L’Idylle vénitienne/I Sonetti Lussuriosi

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Georges Crès et Cie, Éditeurs (p. 35-36).


XIII

I SONETTI LUSSURIOSI


— Le vilain livre ! m’a-t-elle dit, en me le rendant, ce matin… Vous aviez raison de ne pas vouloir me le prêter… Je n’en ai lu, d’ailleurs, que les quatre premières lignes. Cela m’a suffi !… Tenez… reprenez-le, vite ! Il me brûle les doigts !


* *

Francesco Marcolini, rival des Aldes, l’imprima. Marco-Antonio Raimondi, copiant Giulio Romano, l’orna de seize gravures. Mais quelle bouche, fine et fardée, dessina ce petit arc rose — encore humide — au bas de la dernière page ?