11, :t dt< Cl’llt famÎllt’s. St.· fr’t1t...ni o’,,.1•1u1’ 1 Oü.toA.1 ,~u. La JUbtrlti~ tl’N/ll’ÎI ~OHOIU’lt lo rmf’ • la daic :ane : t !n~ s ’ :u :corde &outrent an :c l’t'xlrav.ig ;,nct- ; le Jt•li, :nl,.fJc d’e.,,~ p1 it, di : flt"O’it !e, ne ~’ :1ccu1•,lt~ qu•,,vec 1~ hou ~eus 1 lu r~ison ! elle exige UD goût c~quu. Si.. Hl. :,A.$1 ÙU’OR.l’Al’t·r _,

.· .lutot.At’i"t. Le .c, !(fi- ·

saut e~t cdoi f’lJ fJOÎ. 1a ]lN,ique de cert.iin1> dt ;t 3i1~, lionor~ ,ln nom cl1

.H - ;1iu :1i>, c. :1l joiore ;j une

g,antlr ml !ùioc1itê~ nn g :ruio d"csprit de pJu-. foit l’impol’laul ; dè ;, r1oe rù1111urum1 Ct."S.sè de f.liatt rirt•, il dounc lien â de. :, pl3iotcs ; H rlcVlent. l ’ ,uroc1ml. Sccc.t .sThJX, 1~~t11a..,·nox. L"(.-. 1 :ft,·m :,, Iss-THi. l’HlN, Ptll~UA~ .tol’"~ L,1 suggrstion. est uoe nianli :.re deh>urne-e d ’ ocC’U()l"l’ l’t !,ip1·it de qurlqu~un d’une idét- qn’il n’nor.dt pa !> ; r,·n ...p,’ratiuu C.’ft un

moyeu im,.- o~ible dtt foi,·e naiu·c daus l’<-,-prit de ’}nelt1u’un des pr.nitèe- . :,, ou d,m, son cœar tle., senti• weol. !t qui serublt.•Ul y l !’uc n :itorcllcmtnt ; l’i11fir111ation c-11 nue udruilc mauii-rc de :te glisser Jam, l’t :~• prit cle quelqu’on etdc . ! .’emparer ,le :i3 , olontêsal’b cp1’il 5rn c.luutt :; ’ùutigatio11 est uu mo-yC !l :1 stimulant et ptc~ - . . ,101 ù1t :i :~i1 er !oi, :1~rt-r,ment quehfh"no à foire ce, t1noi il têpul !uc et .-èsi !’lte ; 1 :i per.wn• Ji< ;n , :sl le moyf.ln pui.,,- . .ot e ;L ,.iNoril’lll. de fltire cro,re lt-,·1utmcot ou .11doptcl’ euiitu·cnu.•ut à qudqu’ uo cc ga’uu -_ :cnt, mr...l~ré tle~ ptèjogcs on tl.’ci prévc-n1iOu5 cnn1rnin !l 1 ,t phn p.1r la rû :i,•mf"’ du Jiscoor~ uQ Je Ja dhl :,u 11ni inltl-C6’~1J, ’)PC pAr la la f<>t’Cc clc, r ;1bon$ ttu..i . cnnv :aÎ11t(UUnl et s1tl1jn• ~oent. On ci-dl. :, OQ obéit a fa stlc,·g~stion ; on t’il s_. i-. i, :,gité μar l’i11.1 :p1rotian : on :-ie h1i~M !’ aller à l’i1uinua1iv11 ; un ~c dd~nd cvulrc l’i11stigntio11 ; on ne rC :1i~tt poiuL .t I ;, per,unsion. r. 1.N.u1nrU1 . ~ 1, ;l’A. ?t---r, Su O ?f. J 11’••afll Iiignifü•, eu suivant ; ll expdme une : ,uite. une cou. -.équt"1lce ; ,elon l’e • 1’ itnt -à c~ moh ,aio,i que, comme.,~ c :e qut’, etc. r . tr/011 .Al’btote, Aim~i. que le. dit A.tUtùte. On dtr" . r-clon. la , ~ulg :at(", lo1’tqoïl 1•ag1t ,le cÎIN’ le tcxlt !:, $t1frn11t. ~lil ,- .’ .1glt ,1,, .snh-1 -e l"nn uo l’l,uu·tt . On dJt, .sûo11 ~a. ;ut l huma,~ el s11ivant 1.a c.loctrinc. c.1~ !t.’IÎnt Thomas. S,do11 e.’tprh1.1c qoelqric l•la oli,c. - . c.le plu. -.

obsuln qne smwu,t. On <lit, u lan la règ,1 -, 1

c :t 1tto-’t111I lt’ !t cxc111plc- : .. r. Sr.r .o :-J ~ Strf"ftl r.t .s u.i .,,1..rr .~, 1,uTlR i.u n,,,r,a b ~ On Juil ks rrt :mplt.s ô~ celui qu·on prcorl pour gni<le, pr,ur N :glc. afin de pa1 venir plu~ ~ureweut au but : on ,’miltt les r..ctmp/, :s de t’f'lui <JU’on prcod ponr modt,lt’ i poor ty pt, afin de lui te"i~cinhler 1 poor :ic di.- .1i113oer r.omme luL La contfauce fait qn’ on .11d1 : J’û.mtù :ition fojt t]U’on imite. On suü dt pri- .. s ou de Join ; on imilc Je. miru qu’un peut. ~ t l’l'.1 ;nt, Oa,~ttE.CL.. L,, Mtpcrhc 11."’ :..I pub fr,r. gutil lllUt por 1 conmw le .mpt.1·bc n’c !ot p :11 ~im• plt•mcut orGnei/1,uu :-

.

L’ur ;;uedl,·u .r c.,t plein 1ll’

5uΠ: lo 61Jp,rbe ~n es.l tont ùoufli. l.c ~1.1pr.rû0- c.tt nu Ol’guâlltu,r arrogant, qni afft’Cle ~un fo5, :1 :Ulrc"’ one ~upt !rioritC bumiliarut :. L’t.wgueil e.st une ht1utt : opinion de 11oi•mt1me, rini fait tpù :u, u’e !tùme ’)oc $t)i ; 1~ Srtprr1’c est l’o !Sttmtaùon <le cet orçm !il. ’IUt fait qtu :t l’ou le’moig-nc ou,•crlt’1ueut un gntod tfodain pôut· les nutres.

Stra•1.,k1u. l1 :’fr. ( :]10.sr., S11t-rul.1 .R . • UNE. cuo~c

Suppli er «uc chose, c’,· :st 13 fournir ponr 1·e111plir’ le ,·hic, Jn l :-1cuoe, le- J~ !icit qui ~c u ·ou,e daus nu t•bjct incomplet <Ht imparf ;1u ; voos <bt1ppfticz ce ’JlÙ mao,111e pour one ,orurne ; .supplit1r ù. un ~ cf,o~c, c’t•st 111t’01’e ·~ !’ia vlacc nne .1utre chost• qui r.n dent He.a, la, w.ltnr- surplà : au non1IJJ’e. Deux nbjet" do ull•me 1 ;um•t,, tgmn., bC s1,ppllie11t t’1m /’nuire,· cleuJ. objet.-.

a•un geu,e clitïf’1 t’OL, ro :,b

d’rtnc vale :ur t•srde ! ’"l’f,~ :lll l’m, ,1 l’<rt1/rt~ . rn

juge supplie. un joge •.,’il n•c. ·sl qnt :liÛOn ’JUc da no1nbrc ; 1u~1i$, tu fait <le caracité, il y a de, joge,

tuxqotJ’ 00 Jllf/,/i e, lll<IÎI fJ0

1

0ll ue J11pf1/t :r ptis.

L.’c,-1u·it ne suppfee pas 1. : c-œu.r ; et il l"Sl 1-are qn’H y "’l'fli,· .

Su1,rosn·1o" !’f. ’EIY1~r,Tui-1"L T/t~,7,01/,ise. c~t une s1111pu.1itfo11- purcmt :al jJè~le ; b ,mppositiQ/t !le pn.•nù pour one : propo~iliQn oc :t ,•111ie ou avon~e. L•ty[Ol/1(1e r. :~t 11Cl TilOÎ1t1 pr tc-3in ; hi ,111pp0Jitio11 t’.Sl gratuite. Ou < :omh ;H uue l,JptJt/,t !se commt jnbtlfthante, p•rnr rentfre. t11i :;on des choses~ on ni,. une J11ppwitio11. r. .•t~ _

~pot/,i :se .,e prend pont un

t5<1eiubl"Sf’ de p1opw,i1ion"’ ou de suppositions

liées tle monfèrC’ U forn-1cr un ~ ·slC’rut. Ifypotlu~Jc ne t- .’1trnploie iJo••re •111·eu mat.iere ile !’iiCÏt :nc :u ; et ’" !’l"’·riûou cmre ,lani la cooehatiou ,•01umunc. Les graud~ ruy !!lt.’te-5 dP lit n :1ture s’èclaitd.s ~eot pa1· dt :i l1)po1l1êJt’.r,· et IPt i,tèt-, p~rtitaJière,, pa1• •ltt& suppositions wn~iUles. l{rpot/ul1e n’a ’IO’un ~eus ,•clNtif à l’t'.x.plic-t1tiou d~ cboJot"I ; ,mpposi tiqu se pnm,1 daos nue : :ic,~ei,tioo morde et en 111 ;1u,•niM~p :1rt J il sJgultle (’Lo~c feinte ou cootron• vtc.J [lOUr UQÎl’f !.

$u,•1 t’ :M Et Sou,·en u~. L’iJêe de pniss.ance formi’ l’idl’c distinelivc el c ::o· :.crnri~,i,10e d,, ""’-'-train ,, toudt~ qoe l’idce de 1,1 plas baute . ;1t1v :11ion tar iudittut. !e p :11,_ le :- mol $11/U’Ùnd ; JJ choie s1r11rimt eH et• qnïJ y a ,.1~ 1~los élt"vè. Ce qni peut tour , e.,1 satwnwi11 : il r.uu

~·LnruiJjer devant re qoi ~t

. mprt’me ; il foot cetlt· - J’ à ce qoi ot so1111ira11t. Sttnl’ACI, St :r1.nv1cn.. Oo tl ;t .rm/act (jU :md ou Ol ! p :ulu ’JOC clr cc qni est {l.t~l’iet :r et ·i ~ible ; ou dit sr,pf#rjirir clc ttmt ce <roi p :tr :ùt au dthurs.., 11lis erl oppu !’lili.on aYec ce <Jni oe. (,lll’rtll pas. Ci :rte dis1inction paM.e an fignre : on dit_, ,1~ eiprit :t lé~r,, ’la’ib dücai·cnl fa su.,fttco d ac ,oico.t ’(UC la .unpn :fiûe dl•. C"tw~r ~ .

S trarae.S-DfP~ .

fh o :i :- . :e n . L ;i ,m7>rlsc nait <le 1., pré.<tt•nr-c ~u hi t t d’un o hjl’t irnpr~vu ; 1’r :tunnn,M11t oolt ,ln c o up , iolr11t, rr,,pp ê p :ir nu objd puis• ~anr., extr~ordimii1 •· • Lo même c. :ho~c su rprtn..,J cor.n1H t in :uu·uJu<’, rouufi.., c111’. -l11 : dto,,uc cvn.unct ~bt.111 tc. U y o clc-. Jarpris,.,•s a~r,taLlt~ et li ~iT~. ru.i.t. l

1

t’fon 11a1trut 11 • ;1 rien qoe tlt. ga-aoù. er J !! fo r t ~ Ndln r i :·1011r,,,m cr,t e.,t ont ! t’xtn :mtt ,urpriJc 111Ne cl’rm scolimt·nt tlbtinguC pn.r un cnrHctère dt’ g-rrwJcnr t, ;l ,le furet,, I.e &iogulicr surpf’<•r,d : 11. u1 r 1""·e illeux , . :101111t1. l ’ n trail d ’c !itpl’il 1urprt !111.l ; uu coup J e gc11ie ètmmt .

1

34

DIC’rJ() :,i~,lflE nES SYN’(>NY~JF.S.

~t·Jll’f.t~unt, T,u,m•t.Jl. 1 r.unR&1l, Du•JI, .lwpi1"11.l1r’ m ;.l’f_J1.H1 cp1rlfp1t !. Lho"c ’]ni ioJuêt eu t-nt•ut ; 1n,mp,·1, ’Jll’"hJue c. - h,., _. . , . qui hle~ ;c : 1., .P~O•

l,it,• ; lt•11r1· ~r. 1111.i :iu.,qur l 61tk11tc ou lt, Jc.,ll ; durtr :, p•1tff ohj« :t l’inh !J~l f’I Jt· 1uofi1. ScnNl.litJ.. 1 l~CU :’f !U’lilf."’{T, Lto11u~mc11l tifllUM J :. 1 dh,ximl ; }., surpris~ l’t·xdut L’clld tlu l’n :illΠ: t"C prnt ,’1u·u nn1enl’ pruH-’" !>Î’tmrnr t !f -t.e JU-0 . .. Jooger ; fa .JflrJ’rÎII ! ".l h1 0’(flH’. in’ltOulaUCC’ ; no . ,t,·Je loojoul"I 11uhlc el 1,1u1· ctm111t• ; ,.. :s bc.auu.-, , , st~ m,ages, &c." ~ul)IÎ1uo pcn ;u~ t-1uu1tmt hi .fW"’ prhf’ P. lho !H’fl :-~t•

S~n ·nH,t : "’QI t.uit11t" ?lf • St•ftïBE 11cu.,11,·1.""N. ,îttn i1·r, !, ,Tiv1c plo~ long•t• mp :oi rtuc .... ; .s11n•,c 1

rt

,1url1111’1111 4·~ l 1111 termè tic pal.,h •1ui rntt·c c.lim’f l.1 l’"o11,·,•r$1liou r,uu11iê1u ; 1l ,lr :,Î-i ;ur Jn ,s,,r,·h· de 13 11erPJODUC duu1 l’t• !Ï'>h :ncc n ;,il ,Je.a r ;iμpurb 9H !C celle de l,t pf’r. !HJUlltl c1ui nu•tut fa prrmiru•, Lht.." ftmmc a sur,•t !cr, àOQ 1m11Π; f,don Puuln· c .Jc J :.11 m1tor1.", lt !S eufool’i doiH•nt suni•·rc ,,u pt., - ~i u1,1i1’, p :,, dc-s r"tncun :nt !I po.1rtlr.111i,•r5, lt1 peu.• surd1 le~ enfanh.

