Discussion:Maurin des Maures

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Informations sur l’édition de Maurin des Maures

Édition : Flammarion, 1967


Source : ELG


Contributeur(s) : Enmerkar 8 juin 2007 à 22:02 (UTC)[répondre]


Niveau d’avancement :


Remarques : Edition originale : Gallica Flammarion 1908


Relu et corrigé par :


Éditions[modifier]

A propos du roman[modifier]

En des aventures peut-être aussi étranges Jean Aicard a su faire passer plus de vraisemblance.

Il nous conte la vie d'un braconnier de son pays, un vrai braconnier provençal, hâbleur, hardi et jovial. Maurin s'éprend de la fille d'un aubergiste corse. Cela le mène à une lutte de malice avec un gendarme qui courtise la jeune fille, à une foule d'aventures plaisantes, où se content maintes galegeades, d'histoires du pays, où Maurin honoré du gouvernement devient un personnage, tout en continuant de rire du monde. La fin, qui n'est pas une fin, fait croire à la mort de l'illustre méridional. Mais il revivra. Et M. Aicard nous promet de nous conter la suite de sa vie.

Telle est, autant qu'on peut la déterminer en deux mots, la trame de ce livre qui respire le parfum de Provence, qui a une saveur épicée de terroir. Les invraisemblances, ou plutôt les exagérations et les exploits héroï-comiques à la Tartarin s'y retrouvent. Et cela donne, avec l'accent du pays, l'esprit et là gaieté du peuple des Maures, « une manière de roman tout coupé d'anecdotes et de récits, sur le ton de nos contes populaires », — une espèce d'épopée picaresque à la Don Quichotte, de verve abondante, gauloise un peu et rabelaisienne, vivante et intéressante, mais trop salée parfois et trop chaude pour que les plus petits, qui en feraient leurs délices, puissent s'y aventurer.

R. Varède

Statistiques[modifier]

Environ

  • 111 499 mots
  • 614994 caractères espaces compris
  • 507021 caractères sans les espaces

Corrections[modifier]

  • A vérifier sur une autre édition : conmpétent