Le Correcteur typographe (Brossard)/volume 2/23/02
II
ALIGNEMENT VERTICAL.
17. Dans la composition courante, l’alignement vertical se trouve naturellement obtenu, à droite et à gauche, par la limite qu’impose la longueur de la justification.
18. Dans les autres circonstances où il y a lieu d’obtenir un alignement vertical — tables des matières, index, opérations, tableaux proprement dits, etc., — il est nécessaire d’observer quelques règles particulières.
19. Comme l’alignement horizontal, l’alignement vertical doit être parfait : il se fait soit à droite et à gauche, simultanément ; soit, simplement, à gauche ou à droite. Pour l’obtenir, parfois on a recours à un nombre déterminé de cadratins utilisés au début, à la fin ou au cours de la justification ; d’autres fois la composition s’établit en deux ou plusieurs justifications différentes.
20. La composition des alignements se fait toujours en sommaire.
En règle générale, comme conséquence, l’alignement d’un texte ne comportant pas d’opérations mathématiques, de tableau de chiffres comparatifs ou indicatifs, s’établit au début de la ligne, sur la gauche[1] :
Il faut envisager dans ce chapitre dont l’étendue sera considérable :
2° Le procédé pratique ;
3° L’application générale ; …
10° Les résultats à obtenir ;
11° Les conséquences.
21. L’alignement proprement dit — opérations, formules, statistiques, etc. — se compose en caractères inférieurs de 2 points au moins à celui du texte ; il est isolé de la composition qui le précède et de celle qui le suit par une ligne de blanc environ, le blanc inférieur étant tenu de 2 à 3 points plus fort que le blanc supérieur.
22. Le texte de l’alignement est renfoncé, également, à droite et à gauche, de 2 à 3 cadratins au moins sur la longueur totale de la justification : il apparaît ainsi composé en vedette au milieu de la justification ; obligatoirement, à la fin de la ligne, l’alignement s’établit sur la droite :
D’après notre tableau, on obtient ces résultats, en francs :
Il reste dès lors comme revenu imposable…
Les chiffres, devant s’aligner à droite, sont rentrés vers la gauche ; un blanc d’au moins 1 cadratin est placé devant le nombre le plus élevé ; suivant la longueur de la justification, ou pour d’autres raisons, ce blanc peut être porté jusqu’à 1 cadratin et demi et même 2 cadratins.
Les chiffres étant fondus sur demi-cadratin, on place entre les gros points et les nombres contenant moins de chiffres, en outre du cadratin de blanc régulier, une quantité de demi-cadratins égale à celle des chiffres en moins : ainsi les nombres de l’exemple comportant quatre chiffres et un gros point, soit 5 demi-cadratins, on ajoutera 2 demi-cadratins, devant le chiffre 400, en plus du cadratin régulier d’alignement.
23. Dans un travail, le blanc employé pour le renfoncement à droite et à gauche de l’alignement doit être rigoureusement le même pour tous les alignements.
Dès le début de la composition, on devra s’assurer que le blanc adopté n’occasionnera pas d’ennuis au cours du travail, ou parce qu’il est trop fort, ou parce qu’il est insuffisant.
Si, en raison de circonstances exceptionnelles, on est obligé, pour un
alignement, soit d’augmenter, soit de diminuer les blancs de rentrée, il est indispensable de modifier dans le même sens tous les blancs des alignements qui se rencontrent dans la page.
24. L’intervalle entre le cadratin de blanc régulier précédant les chiffres et le texte est rempli généralement par des gros points fondus sur demi-cadratin :
Parfois cependant on emploie des points ordinaires ou petits points d’épaisseur régulière espacés à un demi-cadratin[2] :
ou même à 1 cadratin :
{
On peut encore utiliser, bien que cet usage soit de plus en plus rare, des points carrés, ou points fondus sur cadratin (d’où leur nom de « carrés »).
Les points carrés et les gros points sont collés, c’est-à-dire composés sans espace entre chacun d’eux.