1’,.( .I . l’Ol’CJlln, -t ·r,H ru1.,u.~ T. Cc, trui..5 U’lllj !S ttOUl rnbnr~ à )<J 8tU’til11lm~ npaUÙIH’ SOl’ Ja .>11.rfo(’(' dt.-& {’ !JI !)~, tl exdtêc p :ir r.ncriua .UU• rnédfott : d 11m ol,jct ph~~iqut1 im· lt•) houpp,•s. 11r1·• ven !il’~ -

ti, ,,.,,., t.’M lt :, :en~ q flÎ rt- ~il J’imprr-.li.bion d•~ ol,jrl5-. t ·orn111t’ lil vn<. -

1 l’uiut•, le goitt, l’, ;do•

r,1t ; ,~ lt1tu :lwr ,·. , l’cxen :ic~ du lOlld,ct’ ; l’ttil,m• elli :mcul nt l’at"LC tic 1011du·r. l’applk11tiou de la iuain. C- .t

.1 11 1,,rt qm• l’un i’..IU1·il.1oe 11.· !> qm11ih’-, ,le l’orgaoe t l,l Hoe""-,c -. iu lm•t ; c’tst Ju t,,,,d,rr qo~ ’UU !l. 1 ·cccmn.oi.,~..7 . 1,, 11m1.litc. Jt’s dJO.-,t""i , u,i eorr., c"it <loux. .iu to11.. !1•·r : r·.sl pilt’ 1’. :trtou,ht· 4

mtnf C(Ut :- vou, lli,tiut,uez : lL•.i d.tc ::oa,ttrnce, f’ :lt·tirnHi "•rc-, du. tnuc/,11•, Jê~u~ guê1 lu.ait ll’ :t toal.iJr~ p ;u• un !ii1uplL· 01t1111r_•/u ment. L’r211011d,nnt11t 11",.x• pri,ur t.p1

1

on ttmç/1rr a.. ;t•z J~geL’ : lur5’}u’il s’"git ,tt di•a. :i. C(Jrp .. ÎO~t ·w,iLlb, un dil <losm,1liquem ~n, rou(,ut ; ULtll. ,li~ûu..ci ln, t nu fjgurc.., pou1 ••xprim,,r ou ju~em•·ut dt l’,•-.pt lt v1·urupt. , MJ hui , jn~t~ au plaf"ltiti • n1)1h di,nu.., le 1,11,c :lu•r 1 pont c~p1ime,r J,.. ,-1 i1> du t11t1 • uo11. ; ,lou11ou~ , l’n11,mcl, rmr11t un ~c1i_"i 11,101 :al t·l 01aU.’l'oi,, relalJ1 ao,"t.plai ~1ri, d1 ;1rut. - h.

1’uLt• ~ S,,11.fu-. L.n

. ~ la/ortr inJ.irine 111 ùau•

tenr tlu cvr1u : la l11illt ! eu t"xpri11w ptôfH’C'lltl !ht lu torru1•, lu nlUJJl’", la. cnufi~111·,,û11u.. Ou c.sl rlun~ tnillt : <.111 ,l’our J(fllttrr ha11lt’ , 111oy,.niw, ou pt.. titi.’ ; mai, 1., taillr- Hl tivlJl.., ou fiw.. , l1t•Hc uu d,f. fon.1 .11 : 1 ll,t·u f•u m ;d prhl·, ... vdh : no luur,lc-, t•l 1•., Ct’ qui Uft ru-ut "’t" ,1i1 ~ d1• l.1 ,tnhtrt. Le prcu,itr mé,l’ite dr-s ,,,lt1 :1 pour l.1 1tpn·,. - n1-0tiou en utll ! ri,~Lr lmiJ,. : Ir. p1 c111Ît :r 1111~1 itt• J’uu xolclat pout t’ffr.1y,.1 1’,·11m·111 t"-’« une t1,ollt ! .,ltl/ltl’l'. T., ’" ~ . t .t I t~, c :M’.,uLn. r,,ù-r 1n.il’4'1Ut’ lt !,H,.,nce tttl’t•n. c ;,1t,le ... or J.1 c.lu,.,,.. ; i’4lr-r, Ir itt’Crt"l qu’on en fort ; ,·m·/, r. 1-- U1} :U’1tt ,1~0-" l,•,1nd rm CUI 1•eu .. 1.• dit. Puut 1t11r...· uw · d1•J’IL". il aiulfh u., ni• potuf lil ut ;11if°ntt’r ; JH,lllr J-4 ~· ,,•lu•r, ou •~>l oblig.û dt l,1 l’t"lllr1mc1· ,l.10,,, I,• (1111cl ifo ’ltJ11 L·tt1,1r. 1 l’I"- ("1 : ). s M.011 1••,

lnpu-, «··< .•. ;t l’f' : (’a-

t·Lc,r dtrdern 1pwl1tll•.’ di,,,t ; ,[Ili UHh Cuo,,,.,•• eu prtmmt uor JiO !llllll l’ r.11 LUlh I i~ : .,c /,/,,11ir. c’t :.,t .~~ tafllil"-’lt"t -"’" :r.01•mt’wc~ ( 111 1t 111p :1 tlenif’1 ~ on Jn.tinut.1 . . (’VtH lliltt"t• pui11f , u ; 1.lo sr /,lollit c.I,1111 tOll 111, ~11 :1. :1’t1h’ le. rlt•-.. -.1,,•11t Ùt’ 'M" tt1claf’r, llH’li- . pour :nmr d,. :.1111,

T.,r1-..~ ! .n _n ~ ’J ilHTftC. t.1 lnpi1Jr1i~ c,ir (,,ile pom· c,,uv u •111t<l•pu· d1,nr, ; l,1 lc11l11h•. ponr èhr rrnJué :’lllr ,111c_ol,1ur f’Lu !’l1•, La lrlJIÎ1St·ra• eit1t un h"i"tU Jr, ;t111r ,1 t’1J11,ur lt•4 ,11111, ; l.1 tctdmc ,·,t 011 <Jh~t.·t •1w•lnin•fllt" tr1ulo AU~ h•, mm·" · 1 1 /,1pJ.1· -lCl’I~ c. ·- . 1 t~nliit • ••u f,11..11 1111 die- C.’il ~ltuJ11c : Mll’ ., 1unr. ; la r,11/w·r fil tnl’iucnc, eu 1aut 1111illt. <.tJUVlt’ h• IH !JI.

T UlDLn, Ur .. , 1 !.IUB, L’Îc)tc t>roprc de lnr.lrr è~I c·cllt ! cl’,~trr loug-t,n11u :, vènfr, j, f.1irc i l’idec de ,l{U,.ra i-- . t cle rcmclltü (’1• qu’un al falrt un ICUJf’... plos rll)lguc, ru ~,, . te. -

qnc.crqu" ;J y ;t.f.ih •• ut ..,.

fait P- ù propù", T111·,lrr uc Jt :.sisul· <Jlle I,• foit : rlij)~, .rr oouuntc :: oo" 1êholutiv11. :c l,rr,Ü ; })il'> .’t .’U( :1llfr k fi nit. "li c :,,t mlu· ; . . il ne l’r,t p.u, t~/ : Ji !r,. ; . Cdoi. ’Jui ue ’IC pn•~ .,h-t" p,1.., •U•’lt’t : , tarde ; is :elui •1ui 1c :11vuit : . :n, lrod1.•moio.1 ,/,jtert, T’1i 1 ,,o~r.. - : . .,u. Le /tu urnr’ltH~ un oruai (. ;,il cxp.- e s, . :1Hu ’Inc 1er. cLu,e-- .

occuprnt mom !lo de

Jil,uw ; 1,• nwm uu »•· d,·,i_gue 1p1dq•1efoi1 qu’une pur1,rn1 ,1c1adu-e · tl’uuc nt,1, !’le. On rlit 1111 lnl c.le pit>1·1t- .s pl,.po1t· ~ ~ s poor /.,ire un bütimcnt ; uu mmtr :, :uu 1Je pi.NTri, lhle J’uu t-tl !Hce n. :n•f"’lê, 1,,aR~f, CAORf’T, (h.illHll -li.TI’f, L.i lrwrl’llt ! L~~, uu Jîcu ui1 1’011 di)OIH : .1 hoire dl ;, ,u,m, ::c.·r ; le rn !R«f’i'I" uo li. :o nà l’nn ue ,lonnl ! 110’/ hnire ; 13 1 ;11111 ;i•11tttt, uu lieu oit le : p• :up1e ,·a hoin. ·, 111,111gf !1• e.l rt 111,rr. Tn,·rr,w rué.,rt11t’ one itlCe plu.s ùa,,c r111e cnl,111·"1 ; g1,in, ;~11,-l/t1 r"mpune cc-llr. d’uu rcuclct..· vvu, ile pl~j,i1 liun 111• l,1 , ill,•. l’-t.x :, ’l',x.ac, 1AX :u :;. l .rur iclr.e t’OUlmooc.• t’ !'of ct•Hu Oe f. ;i, Jcll’rruiuation L"tablie dt : qnl"ll{nf’ nlt :rn pf :., :uumi1·t• : le lflU.r l’ai Ct !lli ! ·dlCIH 11u ?1ue ; ltt fn.n ! c~ le r~lrmrot qni J.i Jèh :rmlnc : 11•_, laia4 limu ~Hml ct•rtï1im, clt·uih fh.c . ~ , :1udhnc. :. :, qod• tt’h~, ottit !lta"’.i qui 011t le manitmenl de,, t.lf’b1t-1· . , puhlic !;. On Ill’ clit CJIIC (r,uz ,,n.111d li ~· 1 1sit da t1enirr .ioqucl Jes i11ler~l.5, d,• l’m-gc :111 . -. oui tht•à p :u· l’ot,lonu :mcc de li-1 loi. Ou dit il !iSt :i inrlille• tL,JUlu1•11t fat,_c nu uu·t, 1.•o parhmt du prix habfi poor la ,·e-nlè’ de~ dt’.urêt-~, nu de h1. .’f0111111e fix-c :e 1pu, <loil r•ayer un c.onLt·iJ11,J,1l,lc., ,i cc Qf)UlliLu.i• hie rf’ptt.~ Htt ttu’ll ne 1~u1 p :1y.- r r-e- 1111’1.111 rxib,. Je lui~ a d,,il din ! rine <iOll lauJ ; e’.">l U’llp h-ant ; ~ ’il voul.1i1 1·ttprbc111c1 ’Ju’il u’t•.’lt JM~ impo.,t• dau~ la prorurlion des :mire ;< ; c~mltibu<1blt-. lJ t j} c.lcv1ah ,li1t’ «tue~• fa_ç _ .

t·U t, ;l lrOJ’ fottt’. Uu ue dit qor

/lut cLJ .n !fjleuit-lll judicinl1-e Jt-."I’. &ai.s d’uo p1 oct"-t OP d’unt lmpo~itiou c-u tleuittitj oo dit ta,nlto11 puut’ J,flt’t'JlÎQD J,.. l .i llrz~ .

1’1..L, PA.1u : 1L.Sc,1111. cr 1 !.. L’idcntil~ J,,_. , t1w-.~ urnnpte 1., fJu :ilite, 1t, c.-.1-act1•ti-. ru·oJHI ! dt> t,,/ : pnn•il dC~1 :: ;nc lt’s chOflt !:, ,1ui peon :nt t !tu ;! 1.uÎ.5h eù r ;ir :dltle I C01t11ue llL’ dU’f~lïlUl E, ;’llt.’I f’" l’1tctt’ clt’ l’QUllf’-,ft rom1ut’ pun’nut St’ .M !’f ;r d 1

ft1uialt’11I.

<lt : ptmbu1 ; uwli/a/Je n’iudi·JllC l’il- Unt° t•_g ;,IÎle va une con(onuitê p :uf,1ih•. Le.s clJ. ~1•11 ; qui ne ..,11ol ’lllf’ .trmhluMe.t, Dtr bOuticuuer..t pai ;, Jr p :1r ;1ll,• !t q1~r Jc~_d10 ..t""l par, illt.t t :01upm hmt. et :·lie. :. ~n nt ltnn <l t-H ·t - 1td/, :s nu ,~~ mèw,..s (Ju•IOt " IC’111 nature, à le’1u- ; qu.,lité. -.

clÎ3tÎucll’4 !i. $ ;o.,n/,/nb/e ,lit

111uiu., ,,m• parril, et p,1rril moio~ 111u• t.- 1. l 11 oLjel lt’l qu’nu antrt ne ,lift~u• pa~ 1f~ ~eluî•t’°Î : uu uLjet pnrt !il Il ub :tt1trr, 11e k n·Je poi111 ~ Ct !lui ci ; un oLjc, 1cmM,,blc û na ouu·c ~, ~ :.vrti1 IYl’C' t :t-’IUl•C’"i,

Tn1rLt, ~ .ou.,v.. C :e, wots r.igoificol oo étl.i.lie !ti Û••-1tine Ù l’t~ttrirc polilic de la nHsion ; lt’mpl,• L....,, 1lu . -. 1yl,. : 1•orupt"ll :c. ; dti/1sc~ da ~l~Jc ordinahe. A l•g ;u d cl u p :;11,.uii’mt~ et de 1., r1 lib’lun prote- .. trmtr, C1n se f.t .•rt da mol ir’rnpl,-. dJq, le btylc

orJi1).,lin :.•, le. · lrmpf,, de J.mu), le !t’mplt tl-= . t .ù,,- 1t :ntou j l’r ;, ;li.,cr S .. iot-Sulpic,• 1’, mple up1j111r-

tpadq uc ch..~c d’,mgu~te ; ;. - ;;li.,r n, ;irrJUt• CJDl’lqor ~t.~~c ,le. iJlU . eom,tUID, et p,Hlicul1ên :rueot un cd1fu.•e ( ;ut pour- l’ :i~emhlt’e de, Htlt>le~. 1 fid.n"- ~, Oe.1ca Knf, 7cn Lr& 1Jn,~brt4 aem• blt"Ht ~is11Hit’I' •1u1 l11ue lliu,c Je n·cl oppo ;è ;. fo lu1uif"1·e ; l’,,l,J.cmittl t’~t uot : privatiou Je darte · la unit c.st le tci-1up. -, ou fo !’loulcil n"tclafre plt-1 : 1 hont.nn .

