Grammaire de l’hébreu biblique/Syntaxe/Proposition/Paragraphe 166
a Remarques préliminaires. Nous rapprochons les propositions temporelle et conditionnelle, finale et consécutive, qui sont les plus importantes au point de vue des temps et des modes. La proposition temporelle (§ 166) et la proposition conditionnelle (§ 167) sont étroitement apparentées ; dans certains cas on peut se demander si telle proposition est temporelle ou conditionnelle. — De même la proposition finale (§ 168) et la proposition consécutive (§ 169) sont étroitement apparentées, comme nous l’avons déjà vu dans le chapitre des Temps.
La relation temporelle de deux membres de phrase peut être exprimée A) d’une façon légère et élégante par le simple waw, ou B) d’une façon plus précise par d’autres particules. Dans les deux cas nous examinerons comment on exprime les relations de succession (postériorité), de simultanéité et d’antériorité.
A) Relation temporelle exprimée par le simple waw.
Principe général. Si une action est représentée comme postérieure, on emploie le waw de succession (formes wayyiqtol, weqataltí). Au contraire, si l’action n’est pas représentée comme postérieure, on évite les formes wayyiqtol, weqataltí (cf. §§ 118 d-g ; 119 d) et l’on emploie, selon le temps indiqué par le contexte, we… qatálti ou we… yiqtol (non weqatálti, weyiqtol)[1]. Le waw doit être séparé de la forme verbale par un mot tampon. Souvent ce mot est naturellement suggéré par le contexte ; autrement, on recourt au pronom séparé, lequel étant dû à la nécessité grammaticale n’est alors nullement emphatique.
b I. Succession. Dans la sphère du passé on emploie wayyiqtol (§ 118 c) : Gn 24, 19 וַתְּכַל לְהַשְׁקֹתוֹ וַתֹּ֫אמֶר et elle acheva de le faire boire, et (ensuite) elle dit = après qu’elle eut achevé de… elle dit[2].
Dans la sphère du futur on emploie weqataltí (§ 119 c) : Gn 44, 4 וְהִשַּׂגְתָּם וְאָמַרְתָּ֫ et tu les atteindras et (ensuite) tu diras = et quand tu les auras atteints tu diras ; 1 R 20, 36 הִנְּךָ הוֹלֵךְ מֵאִתִּי וְהִכְּךָ הָֽאַרְיֵה voici que tu vas me quitter et (ensuite) un lion te frappera ; Ruth 2, 9 וְצָמִת וְהָלַכְתְּ et quand tu auras soif, tu iras (plutôt que proposition conditionnelle : et si tu as soif… § 167 b).
c II. Simultanéité. Chacune des deux actions peut être instantanée ou durative, d’où quatre combinaisons possibles pour exprimer la simultanéité des deux actions. Pour l’action durative on emploie le participe[3], pour l’action instantanée le qatal (sphère du passé) ou le yiqtol (sphère du futur § i).
Sphère du passé : 1) Les deux actions sont instantanées : type qatal … we… qatal : 1 S 9, 17 וּשְׁמוּאֵל רָאָה אֶת־שָׁאוּל וַֽיהֹוָה עָנָ֫הוּ au moment où Samuel vit Saül, Jéhovah lui dit ; Gn 19, 23 הַשֶּׁ֫מֶשׁ יָצָא עַל־הָאָ֫רֶץ וְלוֹט בָּא צֹ֫עֲרָה au moment où le soleil se levait sur la terre, Lot entrait à Ṣoʿar ; 1 S 9, 5 הֵ֫מָּה בָּ֫אוּ בְּאֶ֫רֶץ צוּף וְשָׁאוּל אָמַר comme ils entraient dans le pays de Ṣuf, Saül dit. (On remarquera que dans les trois derniers exemples l’aspect de יָצָא sortir, בֹּא entrer est instantané ; cf. § 111 d). Voir encore Gn 27, 30 (cf. § 123 k).
