Framès/Partie II/IV

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Imprimerie Poupart-Davyl et Cie (p. 40-41).


IV


Que ton pouvoir est grand, beauté, céleste bien !
L’épave que vomit le Strom parisien,

La jambe titubante et la lèvre pâlie,
Framès, le libertin tout barbouillé de lie,
Le sceptique Framès, devint l’admirateur
Du chef-d’œuvre ignoré, la nièce du pasteur.
Marie était le nom de cette fleur mystique,
Pure comme le lis merveilleux du cantique.
Les villageois l’aimaient et l’appelaient leur sœur,
Elle avait tout, beauté du corps, bonté du cœur.