J’a. ~M ~•, Lns.t’tl... 1 nr1k...,’"U, Le /t !r,l/t’ t-41 lW poiut ; 1~ lim,tu M>Dl uut..• li~• :t• ; le.~ /,cwurs. un oL-. t..tdl !. Lr terme ".J1t uu l’nu Jl"Ul allt-1· ; lt- . l /,. 11111,·1 ! !ut1l t·c tt« 

1

un nr- pe1JL p,1 .. pa- . ,, -r ; Ici (,t•flu•s, ce qui ~[ll :tbe Oc ~<"t oult c. le lcrmr tl lt) limi1~1 Gnh,,.ot l_. 1 c.hu~c ; I"’~ l·unu, la ~outienn11 cl ;ml’RU -i·a.,utf’I, Le... ,,, .,,,,,, J’rl’f'rt’J .)00t C. :t :UJ. que J’u.,J~t- :t ùlllS~Cl’tl petllr 1c. - 11 1h·e 1u·cc1t :mc1tt lt’t ic.lcc~ ; le- ~ 1wo11rc1 ,,,_ . ’)unt , ;1,111 ~ tut !lUh qui ont ctl.’ employCJI pao JH~r~mmr • 1• :n· l’t·c-d ~ oin. La jo-,Ll’ :a,é tJ.m" Je h••1,c l ~~e <Jllr l

1

00 d1oi1i,sc l,·s fr, m ., f’"P,..

111 t :.onfürncc ,tnns1,-~ citatiuu~ dcpeo,t Ùc• l :i tiJdi

!t r ;tppoue, 1~ l’ropr,.1 lt1me.s . 

1 Uhl.i&., t :1•vvv1.’ .Tl :., J ::y•·J, l 1uv r.c11.. ti·rrcur cM uuc ·iolt"ute peur qui olt.it le t"•Ju.rage cl j1. · t1r le i.’~rp, llJ~ un uemhlrmt"nt unhr :n,ol 1•~1w11,·1111tc t’" !ôl uot’ l,’l,a,ndc r11•ur <jui Jouae la ...ignrs ,h : l’e1on11t’lllrhl I de l’il’t"l..j_lQ ’rt ue I’ 111c1 p :.s la ,Jclib.- r.itl1}n ; l’,ff,·m - èM uoc J c.’ ~lrimt•, qui bunlent•f !e t.’-g .1lc1nrll lcc .,flh-6 1’c~piir ; 111 JiaH’tlr ,..,, on .,,iulcul :.ne~, ùe l’e 1111i foil fti.’l~ooÏwl’ lt c :otpi etb,,uhle uo, 11ctascee J ;•,i,r, u,• u•3pl’ime •1uc l’tlff’l ~Il’ ! f.tic jo.ruaie a pli.’luc à 1o C-,llhtJ : ou clil c10.’un t~ tan c.,t la lt ll"ltl" t’t 1,,,n la fi·aJ~"’ de :,,v"’ pt•u11lt’5, l 1’T& :, Cu, r. L,• &ecuod u’«- Üi, ;u•~ -

TJM cunrit•rll mica :s.. lot~t1u•n car

,,m•stiou ,le t•l.an• ; t :lu-j, lo111qu’il •’at ;it d’o1Jrw ou <lL• sobonfiuul ioo. J .,1 litt : d’uo 11111.til lou ; ht ,·lu J•uu p. :1ni. l !:ue à la lite ,l’11rtt· ;1rmé,·. t’l cuuuuan drt• t·n du :J. 11 ~iec.l : :tu , :hrfd~ murchct• d fa t /14 d ~ l’à U-dU[’t-~.

UTO, E :Ta’. -Ti, Ot•J !’CIÂ1"Att Ü~Tr~r . lJnc b n-mt •ur ~}>i"ic.itUC, u11 . - ;trar1f’re tmtlt’r, 1111 t :oût d 111d,·rwnJ~oce. fout le-tftu ; un p cri1 eap,i1 • une lèle :Uhf" J P.11uuu1·•rropn :’ f1 111l l’tn///~ ; 1igm,.. r.- n1. : t•, la pré... om 1,1îou I une a.n .a., -1"11~t burut, font l"opmuitr, ; l’uiflt’. .ibiÜh~ Jn l !",Uitc.·lt !n•. 1’iropati. t"uce de lu couu,1Jic-1io11, Joni ful,sli11t.•. 1 ..r lit•

tUI rt’ c111’il vtnr, il n~ hl• Mu1<.·ic J• :»s de et ’jt1.•

vou., Jitl""’ ; rnu• ·,a ntlll c~ qo’il c rc :iit , il u’c·t ·oulitl’ ,-r.11lt•1ut"ut pa4 ; l,pimJt,c n•ul D,ir 1 ;1i&on t’Onirc tv1u•• rnison, 1l rir ~e tro,lr.t ja111.1i" ; l’ol,,tw• , <’Ut m ;ilh1·C ruut ~,. •tun loi u11p1n~•• 1 il "1rnll plu1tt ,1uc de i. :~dn. l E.~-rt.1t.

1’111t1Uhl,.f.("IM-., ’fUElt~IONll Al, _Lt, (Uf’lnlf’r Il• gpiti1• OH 1111dtUU1r.OI riui H·p1t-~rute- ~•u. ,cu. lt• d1•lllht’t11eOll Je cl1 ;,ltu1 ou. dt· froid : lt' >C’t'OUd est ûll ilatrunumt fait pout· Ull",tllt’r c~ tl.taugtt· mru,c..

’J ,r, h,.,’(15... Le tic rt"g :o11·,l1 ! lf’t 1ial1itudr.a du curp, ; la mar,1r, lea tra’Vt’l"I d1• 1’c... p1h. .Au fJgur~, lt tu· tc’ol U1H-’ 1wtitc mn11ir., plu, Jliltt).&Lle 11ue d,~nt d’uuc 1. ;1. :1u111c~•1 i,cu.,1·, Le, ;,. ..,.,, plu" ùète ; b ,na1,ic plU’.f foll<.· • j•lna, foltt’ rlc r~ÏIJU, l.es pc1i1., npdt."’ onl cl- . - -1 tiu ; le~ prr :iouutt a1Jt"otr.a onl Je,. m,wi, :s.

luMI-, l’1- .. ~l .lftL, lt..’.'rlJl’ :.L, Co,c-t·•1.1VRI.. r. .r.i ûs~ù ,. ~ , forme 1.-r l’t•nu,•lac :1•.ueol ,1,.% tlirf, :1r11t1 tib ; la fi.sur,- t• :.t l.1 tJUalilt~ Ju tu,11, 111 eunnit’ra du JiL•I’ ln m.. t’O"t1uhle ; le ! ûvru CUill(lfCUtl Ja m :llil"rt’ t :l Ici f..içun ; ht ti,.,,uc lit : clê~ii ;:11~ que J• ’)Qnli1è. Cea tltun. : mul !i <tlprimrnt leu v,ul 1..it·h~ cul1<-t 11c ti~,u,r , tf11ft lu ux1uu ,·1 lil , ;o,,t,xtm·it, rêtluitc~ :. 1’idè1· d,~ runitm tlt•J r 1du,. <l’un tout. NVN’ l’ô1J>p.au•111_r . dit IJII ’ , ù’t.>•î.bcnl p :t~ U lrz.. tnni r&t l’oi-dü1111an. :c rt- : .~ u1hn11l 1fo la 111- .prn,iliuo J,-s parllr, ; l :t ,unlc.r/lU"’ , ~•

J’u1Jonu,mr.t : de,

rnppmu ’I'"~ le.~

1..-. i t i~. 01,t l••s 1111~ :1 :trc, IN autrt--"t, ••• a,rc le.• tu11t. l11.tll ,ird1t nu ügme 11 nue ~oite cJ’actiou,, ,1,• Ji :,cuu.r ~, tic 1.·Lo~t -1 rmh.a)nt’es l.’3 noc :-s o,·ec 1,.,. imtrr’l 1 el ;,Ct : h.• h•Ut On tut s’t·u 2-t :!lf qnt.’ d.,u.., lL" : m :mnf.au111·u pu11r ( :lpritllC’. J t’t di~1i11g11c :r l.1 maui,·11· J,,111 uue f ::tolk . :,..1 tu.sur. r,u11 ~ c- :, p.. -a nilll’, 01c111 PU iuopre. ,11

1 Jii lt 1l111Y 1,onr tJ..ttriu1rl· Ill li,u ... un el l"arc.

.n,•c111<.·Ht üe, tliftc1·("11k• Jl#IIÎt 1l’un ,llia,u1,,

~

1•

cl l’un illt , :u11kl.(urc : dans t’ me.me ~tus.

DICTJONNAIRE DES S)~O :î1 :1IES.

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L01u•, Ton..r1.1t,. F~u · toile~. oo entend lOtl’ ;i, r•~pnt ;tliou ; J’i11j11rr. rtgardc le& ,1_11olitc_ . , pcnon-Jc • ti..,u11o tic, lin on Je ch...u111rC !; ut, p.ir tui !&.•dcs, udlc,. Li. ; prtmif"r nui1 ; fa seronde uffe11 :~• . toos 1l’1 tis~u, clc t..•otoo par ou t :0’-""’""6. : _ ., toute. -. . Tm c HA !’fr , I•A .1. ui1’CQt ~.

Dt3 r6Ut"l.Î01h IOU•

) t" ! Ctt,ffr°’ Je tùatitrt•f ,·,• ;;el.ale,, uuclt." !i que de du ;wtrs .soul ,~11ont1•t’li 11vc·C - ;l111plic1tê ; Ir patlu. -’ti-

cb :1m·r,, on clc lin p11r.

que c,t n4.•row1•1tbm !’ d’~lo11ut•11ce, de ; :•~hlM, flr-TuL ~ftEA., Suurv&ut-, ’PtlMLl~nu :. Uu tuft." .1V ! le~ 0,001, ttnf"Ul !or, d’ ;u·tiun• mtm,_. .. •JUÎ le Ivot touçhet cb~f !’i 1 lor~<1oe 1 lb co110Ji.s,-an1 et t1y,1m le pou.. Je prt• !J ou [Wcllu, ... lu wul prut êu·c lou,11,ud ; le rou· . - 0111,un 1 on 11t le, t·tupèd..1e-p :,j ; ou le :i : sou/ pt1tl,r :ti1ni• ~tt compo !i~ dl’ plu~icut.. M 0

uti111l"Ut.n

/ntt Jun,p1’ulJ ne li’y oppu.11e p. :u1, f,,ia.tnl uml,l :rnt (JOÎ denun0Jt1ul ou~ c1ptc-j :,lou uo pen plu<t pro-J e lt•, iguorrr _, u11 ut : pouv11nt ft !,j cmpéclJrr ; un luugrt !, Uo peat (lt- : tuu. !,~ttt par 111 ~ttufo :-. hu- )ea prruu.•I, lol’ :'(11’rm le~ autod~e p :,r uu t :tm~cH• phc1rt ; 1~ p111/,, ;-h’}Ue Vf’Ut tout 1r- luxt de b cluulcnwnt formel. Tu/ ;,.cr c :t 1011/frü’ ue ~4• tlh.cut ’lu" 11•01. Cc qui t".,t tuucluwt peut CfM’ttl l’-ànv. : t’.l :se ponr dc1 t·ho,t !l 111,1uune, ; FNlti Il~ ’-C tlit et l’cur1ir .~ l’J1é.-01~me ; le pntlu :~i,1u~ l’o.mollit crl nt" p our I" hieu et p•JW’ le 1u.1J .

la dl&pu.,e c1u•.1 fta pitié. Lu umd,1111/ peut n’ :~uht•r lcP,tut _,

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La J.u

~i 10pit’ expo :,e tlrn -,c.uLi111cnl .tflt’mlth~..1u1, wml,c et lt• 11,111l•r.nu out Je, nwn11111eut. -. ~ te,,’•., : 1wbl~ on g~11t’rc1u.. ; liil , Ill" de l,1 Jonlcur prodoil icur lt•s sipul,·rr.r tl 41U utiHcu ,1~ . ,t :rulo·,s. L, le pi1llu :lbJl1t•. Leu.~ cbvM• peur ru-e loucluwte J>OUI’ tur,1/,r. r1ol pi-op1 èuu•ul la tA hie dt, ée ou pl :i.t•t,• une rit-nooot ! cbr-z- 11ni dle rch1t’1llc cerl :1i-ue :; é.iuoru >-tle»u :, ; t.le l.t f<h ;C 1JUi l !or.u1eot J~ O . .,C’U1(’nh ti(,n, ; Jt : pnt/u.’ll’Jtl~ protlnit &OU tffot 5111’ IOUS J,_ :4 rnor,., i le /un,/,~n" , :.. t uo ou, raëfl- de l’art t--CUJ. qni so11t U~ccptiLlrs d’~ue -u<lrb,.ie.turnt. e ri~è

. ... u l’laun11e1111· cles mn1h ; le ,u.’lml, :n :. c .- t la Tuttlltl, CuN"f.t .h :t&f, llr.o .,nnt :n. Lo1·sqae ,1Jpultnrf’ u,, •Ont ,ioe tl•, fo,- .h