d À côté de ce type ordinaire on a dans quelques cas particuliers le type wayyiqtol[4] … we… qatal : Gn 15, 12 וַיְהִי הַשֶּׁ֫מֶשׁ לָבוֹא וְתַרְדֵּמָה נָֽפְלָה עַל־אַבְרָם quand le soleil était sur le point de se coucher, un sommeil profond tomba sur Abram ; Jos 2, 5 וַיְהִי הַשַּׁ֫עַר לִסְגּוֹר וְהָֽאֲנָשִׁים יָצָ֔אוּ on était sur le point de fermer la porte quand les hommes sortirent.
e2) Les deux actions sont duratives : type qōtel … we… qōtel : 1 S 9, 14 הֵ֫מָּה בָּאִים בְּתוֹךְ הָעִיר וְהִנֵּה שְׁמוּאֵל יֹצֵא לִקְרָאתָם tandis qu’ils entraient dans la ville voici que Samuel sortait à leur rencontre (l’aspect des deux verbes est duratif ; cf. § 111 d) ; 2 R 4, 5 הֵם מַגִּשִׁים אֵלֶ֫יהָ וְהִיא מוֹצָ֑קֶת tandis qu’eux lui présentaient (les vases), elle versait (l’huile).
f3) La 1re action durative, la 2e action instantanée : type qōtel … we… qatal : 1 S 9, 11 הֵ֫מָּה עֹלִים בְּמַֽעֲלֵה הָעִיר וְהֵ֫מָּה מָֽצְאוּ נְעָרוֹת tandis qu’ils gravissaient la montée de la ville, ils rencontrèrent des jeunes filles (le second הֵ֫מָּה comme mot tampon, § a) ; 2 R 13, 21 וַיְהִי הֵם קֹֽבְרִים אִישׁ וְהִנֵּה רָאוּ אֶת־הַגְּדוּד or tandis qu’ils enterraient un homme, voici qu’ils virent une bande (הִנֵּה comme mot tampon) ; 1 S 7, 10 וַיְהִי שְׁמוּאֵל מַֽעֲלֶה הָֽעוֹלָה וּפְלִשְׁתִּים נִגְּשׁוּ or pendant que Samuel offrait l’holocauste, les Philistins approchèrent[5] ; Job 1, 16 עוֹד זֶה מְדַבֵּר וְזֶה בָּא celui-ci parlait encore quand un autre arriva[6] ; 1 R 1, 22 ; 2 R 2, 23 ; 6, 5, 26 ; 19, 37. — Avec un participe passif : Gn 38, 25 הִיא מוּצֵאת וְהִיא שָֽׁלְחָה אֶל־חָמִ֫יהָ tandis qu’on la faisait sortir, elle envoya dire à son beau-père (le second הִיא comme mot tampon, § a).
g Remarque. Au lieu d’une première action, on peut avoir à exprimer un état ; on a alors une proposition nominale : Jug 18, 3 הֵ֫מָּה עִם־בֵּית מִיכָה וְהֵ֫מָּה הִכִּ֫ירוּ אֶת־קוֹל הַנַּ֫עַר הַלֵּוִי tandis qu’ils étaient près de la maison de Micah, ils reconnurent la voix du jeune Lévite (le second הֵ֫מָּה comme mot tampon, § a) ; Gn 7, 6 וְנֹחַ בֶּן־שֵׁשׁ מֵאוֹת שָׁנָה וְהַמַּבּוּל הָיָה Noé était âgé de 600 ans quand le déluge arriva.
