La constitution essentielle de l’humanité/TDM
Apparence
TABLE DES MATIÈRES
Pages.
Sommaire de l’ouvrage
iv
Préface
v
APERÇU PRÉLIMINAIRE
LA DÉCOUVERTE DE LA CONSTITUTION ESSENTIELLE
§ 1. — Comment l’auteur a cherché la constitution essentielle pour guérir la souffrance de sa patrie
1
§ 2. — Comment l’auteur a été naturellement conduit à la méthode sociale
4
§ 3. — Comment la méthode sociale a signalé partout la paix comme le critérium du bonheur
8
§ 4. — Comment les contrastes de paix et de discorde mettent en lumière les principes de la constitution essentielle
11
§ 5. — Comment, après avoir découvert la Constitution essentielle, l’auteur s’est aperçu qu’il n’avait rien inventé
13
CHAPITRE I
LES TRAITS PERMANENTS DE L’HUMANITÉ
§ 1. — L’homme devant la création et devant ses semblables
17
§ 2. — Les aptitudes naturelles de l’homme : le libre arbitre et l’instinct
21
§ 3. — Les défaillances naturelles de l’homme et le vice originel
22
§ 4. — Inégalité naturelle des individus dans leurs tendances innées vers le bien ou le mal
24
§ 5. — Les deux besoins essentiels de l’humanité : la loi morale et le pain quotidien
25
§ 6. — Comment l’action illimitée du vice originel rend l’individu incapable de pourvoir à ses besoins essentiels
26
§ 7. — La guérison du vice originel par la salutaire influence des Autorités sociales
27
§ 8. — Comment l’éducation neutralise l’action du vice originel et rend l’individu apte à pourvoir à ses deux besoins
29
§ 9. — La famille, premier moyen d’éducation, principe constitutif et conservateur des races prospères
30
§ 10. — Les familles stables sous leur double l’orme : la famille patriarcale, la famille-souche
31
§ 11. — Inégalité des tendances innées qui, dans les familles fécondes, distinguent les enfants issus des mêmes parents
34
§ 12 — Comment la famille met à profit l’inégalité naturelle de ses enfants pour se perpétuer dans la stabilité et la paix
36
§ 13. — Comment la tradition et la nouveauté dominent séparément ou s’équilibrent chez les trois sortes de races issues des familles stables
37
§ 14. — L’exagération de la nouveauté : trait caractéristique des familles instables et des races ébranlées ou désorganisées
41
§ 15. — La prospérité ou la souffrance réparties parmi les peuples, selon qu’ils affirment ou nient le vice originel
43
CHAPITRE II
LES TRAITS VARIABLES DE L’HUMANITÉ
§ 1. — La lutte éternelle de la nouveauté contre la tradition ou la grande loi de l’histoire
46
§ 2. — Comment le travail, nécessaire à la production du pain quotidien, a transformé, durant trois âges successifs, la condition des familles et des sociétés
48
§ 3. — Les nouveautés caractéristiques qui, pendant les deux derniers âges, ont modifié l’organisation primitive du travail
52
§ 4. — Le premier âge de l’humanité, ou l’organisation primitive du travail
53
§ 5. — Le deuxième âge du travail
57
§ 6. — Le troisième âge du travail
66
§ 7. — Le travail du pain quotidien sous les trois âges, et le nom caractéristique de chacun d’eux
75
§ 8. — Le progrès matériel et intellectuel est stérile ou dangereux, s’il n’est pas complété par un progrès, dans la pratique de la loi morale
78
CHAPITRE III
LES PRINCIPES ET LES COUTUMES DE LA CONSTITUTION ESSENTIELLE
§ 1. — La tradition de la loi morale assurée par les principes et les coutumes de la Constitution essentielle
80
§ 2. — Les principes de la Constitution, ou les éléments essentiels à toute société prospère
83
§ 3. — Le premier principe de la Constitution : le Décalogue
84
§ 4. — Le deuxième principe de la Constitution : l’autorité paternelle
85
§ 5. — Le troisième principe de la Constitution : la religion
86
§ 6. — Le quatrième principe de la Constitution : la souveraineté
89
§ 7. — Les trois derniers principes de la Constitution : la propriété sous ses trois formes
90
§ 8. — Les coutumes familiales de la Constitution essentielle
94
§ 9. — Les coutumes sociales de la Constitution essentielle
100
CHAPITRE IV
LA PROSPÉRITÉ ET LA SOUFFRANCE DANS L’HISTOIRE
§ 1. — Comment la science de l’histoire, fondée sur l’observation méthodique des peuples contemporains, démontre la Constitution essentielle
104
§ 2. — La prospérité ou la souffrance dans l’âge des herbes
106
§ 3. — Les excès de l’esprit de tradition et ses défaillances chez les races de l’âge des herbes
116
§ 4. — La prospérité ou la souffrance dans l’âge des machines
118
§ 5. — La prospérité et la souffrance dans l’âge de la houille
127
§ 6. — Comment s’accroît, dans l’âge de la houille, la rapidité des changements
130
§ 7. — L’humanité peut-elle sortir du cercle vicieux de prospérité et de souffrance où elle reste enfermée jusqu’à ce jour ?
