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Discussion Page:Hugo - Les Contemplations, Nelson, 1856.djvu/322

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Dernier commentaire : il y a 9 ans par Zyephyrus

Je ne comprends pas la fin telle qu'elle est retranscrite :

À ce qui disparaît et s’efface, Cythère,

Etes-vous sûr que ce n'est pas le verbe "avoir" (sans accent), qui s'éclaire avec la parallélisme final ?

sinon, la syntaxe de cette phrase me reste obscure. Ce n'est pas dans les habitudes de Hugo.

À lire comme ce monde avait ce qui disparaît : CythèrePhe 9 juillet 2015 à 16:07 (UTC)Répondre

Ce monde inférieur, où tout rampe et s’altère,
A ce qui disparaît et s’efface, Cythère,
Le jardin qui se change en rocher aux flancs nus

« où tout rampe et s'altère à ce qui disparaît et s'efface » : cela me paraît être une image acceptable (et même plutôt juste). Mais peut-être que cette interprétation n'est pas compatible avec la virgule qui suit « altére » ? --Zyephyrus (d) 9 juillet 2015 à 17:22 (UTC)Répondre