La Revue indépendante (1884-1895)
Apparence
La Revue indépendante |
Ne pas confondre avec La Revue indépendante (1841-1848)
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1884
[modifier]juin La Revue Indépendante, tome 1 - mai à octobre 1884
1887
[modifier]- L’Après-Midi d’un faune par Stéphane Mallarmé Tiré à part ou extrait de la revue seulement
- Poésies par Stéphane Mallarmé tiré à part
- Le Guignon
- Apparition
- Placet futile
- Le Pitre châtié
- « Une négresse par le démon secouée »
- Les Fenêtres
- Les Fleurs
- Renouveau
- Angoisse
- « Las de l’amer repos où ma paresse offense »
- Le Sonneur
- Tristesse d’été
- L’Azur
- Brise marine
- Soupir
- Aumône
- Autre Éventail
- Sainte
- Don du poème
- Hérodiade
- L’Après-Midi d’un faune
- Toast funèbre
- Prose
- « Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui »
- « Quand l’ombre menaça de la fatale loi »
- « Victorieusement fui le suicide beau »
- « Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx »
- Le Tombeau d’Edgar Poe
- « Le silence déjà funèbre d’une moire »
- « Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos »
- « Quelle soie aux baumes de temps »
- « Tout Orgueil fume-t-il du soir »
- « Surgi de la croupe et du bond »
- « Une dentelle s’abolit »
- « M’introduire dans ton histoire »
- Les lauriers sont coupés par Édouard Dujardin extrait de la revue seulement
1888
[modifier]mai
- Le « Ten O’Clock » par James Abbott McNeill Whistler et traduit par Stéphane Mallarmé tiré à part ou extrait de la revue seulement
juin
- La mésaventure par Paul Adam tiré à part ou extrait de la revue seulement
1890
[modifier]janvier — n°39 La Revue Indépendante, tome 14 - janvier à mars 1890