La Religion dans les limites de la simple raison
Apparence
TABLE DES MATIÈRES
Pages
PREMIÈRE PARTIE
I. —
De la disposition originaire au bien dans la nature humaine
26
II. —
Du penchant au mal dans la nature humaine
29
III. —
L’homme est mauvais par nature
34
IV. —
De l’origine du mal dans la nature humaine
44
Remarque générale. — Du rétablissement dans la force de la disposition primitive au bien (Des effets de la grâce)
51
DEUXIÈME PARTIE
Première section. — Du droit du bon principe à la domination sur l’homme
68
а) Idée personnifiée du bon principe
68
b) Réalité objective de cette idée
70
c) Difficultés soulevées contre la réalité de cette idée et solution de ces difficultés
76
Deuxième section. — De la prétention du mauvais principe à la domination sur l’homme et de la lutte des deux principes l’un contre l’autre
92
Remarque générale. — (Des miracles)
99
TROISIÈME PARTIE
Première section. — Représentation philosophique de la victoire du bon principe, grâce à la fondation d’un règne de Dieu sur la terre
110
I. —
De l’état de nature au point de vue moral
110
II. —
L’homme doit sortir de l’état de nature moral pour devenir membre d’une république morale
III. —
Le concept d’une république morale est le concept d’un peuple de Dieu gouverné par des lois morales
114
IV. —
L’idée d’un peuple de Dieu ne peut avoir (soumise à
l’organisation humaine) son accomplissement que sous la forme d’une église
116
V. —
La constitution d’une Église a toujours à sa base une foi historique (croyance révélée) qu’on peut appeler ecclésiastique et qui trouve en des Livres saints ses meilleurs fondements
119
VI. —
La croyance ecclésiastique a pour interprète suprême la croyance religieuse pure
129
VII. —
La transition graduelle qui fait passer la croyance ecclésiastique à la souveraineté de la croyance religieuse pure est l’approche du règne de Dieu
136
Deuxième section. — Représentation historique de la fondation progressive de la domination du bon principe sur la terre
148
Remarque générale. — (Des mystères)
165
QUATRIÈME PARTIE
Première section. — Du culte de Dieu dans une religion en général
183
I. —
La religion chrétienne comme religion naturelle
188
II. —
La religion chrétienne en tant que religion savante
196
Deuxième section. — Du faux culte de Dieu dans une religion statutaire
203
§ 1. — Du principe subjectif universel de l’illusion religieuse
204
§ 2. — Le principe moral de la religion opposé â cette illusion religieuse
206
§ 3. — Du sacerdoce en tant que pouvoir consacré au faux culte du bon principe
213
§ 4. — Du fil conducteur de la conscience dans le domaine de la foi
225
Remarque générale. — (Des moyens de grâce)
233