Le Diable à Paris/Série 2/Grandville
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LES POISSONS D’AVRIL
par grandville.
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LE BŒUF GRAS ET SON CORTÈGE
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Tout passe, tout s’use, tout change ici-bas : les modes, les lois, la cuisine. Seul le bœuf gras, toujours le même, paraît toujours nouveau. Poètes, artistes, philosophes, ô vous tous qui cherchez le beau ; le parfait, l’idéal, informez-vous-en aux Parisiens : l’idéal, c’est le bœuf gras, pour trois jours, une fois tous les ans.
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Départ pour Saint-Cloud.
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La Musique de l’avenir. (En 1835.)