Histoire du Parnasse/Leconte de Lisle et la Grèce

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Éditions "Spes" (p. 176-183).

CHAPITRE III
Leconte de Liste et la Grèce

Pour étudier l’œuvre de Leconte de Lisle, la meilleure méthode ne consiste pas à analyser successivement ses grands recueils dans leurs éditions définitives, les Poèmes antiques parus en 1853, les Poèmes barbares en 1862, les Poèmes tragiques en 1884, les Derniers poèmes en 1895. Ce sont des recueils composites : il y a des pièces grecques dans les Poèmes barbares, et les Poèmes antiques ou tragiques contiennent de la poésie du Nord. Il vaut donc mieux suivre ses quatre ou cinq inspirations principales, à partir du moment où il cesse de faire de la politique et ne veut plus être que poète. Il se tourne vers la Grèce. L’hellénisme le détache du romantisme, et le dresse contre Hugo[1]. Leconte de Lisle, ce puissant maître, entraîne les esprits à sa suite et les ramène à l’hellénisme, la source principale du génie français[2]. Est-ce à la suite de Goethe, et par un souvenir de sa lecture du Second Faust à Rennes ? Jean Dorais voudrait nous le faire croire[3]. Il n’en est rien. Si à Rennes Leconte de Lisle a eu un maître, c’est André Chénier ; mais, même pour Chénier, il faut se garder de toute exagération[4]. Débutant, il imite la technique d’André ; politicien, il aime à retrouver ses idées libertaires dans l’Hermès[5]. Mais plus il devient lui-même, plus il se détache de l’hellénisme ionien et sensuel de Chénier pour aller vers la beauté qui lui agrée mieux : la majesté, la gravité dorienne[6].

Il doit davantage à Louis Ménard, et pourtant n’est pas son simple disciple : les deux amis réagissent l’un sur l’autre[7]. Ils échangent des idées : tout à l’heure l’emprunteur c’était Leconte de Lisle, mais les rôles sont renversés maintenant : en 1855, dans la préface de ses Poèmes et poésies, il dit fièrement : « le reproche qui m’a été adressé de préférer les morts aux vivants est on ne peut plus motivé, et j’y réponds par l’aveu le plus explicite[8]. » Huit ans après, dans son Polythéisme hellénique, Ménard reprend l’idée de son ami : « quand l’avenir n’a plus de promesses, l’esprit se nourrit de souvenirs, et, pour les races fatiguées, la société des morts vaut mieux que celle des vivants[9] ».

L’élève maintenant enseigne le maître : à Ménard qui s’attarde dans la politique rouge, Leconte de Lisle, qui s’en est évadé, prêche le retour à l’art grec : « la hiérarchie des esprits et les grandes œuvres d’art pèsent dans la balance d’un autre poids que cinq cent millions d’almanachs démocratiques et sociaux. J’aime à croire, — et puisse le rapprochement monstrueux m’être pardonné — que l’œuvre d’Homère comptera un peu plus dans la somme des efforts moraux de l’humanité que celle de Blanqui[10]. » Rappelant à Ménard les belles rêveries du Club Théagogique, il lui montre, littéralement, le ciel : « Donnons notre vie pour nos idées politiques et sociales, mais ne leur sacrifions pas notre intelligence, qui est d’un prix bien autre que la vie, car c’est grâce à elle que nous secouerons sur cette misérable terre la poussière de nos pieds pour monter à jamais dans les magnificences de la vie stellaire[11] ». Leconte de Lisle voit plus grand que son ami ; il est d’une autre lumière. Le pauvre Ménard est né dans la ténébreuse rue Gît-le-Cœur ; Leconte de Lisle chante Midi, Roi des Etés, avec ses souvenirs du soleil à l’équateur[12]. Pourtant, dans leur commerce intellect tuel, aucune jalousie : L. Ménard ne s’est jamais vanté d’avoir enseigné Leconte de Lisle, et ce dernier s’est montré fier de l’approbation de son ami : à un poète qui était allé le voir pendant que la Revue des Deux-Mondes publiait ses Hymnes Orphiques, Leconte de Lisle dit avec orgueil : « je suis content de ces poèmes parce que mon vieil ami Ménard m’a dit que c’est dans ces vers que j’ai le plus profondément pénétré et rendu le génie grec ». M. Barrès enchâsse ce mot dans un précieux commentaire : « la jolie phrase, d’un sentiment noble et touchant ! Belle qualité de ces âmes d’artistes, si parfaitement préservées, que, bien au delà de la soixantaine, elles frissonnent d’amitié pour une même conception de l’hellénisme[13] ».

