Fables d’Ésope (trad. Chambry, 1927)/La Muraille et la Cheville (bilingue)
Apparence
Pour les autres éditions de ce texte, voir La Muraille et la Cheville.
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LA MURAILLE ET LA CHEVILLE
Une muraille, percée brutalement par une cheville, criait : « Pourquoi me perces-tu, moi qui ne t’ai fait aucun mal ? — Ce n’est pas moi, dit la cheville, qui suis la cause de ce que tu souffres, mais celui qui me frappe violemment par derrière. » |
337 Τοῖχος καὶ πάλος. Τοῖχος σπαραττόμενος ὑπὸ πάλου βιαίως ἐφώνει· « Τί με σπαράττεις μηδὲν ἠδικηκότα ; » Καὶ ὅς· « Οὐκ ἐγώ, φησίν, αἴτιος τούτου, ἀλλ’ ὁ ὄπισθεν σφοδρῶς με τύπτων. » |