Discussion:Romances (Marceline Desbordes-Valmore, 1860)

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Il existe de nombreux de recueils de Marceline Desbordes-Valmore appelés Romances, celui-ci est basé sur l'édition Boulland 3 volumes, 1830 (il existe aussi une autre édition Boulland 2 volumes, même date), il manque dans cette édition Le Pardon et Le Soir.


Une liste formé à partir de recueils différents, peut-être incomplète :

Liste des incipit


Le sommeil de Julien — C’était l’hiver, et la nature entière
Le soir — En vain l’aurore
Le portrait — Riant portrait, tourment de mon désir
Le bouquet — Non, tu n’auras pas mon bouquet
Le chien d’Olivier — Pour trouver le bonheur, je me ferai bergère
L’aveu permis — Viens, mon cher Olivier, j’ai deux mots à te dire
Dors ma mère — Ô ma vie, sans envie
Le serment — Idole de ma vie
Le réveil — Sur ce lit de roseaux puis-je dormir encore ?
Le billet — Quand je t’écris à l’ombre du mystère
Le souvenir — Ô délire d’une heure auprès de lui passée
Il va parler — Embelissez ma triste solitude
À la Poésie — Ô douce Poésie ! couvre de quelques fleurs
L’attente — Olivier, je t’attends !
Le hameau — Que n’as-tu comme moi pris naissance au village !
Les trois heures du jour — Comme un bouton, près d’éclore
L’espérance — Comme une vaine erreur
La fleur renvoyée — Adieu, douce pensée
Je dormais — On sonne, on sonne, on sonne encore
Reprends ton bien — Quand l’Amitié tremblante t’abandonna mon sort
Le premier amour — Vous souvient-il de cette jeune amie
Le pardon — Je me meurs, je succombe au destin qui m’accable
L’exilé — Oui, je sais, voilà des fleurs
Garat à Bordeaux — Avec ta gente mie, où vas-tu, troubadour ?
À la nuit — Douce nuit, ton charme paisible
À la Seine — Rive enchantée, berceau de mes amours
La fiancée — À ma belle patrie fais mes adieux, Amour
La pélerine — Pélerine, où vas-tu si tard ?
Le bal — L’heure du bal, enfin, se fait entendre
Clémentine, imitation de Richardson — Distraite et malheureuse
Le regard — Cache-moi ton regard plein d’âme et de tristesse
L’étrangère — Ah! que le monde est difficile !
L’adieu — Adieu pour toujours, mes amours
Les songes et les fleurs, imitation de Moore — Viens, si tu veux rêver d’amour
Le secret — Dans la foule, Olivier, ne viens plus me surprendre
La jalousie — Qu’as-tu fait d’un aveu doux à ton espérance ?
Le rendez-vous — Il m’attend : je ne sais quelle mélancolie
Les serments — Hélas ! que les vieillards savent de tristes choses !
Le soir — Seule avec toi dans ce bocage sombre ?
Bonsoir — Il a demandé l’heure
L’orage — Dans sa course brûlante
Que je te plains — Dis-moi, fera-t-il beau demain ?
La séparation — Il le faut, je renonce à toi
C’est moi — Si ta marche attristée s’égare au fond d’un bois
Un moment — Un moment suffira pour payer une année
La reconnaissance — Hélas ! que je dois à vos soins !
S’il l’avait su — S’il avait su quelle âme il a blessée
On me l’a dit — Désirer sans espoir, regarder sans rien voir
Sans l’oublier — Sans l’oublier on peut fuir ce qu’on aime
Je ne sais plus, je ne veux plus — Je ne sais plus d’où naissait ma colère
Celle qui ne rit pas — Heureuses pastourelles, qui cherchez, sous l’ormeau
La veillée du nègre — Le soleil de la nuit éclaire la montagne
À M. de Béranger — Bon captif, la fée Urgande
Chant d’une jeune esclave, imitée de Moore — Il est un bosquet sombre où se cache la rose
Une reine — Un Barde a vu sa reine fugitive
À mademoiselle Mars — De Thalie, plus jolie
L’oraison — Je reviens à vos pieds, Marie
Son retour — Hélas ! je devrais le haïr !
La piqure — De ses fuseaux légèrement blessée
La jeune châtelaine — Je vous défends, châtelaine, de courir seule au grand bois
Notre-Dame d’Amour — Qu’attend-il sur la route
La vallée — Non ! je ne verrai plus de si belle vallée
La fiancée du marin — Tristesse amère ne peut crier
Regarde-le — Regarde-le, mais pas longtemps
Je l’ai vu — Ma sœur, il ne faut me blâmer
Le calvaire — Puisque tu vas, Angélique
L’ange et le rameau — Que ce rameau béni protège ta demeure !
Le bon ermite — Ermite, votre chapelle s’ouvre-t-il au malheureux ?
Pélerinage — Pour aller en Galice
L’espoir — Je voudrais aimer autrement
La novice — Une jeune et blanche novice
L’amour — Vous demandez si l’amour rend heureuse
%L’églantine — Églantine ! humble fleur, comme moi solitaire
Le prisonnier de guerre — Tu t’en vas ? Reste encore
Réponds-moi — T’ai-je vu chez mon père
Le dernier rendez-vous — Mon seul amour ! embrasse-moi
Jamais adieu — Ne t’en va pas, reste au rivage
Le bouquet sous la croix — D’où vient-il, ce bouquet oublié sur la pierre ?
Les cloches du soir — Quand les cloches du soir, dans leur lente volée
Le nom d’Olivier — Un étranger vint un jour au bocage