Leconte de Lisle s’élève jusqu’au niveau de l’érudition de Ménard par son effort propre. Il apprend le grec en le traduisant ; il consacre sept années à ses traductions. Elles ne lui rapportent que sept mille francs, et il manque de s’y abîmer les yeux[14] ; elles lui valent, auprès du grand public, toutes sortes de railleries, bonnes ou mauvaises[15]. Mais les historiens, les archéologues, lui donnent raison. Les écrivains approuvent la beauté artistique de son Homère[16]. Il récolte enfin les fruits de son énorme labeur : saturé de génie grec, il peut, dans un seul sonnet, condenser l’Iliade dans laquelle il a si longtemps vécu ; il écrit Le Combat Homérique :


De même qu’au soleil l’horrible essaim des mouches
Des taureaux égorgés couvre les cuirs velus,
Un tourbillon guerrier de peuples chevelus,
Hors des nefs s’épaissit, plein de clameurs farouches…

Zeus, sur le pavé d’or, se lève, furieux,
Et voici que la troupe héroïque des Dieux
Bondit dans le combat du faîte des nuées[17].


Leconte de Lisle se réfugie dans l’art grec, non seulement par amour du beau, réalisé jadis en perfection, mais encore par dégoût pour les laideurs ftiodemes, pour les néo-barbaries. Avec une sorte d’insolence et de défi, il lance l’anathème à l’art contemporain : « depuis Homère, Eschyle et Sophocle, qui représentent la poésie dans sa vitalité, dans sa plénitude et dans son unité…, la décadence et la barbarie ont envahi l’esprit humain ». La vie présente, toute scientifique, est anti-poétique : « les hymnes et les odes inspirées par la vapeur et la télégraphie électrique m’émeuvent médiocrement », dit-il dans la préface des Poèmes et poésies. Le monde n’est plus qu’un « Pandémonium intellectuel » livré aux clameurs des barbares[18]. Il veut restaurer le temple grec, y replacer les dieux déchus : ils subsistent par la beauté que leur avaient prêtée les sculpteurs, ces dieux pour lesquels mourut Hypatie, la martyre païenne[19]. Le sceptique Jules Lemaître trouve cet effort sublime, y voyant l’union de deux sentiments immortels, l’amour de la beauté plastique, le désenchantement de l’existence[20]. Le premier rayonne dans L’Apollonide, où le poète tombe dans une sorte d’extase devant la beauté grecque[21]. Le second, nous le connaissons par la vie même de Leconte de Lisle : il avait beau la cacher à ses lecteurs, il a dit une fois son secret dans les plaintes du Cyclope amoureux de Galatée, :


C’est ainsi que chantait l’antique Polyphème,
Et son amour s’enfuit avec sa chanson même,
Car les Muses, par qui se tarissent les pleurs,
Sont le remède unique à toutes nos douleurs[22].


À la Grèce il demande, au moins autant qu’une forme parfaite de l’art, une philosophie pour remplir le vide de son cœur : il a renié ses anciens dieux du fouriérisme, avec l’énergie d’une désillusion complète, « ces esprits ébauchés à coups de bêche, toujours fermés à toute clarté d’un monde supérieur[23] ». Il a renié la religion de son enfance, non pas du tout, comme on l’a dit, sous l’influence de Henri Heine, mais en vertu des amertumes de sa vie[24] ; sa foi, un instant reconquise à Rennes, s’est transmuée en une véritable haine du christianisme : elle apparaît dans le Chant alterné, où l’hellénisme et le christianisme se répondent, dans Hypatie et Cyrille, où les deux religions s’affrontent[25] ; elle anime toute son œuvre, car ses poèmes indiens, égyptiens, Scandinaves, finnois, celtiques, espagnols, américains, grecs, latins ou bibliques sont non pas une Légende des Siècles, mais une Légende des Religions ; le fil qui relie toutes ces histoires, c’est, je le répète, la haine du catholicisme. Du reste, à un prêtre lui demandant si vraiment il croit aux dieux de l’Olympe, il répond, très sérieusement : « je crois à tous les dieux, Monsieur. Il n’en est qu’un sur la divinité duquel j’ai quelque doute : c’est Jésus-Christ[26] ». Il ne s’arrête donc pas au point où arrive son ami Ménard, à savoir que toute religion fut vraie à son heure[27]. Il va plus loin : sa philosophie est une théogonie qui aboutit au néant ; sa thèse est condensée dans une pièce capitale, La Paix des Dieux : les divinités n’ont jamais été qu’une création de l’homme, un rêve humain[28]. Il met dans la bouche d’Hypatie cette profession de foi sur l’existence des dieux :


