Laure d’Estell (1864)/50
Laure d’Estell (1802)
Michel Lévy frères, libraires éditeurs, (p. 199).
L
Sir James Drymer à Laure.
Je pars à l’instant ; comptez sur votre ami, Laure, il ne jouira d’un moment de repos qu’après avoir rendu Caroline à sa famille, et mérité le choix dont vous l’honorez. Lucie vous remettra ce billet, et vous peindra mieux que moi ce que me fait éprouver votre douleur ; mais elle ne parviendra jamais à vous exprimer tout ce que vous m’inspirez de tendre et de respectueux.
James Drymer.