-,. -eo,t :.~ CH .le-i noos .no prcnuu ... l_jU’unt’ ! Iègc·ie p :.r1 b la chose, . 19otcrn11us frrnu.•, pc.,u,· rncht’t C’l (.·cm-,omN lt>,, m1u, pouvun !J. du·t qo’dlt• nou.., t.·011cr1·11t : ,· et.

rt>~tf’& t1t" mort,, L- ;1 .Jr ;11d1tt,·d e :.t 1~ U, u t..’Olh,1- fo1’ !lt.tù’,•lle uou !’i e"t pcnonnell~, elle n.Hh luud,I’. r rc p,n1r u•,vlre Ir, ; tlc,nit-, ·~

1lcv,11’l ! Jtru. uu ;.rl.$

’lo,rul.tt, :l" :ua~ . Üll tuud1~ h•ijhettwor ; QU q,u y oui INH’ ,cpul1.l’I' Cl’II ~.,t ln, ;i’r. :111, t., rv)-. e mn111e ;, pldru, umiu. Ou tuucltt ! n110- coluuue i ou q rJi 1·c~uit h.•oc~ 1h•i1uui111•--’· 1 ’" 11r, ..t .., ,..n 1lu in11t mrmie u1w ~wf(e,

ur11l...1rr 11u’ :iu H~utt• ~ oo t<n p :uhrnt dt~ tumlu :m1,ç 1’ottt1~1t, lit.un ro111.. Vm.•thm t.lc tomdH·r fait dt .. au6Nu, ÙC’.s ~ai11f~ .

ur+O- i11.1pr. :-s,ioo J.-us l’.iwe i l’ ;,ction J’dn,tm.1·01.r "l u’.Jk.l .& N ..A t t.r,Ac, l’o,.cofn "- Tt :MI&.. Tombrr lm c~1U !’ie unt• agl,iiliou : l’iruprts.sioo ru·odoil l’.11• par lrn’.t’ 'M~ dil de et’ r1ui. tuurh ;mt l,1 tcnr, mt g1t. ;Jtiou. < . :o <111..i t,111& :ltt e :dtc la RU11ilulite ; r-c et.’lnt dtJ•’ ,l tr<1rc 1 t11n>lie tltt •l hant~ur ; cf tomlur 11n1 t :fllt•ut t’xcile nue pu,io11. On c,t ltJfrol,, : dt : ti lerrr_, dtt cc> qt1i,, « :tnul è,le-,•t’ au-dc..SUS dr ttn-e, pniC ; .lU f’~I . :mu !l tu)n p,1u touc !ti ; clt’ culèn·. 10111lu~ tic h :111t. Cu arbre tombe par talVf : 1~~ ’1uc,ouu, W1n1 ?fu1. : .LLt’..Lff. C1.·

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d 1• ,lcl~itl ou d" cen,. 1u-c HD curv. !I t."’,t /nrh, •JU :incl ln Ji-1,’lH’ c1n’nn dei. !rtt., t.•n Au.i -. . . aut la. J .irectiou il e--, .t de 1r.tve1·", 011 mal ton, tu’.• : il u’· R de /tJr.l,1 ~u w Le 1lt•’i p :11 ti~, rx1i•r1t>Urt•~ tl’uu coa·p ~ ou d’uueq, 1 e oc qu’on o tordu tfc forr,• f /1)Jl1h : t·xpdme- ile ftc-othlf .. de UlotJljerc :,. rfll’tllÎI’ ou poi11t tl’ou l’ou m ~un• 1111 nar1uut à l’ ;1,•tio11 cle lo1Jt1rr, lèrl1c.- c111i é1 ;1it p :.ru ; fa ,,reo1,f,irc11ct· t’ :, ;t la- Iigu~ c -ooi-bè t igoilfo 11>nruer rn t.ljHth• ~tlh ; 10111,l~i ~•~uit.ic dL·c·dtc ,,u fortnër pa1· les p.artit’-i d’un corp-) QU /or’ !'h-riq,lu~ïror, toun. pins on mum-, se,·1t !, ; ce ,le l’c' :iJMf"e lt :s- plus èluisn~cs do centre ; li, cir• m ot u’l.’mportep,4,s on .l, :1aut : ~u fit~iue. il i,ÎgnUi, : ctûl (il fa ligu4 ! ou le : te1U11. ; a11r1url .iL0110. -. ~ c111 t’l ln11tncr auh)t.lt’ tJ,. fo. t ·bvw, au 1 ;cll J’.ill~r ùroit, rhn, lt,IUl’l st ! ceufcrm(’rl lei, ~•111·tit• :< :1 rl’no IJIJfJ’" d1N1 :hr-1 · th :s dc1our’i-, ,le.• .. dd~l"’,

,,u tl uuu etendue en fon111ml dc.<s tcmN, et,~ clc• 1o"T. ""11.11 o,c.a : , Uo,.,,, .u-u., D~ 1ru v.KT, Lo wm·~ .. •le~ tel1Jur-,. Yvw. fuilt.’"§ lt" t11ur Jr : la ,’ll1c ; lori lilc,,f’i 10- thoi.l ,le c.,_,J.,i -1 ’loi ou le fo4Ît ; lt lt· cor1,1"’ ~ .a,1 c11•t·u,Jjère11c~ m . . r 1104~1-• par l’etll’tt1Hk ,~jud,cc nuit ;111~ iulc·rt’tli" clt• c.•c.·loi ;, r111l or le de :tt~ fJartit5 ; uno rllo,c fait uu cireuil : von& tra.. po1·t1• ; J,. . i<’m11ur,.,t. t’ 10,t- uuc p~rll’" il ct·lui f(UÎ le t’tït t.._ , t :ir,uil d~ 5t•n t·nccintc. u mffrr ; lt dt’tr1mt•11t ,l~t. - 1101 r la c.’ho~r. de t·rlul I l’vl T. CtHQ.t-li. Cl’ !i ,lcn.x. mot :;. clt !ifGuctlt h.t •tu.i lr 1c, oit, L~l11te11r t.ht /111’1 r,,.11 &UH bitn par lnt :,htc dei iollh--irJo.., de l’r.,pl :ce : lcmt ~,,ppc»c. - 1..-

ru~l J’i,rntnti : t’t l’oautr,u ,lu l’"'-’J"dœ, foil . -. on l’uo1Corntit1.1 ,hu, le ,leuul. tit ex.dut lt’A c.J . .Ct"p• an~1 Le 1 ,l’ou ,l 14 :0,ulte ,pu...lq111.-

111 :11 puur-’urru-i ; tio11, et lts ,lif(ercnl..., .. ..,, clwqur, inJiqu.c uéce :,l’a ntt·m · 111,1 ,-1,.,,,,.,,,,ar--, fait not .ac1iou ’lt.ti c.l1t,e le &1urc111c11t lw. cli(iCTtin< :N clan :, lt : det~til. Tout 0

m•,I d".,n1a-111 ; l’..tu1u1r du J, lrÎ111f’.11I f.11t mie dlo.. i• lttt1muè a J~ p :t.5 -.ioru ; .,./,aque hom1llC n bB. p .t~· qo, d1•jt.’Ul n11 mnl 1,uuc ,,u1rui. Ll• tort M" faat -siou dr1111io.1ot~. J.n1nci1Mlcmt.·nt .mx prc-,on,u :~ ; le dummn •r .ttta. -Tnwt C11u :t 1 Ya1u1os. L ;.1 . 11 ::rlio,, est plu.. ’l"" 1Llt’Clt"111~1tl le• , hu- .. ,., cl rt-J,1illit .i .•n· Ît>:. ptr• lhtè1. :alc. plo" ’-1tachct : au.1 ; yuocêJts J.t>- l ;i laugot< lônne’ !t. ; l’ulrc ,fo l"}"’l1u r,t }Jlntùl n,onilt’, cl u,)l’in.,fo ; l :i lr,1d11dm11 t.’"M pln11, occup. -r •ln food ttUc c.lt- ,lerrum·"I i’" p1opu :1Ut’.Rl phy•"l’"·’ ; 1., dr, pc :n,èt"". pin~ ath :ntho ..i lt’l [HCS••ntcr !1100.S ddn.mrru l’1it nu., :1llca ;.itrnu, uno t.11. ;n,J..auon de I

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1 RA1 !f, t :,,tt111°GL, Lt trnw I f’f ;lirde 1- . t. ’5ntlc ; t•., :•/Wt«rfa, le ~l’th.•c. Oo dit ou ijl’UIHl t1Y, ;11, l’l IIU Lc :l , :’,7uipao1• .. Il u’r1pp :tnient ’-ju·au~ JJl’jJl<’t rt no~ gl1ou)._

M. :i’-i11i•LJrs cltî"OÎt· clt’s lntillJ umu-

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ln 11.’liUl, hs111A1""i8k., 1’1-atin·r, c’e~t lirc.’I' npii.• soi i r111rnt11n· , c’thl b·aù,n· :1 ,·ce :.oi. On t,-miu ,1 la :,uile ; uu t>1t/t•aù1c d,Uh jOJt < !ôUh, De :i d1e,au. :. lrntiu•11l 011 rh,1r, tt <1flt !lqoefois li : t. :bar rntraiitr lt· ~ chMllU-X, J.3 uo~nt’ tru,i,~ -npt’ca. rllc des lll :IUX ~au~ fin, t :t c11lrm"nt> u,·tc :- die de~ 1n,1nx ~•uls noru. Lee, Il fout l,iea ln(.im•,· ~a d1t1iue 4u.ànd on n ~ pt.·u1 r,.n 1.-

pot ter ; il ( :int l1ieo. e11tral1Nr un iu•

"Nbé ,1uonJ H ne "trot p :1.$ tp.1’011 le wl !nc :. L’.,u ;• tiun ,fo tou·m :r t•, ;.ÎJ ;t’ ni,e (r1rc :r quj pui1sstt- ujuJbpln •a· c .rune n ;,,hit. :,uce ; cellt c1’,·11ltaû1e1· tlvn.aoih. uac plus grande forre pom· trio11..1p1Jcr tic toute ré. :sh,t,mcc. Des •·hcvaux lr-nlllt’ltl on cl.rai· ; le t hai, etllraùu l r.b "hc" :- .iuA. tians out’ pe-urts rapidt !. Le" 1uiiut~au :t trainr 11t du :a :’, hle ; rti, t.orr...rits t’lllrnl• 1 :r.1 ~1. l()Ut ce_ ~JUÎ i( ! fflJU’C ~Ql’ foui· p11.’ .ls11gc. J AlTf.. J I.JF.’r, 1 tl.01"U,, )..,1 troll ;..• t~l Pt !1t"11tlue du cùrwirt d’un lit.ou à 1,m anru• ; Je h ·r’Jt’l e~t le p-assusc qu’il font (n,nd.ir pour alltr d’nn lieu â un ; :1 uh ~ : nu dit 1ra. :1,1, t.-n pndo1nt Je la tN’l't• .

N trn/tl.., en parfont tlt>~ c1utx.. On dit popul.’li.r~• mt :nl /t’OIII ! da11~ le .st !n~ dt- trnite :ellc è. ! -Sl . :u pc :titlt’e qtw I :> trnitn t·,t ••t1 gr.tnll r l’l 1•,•g ;ard.è 1,arlΕ 1.•ulic :l’t•me11t Jc :-s gcu :s à pic·J .

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do (rtûle’ l’Sl ..r~1 :1hlir lt.s : -. 1ipuJ..1ûL11&S u•..pectlvt~j l’ulee dtm1L1anu, du ,narcluJ e.st r.dlc c1c foirv ~ch~n.gf ! de valcnt·s .

Tnt :11A :n-1 Di.ct.irF, .PinitA1r1othf.,

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ll !tr. lt·, àilfll’ultêa-, : :iplaoi.t If’, ; oblt :wlf’"s, t·n (r1m. clwnt : cw tJlli c-otr :Li11t fe juëcun~nl e.,t Jù :i1,f ; n : qoi ,u àOuffrc plt.l~ J’opp~iliou et tJUÎ irnefllil Ja , t :t11i’JUl’, c.•.1l pclrempluirr. 1hwcfuuJt rt JJc :isif !>ioc ch.<ttnl ait..-. , ; ptt1’Strnue.... ; l11om1ue : trr,,u :f,n11/ uc , ü[L pnint •le : diflioolt~ ; l’honune J,. !d,i/ u’a 11uint de ,toute-.

’ln, :’(Q_trcrt.t., C,1,,».a, l’osi, R,u1s. On c,<,l trmu1ui/l,• Jo1 :1•1uc l’uu n’a p ;1~ tl’~giu.Lion d’è !:- .prit ; 1·nlmc, IOlHtu,· aocufle pa.s,i,111 m : lrou1,lt ! Je c :-o :ur ; poJc°~ Ior~•pu : l’on nr be ( :uf1,., -,1e p :t’ par cc1t.1iu :mu 11vtmcoti inu1ilr, 011 d-,t"tt,lC-) - ; rus,1ù _, lor., _ •~ne l~-. ..

c"tpritt oa. les : :.tns uyitc ::. mu rcpri :. lem tnm ("il/ile.

TtLl ’.tQUl t.1 .cTi , Pux,, C.Ar.,u :. Ce !, mou t.’ ;lprilUNtl uuc ,itmlliou •·xt-1111 .ue cl’ :agitation ; le ruQt c.l1· tr,wquillitJ ne n :~••1u’dc pteci.,t’m<·nt ’JUt : la sit11a• tion en cll(’.uu .~ 1uc- e1 c.l :111 .. lt : 1e1up :s ptè.se,il ; celrii tir pm~ 1eg :.nJc (’t'lfe ,i10Jûu11 par u1ppm·t illl~ ~ uncn,is qui. pot>1’t" ;1.ieut }’ c :,m~t -•’ tJe- l’ ;•ltcrnûou ; t·tlu i Je calme ti

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cn/m,• nprè..’i l’a :. ;ilaliou, .L.1 lrall’JllÎllilc’ d-, ; c. :u·ac. I C’l e tient :’1 une ~eu lt.’ ll°imli«c1·enc~ sut· cc-unin., : ,hénemeu~, qui, aOU ;, ,•1npt1,·h,1tu clu lé, , ;c. :otir ou Je lr. !5 appi-c•dt-’,'. nuu. ~ u, ;1Î11ticnt tfo1v. un ernt ’toi e .. t ,l :111 :i lt.’ i :.a/m,•. l 11~ _-uJl.l , :l’flm , -&t 1w~e1le nuri ]H•ur 1e.- - .lc1.· irnnwlult." n,1 n,i..lieu ,lu .a ~ita ... tion~ ,111i l’t•u,irnnutrul. Lr.s : ;c :n- .

inq11if !t~ umt

j ;.m .1 . .i~ de lra1u ;11,ï/itr- tJ.,n :. lt-111 · iutcri...•ur ; 1c.• !J qoerrll ~or !i ne : wut ~ut’r.. - rt, poU· u,·c~ Jeuu vui’.-ins : pltt- .

fa l’" :.~lon a ,.,. ; ,u·u~t’U.’IC, plu~ vn goùu1 la crtlmt.

