↑Lettre 730 (revue sur l’autographe). — 1. Il y a dans l’autographe Lubel ou Label, mais non Lebel, leçon de l’édition Klostermann, la première où cette lettre ait paru.
↑Lettre 731. — 1. Son fils Nicolas du Blé, marquis d’Uxelles, le futur maréchal, était lieutenant général au bailliage de Chalon et gouverneur des ville et citadelle de Chalon-sur-Saône.
↑2. Voyez la fable des deux Pigeons dans la Fontaine, la deuxième du livre IX, et tome V, p. 552, note 11.
↑3. La Gazette (p. 453) dit que le roi d’Angleterre (Charles II) eut vers ce temps-là, à Windsor, quelques accès de fièvre tierce ; dans son numéro du 23 septembre, elle annonce, en date du 15, c’est-à-dire du jour même où Mme de Sévigné écrivait, qu’il a pris du remède du chevalier Talbot, et qu’il est entièrement guéri.
↑4. Elle était à la veille de son départ. Le 20 septembre, elle quitta Fontainebleau, où elle se trouvait depuis le 12, et se mit en route pour l’Espagne
↑Lettre 732. 1. La fin de cette phrase, depuis « et mon cœur, » n’est pas dans l’édition de 1754.
↑2. Ce dernier membre de phrase manque aussi dans le texte de 1754.
↑3. « Et que les chagrins qui partent de l’amitié que j’ai pour vous. » (Édition de 1754.)
↑4. Tout ce qui suit manque dans l’édition de 1754, qui reprend seulement à : « parlez, éclaircissez-vous. »
↑5. Il s’agit sans aucun doute des préventions de Mme de Grignan contre Corbinelli : voyez les lettres des 4 et 20 octobre suivants, et la lettre 713, tome V, p. 518-520.
↑6. Cette dernière phrase n’est pas dans l’édition de 1754.
↑7. « D’être le contraire de ce qui est si mauvais. (Édition de 1754.)
↑8. La Gazette du 23 septembre annonce que le 15, le duc de Chaulnes, gouverneur de Bretagne, a fait à Vitré l’ouverture des états de la province, et que le lendemain le clergé, la noblesse et les députés des communautés ont accordé tout d’une voix les deux millions deux cent mille livres qu’on leur avait demandés de la part du Roi.
↑9. Tout cet alinéa manque dans l’impression de 1754.
↑10. Mme de Rochebonne, belle-sœur de Mme de Grignan, était très-sourde. Mme de Sévigné le dit dans la lettre du 4 octobre 1677, tome V, p. 342. C’est chez les Rochebonne que Mme de Grignan descendait à Lyon. Voyez la lettre du 27 septembre suivant. (Note de l’édition de 1818.)
↑12. « Voici une vérité que je puis vous dire c’est que je ne me suis pas assez accoutumée à votre vue, et à la joie que j’ai toujours de vous trouver et de vous rencontrer, pour ne pas sentir plus vivement qu’une autre l’ennui de notre séparation. » (Édition de 1754.)
↑13. Le reste de la phrase manque dans le texte de 1754.
↑14. « Dont le petit-fils, etc. » (Édition de 1754.) Sur ce petit-fils, voyez la lettre du 22 septembre suivant, p. 13 et 14, et la note 10.
↑15. Henri de Gramont, comte de Toulongeon, frère de Philibert, comte de Gramont. (Note de Pétrin.) — Le comte de Toulongeon était, comme nous l’avons dit, lieutenant général de la principauté de Béarn, dont le duc de Gramont était gouverneur ainsi que de la Navarre.
↑17, Cette phrase et le commencement de la suivante ne sont pas dans l’édition de 1784, qui reprend à « je vous jure. »
↑18. « … le temps de votre absence, et que pour adoucir cette pensée, et surtout pour réparer les petites injustices que vous m’avez faites, j’ai besoin que vous vouliez bien ne jamais oublier comme je suis pour vous et en être mieux persuadée à l’avenir je le serai aussi, etc. » (Édition de 1754.)