132
CHAPITRE V
LA PROSPÉRITÉ ET LA SOUFFRANCE CHEZ LES MODERNES
§ 1. — Comment, dans l’antiquité, se formèrent les races qui, après la chute de l’empire romain, préparèrent la prospérité du moyen âge
136
§ 2. — Comment, au moyen âge, reparut le cercle, vicieux de souffrance et de prospérité où avaient tourné les races célèbres du passé
139
§ 3. — Comment, à la Renaissance, l’abus des nouveautés et le vice des dirigeants préparèrent à l’Occident quatre siècles de courtes prospérités et de longues souffrances
140
§ 4. — Comment, chez les modernes, l’alternance du bien et du mal, dans l’histoire, persiste comme chez les anciens
146
§ 5. — Comment les races simples ont souvent conjuré la souffrance, en respectant la Constitution essentielle
174
§ 6. — Comment les nations compliquées ont souffert, quand les familles dirigeantes n’ont point assuré le règne de la loi morale et le service du pain quotidien
158
§ 7. — Comment l’erreur fondamentale des modernes détruit le règne de la loi morale et le service du pain quotidien
172
§ 8. — Comment l’âge de la houille et ses quatre grands empiles justifient plus que jamais les traditions de la loi morale et du pain quotidien
176
§ 9. — La Grande-Bretagne et ses Colonies
180
§ 10. — La Russie d’Europe et d’Asie
184
§ 11. — La Nouvelle-Angleterre et ses Confédérés
186
§ 12. — La Chine et ses tributaires
189
§ 13. — L’Union européenne des petits États
198
CHAPITRE VI
LA RÉFORME PACIFIQUE DES IDÉES ET DES INSTITUTIONS
§ 1. — La souffrance actuelle de l’Europe et les causes premières du mal
204
§ 2. — Les moyens de réforme d’où sortira la guérison de la souffrance
206
§ 3. — La réforme doit s’opérer d’abord dans les idées, pour s’accomplir ensuite dans les mœurs et les institutions
209
§ 4. — Le concours progressif des hommes de paix à l’œuvre de la réforme
211
§ 5. — Les trois fausses doctrines qui dérivent de l’erreur fondamentale
214
§ 6. — Les principes de 1789
215
§ 7. — Le naturalisme
220
§ 8. — Évolutionnisme
222
§ 9. Comment les trois doctrines propagent l’erreur, déchaînent la souffrance et empêchent la réforme
224
§ 10. — Comment sera constituée l’Université de la réforme sociale
229
§ 9. Comment les trois doctrines propagent l’erreur, déchaînent la souffrance et empêchent la réforme
235
RÉSUMÉ ET CONCLUSION
De la Bibliothèque sociale
250
DOCUMENT ANNEXÉ
LA BIBLIOTHÈQUE SOCIALE
§ 1. — Composition de la bibliothèque en 1881
273
§ 2. — Mode employé pour subdiviser les injures de chaque ouvrage, afin de compléter clairement les autres par des renvois à ces subdivisions
282
§ 3. — Histoire de la bibliothèque
285
§ 4. — Concours apporté par la maison Maine, de Tours, à la création de la bibliothèque, ainsi qu’à la réforme sociale de la France et de l’Europe
298
§ 5. — Jugements sur la bibliothèque, émis en Angleterre, en Allemagne et en France (extraits sommaires
305
§ 6. — Régime adopté, en 1881, par l’école de la Paix sociale pour la vente des ouvrages de sa bibliothèque
316
§ 7. — L’école de la Paix sociale, sa revue périodique et son avenir
319
APPENDICE
I. — Sur l’ouvrage intitulé Les Ouvriers européens
321
II. — Sur l’ouvrage intitulé La Réforme sociale en France
327
III. — L’école de la Paix sociale et ses publications en 1893
330
1. La Société internationale d’économie sociale et les Ouvriers des deux mondes
330
2. Les Unions de la Paix sociale
340
3. L’enseignement social
343
4. La revue La Reforme sociale
346
5. La Bibliothèque de la Paix sociale
349