Discussion Livre:Schopenhauer - De la quadruple racine, 1882, trad. Cantacuzène.djvu
Ajouter un sujetOrigine du texte splitté
[modifier]https://www.schopenhauer.fr/oeuvres/de-la-quadruple-racine-ebook.html (EPUB converti en TXT et réajusté pour le split.
--Wuyouyuan (d) 11 mars 2021 à 17:40 (UTC)
Notes de l'auteur à reporter
[modifier][1] « afin de pouvoir déterminer sûrement la part de chaque espèce de connaissance, à l’usage vagabond de l’entendement, sa valeur propre et son influence. » Crit. de la R. P., traduction de M. Tissot. Voir tome II, p. 542. (Paris, Ladrange, 1843.)
[2] Le Journal de la conversation, de Francfort, du 22 juillet 1833, raconte ce qui suit, de la vie de ce sculpteur :
« A Nauders (en Tyrol) est mort le 10 juillet le sculpteur aveugle Joseph Kleinhaus. Ayant perdu la vue dès l’âge de cinq ans à la suite de la petite vérole, l’enfant, pour chasser l’ennui, s’amusait à sculpter. Prugg lui donna des conseils et quelques modèles à copier, et à douze ans le jeune garçon exécuta un christ de grandeur naturelle. Il fit des progrès rapides dans le court espace de temps qu’il passa dans l’atelier du sculpteur Nissl à Fügen, et ses bonnes dispositions, ainsi que son talent répandirent au loin la réputation du sculpteur aveugle. Ses travaux sont variés et nombreux. Ses christs, qui à eux seuls sont au nombre de quatre cents, font surtout ressortir sa supériorité, quand on se rappelle qu’il était privé de la vue. Il a sculpté encore bien d’autres morceaux dignes d’éloges, et exécuta, il n’y a pas plus de deux mois, le buste de l’empereur François-Joseph, qui a été envoyé à Vienne. » (Note de Schopenhauer.)
[3] Fauerback’s Casper Hauser, Beispiel eines Verbrechens am Seelenleben eines Menschen, Anspach, 1832, p. 79, etc. (Note de Schop.)
[4] Haslam, Observations on Madness and Melancholy, 2e éd., p. 192. (Note de Schop.)
[5] Quiconque prendrait ceci pour une hyperbole n’a qu’à considérer le sort qu’a eu la théorie des couleurs de Gœthe ; et s’il s’étonne de me voir invoquer celle-ci comme une preuve, lui-même m’en fournira ainsi une seconde à l’appui. (Note de Schop.)
[6] Mot forgé par Aristophane : la cité des coucous, dans les nuages (trad. Burdeau), et que l’allemand a très heureusement pu rendre par Volkenkuhuksheim, (Le trad.)
[7] Vice de prononciation dans les classes incultes en Allemagnes et qui a pénétré même auprès de quelques savants. (Le trad.)
[8] Titre d’une poésie de Bürger.
[9] If Bramha be unceasingly employed in the creation of worlds,… how can tranquillity be obtained by inferior order of being ? (Si Brahma est incessamment occupé à créer des mondes,…..comment des êtres d’une nature inférieure pourraient-ils obtenir leur tranquillité ?) Prabodh, Chandro Daya, tr. by J. Taylor, p. 23. Brahma fait aussi partie duTrimurti, qui est la personnification de la nature, comme procréation, conservation et mort : c’est la première qu’il représente. (Note de Schop.)
[10] On pourrait peut-être définir les idées platoniciennes, les intuitions normales de l’intelligence qui ne se réfèrent pas seulement, comme dans les mathématiques, à la partie formelle ; mais encore à la partie matérielle des représentations complètes : elles seraient donc des représentations complètes qui, en cette qualité, seraient absolument déterminées, et qui en même temps, comme les notions abstraites, compren draient beaucoup d’objets : ce qui veut dire, suivant mon explication du § 28, qu’elles seraient des représentants des notions.abstraites, auxquelles cependant elles seraient entièrement adéquates. (Note de Schopenhauer)
[11] C’est l’accidence empirique qui est entendue, et qui signifie pour Kant la dépendance de quelque autre chose ; je renvoie du reste pour cette question au blâme contenu dans ma Critique de la philosophie kantienne, 2° édit. allem., p. 521. (Note de Schop.)