’Irt, ?f !it. :ruttc., Corur.. Trauscrir~ signifie ~t·rire unr ac-co1HI~ fui- .• ll’,u’->p0ttt1~ :,urun :11111 c papie1·, pot’ti..•r d’un livre d.i .ru, un autre ; copur, c 1

rsl

S6

DICTJO~XATRE DES S1- :Xt1’XYIES .

fÎlC’l un rlooblc ou Je., clooh1e.s, pour multiplier te., c~orn1•tut<"’,.

TtU ?Ul ;.l

1

A.. :OO !MU, I.e~ lrtlll.ttJ ~OHl les VÎO•

Jcntt :!’t ag11,1lioo, de l~ peur ; leo, angu1ssr--1 sool le, wuu11 :... ,lt J ;, douleur.

J’ft.A ?Ol’Of’ ,

’l'RA- :’l'S&.•TIO :f, 1’R-1’1'f’.l’08121,

TaA.111 .,rilLR. 1’rallJporl c :.l 1u·,·. uiue tl.uJjoo~ po• J :tment pby~ic11u : ou phy :.iyucmient ri~ ;o,.é ~ 1~ tm11sp&J1’i1 de l’admiraûon. L• /1’a1u{a1,,.,, ; c.o ;l du . :itYlc :.ucrê, ou lra,,sj :,•~ rles n•H11uc1$, un uom ile d~même uu ell’tpitv ; Jrmuf,iur ~SE le p)Cl., ~oti,·( !11t du :.1,·li ; de prati«1uc oa d’a,iwiuhtiariou ; Irons• /efr1.1r 1111 pr~onn :iar, tra11,Jirer de3- bu.rt :;iU.K, èlC’, On .-, dit -au. ~ i .i trn,11/ir~r uu ci1oeùè-re-. TH~v.ur ., Lwt :.tai.. Le llvH·ail f.l .)t Hoe :.pplica• tiou suJgueusc ; le lnû. :ur c- ~ t un 1r.,,·uil péuiblc ; lt" lrai. -ail occupe no !t fol’c :es ; le laln :.ur e. :cigc Je~ cf(O.rl., :.outtnrut. L’horonu.• c. - . 1 né pour le trm·ail1 le n1all1(’u1’enx ~t L-oucb1uue uu lahcur.

l’~AVLfl$ (A), Au TnA>vftt.. !,, A travers marq11C’ simplcu1r :0L fadlon de pa,~r,· J>ar uo milieu, et d’aHcr p. :u ·- delà ~ ou d’uo bont à l’autre ; au Ira- •,.,. ., . 111orqn.c partkuHèrcmeot r~caîon Je péuctt-t·c1· dau ! on u1ilieu, cl dci le pt-rctu· c.le pott co p :.rt., ou d’un’ ri : c>n uulrc. L ~ lil pa~sc il /l’ni"t-rl U 110n au tt !H’t'I’~ de l’tii_goille ; Paigu.ille p :rs~e au lrm•(•FJ de l’ê1orfo 11u’ellt pt·,ct-.

T1tt.UU’lltR, 1,1vNCOII, Ou lr~•ï,uu/t.c lonqu’un pttrù 1•t,quililue t’l <Ju’ou , ;i h :,10.be1 ; ou 6nJ1u :he louqn~on tait uu rao... . pou,. Cdui quj o’., p~t.$ le, pied fot me r !it :mjet à tr11l1rulu-r ; w :1.fs celm c1ui m ;u·cb~ rbU u11 chcnun wauv.alS et r,1botrJU~ ~ r aojcl :’l broncher.

’l'n.i :ru. ~10ftl’, Di.ci :~ . Trt !pa5 est potitiqoc, et cmpôt te duu. :, i ;lm idêc fc pas13ge- d’unt’ ,·te à J’nu.tn•ï mort t’ !il ùu ~tyle urdiunire. et 5iguifü : prcrbr’ :mrut la cc~tiou tlc.i ,iu•c ; dici :.J f’bt d’un 6tylc pin~ ircbl’t·clté, 1cu11n ! un peu de l’us. :a ;e c.lu p.il.d.1, et toarquç lt : rctroucbe :mtnt du ooruL, e dea ""i’ :tnis.

l"ru :i, ro1n, l~n :«. Tri :s marqae prêcisCrut :nt et scult :UJent Je .iU(Jtl’latif. ; fort l1t m :irque moin~ prêdsémcnt ,i1Vec nue C’-'Jlt’.- ce d’oftirn~ûoo ; bûru np1irut uu .srnunwuc ,J1adu1i,"tion.

TaoiVl’.E.f, IJ ci :v1J1n.. A11v,1 :a.. On trompe tn Û()t,oanl pour v1·.1i n· qm c. -.,t faux, puuc Lou cc qui f"ll iu ;innti-. : on HJn~ •’•ù ;otl, ru fü1.t1 ;ml ’O :, goùt& el t :U ft1gnJUt d’aJJoptrtr Q :i. idée :~, O !t upi• uious ; on ’"Otis alms11 .. ru captiv :am ·oll·c t’ :;,prit et ,oo~ lh1· :u1r. à la ,~dacticm. On trnmre : celai qoi "°l’ lab :)u tromper ; on J~·~•v,i ct1lui fJUi si : laM,e C3J1ler ; ou alnJJè lt>lni qai .ac luis~c C3plÎ.1i’C"l’. ’laocu :, lh :’101 :. Cu,1r.r.xo ;. la h·oupt ! C :!il airupleuitnl uuc 111ul1imd-, de g,·w : r :.s .- ,c,ublc-5 eu un lieu ; .b /,c.ru !e e$l t111t uoupu- Je g~n :, ùc la •

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’ :a c·oq~s opp_ttJUt’t a. un ,ctrtaio ~~nte J’otcup.i -HOM. <. :c.s trv1 !f 1UOl !i $0 d1-- .cut c1u~~, des animaux. : dt~ "’"'J"’T cl"oit’~, dt..- , . hwtft-.r d"t :tourueanx tlt-s CDfhftlG_llir~ di• !-’rr,l1ü :.. Lit troupe.., ~, uo,ubr~ose· 1 :1 /,mu/,• ’li p ;1r d, :1,1cJunuton1~ ; lo. com1mc11ir Tj : en,c-mLlr, 1 l."t f~,rmu ~ne io1te de. r~miUc ~ t,’Oupe. hl uu mut .Jll(hffcrc UI ! lrùllfd de bn.giiuds., trou 1,e.

crl,·. . lc. 1/uml< :, dau~ le st,·lc o,·ùîo ;,ire, 1 ~ t plutôt

iguol1lt· <>11 111c’·mc• injurieux ; la lm11dt· joyeo,t, fa ln111,lt l,mJLic1ue, lJDt.’ '"’"" flet tilou., ; ,.-o mpacnic t’.)t Ut1t• ,1i,pt-Jl ;1Hon liouur,,Llc.

Tt11E, 1t)l : . Le- tuht : t"if, tu lcf"ttJl :ral an ,

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• :nqn dune l.1 ~urc ...,-h,ldt·i’lue et cn~u ..i . ; Je- 111,-nu nt nu vur~l,tt propre 11ou1 tcl u."11..ôc ; un dil, le tu !,c, Je c-} luulre cl’un ru~il, un 1,0-nu Je pot•le. L,_ . ptcmict· ue ae tlit ttnt dl,o’.') lb &dtnc,·i ; tu[,, 1·apillai1·c, t11fr Je l’utjt ;e)H ; lt> ~1•c·m1J ~I J’u.n O~t ;t .01dm11ue, _,uab jl 110 s’.1prli~1nc JHl’i è~ :,lc• meut a tult·, c1uou1uo cc !’luit teclkwtnt 1.... nu)Wt ! cbo1t.

Tt :,.l t ~· nJAr.fl& 1 Tc,1~n ;; ~i ;x. Titttutltnnu t~t ~ 1~Iode. ~ pul>li’)ut.s ; t•~ral~ous., de la ces~tion da tunwltuaoc, ~ ri. :u. prc· :1 con.une la ctiu~jj est a b(’.inou, de) s••n~ Jt JO !ltu·e. l.t : temps c.lca 1ace1• l’eolfe-1 ; tumul1tmi1"t : l"S&. lc n’.•~nlt,u. t ne cl1, ;c :os~ion t· ~J . -.r.mhle plus ordiuaiument ré)erve poar r-. tomuitut,,JC’ prù<lUil une dl ;où.ic.m t1unulluairt ; ni~Nuent ; lr ltmp, cltt l’OCfliÎ011., 1rn1Lle pl cfarn, une h~tmLlt :c. 1umul111eu1. :, on fait toujours 11pt :t’i ;1ltmen.t d~tiut au~ 1,t.- u)in~ Jll’~Oom·ls des unt d~cti,tn tumullrm :’n.

i ;Cfl6 de ja...,lice. Lt !i l :colirh 11c1dc.-ut le tttnpai 1 :Yl’li, ~tooi.1&. Le {r/’e po :tc : l’c-mprt :inte de 1

1wndi,11l les ·1 ·~ i.•a11,·rs ; lti. avocats clu,Hcul ~â• l’qhJel_, le rm,1/.dr ru 1.’" !.l la rcQlc ; Jr ~,pc VUtl"J Jant lt1~ 1 -actt11v1tJ. Oo ur peut p~- . tlhc 1•11c,1t1011t r<-pré :.l’Utc ~e ,1ue les objt’ls sont aux ytlX ; If’. l’tt ral’ !rml <les e111ùe,. ; m :d~ ou 1-u~o t J.irc : ’l n, ;,wvd motlt(~ voos mouuc l’e qoc les objet. : . doiv~ut êtl 1 :. tu porlas1l Je la ~ll .)pcnsiun pour un temps de.& Le hpr c,t tel 4ne 1A c-bo. :.e : le mod,lc- C .L hon, il l !lê ;111cc~ de" gc•us Jt ju~lice, foui taitc la 1Jho~e cfapn !’i loi. Vo,ts lirez de.., ;: c :o-A 1,..uuu., l’u"MULT.i., rm :annc rmpone : l’idre 1,it~ du trp,•1,ar imt>rr~. ,ion ; ,ou~ fotu~ dc1 copie- .i1 d’on pins grand bruit ; t :t /Jm,,d,t< • c elle d’un Jêado nu,tft’I" p.tr imitai ion. L’i1up1 irueor lravaillc r,uln·~ L :1w .&cule pcr~,,one fait ,la ·t ·th·armt ; waia sur 1,lt’s ~tpN ; le . ;ealpkor, d~~P’""~ df"S nwt !tles. tunwl,r. ~uppnM’ to1..1jonr~c-1u•il y .1 oo grd !nd nom-Tvrt. h.• 11At·11t., b1vnc.,1tr.n . Imprimeur- u~ d~si• latc Je g,•u,. racnrm~ u~ n di1 c1u· ~a 11ropre ; .c gne proprt"rnent quu Ct’lui qnl :,e sert de-- .. •"’3r ;to• lumultt ! se clit, au ligure, du 1.J :ouL !e cl Ju l’uçita.. tl"rc.- . pmu· l01pri111cr ; lt !rpu ;;.rap/H ! t. : .f .t l’ :u-tistc qo1 titm de l’iirnc. . ;ra,•e, fond. tl t’"dJploic ,..~

c :•.i :u·tictt’re !~ comn1c

V.tu,1A !t-T t.l V.A1t.1 .urc :.. t ,·.&r. :t.t1nmtTX ti V, iioprillleur. Un f..’0111prn lu.·,1uc()up dt• célèbres im- .Lli.lï. La ’L•aillann~ t• :i.c Jii ,c1t11 ou ,_. fo H~c coa

111i11tl’urs, mai~ fort pro Je l)fl :rrapl,u. ng(’u~e qui CQD.5.tiluc 1’11ornmc ·t)(li/lant, la 1-tt !f :Ur l~xr, l’LAtN Ce (luj ~t mit rù :... t p :1.s r :1l1uh :ux. ~ r :.I ct’ltc : même ·c•nu. qot se dêpluie : a·c -c êclll, l !c qui est rlrûn n’a ni l’nfonccmenl, ni c :lc. :’1tliou. t :l ,·cinJ l’homme t·alcttn.•11.r ,J.- u .,, lc. :, l’lH1tb.ah. La Le wntlnc- le pins 11111 t’ :)t 1t μlu,, l,t,•,1n. ; m1 p :ï)’ :i ,·a . ;/Ja,li"c aunooct :: b graudtur du cuurJgc, el la où il u’y a ni wout~gllt’-, ni valkcs, est ou paJ6 t•alt ur ~ 1 :1 i ;:randc111· ùc :. ex ploit.. ; la ·, nilla11" pluù,.

nrdoun~, et 1 :. ,·al,w· a1•cut~ . 1 1 bu, <JUt le gel : HON~ 1O !’ft I tOl’i. l.