Rarement on a une proposition nominale au lieu d’un parfait : 2 R 2, 11. On peut même avoir deux propositions nominales, la première au lieu du participe, la seconde, au lieu du parfait : 1 R 18, 7.
h 4) La 1re action instantanée, la 2e action durative : pour rendre une proposition telle que Ruben trouva tandis que Siméon cherchait, en insistant sur l’idée de simultanéité, on emploierait le type précédent (§ f) : Tandis que S. cherchait, R. trouva. Mais si la seconde action est conçue comme une pure circonstance, on a wayyiqtol (qatal) … we… qōtel : Gn 18, 1 וַיֵּרָא אֵלָיו יְהֹוָה בְּאֵֽלֹנֵי מַמְרֵא וְהוּא ישֵׁב פֶּ֫תַח־הָאֹ֫הֶל Jéhovah lui apparut dans la chênaie (?) de Mambré tandis qu’il était assis à l’entrée de sa tente (§ 159 d) ; 19, 1 ; Jug 13, 9 ; 1 R 19, 19 ; avec un qatal : Esth 7, 8 (pas classique).
i Dans la sphère du futur les exemples sont naturellement rares : 1 R 18, 12 וְהָיָה אֲנִי אֵלֵךְ מֵאִתָּ֗ךְ וְרוּחַ יְהֹוָה יִשָּֽׂאֲךָ or, au moment où je te quitterai, le souffle de Jéhovah t’emportera (les deux actions instantanées) ; 1, 14 הִנֵּה עוֹדָךְ מְדַבֶּ֫רֶת שָׁם עִם הַמֶּ֫לֶךְ וַֽאֲנִי אָבוֹא or, tandis que tu seras là en train de parler avec le roi, j’entrerai (1re action durative, 2e action instantanée).
j III. Antériorité. Pour exprimer l’antériorité d’une action par rapport à une action précédemment énoncée, l’hébreu se contente, dans une suite narrative, d’éviter le wayyiqtol (cf. § 118 d). Le we… qatal, grâce au contexte, a le sens de notre plus-que-parfait : Nb 17, 15 וַיָּ֫שָׁב אַֽהֲרֹן וְהַמַּגֵּפָה נֶֽעֱצָ֑רָה et Aaron revint… et le fléau s’était arrêté (= après que le fléau se fut arrêté ou car le fléau s’était arrêté ; opp. 25, 8 וַתֵּֽעָצַר הַמַּגֵּפָה et (ensuite) le fléau s’arrêta) ; Jér 36, 20 וַיָּבֹ֫אוּ אֶל־הַמֶּ֫לֶךְ חָצֵ֫רָה וְאֶת־הַמְּגִלָּה הִפְקִ֫ידוּ … וַיַּגִּ֫ידוּ et ils allèrent vers le roi dans la cour, après avoir déposé le volume… et ils annoncèrent (et ils déposèrent est exclu par le contexte) ; 1 R 3, 20.
Après un qatal : Ex 10, 13 הַבֹּ֫קֶר הָיָה וְרוּחַ הַקָּדִים נָשָׂא אֶת־הָֽאַרְבֶּה quand le matin arriva, le vent d’Orient avait apporté les sauterelles. (Le contexte seul indique que la seconde action est antérieure et non simultanée ; cf. § c).
k B) Relation temporelle exprimée par d’autres particules que le waw. L’antériorité et la postériorité sont exprimées par des mots dont l’emploi n’offre guère de difficulté. Nous nous contenterons donc de donner les mots usuels pour avant et après.
Avant | Après | ||||||||||||
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l Simultanéité. Pour la simultanéité, au sens strict ou au sens large, on emploie surtout les deux prépositions בּ et כּ avec l’infinitif ; puis la conjonction כַּֽאֲשֶׁר § n, moins souvent כִּי § o, אִם § p.
בּ indique proprement l’inclusion d’une action dans le temps d’une autre ; כּ indique proprement la correspondance de deux actions dans le temps : le temps de l’une est comme le temps de l’autre. On voit que les deux prépositions aboutissent pratiquement à des sens voisins[7]. Cependant chacune a des nuances différentes, qui s’expliquent par la différence du sens fondamental.