25. Quelle que soit la méthode employée, l’alignement vertical des points doit être absolu : en aucun cas, la justification de l’alignement par une espace, même fine, ne peut avoir lieu entre deux gros points ; toujours elle se fait ou entre les mots du texte de l’alignement, ou entre le dernier mot du texte et le premier gros point.
26. La composition des alignements se fait en sommaire, comme on l’a vu (no 20) ; il s’ensuit dès lors naturellement que, si, en raison de la longueur du texte, une fraction de celui-ci doit être, reportée à une deuxième ligne, celle-ci est rentrée de 1 cadratin de plus que la première :
Le texte de la première ligne, arrêté au cadratin régulier de blanc précédant le nombre le plus élevé, est en alignement vertical parfait avec le dernier gros point ; le reste de la justification est composé en cadrats.
Il est donc préférable, à tous points de vue, de composer :
au lieu de la disposition qui couvre l’alignement des chiffres et le blanc séparatif :
27. On évite la répétition d’un ou de plusieurs mots semblables se rencontrant, en alignement vertical, dans des lignes successives, en remplaçant, ces mots par un tiret ou moins :
28. Le tiret se justifie aussi rigoureusement que possible dans l’axe du ou des mots qu’il est appelé à suppléer.
29. De manière générale, on cherche aussi, pour faciliter l’alignement des mots qui les suivent, à encadrer les tirets de blancs égaux. On atteint ce résultat soit en augmentant, soit en diminuant légèrement l’espace du ou des mots de la ligne de tête, ou encore (bien que cet artifice soit peu employé) en espaçant à 1 point chacune des lettres du texte à remplacer.
30. Suivant la majorité des auteurs, il n’est pas permis de rejeter, sous un tiret, à une deuxième ligne, la suite d’un texte. On ne pourrait donc composer :
mais il faudrait écrire, en répétant le texte :
31. Certains manuels techniques recommandent l’alignement vers la gauche des abréviations 1°, 2°, 3°, … , 10°, lorsqu’elles se trouvent à découvert et immédiatement l’une sous l’autre :
On remarquera l’effet absolument disgracieux produit, dans le cas actuel, par l’application de cette règle : abréviation numérale enjambant sur le blanc ; report du texte vers la droite au détriment de l’alignement ; renfoncement irrégulier du texte en raison de l’abréviation numérale.
On ne saurait non plus conseiller la disposition qui consiste à établir l’alignement du texte en tenant compte du nombre le plus élevé des abréviations 1°, 2°,… 10°, lorsque ces abréviations comportent plusieurs chiffres ; l’irrégularité du blanc est d’un aspect disgracieux :
Le demi-cadratin de blanc séparatif de l’abréviation et du texte est compté ici après l’abréviation 10° ; chacune des abréviations précédentes, comportant un chiffre en moins, soit 1 demi-cadratin, doit prendre après elle 1 demi-cadratin de blanc en sus du demi-cadratin régulier.
L’alignement intérieur des abréviations numérales évite ces graves défauts et semble bien préférable :
Les abréviations se trouvent réellement, au sens précis du mot, à découvert ; le blanc obligatoire du demi-cadratin qui les suit aide à l’alignement du texte et présente à l’œil un aspect satisfaisant ; le renfoncement du rejet se fait correctement sous le texte dont il dépend ; enfin le report vers la gauche du chiffre 1 de l’abréviation 10° ne saurait être plus disparate que ce même report, également vers la gauche, de certains chiffres de l’énumération alignés, eux aussi, sur la droite.
32. Au lieu d’une seule colonne de chiffres, l’alignement peut en comporter plusieurs.
Chaque colonne est séparée de celles qui l’avoisinent par un blanc qui ne peut, en aucun cas, être inférieur au blanc séparatif normal des points de conduite et des chiffres de la première colonne : soit, suivant les circonstances, 1 cadratin, 1 cadratin et demi, 2 cadratins ; le blanc est toujours compté, pour l’alignement, à partir du nombre le plus élevé.