. ’twio,1 r~ . :.r1le dt-ux cl.io1t’~ ur1-nl . ! -VÎI t·ai/lant, et le soldat ’l·t1’c111Y11~. ,liffl !rentc., qui se houveut cn-cu1Uc ; 1a junc/,0,1 , Al. ::fCBE., titA..’10S1 :Lk, I autc. ·1 1• iuppllt C un regarde deux cli06e.S ’Ill~ : -oc r.,pprochcut l’our de I combo.t conh~ uo e :unrwi c1oi tt’ ddl’od ; sttrmoli l’auhu• .Le mut rl’rwion n :nfenue one i<l~o dc- l Ier ~uppo~c dtta efforh co11uc, quelque cht.>&c qui cord ou de conumaucë ; ’-· elui. Je jon. :tiou àUp· foit de b ,·t :.i-tt.iure. Ort se sc1•t da wot nû,, ..·,’t ! • po~c un u10U’erueut · on dit l’,,,,im, lie ! coolt’u,o ;, l’CG. :1r<l dt’ p~,ioWI, tt de ec :lui de lliflR.Otlftr t-t la)11dw11 Je ; armée~ . U11ion !t•~mploie a.u Ugurti ; pour lesc uhsl,n· le.s et If ditïit :ullt&, l’uufot1 fait l.t J.UÏ"11- :llut·e d~. ) Etats. YAtlfCU~ lhn l, Ui.1 A-n . lino année c.• !tl rttdn• "li.XlQ !.~ , S1 :.u,_ Une c :Lo’ie ~"’t uni’lu~ lonqo’il eue qu,1ml c1llo pe1,l le tb,1mp Je LoitailJc• ; rllet"a t u’y c-11

. 1 roint d’1uatro dt’ 1 :1 mchnt e-"’ -IH-•c :e, ; ~lie l,11uue1 qa :i.od elle le pl’rrl eo h.hnnt b1•,41t, ;,Coup de t-'>t senl~ lors-’}tù•Uc u’est p,1$ : :11 :cvrup :1gnèe. t n IUOl"t !J l’t ùr ptisonujui ; elle Nl dcj ;1ttr. loutJU~ cet èufrmt c-1ui 11’.1 ui r, è1e ni ~œur !"~t tlftÙJlld _, an écùt"c va an poiu t q_ue l’...irm ;e t-il cktrui1e, ua Lomme ahandounè rr~te seul.

,~lll !mc.nt ~ff .1iblit1-, t1t/ellc : uc pf !ut plu tcUÎI’ 1 lTslç.&, Ci1U1T.M1.. l~•"·"’Ge 6tt1.1l ;la t~tre unket- caru11 ::goc. - . l 1lo~ ;rurs lt~Uttt•mx out , :1ê t’flinr.u

ttl ; la t.Ntltm,c panait loca)t" cr Jllos aucieuue • c :t• ’.",an, ,noir e,e- Jr/airs ; le lt’11Cfoblafo <le ! )~ perte que la phu g,.. -. ntle parsie dt :."- i,tll’l pr :.tiqu,•rt, cru nt b~tnillt, il.’ êt ;.ir.ul ~n èt.tt d't>n duunc·r uo.ed en t1 :5u ;,1~ ; <Ut (jUi t ::ot prntiqu1. : dcpub luos• nuun :.llc :: ,a ;ut((. cl ,lc.,fni :t ne 1"1’..1p11l11~11cut qa’.t tcrn~ ""l nnu cuulrime.

dt>; ;11·niêf.., ; <HJ dit d"uu rltll,d1c1urul fJn’H a li !to ’l.21.n, St.

~1 :1,.vm, C,u tOYUl. l’.tttr txprimt• batt11. l’tltliuo. l’le ! :-ire u~. - s c J.’nn~ cùo.se, selou le.· droit ’JJr Lll.L~I E’.'f ’Al !t. On .1 tt·.11t•i.mc ••nÎ !lt : ou 1 :1 Jil,elle tJu.in a tl’c :u di :4pO :iit•1 : .ri ! olt’f"1•Ù’t'),.- ,m11t c1u :m,l 011 l.l (ait . ! -QO sac,-i.à, 1 :t a, ,air, 1 pri1.uc. - l’oc.tioo de : 1ilet· un ~c,v icc- de qol’JCJUl· c :ho :.c1 ~ ;iq~ lrui1 : .rvu>'ngc tii.L ruaucp1ô- 11 .m .. . Il· prcuai~r 11dou h.• pûO’H)Ïr- 1.p,’uu a <le ~•en uitlt 1 ; ,·. mplfJ.rer c ;1s, l’ohjt·I t’ll 111,uupaè J1m !t I le. 11ec ·u11tl. Si , 001 cxpdtuc l’action de faire une np1,l1cutio11 p.,,•ûco• mt- 11 :t1lc.- r. "liUhl’i que je ,un, t°’HU·mh•, ,1m• p ;llle& lil ;rr d ’uoe L•Lote, ..dùu lt•s propr~tt.._ ,_, qu’dlc a 1 ,·t,,1111, ment j .ai vuu~ me. p :.rlf’-i : Slfnll me 1n•, !iUAdt-1 , et le po1n1c.,ir ,1uc ,·ou, avrt cl’t•n rrgl~r b dc.,,tioa... ,·ou~ p~1le1. ,·11 1v,i11.

tiuu. On ust : ,le la l’bose fi 6.1 fooh1i1ie ; oo se sut ’4Llrr, L,c..it.t.u•. rai~, à’applique i. tuu~ <’t'US d’on 3.gcnt, ,Pnu in11uu1 :1Hmt eoUlme on li· peul. qni scnc·ol ; l.i,/tiiitJ nr c•.tovicnt cpt 0

,1 UIJ.l’ !Qrlo

iconuue 011 le J.1Îl ; on rmploù, ltt (’I.J :O~t" :i, les pet- dt : clon,c.,tiqnt :. Lo p1rU1lt•r ,lr.’.')1i, :.né uu lwm1uc de sonoc~ CQJ1Hllc on le ju. ;;c t•oD’l'D~bl, !, li.J ég-3rtl se1 ,·ic-t-, tl le !U !t.’Oucl m• houuue t.lt !l>Uite. L’un à l’uhjct qu1il s’agit de r,mplia·.

c :.t vuur l’utili1ê ; raolre’ puUl 1·,,.,1,.11111011, Le-a t·sl’"tn’il, i :~~ ·our... , S’t :.Nt’41’ :r.- n.. L"si,1,1,•r, c·c11 pl’ioc·e,~ cl le-. ~r-DA 1J, : l,.,~ !’)t 1.·uuchliuu noul point prenthe iujwtèrut•at, par ,·oict tP ;1utorH6 t>l i11> th.- lrt7unu : lllilΠ: Je.) p1l’wî, :ni out cll"~ i•1tlttJ Je, poi~sancr : em•alttr, c-. - 'c>t prt’mhe tout ,l’ao c. -our • J’icJ tp1i 1’11 ,·,r1ctnt fo fuuc.- tiou. t•t c1m t :n 11111 p :ir ,·oie (le forr, ....1ulS p,C,..enir par ,1ucot1 11ue t.,icnt ;11111efoi~ lr nom ; les Meun.l’i oat li<’.,, lt.’lt d’I

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lO~ll 1tc• ; :i ,·mpnn·r, c est fi~ reo 1c 1111ut1·1• c il +cflr. d’uoc chuse, t·u prr•v~nilol 1un.s ceu, qru pru·rtll Y.A .1.t 1·rnt...·•u Jlll : ~ lf ,i.i .11tP, bftf)fr, C.. u,.. y 1uéteu<l.re . -, ·cl. ! p]u.., de : droit. Le mot J’usurprr CUY"M.t, Lo ndr’t1uli11(1irt t’"'t J’u11e b, 11t,·, .b1hlc : t.,t renrcrrut qaelquefoi, ; u1tc idcc Je 1r.shi1onj celui clurncel.1ntt’ :, it f.lod1aU pt :u de c :hu-,,• ptttJr le d’t :m•nhir fait emrnclrt., <luil ) n dt : h ,·iult-Ul’f j rrurlrc 111al1ule ; lt maladif ;i u1J r1 i111l1,c act.Jr Je n•ICli de il’nparcr cwpoitc u"c i<ltHt d’udre)’I'-’ tualaJir Joni a t-pruu,•t : &OUH :IH 1t. -~ df,.-b ; l’i'n ..

et df ! cUUt ;i•n(C’,

firme C-t.l :1fRi, ;i : cl"un Jt :1..11~c01cul .,,- ~ (’Il s :-.u~•

UTtttTi, Pao,1tT .. /1.y, "Nl’AGl, L’,11 ;/itc : r.uil Jn. !I.Oit par d1·p, 1Î !SL•m1.•nt, -,uil p)t· 1n ;1u, _ . , , ., . c,1U !!III aetv1ct : q,ù>u titu Jc. !i choats~ le proji1, du g :iio tution ; lt ,. ·t tt . ·ndn-mr- r- . . 1 pldn ,le 111- :1u,~1,... s hu <J1t11•Ues p,·otlui11,ut ; l’ui•,mraoc, delo r.omwoditC meor.>,s ~,,i, r :lr ,ic-c ù’oriHÎnf’ on dt’ mHt11011r~ qo

0

1Ju y nou,- ~

l,n wcuble a ~nr1 111ililtf,· une terre Le !, re111111e~ . p :sr !a c.· •,n-. 1itut1ou loJ•ll’ il,• lt :ur

ippt"rt~ tin 1roji’t
une 1,1,ude tuôlÎ.’ .iHG a ,ou :-ot-~c ...11111 [•lq- .

•·nlc :iuJiu,,·h, ’llll’ I• l11,,a11111·•

a•’(lltil’16"t !.

IL".i f ;Cll~ nu .h .nnb ~0111 1a•...,, .,,ui1t•iutot m lu/ifl ’ACL~c. ~t V•r.i .uo~~ - Le :, ; dc :nx. ner•t" pl,,drl, 1, ..., ...-ic-ill 1nh • rn g,•n1~,.1I, ... eut itt/u,n : ri ""• warquent le 1c-nq,~ mH1uel u-,.,011t 1- èli.tl-rio~ LL :.tu.·nup cl’t·11(.111h r11,·11c-/~1.,,,, • 1•. :it h : ,,rrt il• publics ; mais 1act1nc. ·c :~ ~c thi <lu l.1 cc~atiun rlu letu u1jtiinr vu de : leu1 uo1111itu1c. DICTIONNAIRE DES SYNONYMES. at iy hat awinito. dew vho- | val pune senfinedle ese pied. Lone et Mnatre veil: 7 qu'un Cane ane yetitable ; deren, cone prouver i "ecw pyaar en a Je pies |lout @ ln airerd do rong dow elles obnt déin-| d'une maninre coovuincante qnine chose est an woghe dn prriey vegle taser aine pact sa Ty givdo-duquel ollue sant mises] yale on Pelle, On bifie un Fappert, ane eit Gon wo Ante pas tovjours. Le mot de pric wap: | en toon tions on verifie fuswl lea faite; 1a wéréficarion pst squelqut rayiports a Pachay ) cement Qwe] Vein 4, Vaienen aon, Sonviiran, On} un woven Waydrw les clloges on nlqpére que lew ir, qan re ne jager de lo winter dos) alle d, alim que, pour nym) om veille aque | faite. ‘ aque pacle prin quielles coftent those; «kon execolion, dia comservalion; on! Veasen, Késarnng, Monier we to dit que die Wrenn, Gowers. Le velewrens pevitinanquey | veltle snr ce qui se laity arte tas gons qa Berit ta) Liqnaides s vetyrergartve ney le tle thivorn olijets soliton ntiPABe Ss Ne Molen ant Wwajoure galieg | ChUse son yedle sur les objets) ar les personnes.) or rassembles, ooimine lew iquides. On verse ei ale de Ja valeur, La walear pert on guervion |r on quien a dana at dépentance » sous sun | rpand de Veaws on répund et om ine Here prin pi Yo combative; le cuurdge, 4 leur tes dues | inepeceicny, en an garde, Ory avrvetile Wen haut ,| des leurs, des, semences, tles cignnaies, On we:

oh des cnlawiite, La weer liraee lo mort; | Hofer ¢ on snrvnttis Ajour, sur ont; eo air-)vebse que ee qui couley on répend tour ee yal