Ils vivent dans mon cœur[29].


Et donc, ils meurent avec l’arrêt de ce cœur. Ils ne sont plus que poussière. On pourrait mettre à cette étude une épigraphe :


Tuque expende Deos : quoi libras in Jove summo
Invenies ?


Alors, qu’est-ce que son art, et qu’y a-t-il au centre ? Nous venons de faire, en matière de philosophie religieuse, un travail analogue à celui qu’accomplirent ceux qui ont violé la tombe du pauvre petit Touth an Kamon : ils découvrent des merveilles, de plus en plus surprenantes, au fur et à mesure qu’ils s’approchent de la dernière chambre, de la dernière enveloppe : mais au centre il n’y a plus qu’une momie ligotée dans ses bandelettes. Au centre de l’œuvre de Leconte de Lisle, il n’y a qu’une foi morte.

Du moins, y a-t-il là de la vérité historique ? La Grèce des Poèmes est-elle la Grèce de la réalité ? Le poète croit bien être bon historien, car, en 1864, opposant sa méthode à celle de V. Hugo, il se donne la préférence : nous sommes, dit-il, « en présence de deux théories esthétiques opposées, entre lesquelles, pour cause personnelle, il ne m’appartient pas de décider ici. L’une veut que le poète n’emprunte à l’histoire ou à la légende que des cadres plus intéressants en eux-mêmes, où il développera les passions et les espérances de son temps. C’est ce que fait V. Hugo dans La Légende des Siècles. L’autre, au contraire, exige que le créateur se transporte tout entier à l’époque choisie, et y revive exclusivement[30] ». Cela ne peut être qu’un idéal, dont on s’approche plus ou moins, mais qu’on ne peut réaliser tout entier. Laissons de côté, bien entendu, les quelques erreurs de détail qui n’engagent pas la valeur de l’ensemble[31]. Cherchons si Leconte de Lisle a fait preuve des principales qualités d’esprit sans lesquelles on ne peut être un historien ; si, l’histoire étant une science, il en applique les lois ; si son érudition est sûre, étendue ; s’il connaît toutes les langues vivantes, indispensables outils de son travail. La question ainsi posée répond par elle-même : Leconte de Lisle n’est pas un historien scientifique[32]. Mais l’histoire étant aussi un art, le poète a-t-il eu cette intelligence divinatoire qui supplée parfois aux textes, ce talent de ressusciter la vie d’autrefois ? Sauf Jean Psichari, aucun critique ne lui a reconnu ce don, tout au contraire[33]. Leconte de Lisle a le plus souvent projeté ses propres passions sur le passé, pour l’éclairer à sa guise. Il reconstruit l’histoire des religions d’autrefois avec son irréligion actuelle. Pour élever son monument il prend les matériaux les plus composites : son Khirôn est emprunté à la Gigantomachie de Claudien, au Centaure de Maurice de Guérin, même à la Chute d’un Ange de Lamartine[34] !