בּ s’emploie pour la simple indication du temps, sans nuance spéciale, comme fr. « en venant », « quand il vint », surtout si l’action est durative : « tandis qu’il venait ». Ainsi on a toujours בִּֽהְיוֹת : Jos 5, 13 וַיְהִי בִּֽהְיוֹת יְהוֹשֻׁעַ בִּֽירִיחוֹ וַיִּשָּׂא עֵינָיו or, tandis que Josué était tout près de Jéricho, il leva les yeux[8] ; Gn 4, 8 ; 34, 25 ; etc. ; toujours en parlant de la sortie d’Égypte : בְּצֵאת, בְּהוֹצִיא Ex 13, 8 ; Dt 23, 5 ; 24, 9 ; 25, 17 ; Jos 2, 10 ; — Ex 3, 12 ; 16, 32 ; Lév 23, 43 ; etc. Mais on a aussi, assez souvent, בּ pour une action instantanée ; ainsi 2 S 1, 2 בְּבֹאוֹ en arrivant, quand il arriva ; 4, 4 בְּבֹא quand arriva (la nouvelle) ; toujours בְּמָלְכוֹ quand il devint roi : 1 S 13, 1 ; 2 S 2, 10 ; etc. (Une fois כְּמָלְכוֹ 1 R 15, 29 dès qu’il fut roi ; à lire probt 16, 11, en même contexte).
m Au contraire כּ suppose une comparaison implicite, une corrélation entre les temps des deux actions, d’où l’idée d’exacte correspondance des deux actions : fr. au moment où ou (emphatiquement) dès que, et, par extension, aussitôt après que, après que[9]. Dans 1 S 9, 13 la corrélation est expressément marquée par un כֵּן d’apodose (§ 174 b) : כְּבֹֽאֲכֶם הָעִיר כֵּן תִּמְצְאוּן אֹתוֹ littt comme vous entrerez dans la ville, ainsi (alors) vous le trouverez = dès que vous entrerez. L’idée de correspondance exacte explique le fait que כּ ne s’emploie guère que pour l’action instantanée ou représentée comme telle : au moment où ; ainsi pour l’action de finir on a toujours כְּכַלּוֹת, כְּתֹם : Dt 31, 24 וַיְהִי כְּכַלּוֹת משֶׁה לִכְתֹּב … וַיְצַו or, après que (= quand) M. eut fini d’écrire… il ordonna ; 1 R 8, 54 etc. On emploie כּ pour le moment de la journée auquel s’accomplit une action : Dt 16, 6 כְּבוֹא הַשֶּׁ֫מֶשׁ au coucher du soleil ; Gn 18, 1 כְּחֹם הַיּוֹם au moment de la chaleur du jour ; 2 R 3, 20 כַּֽעֲלוֹת הַמִּנְחָה au moment où l’on offre l’oblation (à lire aussi 1 R 18, 36). L’idée de corrélation explique aussi l’emploi de כּ quand l’action est répétée : Ex 33, 8 וְהָיָה כְּצֵאת משֶׁה … יָק֫וּמוּ or, toutes les fois que (= quand) Moïse sortait… ils se levaient ; 33, 9 ; Jér 36, 23 (cf. Giesebrecht, in h. l.).
n כַּֽאֲשֶׁר est usuel au sens du lat. cum : lorsque, après que. Ainsi, comme équivalent de כְּכַלּוֹת on a Gn 24, 22 וַיְהִי כַּֽאֲשֶׁר כִּלּוּ לִשְׁתֹּת וַיִּקַּח or, quand ils eurent fini de boire, il prit ; Jug 3, 18 ; etc. ; Jug 8, 33 וַיְהִי כַּֽאֲשֶׁר מֵת גִּדְעוֹן וַיָּשׁ֫וּבוּ or, après que Gédéon fut mort, ils revinrent ; Ps 51, 2 כַּֽאֲשֶׁר־בָּא après qu’il fut entré (après בְּבוֹא quand il vint).