Domestiques |
115.042 | 11,60 | |
Militaires et marins |
20.308 | 2,04 | |
Employés |
60.015 | 6,05 | |
Nomades |
1.116 | 0,11 |
33. Si les colonnes de chiffres comportent une tête, le texte de celle-ci est toujours composé en caractère inférieur de 2 points au moins à celui du texte de l’alignement lui-même.
Ces têtes sont justifiées au milieu des colonnes de chiffres :
Nombres. | Pour 100. | ||
Domestiques |
115.042 | 11,60 | |
Militaires et marins |
20.308 | 2,04 | |
Employés |
60.015 | 6,05 | |
Nomades |
1.116 | 0,11 |
34. Lorsque le nombre des lignes du texte des têtes dépasse deux, elles sont composées soit au milieu, si la disposition typographique ainsi que la coupure du sens ou des mots l’exigent, soit en sommaire :
Revenu net. | Par les célibataires sans charges. |
Par les mariés sans charges. | |
5.100 francs |
0,40 | néant | |
5.500 — |
2 » | — | |
6.000 — |
4 » | — | |
10.000 — |
20 » | 12 » | |
20.000 — |
120 | »96 » |
35. Si le texte de ces têtes est d’une longueur exceptionnelle, on le fait déborder également à droite et à gauche de la colonne de chiffres, afin de réduire le nombre de lignes. Dans le cas de plusieurs colonnes, le blanc séparatif pour chaque colonne est établi non pas suivant les nombres les plus élevés, mais d’après la longueur du texte des deux têtes voisines, augmentée du blanc séparatif régulier.
36. Nombre d’imprimeries placent une ponctuation finale après le texte de ces têtes.
37. Au chapitre Nombres[3], on a vu les diverses dispositions adoptées lorsque le mot francs accompagne les nombres des colonnes de l’alignement.
On a recours aux mêmes dispositions pour les autres termes du système métrique :
a) La désignation est placée, pour les nombres entiers, en tête et au milieu de la colonne de chiffres et est exprimée au long ; un blanc de 1 à 2 points au plus la sépare des chiffres :
Kilogrammes. | |
Jambon |
750.000 |
Petits pois, haricots verts |
560.000 |
Vin |
280.000 |
Confitures |
250.000 |
Cigares |
350.000 |
b) L’expression numérale est suivie de la désignation métrique, exprimée au long ou en abrégé, dans, la première ligne ; pour les lignes suivantes, la désignation métrique est suppléée par un tiret ou moins :
c) Si l’alignement comporte un total, le terme métrique doit être répété dans la ligne de ce total :
Près de 300 tonnes de jambon |
750.000 francs |
Environ 700.000 litres de petits pois |
560.000 — |
Confitures : 175..000 kilogrammes |
330.000 — |
Total |
francs |
Certains auteurs prolongent le filet d’addition jusque sous le terme métrique ; d’autres le limitent strictement à la largeur de l’expression numérale seule.
d) Dans les nombres fractionnaires, le terme métrique, exprimé en abrégé, et placé en tête et au milieu de la colonne, s’aligne avec les unités :
L’expression numérale fractionnaire ne comporte aucun blanc ni à droite ni à gauche de la virgule, dont l’emploi est obligatoire.
e) Placé en supérieures, avant la virgule, dans le corps du nombre fractionnaire, le terme métrique est répété avec chaque nombre, ainsi que la virgule :
L’expression est groupée sans aucun blanc.
f) Parfois le terme métrique peut être exprimé seulement à la première ligne ; aux lignes suivantes il est remplacé par un blanc équivalant rigoureusement à la lettre ou aux lettres supprimées, afin de conserver un alignement vertical parfait ; la virgule peut, dans ce cas, être indifféremment conservée ou supprimée :
Si l’alignement comporte un total, obligatoirement le terme métrique, de même que la virgule, doivent figurer dans ce total :
g) Enfin, le terme métrique, placé avan t l’expression numérale, suit les gros points de l’alignement :
Cette disposition se rencontre plus rarement, que les précédentes. Elle ne peut d’ailleurs être utilisée qu’avec les nombres entiers ; son emploi avec les nombres fractionnaires occasionnerait, en effet, quelque difficulté de lecture.
