La Science pratique des filles du monde/17

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DIX-SEPTIÈME MANIÈRE.

La Valse de Cythère.

Lorsqu’un jeune homme et une femme s’entendent bien et qu’ils sont de la même taille, et que le vit et le con sont à la même hauteur, rien n’est plus délicieux que de valser en foutant.

Il faut que la chambre soit au moins garnie d’un lit et d’un canapé.

Les deux acteurs sont nus. Le fouteur passe une de ses jambes entre celles de la femme, le vit à l’embouchure du con, ensuite on entre en danse.

Le mouvement fait aller et venir le vit dans le con. Bientôt l’heureux couple sent les approches de la décharge, et ils peuvent tomber sur le lit ou le canapé pour terminer cette valse délicieuse.

Il est cruel qu’on nous parle toujours de mœurs et de décence pour économiser ou entraver nos plaisirs. Si on valsait ainsi dans nos bals champêtres et dans ceux qui se donnent à Paris, on ne verrait pas tant de faillites dans ces divers établissemens, et les femmes aimeraient à s’entendre dire :

Air : Gentil hussard.

Allons, valsons, mon aimable Glicère,
joins ton beau corps au mien, comme lui nu ;
Mais en dansant la valse de Cythère,
Marquons-en bien les temps à coups de cu.

Ah ! que ton sein est souple et qu’avec grâce
Il conduit bien mon amoureux engin ;
J’entre et je fous en formant chaque passe,
Sans cependant quitter ton frais conin.

Eh quoi ! déjà sur ta charmante bouche
Erre un soupir, et ton regard languit ;
L’amour m’entraîne avec toi sur ta couche.
Nous déchargeons, et la valse finit.