L’Orbe pâle/Dans une baie que j’aperçois, un petit navire
Eugène Figuière et Cie, (p. 110).
DANS une baie que j’aperçois, un petit navire, ailes pliées, est là depuis de longs jours et de plus longues nuits
Sous le soleil ou sous la lune, il dresse ses deux bras décharnés vers le ciel, implorant silencieusement la fin de l’attente.