Histoire maccaronique/12
estoit lors quand le Soleil eschauffe les cornes du
Toreau, lequel porte sur son dos Europe parmy les
senteurs odoriferantes du ciel, et quand la terre, empreinte
de la rosée, reçoit tout autour de soy sa nouvelle
cotte bordée de fleurs, les arbres recevans aussi un plaisant
ombrage par leurs feuilles nouvelles, faisans peu à
peu les forests monter leurs brins et scions jusques au
ciel. Le Rossignol, qui n’est jamais las de chanter à Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/268 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/269 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/270 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/271 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/272 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/273 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/274 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/275 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/276 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/277 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/278 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/279 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/280 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/281 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/282 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/283 mauvaise teste. Ho ! qu’ai-je dit ? Mafeline l’a entendu, et
ne veut plus m’en conter ; toutesfois nous l’apaiserons.