Parfois le terme métrique est exprimé au long ; souvent on le rencontre en abrégé. Il ne figure, au reste, qu’à la première ligne de l’alignement, puis dans la ligne contenant, le cas échéant, le total de l’opération ; dans les autres lignes, il est suppléé par un moins ou tiret. Il est précédé de 1 demi-cadratin de blanc et suivi immédiatement du blanc séparatif régulier du découvert : 1/2 cadratin, 1 cadratin, 1 cadratin et demi, ou 2 cadratins, suivant les cas.
38. L’alignement vertical doit être parfait, on l’a vu ; mais souvent de multiples incidents rendent particulièrement difficile la composition à la manière ordinaire, en justification complète.
Aussi, chaque fois qu’il est possible, il vaut mieux sérier la composition en plusieurs justifications indépendantes. On obtient ainsi en moins de temps, et conséquemment à moindres frais, un alignement irréprochable, auquel des remaniements peut-être louables dans leur obstination, eu tout cas hors de propos, n’auraient pas permis d’aboutir.
Soit, par exemple, à composer l’alignement suivant :
m3 | = kilolitre | = tonne métrique (1.000 kilogr.) |
0,1 | = hectolitre | = quintal (ou 10 kilogr.) |
0,01 | = décalitre | = myriagr. |
0,001 (ou dcm3) | = litre | = kilogr. |
0,0001 | = décilitre | = hectogr. |
0,00001 | = centilitre | = décagr. |
0,000001 (cm3) | = millilitre | = gramme |
Pour la composition, on divisera ce texte en trois parties : la première : m3 ; la deuxième : = kilolitre ; la troisième : = tonne métrique (ou 1.000 kilogr.).
Dans le calcul des justifications à établir, il ne faut pas oublier de tenir compte du blanc séparatif de chacune des colonnes : dans le cas présent, les = doivent comporter entre elles et le mot qui les précède et celui qui les suit un blanc au moins égal à une espace forte ou à 1 demi-cadratin.
On aura recours à l’un ou à l’autre de ces deux procédés :
1° De la justification totale, avant toute répartition des justifications partielles, on déduit le blanc nécessaire à la séparation de chaque colonne : 2 points, 3 points, 6 points, etc., suivant les conventions.
Lors de la réunion des colonnes on couche entre chacune d’elles, en interlignes ou en lingots, le blanc réservé.
Dans le cas actuel, la justification totale est de 20 cicéros : de cette longueur on déduira, comme blanc séparatif total à répartir, 6 points, soit 3 points pour chacun des deux blancs ; il reste 19 cicéros 1/2 à diviser en trois justifications, suivant les règles ci-après :
2° Devant le premier mot ou le premier signe commençant chaque ligne de colonne, on place un blanc — suivant les cas espace forte, demi-cadratin ou cadratin, — au lieu de commencer en pleine ligne.
Lors de la réunion des colonnes, ce blanc constitue le blanc séparatif régulier.
Il va sans dire que, pour la première colonne, l’emploi de ce blanc est inutile.
39. Si la longueur totale de la justification le permet, on prend, pour longueur de chacune des justifications partielles, une même longueur, en se basant, toutefois, sur un nombre exact de cadrats ou de cadratins, ou encore sur cicéros.
Mais, au contraire, si le texte d’une colonne est long et que la justification d’une autre colonne peut, en raison de son texte, être réduite, on attribue à chaque partie une justification en rapport avec l’importance de son texte et proportionnelle à la justification totale.
40. De toute évidence, lorsque l’alignement vertical se compose exclusivement de chiffres, chaque justification doit être au moins égale à la longueur donnée dans chaque colonne par le nombre le plus élevé. Si l’ensemble des justifications ainsi obtenues excède la justification totale, on déborde d’une quantité égale dans chaque marge.