ge, plus good, brave te mort ot supports eile Iyy presounes: Vous voillas 2 vos affaires ,| Separpille- Les heiwes qn/on verte sillouneut tn tle La wudinr Gotemgée Ke eMge Aye colnty | Yous velllee sup vos enfants ; yous anrveliles eu ré-| visage; colles yu'om repaid Vnoudent. Ou dirw oh ronmaye partonay an wllinee, Pris Mund inal | glee coat. Ley polite welllow & hemes postas; les | mileos vere le sang din dlvogen , et fépandye le ’ qpoifide le cotige wombat Taurouey fa | pifticiers veiliqnd wir ia chose et sie les soidins; | sang dey pouples, Eu yeidenl , mivandre exprine wear combat te elyal, & Counson, Ve genéral eaewello tout, wt bes sueveliid tons, | idee Mure plow grande wbondanoe, Le soleil ‘AiG, Vaso. Vallée souble signifier un} Yous vellles 4 gore Wexogne, & vos alfuives, A réfaed lo Iinidee poe torte le tevvo. Les Hewes cede Terre plus chonde pot valon, an espace | Vestutceéts; Fone vellles snr yoy enfanla, sun vox | He pandert deny Fair eovitonuonl da paciina déli- yoawend. Les padies ont rood le mor de |domestiques, ote, Qaoiqne yous ayer conlié ¢lit-} efenz- Wa Opave qui déborte wpanil ses eunx ton plus uvite, yrtver qu'il, ont ajoore & ve | éreats soins, diverses inspectians 4 des persansies | dans la ewropagne, Un general rejrmd ves troupes fh ane uli de quolpie chose dugreable at de }qyak doivent welll our vous, vous sirveitlec | dims ley yillagus, Peeser oe se dik Bobo que dey abampitees of qac celui dv yallds a rejenu quw | tanker ivars operations. — liquide; son lige peopre ext Veffasion; eopen- Hse Wun liva bon et stud onto divutees Loux| Vireuuivk, Verssse . Barrer’. La velociie ant tue on die av figned verjer de Vor, de Pargent a pins dees, On ditto vollds le Tosmphat, ab le |de qualitéda mouvement fort at lege; ello wane-| ploines malas. gules eval quéwniw lide te paygoment oaivyepal ¢ | que la vitesae le ce gut eleva dans los airs, dé} Vasvren, ‘nage. Le watige est t io koord’ patlin, oie la (ible mabe due damwine| pe qui parr Vospace, la yilésre est Lo qitalitd | Joieee pur ua eorpy sur tvedpote oft ih” poses la ilo monyemenk prompt et aecéléré; ro mot ox-| (rece est oo teal de l'ohjut, jmprimé sar wn Autre prime ly cour prompté eraceélerce. La reprditd pa Tank vestige est die, ear emprelaie porte estla qualité du monvemeot iipltucns et violent, | quelyne forme de lu dhoxe; les francs ae wot paw On diva lo veloeiél d'un eiseom, te vitesse din | toutes des pesigey, ea les tenits ne sont pas bout hovel, la rapidite ion torent. forinés par Vimpression seule du corps. Le vet- Vion, Moneewiine La ebdao (wir el a | igo next jomols yo'one trace irnteevenn; la saoa vendre; le niuvcenalrn ont a plus offrant, oojonr| ropresinte de woins te dessin dn corps; cs mot hui pour, ot demsiu conte, Gu Wea qwun|sert a indiquer mille sortes dempreintes ; celui Wihons) est yefiel, et non pas qu est merce-) de vesige ue s‘applique qu’é dee objew qui mal I valve; on ov dira pas den eorivain Qui se werd | (juent la place sox Jaqnelle ils on) pove. altérnativement, ga'il eat renal, ma quil et] Vivewern, Hawrnestienw, Maore. Pulnuneae wercedeire ¢ mais oo dird ques plone est vehale, | exprithe tout ee qui sert & consis le corps} die oar elle alidve définitivement ce quvelle det. illenent tonforme dan xu wee om rapport 4 la Veronese, Acttyen, Perdre c'est daaner pour | fori, & le tagon dani Ow est weeny il siétend a UW SeEMIG prix une chase done enya la libee die | In parare; Von dev wy hahilennort de eécomunie . posttiod; wdéner, west tronsféres A oo autre la) de ied, Movie a on sens bie plas restreint, jwopriené Wan bien deat on le rend inaitre, Tout] i) rie sigeilic qne ot qui est robe, au ce yo tiewt ce (UL a upprole em argent, se vend: on wWulliae| ela vobe: Yon me ser sert qae pone manera qe di force. qi est Vongiage de tiller ov de la coutirlire, Vintenek, Vewounx. Pendvenr pignille, gai) Le gilet, le poloite. la enhe, be faye, le onsen a, yal outlets qol tenfeume wy eanions wend} oat des hotit ¢ le clewmise et la eravatw ote) dew mois Senate, queportey quicommantgae , inva] Hames: Vepee west ni falls, wt vlfema?, noi Halt pow esi, Le peeiiey ge se dit qar dos] nelle fesse pariie de Iabilbemout. slanciew hi olgue eit wlaenerrd mais Te senond Vier, Rectan, Apruunk Pelee an dip opdin we dit des anime iy ales aenignécs de coves | nnivoment des haliits fits poi’ le benoia, da al wont ventuniges, ob dont Mi peyfire est aor) comaodité, lon ovaements de wiodey vod wap. tolle dn wuvknlis cn, liq Gok Habillestents git distinguent Tes em Vininarea, Kaswwor, to wont des ognedy| pli, tes hannears et les ignites; offieltet wae wad @ pouy lh gens) malt on leon tenelgie | Pi idge Ieonique poor és Lsbilletieuts exten, tb Vesihue par da nnértows uri Jeux maareite ily Ordliioiras mbt de capriee, Lineelisinstiqne ot le la scumibinion par lo mapoet. Nous anons dy ia] ivingintint loivert Gwe veys vecemment avlan [a winiiun pow coha ok Yui mons Téconnaisiunes | eUOr qo'exige la peayile de Jew etat, Low Monauns Hew (iilijos eminmitess Hous arous da ywyent| pornivent foe vefves galdmmenit, aiie loujaney pre cote Gil sook (ant Wikdeauy de gous paw! selon es lola de la lécedee, La cowtiioailre dy fou Galasanee, on paw leay forte, Lidge or te} polloe doly Give peodye de ja veinmiee, Jounyu'll wwerite vemdent vvecrdbles Te dai of In diene} romplil ley Iynetiony dy bo charge, Pony de dégats edndent Peiertufie, Ly gravid) attind be wwnidiadcow | ven’, oll weenie affaddde Pane viele gasaae, da peuphes le ormnte yuloh lod irapice Te tient) dium bonsiet plirvgion, whe dares le reapnocd, Veaet. Moteeren, Toomer. Vous wtee Vewsnawiow , Tver, Baeiwed. La elvd=| we’ por la vivienes qal roun foveemente prone ralion ost mo proline mipety alle nin on-doevuy| your dépoaillens ruler’ par tes charwony dew Welle que Farooniton; ba reyersreo cab wiie eral | proeninitoss foroments fr Lutes ortes the prejien eR HCLoniee, te Reyes dal toe didtinetion Loue-| dani la foroe ot la cuntingifd o6 vous lei4seat cabley cet le cabin degre Whonneir. Le rei-| polat de epi, pice condisio hao miwline wo-dlessons des wateps;| Viawnr, Geren. Le mot de plano pone avee tn riveree, & se vewte (eer des motres dager Ly] hel ome ilée dle stoonritore, qita ma paw oelnl de véserve Vane grind diidhewtias Li) ndnenuiiaa , a) cles ily ce dernier a aveu Ih Compodllion pliy- fooler aux pietle thes amines oo a lores weno. | signe de Vadim@al uo hipport que na pam le prin Venom, Avani, Ponies, west employer lew) nde On dir qae le poison. er tos leguiiier sont quwene de ee convalnine, a le couvainere qnel-| wen/es decodmes que ta pordrixa laehady qourte




















































Hon Muses, Varoren (we), Si tanneny: Se wmer, cloak ng Iniiserdtement; re jwuter (inmactd), o'Wst be , ie aNor avengunde. La aanlél n'ont que do wernt; doy) cewat le dechotoement do ta wuiltd, Vanek (se). Se cota, Test plar ridieole de so-idive que dese vente; oun ou ee

wan) Wo geome) déaiy d'dtre entime,, ces) Ove tt won pardunne| inaiy on ay foe par ane mnde cating de soi, cent pa onyuell dont on ae ey ONY | iach ne acotig a” - ib preewettent tonjuars pihiw ne orem a tenis On se font haoneoe daar salon Kegpk oe hanya pod oie weedrdbe, Lies pecsontes. tick ag, renee 0 diniaent wonvent dow fous, Aun bard iainaiony teoa-gonteoten A aeVellvenidnvens. Varin, Tetkn, On adie nie jerutne patie Dt Procuren ovine choy wubree; wm la Mur paren ih applowidiv, Maver, vert dire Ineooworp de pine ales gow: donor. cont wpperuwer aver jel irarion qe qin the cet Ait om Cults noite open wel ‘odie od Kon) Le mon wenn auippone (cue la ermoNiie doit on yuicle oat diffivente de celle b ol Vom poche y cq que finer He nappuMe pruny | Vaneercr, Vanda. Lev cluugoriiie sie- Seavldi Wink le mre anjor finn la nanenany lo miltiimle deg Aiitorents objets (eit In naviere. Ow 6 Ay la wonrtctiont dn tenn yn, La eenaetd dow tenlanin, ele Vaintion:, Caamananrea, Ta variation oop. episte A dow tant dane fogon ot unelt diane Wie; Je changemerd coslate O wenser Ae de in *. Linawdemierr. —« Vaniive , Divanoark y Prevtnnnew. La enliy naiMe WebA iy nakeO iment te jlusiedn elioqme venti, fw tnadione ya'll ae CoM Ne cD eT Aenishibes saprshalile par lors alilfiewncds seeusies le Avorrinl wornmbuto hunts sbas Luin eenven wens prapadem pices jhupiocene alijets , ide yuwerierer aya'sly wnernli lyme forint Lilien ovine lo clinawen | La aliffervine dria (er Klint Wye Ty t OG Li Caer got ean pdehe By contindiy ansembile len ebjrs. La rant Ppa Plusicins vhases dipseutililles et eassnne dae tn note Dnakd fie ineriitd exalt ba poniorndi; La fi/pvenee exolor Vhlenvite. Vaeve, Ghar, Celica) wilolgne pax I'\deo de ii ty hornins, oneelute, sami be pio Ca slit pratiel Olition y gerne wep liner | wietadal s eaile erapire. Vioerrs, Seerrncin, Une witeve eat A clie-

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1u~cU .. tlôit ~vr, ;r, J ’iru,ncrf~trio11 JJi~3fl qu,.lque un carac-tcr-, wnr :1l ; on dil des Cfltmillc( pat~•· ~ ou, t P..ra,nnta. Ou t·oit {’I' qui ri,rpr 1.1 vo, 1.

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t !_fnul, c111ehl’1e d1osç :1 ,·e- urll1~ : k$ t11t/r,Jill,u Je l,1 rui4~r11.·onlC’, OJl 1·,gaula où J’on jtu,- un d)Up-1l’(dJ, 011 •·o,I

Jnnorr uu il i..opplt,•r. t’ùn1urfa :liotL dt’_g-l’ot !n, co

, : l~10 :, 1 ~r !•t11T10-r . La ••i.sion -t ~ pas.,c dans eu tl1itÎ11cltmrnt ou confnl"~meut ; o n r, ;;nrdti u u ,lt :fm,t ; 111 ,lc’fretmuiJ,.. ·, 1.·11 Ji001 mile ; 1~ ~·h· ;: t’3l lr11o klh ïnh•du,r, ;, et ne oupp1>. ~e qnt : 1’,ctioo Jt" èc pre., ou ùe loiu. L& Yl’tL~ o ;’ouvrcuL pom ,.’(•i,- • nn flC.’i·gi· ;mll d, ~fu41

l’imab’ltntion ; l’af’pmù,011 lr.ipp,., d~ pins, lt :s ib 11e toUltU !fll pour 1’t'.gardt·r . V1c1t-lJX , l’tUtU.fi :$ 1 CORRO"’lf’tJ , JJt’. l’fl4YÉ.

— s,1u eiatt’r1cnu, et ~uμpo~e un obJ, :!"l :m dnbor.a .

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J ’houuue 11kic11.r. .se porte on tuai pl :ll’ su nature ; L~ ccl’eaox c :chauffc- !I et ’Îdu., de uourrilm’<l leîi-&’ cl,rn !i li.°"’ .iiro, f"l de h. - . p,•n~cu11·i1 ; 1 :. ,,u/i :~

)1iomr :ne [’fi l’tl’S I p ;u’Ct’ tJUe Jt’ ! Jl) ;IU :t.i .1 tl.Xc :!IDplt.t <"l"OJf’ll 3-0llVClll avoir Je& ~- ÎJlOft.l ; m,1is ICli <’..’lf}ri~ Cbl uu 110/ .snHft’tJIJ f :l p t u l ounrr ; l’tuor r-f r,1n 111/ J"cntra1ut !; :ii J’b11Litude ùu [DaJ J~à rend lne11p.1 • tiuiic.lt~ t’I ertdoles prcmwnt 1turl,1uefoio ; pour itar,li. l II ohcu11 prrnn, ol ; t111 ,tonnt’ 111 t ,../ hlt>IJ 1lu bien, ils sont con--om1m.s ; a’il.1 v’ienutn l 11 drs nppnritions ce qui o’t-1111 r.Ït’U 1 011 cc qui n’est à rdui àqoi on donr,e J.1 ,a,v..rt~ J,. .)’t·nfufr ; J’o, L.ur ltt hitn, Hs - ;out dt"/.n·,J1•dj, Un ho1u111e ’-'ÎrÎ~ll .t qu’au jeu, ~n11 tic proie prrnrl nu lu,,

peut trouver tJaeJqnc 11L’W'ir à fojre le bitr’J qoond Vt.... Q .t :’Eux, GLfJUT, Glunnt i,igoiGe ctt ’tni l.. -L ’ounrrt 1 l’.Tt.,., m :t, T) ~ t.J’f, (JI t o/,.m1t , t

"" pl,J.,,ir n’Cill pas OJ1po11t1 j s,·s inrlination"i vi~ cc,nuoe ,If : t :. i/11. tC ! quî a la c1ualité tir. ,•au :i. ~ one dNen11i111tiou fix.t’ : f’mtf’,,tfon f’,t u11 1noo,t’

,·wuc.r, ; eclni d,,ut ln ul’ar e-.t J,,.prn1•c’ ue (cru ch.cr~ •Î.s,z,uu...l· -, ,ignHie ccqni tie-ntfurt aux.objet.. 111cnt ’-tui L.tit t,•utl.Jc :"1 ,1w·l,ptl’ chu r- ; le ,/o ;ur, jil-n>.ti~ lt hu n quf" par h.. s :11·11 et 5 :11n goût : ài .1ux•1uel :s il r.’~UacUe. La have <le :t )iruacuo,, Jt t." !’il nue M~~ ntloptt.· a cpii •11ppow fJOt !Îtp 14. ! d10,~ 1111 110,nrne carrbmpu li : fiJt, t’t' 1w tel a pat dao’ ju. :, dc !J t·r.>nfitorr~, lt’.b horucars êpnj", ;t’S <Ju.i dê- Jr, u1tdité. et il (atJt • Lec·ob1 :r· Je. u,uyrn tl’t . tlt’..., i11umnons ho1rnè1. :,. On dit nn car :1ch !t(’I coulent dh arbres 1 t’n G’f !ucrnl ce qui coult’ ,l’a- t :ntiun. Le~ talu,1/,’1 !(Ont prf"J.,c.- s ; h :.1 u,trntim, ncirttJ : , uu goùt ,l,Jp,·n•~•. UD cœor carnJmp,,, ln1r<l d se fhe ou s,• H~e t•nsuitt> el •’otUtcbe., s,or.1,t plus , ;i ;gnu ; le, dt !.f .11 ins ~uur plll.) , ,11/’icmu’-'" 11nc i’11no prr, trst.

