Institutes coutumières/1679/Livre IV
- LIVRE IV. - . ’ ■ ■ . • . - » P E RE N TE S. T I T R i l*. I. >"■’ ' -J O N met fa Terre en Ga£ gnage par Baux à Rente, Cens, ou Fief. ,
- IL
- Les Rentes font Reelles 8£
& Immobiliaires i les Arrerages , Perfonncls St Mobiliairs. III. En Succeflîon ou Partage de Rentes conftituées fur Particuliers y. on regarde le Domicile de celui auquel elles appartiennent : en celles du Roi , la Ville fdr laquelle elles font ailignées. Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/159 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/160 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/161 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/162 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/163 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/164 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/165 134 LIVRE IV. TIT. II. XXV. Rentes ſont Indiviſibles.
DE CENS & Champarts. Titre II. I. Le Cens eſt Diviſible. II. Le Cens n’eſt Requerable, ains Rendable & Portable. III. Droits de Cens, & du Premier Fonds de Terre, dûs au Seigneur Direct, ne le perdent, ni par le Temps, ni par Decret. IV. Cens ſur Cens , n’a point de lieu. Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/167 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/168 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/169 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/170 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/171 DE FIEFS. Titre III. I. T O ü s Fiefs font Patr ?-. moniaux , & fe peuvent ^Vendre & Engager fanr le Confcntement au Seigneur, ët en font les Heritiers faifis. II. Les Bénéfices fontReïïgnables , & à Vies. III. Les Charges & Commiffions font Revocables à Vol lonté. gjj* comme aufli eftoient tous Offices , avant l’Ordonnance du Roi Louïs X I. félon le Proverbe ancien, Que Service de Prince Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/173 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/174 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/175 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/176 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/177 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/178 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/179 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/180 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/181 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/182 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/183 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/184 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/185 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/186 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/187 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/188 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/189 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/190 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/191 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/192 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/193 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/194 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/195 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/196 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/197 XCVII. Fidélité &c Felonnie font Réciproques et»tre le Seigneur &ç le ValTal ,8c comme le Fief fe Confiique par le Valfal j ainfî la Tenure teodaie par le Seigneur. XCVIII. Le SeignCpr RéünifTant le Fief de fon Vaffal par Félonnie , le tient Franc 8c quitte de toutes^Dptes ^ôc Charges ^njftit^é^pâr ConV allai . XCIX. Autrement Je Seigneur Confifquant ^ en cil tqnp jufques J ’la Valeur duFief, C. • jRi* Un Seigneur n’eft te- ». P * contraire , Agnofcat Bos frtjcf t
CjOO^Ic Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/199 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/200 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/201 XII.
Donation faite Entre -vifs par Perfonne’s Malades, de la pialadie dont ils decedent, eft Réputée A caufe de mort. XIII. Donation faite A caufe de mort , n% Sailit point. x i y. Qui le Sien donne avant mourir , Bien-toft s’ap-P relié à moult ibulfrir, * Z> E R E’ P O k S E S, T I T R E .y. U i- Répond , Paie. ’ •’ I I. • • • ; ; ^ DéFor , frj.dé Pklge, plaid» de Gage , reconfprt ; d’ Argent comptant, paix &c accord. III. Qui Répond pour un Criminel Corps pour Corps, Avoir. poùr Avoir, n’erieft pourtant Tenu que Civilement. DE PAJEMEN S. Titre ’V ï. I. Frejle, non R’ 4 s V f Si R’ a, non Tofii Si Tofi , non’ Tout ; Si Tout , non Grés • Si Gré non Tel. Garde-toi donc de P-riJïeri car d /’ Emprunter Coufin germain , & à Rendre Fils de putain : * Et au Preûer Ami au Rendre Ennemi. Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/204 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/205 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/206 Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1679.djvu/207 lyé Lïv. IV. T i t. VI. dûës à certain Jour & Lieu, feront appréciées au plus haut Pris, qu’elles ont valu ettl’ An, depuis le Jour que le Paie» ment en duft cftrc fait.