La Science pratique des filles du monde/18

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DIX-HUITIÈME MANIÈRE.

Le Gourmet.

C’est ainsi que foutent et se désennuient, en attendant les chalands, les courtiers-gourmets, piqueurs de vins et eaux-de-vie, marchands de vins en gros et en détail, de Bercy, la Rapée, de l’Entrepôt, des différens quartiers de Paris, et les garçons de cave.

Nous déposerons même des exemplaires de cet ouvrage au bureau du Syndicat et au bureau de placement, pour propager cette découverte, et que personne ne prétexte cause d’ignorance. Elle intéresse non-seulement les marchands de vin de toutes les classes, mais encore les femmes, les filles et les veuves qui voudraient faire valoir leur fonds.

Nous terminons ce préambule pour entrer en matière. On se place sur un lit de repos ; le fouteur a la langue dans le con, les bras passés sous les reins de la femme, qu’il peut branler, si cela lui plaît, ou à laquelle il peut donner le postillon. Sa langue chatouille le clitoris ou bouton, et goûte ainsi le foutre par la bonde, pour nous servir du terme de l’art. La femme a le vit dans la bouche et le suce. C’est ainsi que le Saint Père aspire le vin du calice à Rome. On voit que cette manière réunit l’agréable à l’utile, et qu’après s’être livré à ce petit exercice, on n’est pas neuf pour déguster une pièce de vin, n’importe de quel cru. On acquiert ainsi la réputation d’un fin gourmet.

Et l’on peut dire alors avec raison :

Oui tout est bien con chez la femme,
Amis, je l’éprouve souvent.
Je la fous au gré de ma flamme,
Ou par derrière, ou par devant. (bis.)
Mais l’attitude qui me touche,
En gourmet qui connaît le bon,
C’est de décharger dans sa bouche,
Tandis que je suce son con.