Mais alors, si sa Grèce n’est pas très vraie, si ses poèmes grecs ne recèlent que la philosophie du néant, que lui reste-t-il ? La matière de son art est caduque, mais sa forme est splendide. Elle ne suffit pas à intéresser les spectateurs à son théâtre grec, et l’échec de ses Érinnyes devant les auditeurs de l’Odéon est bien connu ; mais le lecteur lui reste fidèle[35]. Ses poèmes grecs sont une fête, une féerie pour l’imagination. Il suffit de se mettre en présence de sa Vénus de Milo pour éprouver l’impression de la beauté parfaite[36]. C’est la prière du poète, non pas devant l’Acropole, mais devant la statue qui personnifie, qui déifie la beauté que rêvaient les Grecs. Nul n’a mieux compris la majesté de la Vénus de Milo, ni ne la fait mieux comprendre. Quelle fête pour l’esprit que de se réciter ces beaux vers devant ce beau marbre. Les vers éclairent la statue, la statue illustre les vers. C’est un charme pour nous, mais pour les Français de 1852 c’est lettre morte : l’édition des Poèmes Antiques reste en magasin. Quand ses répétitions de grec ne lui donnent plus rien, Leconte de Lisle, pour pouvoir manger, va prendre une dizaine d’exemplaires chez son éditeur, et les vend aux bouquinistes du quai pour quelques sous[37] !

Le Parnasse, qui est alors une force diffuse, n’est pas encore concentré autour de lui, et le poète souffre de son isolement[38]. Mais on viendra peu à peu au Maître. À ses disciples il pourra enseigner par son exemple son plus grand précepte : le respect de l’art, le sacrifice de toute une vie à la beauté des vers. Pourtant on a prétendu que son influence avait été fâcheuse[39]. M. Léon Daudet, avec une verve incontestable, le présente ainsi au public : « homme glacial et féroce, dont les poèmes parfaits, marmoréens, congèlent l’eau dans les carafes, et procuraient, il y a quarante ans, un plaisir polaire à pas mal d’ours blancs rôdant sur les flancs du Parnasse[40] ». Huysmans, plus modéré de forme, est aussi dur au fond ; il le traite avec l’admiration dédaigneuse qu’il professe pour Théophile Gautier : « aucune des variations de ces parfaits instrumentistes ne pouvait plus l’extasier, car aucune n’était ductile au rêve[41] ». Mais qu’est-ce que nos songes et nos brumes, à côté de cette Grèce lumineuse ? Les Parnassiens ne cherchent pas à rêver dans la pénombre, mais à voir clair, pour mieux ciseler leurs vers. Par ses exemples d’abord, par ses préceptes ensuite, Leconte de Lisle leur enseigne à dissimuler sous une apparente impassibilité une sensibilité très vive. Ses poèmes inspirés de l’antiquité, en particulier les pièces imitées de Théocrite, vont orienter le Parnasse du côté des descriptions plastiques[42]. Combien de fois le Vase a-t-il été moulé et surmoulé par les apprentis poètes ?


Reçois, pasteur des boucs et des chèvres frugales.
Ce vase enduit de cire, aux deux anses égales,
Avec l’odeur du bois récemment ciselé.
Le long du bord serpente un lierre entremêlé
D’hélicryse aux fruits d’or. Une main ferme et fine
A sculpté ce beau corps de femme, œuvre divine[43].


Le moins hellénisant des Parnassiens, Glatigny, en représentation à Hambourg, écrit à Leconte de Lisle cette lettre touchante, et documentaire : « j’ai acheté un petit buste d’Homère pareil à celui que vous avez, et tous les samedis je le mets sur la commode… Vos livres aimés que je place autour me rappellent nos chères réunions de chaque semaine. Il me manque votre portrait ». Mais le photographe Carjat doit en avoir encore : « Soyez assez bon pour en filouter un que vous m’enverrez[44] ». Même à distance, le Maître hellénisant exerce une influence presque hallucinante : Barrès, dans un voyage au pays du Levant, visite Daphné, « le lieu saint où l’Antioche païenne honorait Apollon et les Muses… J’admire avec ravissement le génie des Hellènes. Mais c’est trop peu que mon hommage. J’apporte au Dieu les dévotions de mes vieux maîtres, les Louis Ménard, les Leconte de Lisle, que je sens qui m’accompagnent[45] ».

Amoureux de la clarté du génie grec et du soleil de l’Attique, ce fils de l’île lumineuse peint les splendeurs de l’Orient ; puis, rehaussant par le contraste ces couleurs vibrantes, il nous présente un Occident assombri[46].


