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Histoire maccaronique/21

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(sous le pseudonyme de Merlin Coccaie)
Adolphe Delahays (p. 357-370).

LIVRE VINGT-UNIEME.


Nous venons enfin au port redoutable de Malamocque, lequel, au milieu de la mer, a en soy cent mille diables, et menace d’engloutir ma petite nacelle. C’est une grande folie de vouloir faire voguer sur mer son esquif, quand il y a du bruit entre les ondes. Que feray-je done ? Il vaut mieux abbattre la voile, et asseurer l’ancre avec plus fortes cordes. Nous n’avons pas le courage d’outrepasser ce pas : ce pas, dis-je, qui est si rude, si horrible, et si meschant, auquel souvent plusieurs barques, plusieurs Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/420 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/421 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/422 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/423 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/424 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/425 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/426 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/427 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/428 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/429 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/430 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/431 Page:Folengo - Histoire maccaronique de Merlin Coccaie, 1859.djvu/432