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Discussion Auteur:Jean Laurenty

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Éléments biographiques[modifier]

  • 28 janvier 1900 La Revue diplomatique : politique, littérature -- réunion charmante bd Saint germain {{Gallica|bpt6k57160477/f10.image}
  • J'ai rencontré Mérowack chez Laurenty Gallica
  • une dédicace [1]
  • son nom Lamastre
  • a fait partie des 40 femmes de l'académie des femmes de Juliette Adam dan La Nation, 29 décembre 1900 [2]
  • janvier 1901 : répond qu'elle souhaite y siéger [3]
  • son nom et prénom dans Le Pays de Montbéliard, 18 mars 1900 [4]
  • Le Triboulet, 2 mai 1897 [6]

Réunion des plus animées, mardi soir, chez Jean Laurenty, le récent auteur de Joie morte. Citons MM. Quentin, avocat, le sculpteur Kaplan, Mme Nolet, alias Max Lyant le peintre, Roux-Renard, les poètes, Marc Legrand, Henri Giraud, Lucien Le Foyer, les romanciers Louis Roguelin. Henri Bainaldy etc.

  • Toulousaine femme de lettres [7]

Résumés critiques…[modifier]

  • Le Siècle, 14 novembre 1897

Jean Laurenty, dans son nouveau roman Joie Morte, publié par l'éditeur Stock, étudie, dans des pages d'âpre analysé et de tristesse passionnée, l'affection maternelle et filiale arrivée aux plus hauts sommets.

  • sur Joie morte … la fange apprécié par Rachilde
  • sur Joie morte imité de Flaubert Gallica, … Google
  • sur Joie morte [8] autre roman et naissance à Toulouse

BIBLIOGRAPHIE

Parmi les multitudes de livres parus depuis quelques mois, il nous est agréable de signaler un roman bannissant toutes banalités, récemment édité à Paris chez Villerelle, 59, rue des Mathurins, et dû à l’un de nos jeunes écrivains, Jean Laurenty, notre compatriote.

La presse parisienne vient de donner son appréciation sur ce nouvel ouvrage L’Agrafé. Voici dans quels termes : « Dans L’Agrafé, Laurenty fait vivre, avec une ardeur passionnée, un jeune artiste, Yves de Sainte-Croix, qui symbolise la Beauté de l’art et de l’amour dans les sursauts de l’hystérie moderne. Sainte-Croix est attachant jusques dans ses pires déchéances, puisqu’il ne cesse de poursuivre l’éternelle chimère… »

Nos confrères sont tous unanimes à déclarer forte et belle cette œuvre. Il nous plaît d’ajouter à ces éloges très vrais, parce que mérités, quelques mots : Connaissant l’auteur, ayant assisté à son évolution graduelle, depuis sept ou huit ans, dans le domaine des lettres, ayant lu attentivement et successivement ses trois premiers ouvrages, Amour pervers, Joie morte, Les Errants terribles, nous pouvons, de façon impartiale, juger L’Agrafé. À deux reprises, la lecture nous a apporté la profonde conviction que ce roman plaçait celui qui l’a conçu parmi l’élite de la jeune littérature contemporaine. Ce nous est ici à nous, décentralisateurs persévérants, une joie intense, non pas exclusivement d’adresser d’uniques et banales félicitations à Laurenty, mais de proclamer devant tous que la fertile terre languedocienne peut s’enorgueillir d’avoir fécondé, à côté d’artistes glorieux, manieurs de palette, de ciseaux ou de lyre, de vigoureux et à la fois délicats ouvriers de l’esthétique et de la puissance littéraires : Jean Laurenty, la Toulousaine femme de lettres, s’affirme comme devant en être l’un des plus brillants représentants. R. C.

  • 1897 Journal des débats [14]

Joie morte, par JEAN LAURENTY. Stock. In-18 3 fr. 50.

Il serait malaisé de résumer en quelques lignes un livre qui, tout en restant un roman, est plutôt une sorte de procès-verbal, simple et rapide, des mœurs et des attitudes de la classe moyenne. Peut-être n'y trouvera-t-on pas l'unité de composition et la science de la gradation dans le développement des situations et des caractères ; mais, en revanche, l'observation y est souvent juste, et la figure de Francine, la principale héroïne, se détache avec un singulier relief. Fille d'un brave homme, que des revers de fortune ont amené à Paris, elle se distingue par une délicatesse native de sentiments, sans cesse en contradiction avec les transports du tempérament le plus exalté elle eût été une épouse modèle, si son mari ne l'eût poussée par d'inexcusables écarts au découragement et au désœuvrement, cent fois plus redoutables que les mauvais instincts.

Toujours navrée de ses propres fautes, l'inconséquente Francine trouve, il est vrai, un puissant soutien dans l'affection profonde qu'elle porte a son fils mais elle comprend bientôt que lui non plus ne sera jamais heureux : soumis comme sa mère aux impulsions d'une nature désordonnée, le désespoir d'un mal incurable le pousse à une lamentable fin. Pourquoi ne pouvons-nous atteindre ni le calme ni le bonheur ? Pourquoi ne rencontrons-nous ici-bas que la joie morte et plaisirs amers ? C'est que nous sommes invinciblement dominés par nos instincts et nos passions qui l'emportent toujours sur nos résolutions : telle est la moralité peu consolante à dégager de l'étude hardie de Mme Jean Laurenty.

  • L'Art méridional, 1 décembre 1897 [15]

Nous sommes heureux de signaler dans notre confrère Lutèce un précieux témoignage de bonne confraternité entre un romancier et un poète « antique ».

Mlle Jean Laurenty, l’auteur si discuté de Joie morte, dont vie n t de paraître une nouvelle édition, se plaît, en effet, à peindre les passions extrêmes ou les sentiments d’exception : et le prochain roman qu’elle nous donnera, les Errants, mettra, croyons-nous, en plus grande lumière, ce côté particulier de son talent.

L’appréciation si franche qu’elle a donnée de l’Âme angélique, œuvre de sérénité si éloignée de son genre d’études préféré, est d’ailleurs comme corroborée par ces lignes récentes de M. Louis Proal : « Sait-on comment George Sand se guérit de la « manie du suicide ? Par la lecture des classiques grecs et latins ! Et cela n’est pas étonnant : les classiques grecs et latins sont des génies sains, des esprits bien équilibrés, d’une puissante raison, calme, élevée. Chez eux, l’imagination est toujours réglée par le bon sens, ils ne sont jamais dans le faux. À l’école de ces hommes de génie, qui sont aussi et surtout des hommes de bon sens, l’imagination ne s’exalte pas, l’esprit se calme, la raison se développe, la sensibilité se modère. »

  • Sur les Errants terribles [16] 1899 dans Le Maître de maison : journal littéraire et mondain indépendant""
  • Causerie littéraire [17] dans L’Estafette, 14 novembre 1899 p. 2/4
  • Express, 25 octobre 1896 [18]
  • sur amour pervers (avec une illustration) Google pg=PA337
  • [19]

Inceste d'Ames,joué hier au Théâtre-Libre, a été tiré d'un roman paru il y a trois mois, Amour pervers, signé Jean Laurenty, pseudonyme masculin qui cache une femme de lettres. M. Hauser a fait l'adaptation dramatique.

  • sur Amour pervers Gallica ou Google
  • fragment des errants terribles [20]
  • L'agrafé par Lorenty ne serait pas de Laurenty [21]
  • Mercure de France 1899 Google sur les errants terribles