  1. Schuré, Revue des Revues, Ier mai 1910, p. 37.
  2. Brunetière, Le Temps du 13 décembre 1895 ; J. Ducros, Le Retour de la Poésie française, p. 9-22.
  3. Hommes d’Action, p. 120-121.
  4. Cf. les affirmations discutables de M. Kramer, A. Chénier et la Poésie parnassienne, p. 228-229, 241-242, 261-264.
  5. L. Tiercelin, R. D. D.-M., Ier décembre 1898, p. 649, 652 ; M. A. Leblond, L. de Lisle p. 305.
  6. Schuré, ibid., p. 37.
  7. Elsenberg, Le Sentiment, p. 146.
  8. Derniers Poèmes, p. 224.
  9. Cf. J. Ducros, Le Retour de la Poésie, p. 70.
  10. M. A. Leblond, p. 241-242.
  11. H. Houssaye à l’Académie, dans Le Temps du 13 décembre 1895.
  12. Seuls les fils des pays du soleil comprennent la splendeur éclatante de la lumière ; cf. Mercure de France, Ier juin 1921, p. 483.
  13. Voyage de Sparte, in R. D. D.-M., 15 novembre 1905, p. 242 ; cf. Heredia, dans Le Tombeau de Louis Ménard, p. 21, 22, 29.
  14. Jean Dornis, R. D. D.-M., 15 mai 1895, p. 329.
  15. H. Houssaye, Le Temps du 13 décembre 1895 ; Calmettes, p. 321-323 ; Brunetière, Histoire et Littérature, II, 219 ; Charly Clerc, Le Génie du Paganisme, p. 75 ; Sainte-Beuve, Correspondance, II, 153 ; Maurras, Anthinea, p. x-xi.
  16. G. Sand, Impressions et Souvenirs, p. 239 ; Francis Jammes, Mémoires, III, 187.
  17. Poèmes Barbares, p. 45.
  18. Derniers Poèmes, p. 216-217, 223.
  19. Gautier, Rapport, p. 331.
  20. Contemporains, II, 45.
  21. Derniers Poèmes, p. 155.
  22. Poèmes Antiques, p. 176.
  23. M. A. Leblond, p. 240-241 ; cf. Jean Ducros, Le Retour, p. 44.
  24. L. Reynaud, L’influence allemande, p. 217 ; Margaret Clarke, Heine et la Monarchie de juillet, p. 243.
  25. Poèmes Antiques, p. 270, 275.
  26. Louis de Mondadon, Le Génie du Paganisme, dans les Études du 20 novembre 1920, p. 489.
  27. Paul Bourget, Essais de Psychologie, II, 97.
  28. Derniers Poèmes, p. 3-8.
  29. Poèmes Antiques, p. 286-287.
  30. Derniers Poèmes, p. 261.
  31. Vianey, Les Sources de Leconte de Lisle, p. 341 ; Benedetto, Mélanges Picot, II, 279-280.
  32. Cf. Ducros, Le Retour de la Poésie, p. 81 sqq. ; G. Deschamps, Le Temps du 26 mai 1895 ; René de la Pagerie, R. D. D.-M., janvier 1923, p. 77.
  33. Psichari, Autour de la Grèce, p. 165, 170 ; Pontmartin, Causeries Littéraires, p. 93 ; Maurras, Anthinéa, p. 12 ; Charly Clerc, Le Génie du Paganisme, p. 77.
  34. Vianey, Les Sources, p. 357-367.
  35. Vianey, Les Sources, p. 314 ; Duquesnel, Souvenirs Littéraires, p. 290 ; Benedetto, Mélanges Picot, p. 331.
  36. Poèmes Antiques, p. 134 ; Benedetto, p. 305-308.
  37. H. Houssaye, Le Temps, 13 décembre 1895.
  38. Flaubert, Correspondance, II, 364, 321-322, 326, 334.
  39. Vaudoyer, Nouvelles Littéraires, 5 juin 1926.
  40. Les Œuvres, p. 31.
  41. À Rebours, p. 251.
  42. Vianey, Les Sources, p. 317-357.
  43. Poèmes Antiques, p. 172.
  44. Dornis, Essai, p. 329.
  45. R. D. D.-M., 15 septembre 1923, p. 250-251.
  46. Benedetto, Mélanges Picot, II, 285.