o כִּי au sens temporel du lat. cum : lorsque, après que est moins usuel que כַּֽאֲשֶׁר : 2 S 19, 26 וַיְהִי כִּי־בָא … וַיֹּ֫אמֶר or, quand il arriva, il dit ; Jug 1, 28 וַיְהִי כִּי־חָזַק … וַיָּ֫שֶׂם postquam confortatus est… fecit (Vulg.)[10].
p De même que כִּי est parfois employé au sens conditionnel si (§ 167 i), אִם si est parfois employé au sens temporel : Dt 19, 8 וְאִם־יַרְחִיב cum dilataverit (opp. 9 כִּֽי־תִשְׁמֹר si tamen custodieris, Vulg.) ; Jug 21, 21 אִם יֵֽצְאוּ quand (les filles de Shilo) sortiront ; avec un qatal (malgré le sens fréquentatif (cf. § 167 g) : Gn 38, 9 וְהָיָה אִם בָּא or, quand il entrait (= toutes les fois que) (cf. Jug 6, 3) ; Ps 94, 18.
- ↑ En effet, dans la langue classique, les formes weqatálti et j’ai tué, weyiqtol et il tuera sont généralement évitées (en dehors de la pure coordination, p. ex. Jér 22, 15 אָכַל וְשָׁתָה il a mangé et bu). La raison de ce fait est sans doute celle-ci : weqatal est ordinairement employé comme forme invertie (à savoir weqataltí et je tuerai) ; comme dans beaucoup de cas le ton ne peut pas être déplacé, il y aurait une extrême confusion si weqatal pouvait être employé aussi comme forme non invertie (à savoir weqatálti et j’ai tué). Quant à la forme weyiqtol, elle ne risque pas, il est vrai, d’être confondue avec wayyiqtol ; on l’évite néanmoins comme weqatal (weqatálti), sans doute par raison d’analogie.
- ↑ Pour cette idée, ce type de phrase est assez fréquent (10 exemples). On trouve aussi deux autres types : 1) (וַיְהִי) כְּכַלּוֹת … וַיֹּ֫אמֶר 1 R 8, 54 (13 ex.), cf. § 166 m ; 2) (וַיְהִי) כַּֽאֲשֶׁר כִּלָּה Jug 3, 18 (5 ex.), cf. § 166 n.
- ↑ Le participe suppose que le sujet (nom ou pronom) est exprimé. Une phrase, comme 1 R 17, 6 וּמִן הַנַּ֫חַל יִשְׁתֶּה et il buvait de l’eau du torrent, avec yiqtol, n’a pas l’intention de marquer la simultanéité. Pour la marquer on dirait וְהוּא שֹׁתֶה (cf. § e).
- ↑ Le wayyiqtol représente la première action comme postérieure à l’action précédente.
- ↑ L’action d’approcher représentée comme instantanée, à cause de sa soudaineté. Le sens n’est pas s’étaient approchés (contre König, Syntax, § 117) ; la place de פלשׁתּים n’est pas due à l’emphase (contre Driver, in h. l.) mais à la nécessité grammaticale.
- ↑ L’action d’arriver étant instantanée, בּא est ici le parfait ; de même בָּ֫אָה Gn 29, 9.
- ↑ D’où d’assez nombreuses confusions dans le TM (dont plusieurs corrigées par le Qeré), favorisées aussi par la ressemblance graphique du ב et du כ. Cf. Mélanges Beyrouth, 5, p. 389. (Les conclusions de cette étude sont en partie modifiées ici).
- ↑ Remarquer, ici et dans les §§ m-p, qu’on a ordinairement le waw d’apodose ; cf. § 176 f. — On trouve rarement un אָז d’apodose, qui ajoute une nuance emphatique : 2 S 5, 24 a ; Job 28, 27 ; 33, 16.
- ↑ Comp. lat. cum : lorsque, après que.
- ↑ Jug 2, 18 כִּי־הֵקִים quand il suscitait, avec qatal malgré le sens fréquentatif lequel est exprimé par וְהוֹשִׁיעָם il les sauvait. Le même phénomène avec אִם § p et § 167 g.