Laure d’Estell (1864)/50

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Michel Lévy frères, libraires éditeurs (p. 199).


L

Sir James Drymer à Laure.


Je pars à l’instant ; comptez sur votre ami, Laure, il ne jouira d’un moment de repos qu’après avoir rendu Caroline à sa famille, et mérité le choix dont vous l’honorez. Lucie vous remettra ce billet, et vous peindra mieux que moi ce que me fait éprouver votre douleur ; mais elle ne parviendra jamais à vous exprimer tout ce que vous m’inspirez de tendre et de respectueux.

James Drymer.