!t·nprdlt" glutWJ ; lC !i oho- .(’s qui ont p :u dJ~ - 
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suJtn, warioGc. ; t•rm n ;rt1 m,1rqo~ plw t1tpè< :i1le1u~nl ;. forwt•r un•. : couche du rablt’ • con1nw l’c :n,1ott 1Pouvr :igt-. 1 :11 plu,.Jt :Ul"’i ,,,,,,,., 1 rpii ~n11cttt mr•l Ja dn1eeJc ct’l f’t.al.

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)ut~•iu’d(c ce"~c 11 è-irt : t n u~ :igv ; die e"l ann,1111i, 1licîlet clu le dêt ;u :her J uu C’(.Up’i- 1 ~ ; :"appdlc phuot ile la mo•1Ct’.tliun Jan, l,1 Joul- .~ ~ mtc i 1 :a """’" 1,., lonquf ! l’os.’lgc ,..~ l eollrremeut p :ie1w ; elle est r ;sqnru.t . . Op 1n,1lifitt p1otr’,1 llt’ glu,111I uo fluitfo MIJ•po~t• 1,. mêrnf’ : <’hni~ 1 111 1i, nnllt· ru 1~tlt·r.tli 111 1 nut1q11c. lONlfU-’il ) a ,l1~j ~ l1>ng-10 :•n111s •tu’dlu- eAt ttui ne f.- it qut· ~ ’ ;1trncb1 t· . 11 1• m ;1iwl’, . -nx cho.sM t J,1 ,rnptrlr r~rl11t l’oo,. et l’l11111 ~. ’1/h’ icn/Jff, Ce. c.tni ~si n :c-fl11l ’ 11’c• l JlM IJÎt !IJr •• Cl" 30X b :tl..lL. -. - â Ufl (’111·r< ;. 1111.111.1 il y t1111c lw : el lt• Yot·1 :.1"~, 01 !Ot’t k . n~.JH&Jl’ '~••1h~r.-Ul, I ’111 1

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t’~l p :i.t MfuJ,uJ.

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’fi1 tr,· ~ - - .inltnt, ,·c la tulontr fa pin.., J1 nut, ,/. ..

" litt."IUUtlX, Fou·, Jl.OIILàl’L Le 1•i1,~om·~l(.r comme atlacht- !1. lie.,, cL,ll~ ou w’-'Orpun.- .s, potu· , . 1utr_, c·t . ~t H’-'ft"r !,,10 ! r-c cr~ e, l"u fc 1elt1 Ir plu " pl1111 :1gilr duit hr :nu·oop an com· . 1gf.’ ; leJurl 1 pin. ~

aiu :.i tlir4’-, ,,u ,·mb1t• .

ge111•rcn-1,,. et le pin, hn"1l.111t ; d1 d,rr, c :• t ruel h t" ft1u1c 1 tloit l,t !1HJcoup .’1 1., cm1-&tructiun 1lt’& tuo.... , Lrl.

1

1 11 ,, L*t.VMPTL’lL"’(T. Lt ,wu nt-, t !X.·

5111u Ir& :m4ipit•t’" ,J,. fo pt’nuuD~ • qui l’on 1/t’d1 ,

d t." ; lt" ,-v/,r, ;/~, 1tioiu1 :.njcl . -u,r rnfirmitt !-S, doit primt le nmt1vtmcnt 1

,ou op110.,u r- . t l~uh :mrnl ; p,,r un lw1uwits"’" ,rnthc111i,p1e i ,.,,,, n«·rr,·, t 1 b1•,m~our"’ l.t oarnrc. Un e,t ri&<mr~u.ç p ;1r lc,r le mol 1,it n•g’irdt Je mow,•ul tlc r.,ctio11 • .wo .lt ;"i•tJutr p :,r un ~rritirt•. tir,. 1u,lnit-re :, lt’ndrc 1 ,oouv1•nlt’llb l’l 1•ar le~ trfotl.s f}U’on rau ; Oil e- . st t1ppt :1-. r f !:.t lilr,I : promptrm~nt O --plw dr rappnrt cht,..,I ! iu,·i11lAh1C’, "’0111 t :l’flllr. : 1~•r llll )iru Hl J~1rl pn la ,iolul,1c. cr par h1 r-l"- .i,tancc d., .- . , mrw- au ttltlfl’" qu’on ~o1ploic, :.t.1n oppo. -iu c. -3 t /011{’1•vo-.

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la fot1 ~ u r , J,.., i11lhtru ctt.h clu 1’11i1, îllt’UIC’ cJea t :>,.t ."t... titml~ twut cl, l’ltooh :·or t !l de 1•41 - ,1i,,t1 : nn bomwc Df’Ur J 1un c·lirut ; l,1 c :onJr~ri1t,on, un Jr’·von. - u,rul

101 , Ult. ~ r ~  toL,1aox. Le 1-•i.ol v..- .1 Il’ f’/lJ"’}' (’•t c- . :s1,rd1ttf au ltnv :til. I ". l’no»PTCrtilll, ;ib’ill1o et ir- :,crll ! 

DTCTIOX~AIRE DES SYXONY.’IBS.

Voitr.on., A’011 E’f nt, SocnuTU, l)f~x- p ::issions, ib clohent se former ~ut· la modération ; n, Souruu.R, CoNvorr&a. Le dcrnie,· ,te ces Jcc- ,oupin partent dn cœur, ils doivent êlre bien s t :st ,l’u~.•sr <laus la tbtiolosie ruor :1Je ; il ~ur- ac.1rePibewiki (d) ; Ja. convoitiJo e~t un ,Jcisir iwmor31. On e on objtt illicite : on t :()m,.uilc Je l,ien d’au... fait sa 1. :0/omé 1• ou .sa1bfllit ses em·ic.s ; ou se nour- •• Le~ autres •ont d n~ :1se ordioairt : ~ on rit <le st.mlrnits ; on s 1

aban<lonne :i. !’ ;t~ dnus ; on

t un objet présent aT’tc r, :flcx.ion ; on a tn.,ie poui.se de.) soupirs_ : 011 J. de la cQ11voitisr. L~ prioec goùt i on soulwitc C !t ou dt. : .sire les chos<’Jt ce~ , :eulcnl cl’une manière ab !!.oh1c ; le, ftmme- ; onl ignée, ; mai~ le" souhaits ,ont plus vague,, el de forlC.J t11vics ; les parc.sscu.x fotil dt~ sou !,ait.s di.sil’J plu3 ardents ; on soupire pour drs cho- cbiméri4urs ; les courtis3nis ont des dt•.ûrs a1l)biplu ! I tt>ocbante$. Nou) ,•ou/0111 ce qui peut ai.eux ; le, amant- . rothautst1ucs se plai !Sent dans

. !I convenir ; 0001 a110111 tllf-Ù : Je ce qui nou1’ de vains 1oupirs ; 11.lomruc ioimoral oe ~jlire c1ue it ; Aoui sôul,aiton1 ce qni no~ flatte ; nous pour la com,oitise. ’irons ce que nous estimou~ ; nons soupiro11s, Yu,, ,rt.Rrt,uLg. Ynli tombe !or la rêalitê ur ce qni 1,oas attire. Les volomt !s se conduiseot I de la chose, il signüic qu"elle est teHc <1n 1

on la

ac tlii·igtnt pu l’e~prit, e.Jle. :; doivent être 1·ai• ctll ; i-e’rilablt· se rapporte à l’exposition de la nables et jn-,tes ; les c1111ics tiennent particu.. cùose, et il signi6e qa.i . !eu -b dit telle qu1elle est. em1•11t dt :; 5cns, elle :. doi·eot êrl’C réglées ; les l’nti murqne p,éci$ét1-«11t la ~il’ité objective, ult.ait.1 st ! uourrj$Sent d’imaginations, ils duivcnt c’e~t-à•dire q, • toblb& dit-ecteQ1CJlt sur la rêalité re .- ..ircinb ou bornés ; le• 1lùirt doooulent <les de la chose ; tli~ lédêsigoe p~p~ ment la véri1C

=.

.,,.

~ ..._

I

txpressh·c . Quelques :1utcors, même protesta.nL~. soutirnncot <JU’il o’est pas vrai qu’il y 3Îl ea 004, :; pape.s _o,c Jf’~mnc, et que l’hi. :;toirc qu’on en :i faite u’est pas ,·éritable.

VRA1, VhRr01QtJF.. f/’rai se prcnc ;l Jn.n ., l*accep .. tiou de véridique, qui dit la Yt ;iité, mais avec out : grande diffêrence. L’homme Pùidùfilb dit vrai, ll1011uue ,in,i dit le c :rni. 1,11orume ,•rai ~st vt1·i• di’lue par ca~1ctète ; l’ho1111ue vér ;dique :ii1ue ,1 <lire fa flcrité. Dien est vrai par e_Sj,ence ; l’écri~aiu qui f’St inspiré par lui e~t contraînt d’t :trevûidiqu,,. ZÉPUYI. ZMt•1uR.1, Le Zdpllire est le Zdpl1·r personnifié. J. .e :.iph,rr est un vent dou.x et légf>t’ ; le Zéplu1·• voltige et folâtre. Lo zipl,yr écbaoff, ou rafraichit l’air, seloo Ja ~aj$on ; le Ziphi,ll cat·esse .FJorc , et fait éclo1·e le~ fleurs. Zéphire e, t aox z,Jpfly,.es ce qu•est i►AruouC" à un ~"-1 :ÛD ch peti1s Atnou~. Zéphirc c.- ;t uu pe,-sonnage ; on l’invoque ; il comm ::iu<le ; le.s u/plgru obéissent. FlN DU DICTIONNAIRE DES SYNONY ::IIES.





ABRÉVIATIONS


DE LA LISTE DES PERSONNAGES LES PLUS REMARQUABLES.


acad. émicien.

act. eur.

admin. istraleur.

afr. icain.

agric. ole. ou agric. ulteur

agr. onome.

al ch. imiste.

allem. and.

am. éricain.

anat. omiste.

anc. ien.

angl. ais.

ant. iquaire.

arab. e.

arch. evêque.

archit. ecte.

arm. Enien

asiat. ique.

assas. sin.

astrol. ogue.

astron. ome.

ath. énien.

aut. eur.

avent. urier.

av. ocat.

banq. uier.

bénéd. ictin.

bibl. iographe.

bienfais. ant.


bol. onais.

bot. aniste.

ou bot. anique.

brabanc. on.

can. on.

capit. Aine

card. inal.

carth. aginois.

cath. olique.

cél. èbre.

chanc. elier.

chant. eur.

chans. onnier.

chev. alier.

chim. iste.

chir. urgien.

chroniq. ue

chron. ologiste.

crit. ique.

coméd. ien.

com. ique.

comm. erçant.

comment. ateur.

comp. agnon.

compil. ateur.

connét. able.

consp. irateur.

constr. ucteur.

cons. ul. ou cons. eiller.


cosmog. raphe.

court, isan.

cyn. ique

Danem. ark.

décor. ateur.

dent. iste.

dép. uté.

dessin. ateur.

dev. in.

dipl. omate.

dir. ecteur.

doct. eur.

domin. icain.

dramat. ique.

ecclésiast. ique.

économ. iste.

éc. ossais.

écr. ivain.

édit. eur.

emp. ereur.

encaq. ueur.

espag. nol.

év. êque.

fabr. hicant.

fab. uliste.

fam. eux.

fanat. ique.

flam. and.

flor. entin.

fondat. eur.


fond. eur.

fr. ançais. ou franc. ais. gall. ois.

gén. éral.

genév. ois.

géog. raphe.

gouv. Ernement.

gramm. airien.

gr. and.

grav. eur.

grenad. ier.

hab. ile.

hamb. ourgeois.

han. ovrien.

hell. éniste.

hist. orien.

holl. andais.

hong. rois.

horl. oger.

hydr. aulique.

ill. ustre.

imp. osteur.

impr. imeur.

improv. isateur.

ind. ien.

ing. énieur.

insp. ecteur.

instit. uteur.

irl. andais.


ital. ien.

jés. uite.

jurisc. onsulte.

lacéd. émonien,

lat. in.

lég. iste.

lexic. ographe.

libr. aire.

lithot. omiste.

litt. érateur.

luth. érien.

lyon. nais.

lyr. ique.

mac. édonien.

mag. icien.

mar. in.

mart. yr.

math. ématicien.

méc. anicien.

méd. ecin.

memb. re.

min. éralogiste.

minist. re.

miss. ionnaire.

mor. aliste.

mus. icien.

napol. itain.

natur. aliste.

navig. ateur.

nég. ociant.


nobl, e.

norw. ègien.

orat. eur.

orf. èvre.

org. aniste.

orient. aliste.

pantom. ime.

pap. etier.

patr. iote.

peint. re.

pharm. acien.

phil. osophe.

phys. icien.

phryg. ien.

piém. ontais.

platon. icien.

poët. e.

polit. ique.

pol. onais.

port. ugais.

prem. ier.

préd. icateur.

prêt. re.

pr. ince.

prof. esseur.

prot. estant.

prov. iseur.

Pr. usse.

pyth. ien.

rabb. in.


réf. ormateur.

répub. licain.

révol. utionnaire.

r. oi.

rom. ain.

romanc, ier.

royal, iste.

satir. ique.

sav. ant.

scalpt. eur.

sect. aire.

seig. neur.

sénat. eur.

soph. iste.

suéd. ois.

succ. esseur.

théol. ogien.

tosc an.

trad. ucteur.

tragéd. ien.

trag. ique,

trans. ylvain.

trés. orier.

vén. itien.

ven. eur.

vice-amir. al.

vice-r. oi.

vision. naire.

voyag. eur.