41. Lorsque le texte ou la phrase de l’une des colonnes n’entre pas en entier dans la longueur d’une justification fragmentaire, on reporte le surplus sur une deuxième ligne qui se rentre de 1 cadratin sous la première, la composition étant faite en sommaire.
42. Les mots total, reste, différence, produit, etc., précédant le résultat de l’opération indiquée par l’alignement, se composent, de manière générale, presque toujours en petites capitales, avec une grande capitale initiale.
43. Suivant la justification, ces mêmes expressions se rentrent vers la droite du tiers environ de la longueur de l’alignement, en plus du renfoncement régulier de l’alignement. Elles sont toujours suivies de points de conduite dont le dernier s’aligne avec ceux du texte de l’opération.
44. Un filet maigre de 2 points précède le résultat de l’opération.
Fréquemment, un filet 1/4 gras ou gouttière, ou même de cadre (le filet maigre tourné vers les chiffres) ; est placé sous le total.
La majorité des auteurs reconnaissent que l’un ou l’autre de ces filets ne sauraient déborder au delà du résultat de l’opération ; ils doivent couvrir entièrement les chiffres, mais non pas être prolongés à droite ou
à gauche.
45. Dans les alignements à plusieurs colonnes, il faut éviter autant que possible que l’une des colonnes soit boiteuse, c’est-à-dire ait en moins une ligne de texte. À cet effet, il faut, en espaçant au besoin un peu fort, chasser le texte pour faire une ligne en plus, là où la chose est possible ; ou bien, dans la ou les colonnes longues, gagner une ligne en diminuant l’espacement.
46. Certains alignements, d’apparence pourtant simple, offrent à l’œil un aspect touffu ou irrégulier qui fait mal augurer de la science du compositeur.
Tel est le cas de l’alignement suivant :
Revenu net | par les célibataires sans charges |
par les mariés sans charges | ||
5.100 | 0 40 | néant | ||
5.500 | 2 » | id. | ||
6.000 | 4 » | id. | ||
10.000 | 20 » | 12 | ||
20.000 | 120 » | 96 | ||
100.000 | 1.700 » | 1.660 |
Revenu net | 1 personne | 2 personnes | 6 personnes | |||
8.000 | néant | néant | néant | |||
10.000 | 7.60 | 3.60 | id | |||
15.000 | 34.20 | 25.20 | 3 | |||
20.000 | 79.80 | 64.80 | 6 | |||
50.000 | 608 | 558 | 265 | |||
100.000 | 1.558 | 1.458 | 765 |
Inutile de souligner les fautes de goût nombreuses, non plus que les infractions aux règles typographiques qui remplissent cet alignement : absence de points de conduite après la première colonne ; emploi du point, là où une virgule est nécessaire ; usage de l’abréviation id (non suivie du point) au lieu du tiret, ; absence du guillemet pour remplacer les décimales manquantes ; composition paraissant déplacée vers la gauche ; alignement irrégulier.
Il suffira d’établir cet alignement de façon correcte pour faire comprendre la différence des deux manières :
Revenu net |
par les célibataires sans charges |
par les mariés sans charges |
5.100 |
0,40 | néant |
5.500 |
2 » | — |
6.000 |
4 » | — |
10.000 |
20 » | 12 » |
20.000 |
120 » | 96 » |
100.000 |
1.700 » | 1.660 » |
Revenu net — |
1 personne |
2 personnes |
6 personnes |
8.000 |
néant | néant | néant |
10.000 |
7,60 | 3,60 | — |
15.000 |
34,20 | 25,20 | 3 » |
20.000 |
79,80 | 64,80 | 6 » |
50.000 |
608 » | 558 » | 265 » |
100.000 |
1.558 » | 1.458 » | 765 » |
Le mot néant est employé ici, par l’auteur, pour faire remarquer de manière très précise au lecteur la certitude d’une nullité ; le guillemet (») aurait pu faire surgir un doute dans l’esprit du lecteur, et celui-ci se demander s’il y avait ignorance de l’écrivain.